Chevrier
Chevrier | |||||
Vue de l'ancienne église Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Saint-Julien-en-Genevois | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Genevois | ||||
Maire Mandat |
Agnès Cuzin 2020-2026 |
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Code postal | 74520 | ||||
Code commune | 74074 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
677 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
2 327 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 06′ 34″ nord, 5° 55′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 332 m Max. 932 m |
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Superficie | 5,35 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Vulbens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Genève - Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Julien-en-Genevois | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | https://chevrier.fr | ||||
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Chevrier est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Le terroir villageois, d'une étendue fort réduite, se trouve au pied et à l'ombre du mont Vuache, en Haute-Savoie. Le Rhône sépare Chevrier du Pays de Gex (Ain).
Jadis vouée à l'élevage bovin, la commune compte actuellement de nombreux vergers.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Léaz (Ain) |
Collonges (Ain) |
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Clarafond-Arcine | N | |||
O Chevrier E | ||||
S | ||||
Clarafond-Arcine | Vulbens |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chevrier est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vulbens[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[2],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[4],[5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,2 %), terres arables (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), zones urbanisées (4,7 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme actuel est utilisé sous sa forme simple à partir de 1780[7]. Avant cette date, parfois encore au niveau local, on trouve la forme Chevrier en Vuache, Chevrier au Vuache.
Il semble désigner l'éleveur de chèvres, dérivant très probablement de l'ancien français chevrot (latin capra), ou pourrait être un patronyme[8].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Shèvrî, selon la graphie de Conflans[9].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le territoire de Chevrier est occupé dès le Néolithique puis à l'époque romaine. Une statue de Bacchus, aujourd'hui conservée au MAH de Genève, est découverte en 1870, à l'occasion « du réaménagement de la route menant au Pont Carnot »[10].
Période médiévale
[modifier | modifier le code]Au Moyen Âge, le village dépend principalement des seigneurs du Vuache dont le château, aujourd'hui disparu, se trouvait à côté de l'église de Vulbens[11].
Le village avait une église paroissiale aujourd'hui désaffectée et une chapelle dite de Sainte-Victoire au sommet du mont Vuache. Chaque année à la Pentecôte un pèlerinage se déroule à la chapelle Sainte-Victoire.
Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]L'abbaye de Chézery (Pays de Gex) et la commanderie de Compesières (ordre de Saint-Jean de Jérusalem) y détenaient également des droits.
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]L'ensemble du duché de Savoie opte pour la France lors du plébiscite de 1860.
La route des Murets (1866/67) vers Arcine puis le pont Carnot terminé en 1873 améliorent les transports. Avant cela, les habitants utilisaient le bac à traille de Cologny (Vulbens) pour traverser le Rhône. Le pont de Grésin sous Arcine-Clarafond permettait d’aller dans la vallée de Chézery. Il existait aussi un sentier le long du Rhône vers Bellegarde, mais il a disparu lors de la mise en eau du barrage de Génissiat.
Pendant la première moitié du XIXe siècle, Chevrier se développe ; le nombre des habitants était plus élevé que de nos jours. L'almanach du duché de Savoie note pour 1828 une population de 517 individus (alors qu’en 1978, il y n’y en a plus que 182). Une fruitière est fondée vers 1885.
En , un détachement de trente travailleurs coloniaux travaille aux carrières. Le monument aux morts est construit par le tailleur Bouvier avec la pierre de Châtillon-en-Michaille.
Le chemin de fer du PLM faisait une halte à Chevrier où une cabane abritait les voyageurs.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, deux prêtres originaires de Chevrier font passer la frontière aux personnes persécutées par Vichy et les nazis. Il s’agit de l’abbé Marius Jolivet curé à Collonges-sous-Salève[12] et de l’abbé Jean-Joseph Rosay, curé à Douvaine[13].
En , les soldats allemands de Fort l'Écluse font plusieurs incursions à Chevrier. Ils pillent et menacent les habitants[14]. Le en fin d'après-midi, les Allemands en provenance de Fort l'Écluse arrivent à Chevrier. Les habitants fuient vers la montagne. Le lendemain , les habitants et les animaux sont évacués vers la Suisse et les Allemands reviennent à Chevrier. Bilan : 23 maisons incendiées entre l'église et la ferme Chatelain (ex-ferme Burlat) ; une personne âgée - Alphonse Chatelain - est tuée par les Allemands. C’est la partie basse du village de Chevrier qui a été détruite. La reconstruction dura de 1945 à 1954, aidée par des dons suisses, américains, égyptiens, mais aussi de Clarafond, d'Annemasse, , etc.[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Chevriérois[7].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].
En 2021, la commune comptait 677 habitants[Note 5], en évolution de +38,45 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Ancienne église paroissiale.
-
Chapelle Sainte-Victoire (1851), au sommet du Vuache.
- L'ancienne église paroissiale de Chevrier, à l'architecture complexe, jadis sous la protection de saint Martin[20].
On entre par un portail en cintre brisé typique de la période 1450-1500. La nef comporte une chapelle au sud et un chevet rectangulaire voûté en berceau brisé, survivance romane tardive. Les fenêtres paraissent plus récentes. Dans le chœur, deux fenêtres entourées de bandeaux fleuris surmontés de vases de fleurs. Des panneaux analogues se trouvent dans les embrasements. Sur le mur nord, on peut voir une guirlande de fleurs au-dessus d’un bandeau de feuillage. Au centre, une corbeille de fleurs et un évêque. À droite, l’archange saint Michel. Sur la partie gauche de l’arc triomphal, une Visitation et une corne d’abondance. L'ensemble des peintures du chœur serait italianisant et daterait de 1745. Le mur nord de la nef porte aussi sept panneaux peints : enfance du Christ, vie de la Sainte Famille et Passion. Sous les deux derniers panneaux, un personnage tient une palme et un livre (sainte Victoire ?). De quand datent ces peintures de la nef ? Au début du XVIe siècle, les Genevois devinrent protestants tandis que la Savoie était comme un avant-poste du catholicisme. Le commerce rhodanien reliait alors la région aux contrées méridionales. L’ensemble fut donc probablement réalisé à l’époque de la Réforme catholique ; la période 1665-1745 semble plausible. L'église fut abandonnée par le culte en 1793, puis restituée en 1821 comme chapelle dédiée à saint Joseph[21].
- Le vieux village de Chevrier, le long du chemin qui monte à la montagne, a de belles maisons anciennes. On distingue à droite en montant la grande ferme des Burlat, anciens notables du village aux XVIIIe et XIXe siècles.
- Pont Carnot.
- Au sommet du mont Vuache se niche la chapelle de sainte Victoire.
Une légende affirme qu’il s’y trouvait un couvent de moniales. Il aurait été attaqué par les Sarrasins et Victoire aurait bondi par-dessus le Rhône jusqu’au rocher de Léaz. Une autre légende affirme que l’agresseur était le seigneur d’Arcine. Certains récits présentent une version totalement différente selon laquelle les moniales fuyaient depuis la Semine.
Il y a peu, on affirmait qu’en patois Sainte Victoire se prononçait Sainte Avintire et on traduisait avantire par "avant-toit" parce que le Vuache protégerait Vulbens de la pluie. La première mention écrite du toponyme date de 1296. Quatre bâtiments s’y succédèrent[22] :
- Une construction gallo-romaine.
- Un bâtiment de dix mètres sur douze avec des tombes. Un document de 1467 mentionne une « chapelle de la Bienheureuse-Victoire sise sur le mont Vuache, dans laquelle, comme on l'assure, reposent plusieurs corps de saints ». Il ajoute qu'elle a besoin de réparations.
- Puis on construisit une chapelle plus petite qui tomba en ruines au XVIIIe siècle.
- La chapelle actuelle date de 1851. Le clergé local voulait effacer les « fautes » de la période révolutionnaire. Jusque vers 1930 certaines femmes s’y rendaient parce qu’il y avait une souche remplie d'eau de pluie guérissant les maux de têtes, surdités, migraines, etc. À quelques mètres, il y a une cavité nommée le puits de l’Ermite, un lilas planté en 1927 et une enceinte antérieure aux Romains. Chaque printemps un pèlerinage s’y déroule.
- Les maisons le long de la route de Vulbens à Arcine sont récentes, cette partie du village ayant été incendiée par les soldats allemands en .
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Rosay (abbé) (1902-1945), originaire de Chevrier, curé de Douvaine (74) en 1941. Fait passer plusieurs personnes en Suisse par Veigy. Déporté à Auschwitz, Birkenau et Bergen-Belsen, matricule (186.350). Décoré de la médaille des Justes parmi les nations.
- Marius Jolivet (abbé) (v. 1905-1964), originaire de Chevrier, curé de Collonges-sous-Salève (74) en 1941. Fait passer plusieurs personnes en Suisse. Agent de liaison pour la Résistance. Décoré de la médaille des Justes parmi les Nations.
- Paul Collomb (1921-2010), peintre et lithographe, inhumé au cimetière du village.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).
- Frédéric Raynaud avec la collaboration de Danielle Foy, Bruna Maccari-Poisson, Claude Olive, Louis de Roguin, Le Château et la seigneurie du Vuache, Lyon, Service régional de l'archéologie, , 147 p. (ISBN 978-2-906190-10-8, lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Vulbens comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vulbens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Chevrier ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Chevrier », Base de données des communes de Sabaudia, le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ).
- Henry Suter, « Chevrier », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
- Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Dominique Ernst, « Le Pays du Vuache au temps des Gallo-romains », Le Messager, (lire en ligne).
- Frédéric Raynaud avec la collaboration de Danielle Foy, Bruna Maccari-Poisson, Claude Olive, Louis de Roguin, Le Château et la seigneurie du Vuache, Lyon, Service régional de l'archéologie, , 147 p. (ISBN 978-2-906190-10-8, lire en ligne), p. 19-38, « Chapitre 2. La seigneurie du Vuache ».
- « Marius Jolivet », Juste parmi les Nations, sur ajpn.org (consulté en ).
- « Jean-Joseph Rosay », Juste parmi les Nations, sur ajpn.org (consulté en ).
- Robert Amoudruz, « Brûlement de villages au pays du Vuache », La Salévienne, 2004, p. 23 et p. 30.
- Chevrier 1944-1994, brochure de 22 pages faite par la mairie.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Raynaud, 1992, p. 19-38, « Chapitre 2. La seigneurie du Vuache » (Lire en ligne).
- Aurélia Costes, Isabelle L’Herbette-Jaillard, L’ancienne église paroissiale Saint-Martin à Chevrier en Vuache et ses peintures murales, mémoire de maîtrise d’histoire de l’art, sous la direction de Martine Jullian et de Pierrette Paravy, en trois volumes, UPMF Grenoble-II, 2004.
- Échos saléviens, no 7, 1998, page 57.