[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Erquy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Erquy
Erquy
Vue aérienne du bourg, du port et du cap d'Erquy.
Blason de Erquy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Henri Labbé
2020-2026
Code postal 22430
Code commune 22054
Démographie
Gentilé Erquiais, Réginéens, Rhoeginéens[1],[2].
Population
municipale
3 909 hab. (2021 en évolution de +0,28 % par rapport à 2015)
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 57″ nord, 2° 27′ 47″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 116 m
Superficie 26,46 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Erquy
(ville isolée)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pléneuf-Val-André
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Erquy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Erquy
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Erquy
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Erquy
Liens
Site web Mairie d'Erquy

Erquy [ɛʁki] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Le bourg d'Erquy occupe le fond d'une anse de la côte de Penthièvre comprise entre le cap d'Erquy, site naturel acquis par le Conseil départemental des Côtes-d'Armor, et la pointe de la Houssaye, constituée des vestiges d'une éruption volcanique ; c'est dans cette rade d'Erquy que, le , un combat naval oppose des navires anglais et français.

Le port d'Erquy qui abrite une flottille d'environ 80 chalutiers est connu comme la « capitale » de la coquille Saint-Jacques, pêchée dans la baie de Saint-Brieuc.

Erquy est également connue pour abriter des maisons en grès rose.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Station balnéaire très active, située à l'ouest de la Côte d'Émeraude, Erquy est aussi un centre de la coquille Saint-Jacques grâce à son port de pêche qui reste l'un des meilleurs des Côtes-d'Armor ainsi que grâce à sa flottille de 80 navires de pêche côtière et 12 navires de haute mer (la Petite Julie ayant coulé en janvier 2008 au large de l'Île Vierge (Finistère-nord)).

Avec près de 30 000 habitants en période estivale, Erquy reste une ville très attractive grâce à ses nombreuses activités et ses sept plages de sable fin. En quelques années, Erquy est devenue la ville la plus active de la Communauté de communes de la Côte de Penthièvre, autant sur le plan économique, commercial, culturel que sportif.

La commune d'Erquy est formée des villages : Tuero, le Val, les Hôpitaux, Ville-Josselin, La Ville-Ory, Quelard, Saint-Sépulcre, l'Abbaye, Saint-Aubin, le Verger, la Couture, Ville-Denais, la Ville Renault, le Bois-Regnault, l'Hôtel-Morin, la Marchatte, la Ville-Bourse, la Moinerie, le Pussoir, Caroual. Erquy et ses hameaux abritent de nombreux éléments de patrimoine (chapelles, dolmens, manoirs, phares, châteaux…). Le petit village de Tu-Es-Roc est remarquable grâce à ses maisons en grès rose, tiré des carrières (de grès rose) d'Erquy désormais abandonnées[3]. Mention parmi les villages de Saint-Quereuc, ancienne grange de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois. En 1234, la villa Saint-Maclou, en Erquy, fut donnée à la même abbaye et est dite : Villa Maclovii de Sancto Carroco. Saint-Aubin possédait une autre grange à Erquy : Saint-Cano ou Saint-Queneuc, ainsi que les deux métairies de la Moinerie.

Le fleuron de son riche passé est le château de Bienassis. Sa visite inspirée par les souvenirs d'un amiral, grand explorateur du XIXe siècle, permet de se transporter à l'époque des grandes expéditions maritimes.

Site paléolithique occupé ensuite par les Romains. Présence au Moyen Âge des chevaliers du Saint-Sépulcre aux hameaux des Hôpitaux, de la Corderie (ancienne léproserie) et du Saint-Sépulcre. La commune a été reconstruite sur les hauteurs après l'engloutissement de la précédente.

Le nom de la localité est attesté sous les formes [Parrochia de] Erque en 1167, Erque en 1219, 1223, 1226, 1233, et en 1235, Erqueio en 1235 et en 1260, Arque en 1237, Arqueio en 1245 et en 1256, Herqueio ou Herqueium en 1278 et vers 1330, Erquey en 1282, Herqueyo en 1298, Erqui en 1358, 1420, 1427, 1430, 1480 et en 1514, Erquy en 1458, 1516 et en 1583[4],Site de KerOfis (lire en ligne).

Reginea ou Reginca (d'où le nom des habitants, les Réginéens et les Réginéennes), ancienne cité gallo-romaine est identifiée à tort à Erquy par des historiens du XIXe siècle qui croient la voir figurer sur des cartes anciennes à l'emplacement d'Erquy (Table de Peutinger, dessiné par un moine en 1265 à partir d'une copie des IIIe – VIe siècles). Plusieurs vestiges archéologiques sont répertoriés à Erquy, mais la continuité de la nappe archéologique de surface ne s'avère ni plus ni moins convaincante qu'en d'autres lieux. On tend plutôt aujourd'hui à placer Reginca sur l'estuaire de la Rance (Ille-et-Vilaine), Rance représentant par ailleurs l'évolution phonétique de Reginca[5].

L'étymologie est obscure, sans doute brittonique, étant donné l'absence d'homonyme ailleurs et sa localisation sur la côte dans la zone de la toponymie bretonne. Peut-être du breton ar c'herregi « les rochers »[6], à moins d'y voir le gaulois *hercu > *ercu « chêne »[7] que l'on rencontre dans le dérivé ercunia, ercunion « forêt de chêne », d'où le nom de forêt hercynienne, celui de l'Argonne et peut-être Ercolana « plaine des chênes »[8].

Le XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 201 soldats morts pour la Patrie[9] :

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[11]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Littoral doux », exposée à un climat venté avec des étés cléments[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 654 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Quintenic à 13 km à vol d'oiseau[13], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 769,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Au , Erquy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Erquy, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), zones urbanisées (16,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5 %), prairies (4,1 %), forêts (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), zones humides côtières (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1953 mars 1971 André Cornu Rad. Haut fonctionnaire, secrétaire d'État (1951 → 1954)
Député des Côtes-du-Nord (1932 → 1936)
Sénateur des Côtes-du-Nord (1948 → 1971)
Conseiller général du canton de Pléneuf (1945 → 1964)
Président du conseil général (1946 → 1947)
Commandeur de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918
mars 1971 mars 1983 Joseph Erhel[25] PCF Instituteur, ancien maire de Saint-Juvat (1965 → 1971)
mars 1983 mars 1989 André Troël[26],[27]
(1919-2014)
RPR Inspecteur des impôts retraité
mars 1989 juin 1995 Georges Catros[28],[29]
(1921-2011)
PS Retraité de l'éducation[Note 1]
Officier des Palmes académiques
juin 1995 mars 2007
(démission)
Bernard Nonnet[30] SE Retraité de l'Assurance maladie
mars 2007 4 juillet 2020 Christiane Guervilly UMP-LR[31] Employée
4 juillet 2020 En cours Henri Labbé[32],[33] DVC Technico-commercial retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5351 6461 6341 8801 9512 0702 0682 1342 292
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3322 3732 4152 4112 5102 6372 7082 9012 906
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6352 9352 9432 9572 9912 9932 9053 0022 812
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3 0222 9983 3473 4263 5683 7603 7253 7423 802
2014 2019 2021 - - - - - -
3 8913 9223 909------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Sites naturels

[modifier | modifier le code]
  • Le cap d'Erquy, moins connu que son voisin le cap Fréhel, offre de beaux paysages et une vue exceptionnelle sur la baie de Saint-Brieuc. Ce cap se situe entre deux plages : l'anse de Port-blanc, avec son abri de canot de sauvetage utilisé dans les années 1960 et la plage est du Lourtuais. Le cap d'Erquy est tristement célèbre par "trois pierres", trois rochers qui ont coulé de nombreux navires. C'est pour cela que l'on a décidé de construire un abri de canot de sauvetage. Conjointement, les caps d'Erquy et de Fréhel ont intégré le Réseau des grands sites de France.
  • Le Grand-Pourier, îlot au large du cap d'Erquy.
  • L'îlot Saint-Michel, à proximité du hameau et du petit port des Hôpitaux. Son nom vient de la petite chapelle qui se situe dessus. Cet îlot n'est accessible qu'à marée basse (en fonction du coefficient de marée).
  • D'un point de vue géologique, le site d'Erquy est constitué de grès rose cambro-ordoviciens (série d'Erquy-Fréhel[36]), reposant en discordance sur une pile de laves basaltiques spilitisées[37]. Cette succession volcanique affleure remarquablement bien au niveau de la pointe de la Heussaye, qui limite l'anse d'Erquy au sud[38]. On peut y observer quelques sills et une douzaine de coulées basaltiques du Néoprotérozoïque (608 millions d'années), verticalisées par la tectonique cadomienne et séparées par de petits niveaux sédimentaires. Les coulées présentent d'exceptionnels faciès de laves en coussins (pillow-lavas), de laves lobées et surtout de hyaloclastites (sur l'estran, près de l'extrémité nord de la pointe). Le site de la Heussaye, où se succèdent tout au long de l'année de nombreuses excursions géologiques organisées par des lycées, des universités et des associations, a fait l'objet d'une étude paléovolcanologique récente[39]. Il s'agit de l'un des "spots" volcaniques précambriens à hyaloclastites les mieux préservés au monde.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
  • Le dolmen de la Ville-Hamon : allée couverte inscrite au titre des monuments historiques en 1980[40].
  • Le château de Bienassis : ensemble très complet de demeure seigneuriale.
  • Le château de Noirmont - XIXe siècle - Style néo-Classique.
  • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul[41]. L'extérieur est de style classique (XIXe siècle). La nef romane, qui pourrait dater du XIe siècle[42], est couverte de charpente. Elle ouvre sur les bas-côtés par des grandes arcades à simple rouleau (arcs fourrés) retombant sur des piles arrondies sur les côtés. Au-dessus de chaque arcade, une petite fenêtre aujourd'hui murée suivant le réhaussement des bas-côtés est percée dans le mur nu. La nef est séparée du chœur par un large arc triomphal de plein cintre. L'édifice a été remanié ultérieurement. Le chœur s'achève sur un mur droit percé d'une fenêtre gothique à remplage.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Mgr Alfred Guyomard, prélat, membre des Oblats de Marie Immaculée, né à Erquy le 14 octobre 1884, ordonné prêtre en 1902, sacré le 9 mars 1924 évêque de Jaffna (Ceylan Sri Lanka), transféré au siège d'Assava le 4 septembre 1950, décédé le 27 février 1956 à Colombo (SriLanka) - transcription de l'acte faite à Assava le .
  • Pierre Tillon (1931-2011), footballeur professionnel, vainqueur de la coupe de France en 1956 avec Sedan.
  • Georges Talbourdet (1951-2011), cycliste sur route français, y est né.
  • L'écrivain Jean Raspail y passa de nombreuses vacances et présida le Club de Voile d'Erquy.
  • Après avoir passé presque toute sa vie à Erquy, le peintre paysagiste Léon Hamonet, né à la Ville Bourse en 1877 et décédé en 1957, a été enterré au cimetière marin.
  • Maurice Bernard, peintre impressionniste, né le 25 janvier 1927 à Saint-Cast et décédé le 7 mars 2005 à Erquy. Titulaire du Grand Prix de New York en 1970, cet artiste de terrain est surtout connu par ses superbes toiles « marines ». Il avait jeté l'ancre à Erquy (à Turquay) en 1976.
  • Julien Thibaudeau, peintre deux-sèvrien (Breloux-depuis La Crèche, 14/02/1859 - Dame-Marie-Les-Bois (37) 8/09/1943 ) a réalisé en 1912 "Les landes de La Garenne" : le secteur des Hôpitaux avec ses deux moulins.
  • En concevant le cadre de la bande dessinée Astérix, en particulier le village où vivent les protagonistes, Albert Uderzo n'avait pas clairement à l'esprit cette commune. Mais quand un des habitants lui a indiqué certaines similitudes avec le village encerclé, comme les trois petits rochers qu'on distingue à la loupe et qui sont visibles aussi au large du cap d'Erquy, l'auteur a convenu qu'il y avait eu une influence probable : il avait en effet fréquenté ce secteur avec son frère qu'il avait rejoint durant la Seconde Guerre mondiale, alors que la disette sévissait à Paris. L'existence d'une plate-forme appelée le camp de César, n'a fait que renforcer cette hypothèse. Par ailleurs, mais on ignore si les auteurs le savaient à l'époque de la création de la BD, on a découvert de nombreux éléments attestant de l'occupation des lieux au paléolithique puis à l'âge du bronze. Entre l'âge du bronze et l'occupation romaine, se trouvait un village gaulois du nom de Reginea (en latin) dans la baie d'Erquy[43].
  • Jean Anouilh possédait une résidence à Erquy où il séjourna souvent. Un hommage lui a été rendu en 2011, avec une exposition et la diffusion de deux films : Pattes blanches et Caroline chérie.
  • Plusieurs films ont été tournés à Erquy, comme Le Blé en Herbe.
  • Le pianiste Robert Casadesus a passé plusieurs étés à Erquy.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
De sinople à une sirène d'or, les cheveux flottant, les bras et la queue tournés vers senestre évoquant la lettre E capitale ; au chef d'hermine.
Commentaires : Devise : Regina fus, « Reine demeure ».

Associations sportives

[modifier | modifier le code]
  • Union sportive Erquy football. Créé en 1920, c'est le club sportif le plus ancien de la commune d'Erquy.
  • Club de voile de la baie d'Erquy
  • Club de Tennis
  • École de voile
  • Club de randonnée
  • Club de plongée
  • La Sainte Jeanne http://sainte-jeanne-erquy.com/, gréement traditionnel
  • Association Familles Rurales : section danse modern'jazz
  • Club de handball

Associations artistiques

[modifier | modifier le code]
  • Association La Palette, association de peintres amateurs créée en 1994, agréée Jeunesse et Education Populaire (JEP)
  • Association Photo-Club Erquy, association de photograghes amateurs créée en 2018. Elle participe activement au mois de la photographie qui se déroule tous les ans en décembre sur divers sites de la ville d'Erquy.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Au cours de sa carrière, il fut professeur d'éducation physique et sportive puis directeur départemental de la jeunesse et des sports et enfin inspecteur principal à l'académie de Rennes.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « [http://geobreizh.bzh/geobreizh/fra/habitants-pays-paou29e75.html?numero_paou=41 Noms des habitants : Penthi�vre - Villes et communes de Bretagne par pays traditionnel >> Geobreizh.bzh] », sur geobreizh.bzh.
  2. Catherine Bizien-Jaglin, Patrick Galliou et Hervé Kerébel, « Carte archéologique de la Gaule: 22. Côtes-d'Armor », sur Google Books, Les Editions de la MSH, .
  3. Louis Chauris, « Saint-Malo : la pierre et la mer », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. 89,‎ , p. 14.
  4. Archives des Côtes d'Armor, 1E 1529
  5. Georges Minois, Les Côtes-du-Nord: de la préhistoire à nos jours, Editions Bordessoules, , p. 61.
  6. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 268b
  7. Patrice Lajoye, L’Arbre du Monde, Editions du CNRS, 2016
  8. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, Collection des Hespérides, 2003 (ISBN 2-87772-237-6), p. 164 - 165.
  9. Eric Blanchais, « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Erquy et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 d'Erquy », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. Notice ERHEL Joseph, Louis, Auguste, Édouard par Alain Prigent, version mise en ligne le 5 février 2009, dernière modification le 4 novembre 2014
  26. « André Troël, ancien maire, est décédé », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  27. « Nécrologie. André Troël, ancien maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  28. « Georges Catros, figure du sport costarmoricain et ancien maire, est décédé », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « Nécrologie. Georges Catros maire de 1989 à 1995 », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  30. « Nécrologie. Bernard Nonnet, ancien maire et vice-président de la CCCP », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  31. « Erquy - 22430 », sur Le Monde.fr.
  32. « À Erquy, Henri Labbé est élu maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  33. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. (en) David J. Went, « Quartzite development in early Palaeozoic nearshore marine environments », Sedimentology, vol. 60, no 4,‎ , p. 1036–1058 (DOI 10.1111/sed.12016, lire en ligne, consulté le ).
  37. « Lithothèque - Erquy-Fréhel », sur espace-svt.ac-rennes.fr.
  38. Jean Cogné, Joël Le Métour, Bernard Auvray, Jean-Pierre Lefort, Daniel Jeannette, Marie-Thérèse Morzadec-Kerfoum, Carte géologique de France à 1/50 000, feuille Saint-Cast (206), Notice géologique sur la Formation de la Heussaye, BRGM, 1980, p. 11-24
  39. (en) Martial Caroff, « Emplacement of lobate sheet flows with hyaloclastites onto soft sediment: The Erquy Neoproterozoic lava pile, Armorican Massif (France) », Precambrian Research, vol. 334,‎ , p. 105454 (ISSN 0301-9268, DOI 10.1016/j.precamres.2019.105454, lire en ligne, consulté le ).
  40. « Dolmen avec cairn », notice no PA00089144, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Ville d'Erquy ».
  42. Marc Déceneux, la Bretagne romane, Editions Ouest France, , p 56.
  43. Trésors de l’Histoire, février-mars 2009, no 230, Reginea, authentique village d'Astérix, par Gilles Lecomte, p. 42-43.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Avery (M.), Briard (Jacques), Giot (Pierre-Roland), Les retranchements du cap d'Erquy, in Annales de Bretagne, no 75, 1, 1968, p. 67-84, no 76, 1, 1969, p. 21-36
  • Jean-Pierre Le Gal La Salle, Histoire d'Erquy. Tome 1, Erquy sous l'Ancien Régime, 1991

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]