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Magnac-Lavalette-Villars

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Magnac-Lavalette-Villars
Magnac-Lavalette-Villars
Château de la Mercerie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Didier Jobit
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16198
Démographie
Gentilé Magnacois
Population
municipale
473 hab. (2021 en évolution de +8,99 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 05″ nord, 0° 15′ 05″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 223 m
Superficie 23,75 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Magnac-Lavalette-Villars
Géolocalisation sur la carte : France
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Magnac-Lavalette-Villars

Magnac-Lavalette-Villars (Manhac e Vilars en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Magnacois et les Magnacoises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Magnac-Lavalette-Villars est une commune du Pays de Lavalette située à 3 km au nord-ouest de Villebois-Lavalette et 18 km au sud-est d'Angoulême.

Le bourg de Magnac-Lavalette est aussi à 6,5 km au sud de Dignac et 8 km du département de la Dordogne. Le bourg de Villars est à 2,7 km au nord-est de celui de Magnac[2].

La commune est traversée d'est en ouest par la D 5, route de Villebois à Blanzac, qui passe à 0,8 km au sud du bourg, et par la D 23, route de Villebois à Dignac, qui traverse l'est de la commune et passe par Villars, et mène à Dignac et à la D 939, route de Périgueux à Angoulême. La D 81, qui passe à l'ouest du bourg, mène aussi à Angoulême en passant par Torsac. La D 34 dessert le bourg de Magnac[3].

Hameaux et lieux-dits

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Hormis le bourg de Magnac-Lavalette et le petit village de Villars situé au nord-est, la commune comporte de nombreux petits hameaux qui sont très souvent des fermes : Rodas (ou le Ficot) à l'ouest sur la D 5, Lombre et le Maine Perry au sud sur cette même route, Légonie, la Cabane, la Signardie, etc.[3].

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La commune occupe un plateau calcaire datant du Crétacé, composé de Coniacien dans les parties basses et Santonien sur une grande partie centrale. On trouve le Santonien moyen et supérieur sur le Puy de Magnac (occupé par le château de la Mercerie), butte-témoin comme celle de Villebois-Lavalette, ainsi qu'au nord de la commune (Puy de Courolle et nord de Villars).

Ces sommets sont toutefois recouverts par endroits de dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex, en provenance du Massif central. Le Quaternaire a aussi altéré ces zones lors des glaciations, ainsi que certaines zones du Santonien. Pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), elles sont appelées localement landes ou brandes[4],[5],[6].

La partie sud-ouest de la commune possède des cultures céréalières, alors que la moitié nord-est, au relief plus prononcé, est plus boisée.

Le point culminant est à une altitude de 223 m, situé au nord-ouest de Villars. Le point le plus bas est à 103 m, situé en limite orientale au bord du Voultron. Le bourg est à 178 m d'altitude. Le Puy de Magnac, sur le flanc duquel sont construits le château de la Mercerie au sud et le bourg à l'est, culmine à 221 m[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Magnac-Lavalette-Villars.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par un bras du Voultron et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est située sur la ligne de partage des eaux entre Charente à l'ouest (Boëme) et Garonne à l'est (Voultron, bassin de la Dordogne).

Le Voultron, affluent de la Lizonne et sous-affluent de la Dronne, passe à l'est de la commune et fait la limite avec Gardes-le-Pontaroux. Le reste de la commune est assez sec. On compte quelques sources et retenues d'eau, principalement près de Villars, ainsi qu'un petit affluent intermittent du Voultron qui prend naissance au pied de Villars au Pont Maubras[3].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[10]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Magnac-Lavalette-Villars est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,3 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), prairies (0,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Magnac-Lavalette-Villars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Magnac-Lavalette-Villars.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 236 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 42 sont en aléa moyen ou fort, soit 18 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Les formes anciennes de Magnac-Lavalette sont Magniaco en 1121[21], Manhaco en 1333, Meygnaco au XIIIe siècle, et de Villars, Villaribus au XIIIe siècle[22].

L'origine du nom de Magnac, comme Magnac-sur-Touvre, remonterait à un nom de personne gallo-romain Magnius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Magniacum, « domaine de Magnius »[21].

Le nom Lavalette provient du canton de Lavalette, par l'intermédiaire du duché de Lavalette datant de 1622, du nom du duc d'Épernon, gouverneur de l'Angoumois et seigneur de Villebois. Créée Magnac en 1793, la commune ne s'appellera Magnac-Lavalette qu'au début du XXe siècle. Sur la carte d'État-Major de 1850, elle est encore orthographiée Magnac (et Lavalette pour le chef-lieu de canton, Villebois-Lavalette)[23],[Note 2].

L'origine du nom de Villars date de l'époque mérovingienne ou carolingienne. C'est la forme méridionale du latin villare, dérivé de villa, désignant donc une partie ou une dépendance de la villa, du domaine, donc une ferme, un écart, un hameau[24]. Le nom Villars est assez répandu dans le sud de la France, jusqu'en Catalogne sous sa forme Vilar. Dans le nord de la France, c'est la forme Villiers.

Limite linguistique

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La commune marque la limite entre la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest et le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est (Villars)[25].

Elle se nomme Manhac-Vilars en occitan[26], Manhac e Vilars selon les règles d’écriture[27].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Magnac était le fief de la famille Rousseau de Magnac, seigneur de Magnac et de la Mercerie[28].

Les registres de l'état civil de Magnac-Lavalette remontent à 1611[29].

Au Moyen Âge, Villars hébergeait un prieuré dépendant de l'archiprêtré de Gurat[30].

Principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Villars se trouvait sur la branche orientale d'une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Dirac, Villebois-Lavalette, Gurat et Aubeterre[31].

Avant la Révolution, le logis de Magnac était habité par la famille de Gléné[32].

En 1970, les communes de Villars et de Magnac-Lavalette fusionnent sous le nom de Magnac-Lavalette-Villars[33].

Administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1932 1983 Raymond Réthoré Radical
puis Gaulliste
Propriétaire du château de la Mercerie
Député de 1936 à 1940 et de 1958 à 1978
depuis 2001 En cours Didier Jobit UDI
puis LR
Sapeur-pompier
Conseiller général puis départemental

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 473 habitants[Note 3], en évolution de +8,99 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
616737574673714666700691724
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
700630595582541503446428404
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
369420366357358366389337328
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
291319317365363415450439473
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Nota : Ce diagramme tient compte de la fusion avec la commune de Villars (54 habitants) en 1970[33].

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 226 hommes pour 212 femmes, soit un taux de 51,6 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
2,3 
8,4 
75-89 ans
14,9 
14,1 
60-74 ans
11,7 
19,9 
45-59 ans
22,5 
20,8 
30-44 ans
18,9 
17,7 
15-29 ans
16,5 
18,7 
0-14 ans
13,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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Magnac-Lavalette-Villars est une commune agricole.

  • Avel est une société de fabrication de cirage et produits d'entretien, décentralisée à Magnac-Lavalette en 1986[39].

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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Dans les années 2000-2020, l'école était un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Gardes-le-Pontaroux et Magnac-Lavalette, qui accueillaient chacune une école élémentaire avec une classe[40]. En 2023, l'école de Magnac-Lavalette a fermé et un poste supplémentaire a été créé à Gardes-le-Pontaroux[41].

Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[40].

Culture locale et patrimoine

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Portail de l'église Saint-Étienne.
Le monument aux morts.

Lieux et monuments

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Château de la Mercerie

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Église Saint-Étienne

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L'église paroissiale Saint-Étienne, située au bourg de Magnac-Lavalette, est romane, construite à la fin du XIIe siècle. Elle possède un portail inscrit monument historique depuis 1926[42].

Le village de Villars, ancienne commune, et son église. Elle a conservé une mairie annexe.

Personnalités liées à la commune

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  • Raymond Réthoré (1901-1986) : homme politique charentais, député et constructeur du château de la Mercerie.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Tout comme Vaux-Lavalette et Salles-Lavalette.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Magnac-Lavalette-Villars » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Magnac-Lavalette-Villars », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Magnac-Lavalette-Villars », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Magnac-Lavalette-Villars », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 422.
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 53,75,80,281
  23. Carte d'État-Major sous Géoportail
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 715.
  25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  26. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  27. (oc) Comission toponimica occitana, Reglas d'escritura, IEO, , 16 p. (ISBN 9782859105815, lire en ligne), p. 5
  28. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons des Charentes, Hélie Rousseau » (consulté le ).
  29. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 225
  30. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 398
  31. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  32. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 395
  33. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Magnac-Lavalette-Villars (16198) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. AVEL, « Cirage Saphir », idealcoms, (consulté le ).
  40. a et b Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  41. Antoine Béneytou, « Découvrez les classes qui ouvrent et qui ferment en Charente », Charente libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. « Église de Magnac-Lavalette », notice no PA00104406, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

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Articles connexes

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Liens externes

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