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Page:NRF 14.djvu/787

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LE CIMETIÈRE MARIN

��Ce toit tranquille, oti marchent des colombes ,

Entre les pins palpite, entre les tombes.

Midi le juste y compose de feux

La mer, la mer, toujours recommencée !

O récompense après une pensée

Qu'un long regard sur ce calme des dieux l

��Quel pur travail de fins éclairs consume Maint diamant d'imperceptible écume, Et quelle paix semble se concevoir ! Quand sur l'abîme un soleil se repose. Ouvrages purs d'une éternelle cause. Le temps scintille et le songe est savoir*

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