amanite jonquille
Étymologie
[modifier le wikicode]Locution nominale
[modifier le wikicode]| Singulier | Pluriel |
|---|---|
| amanite jonquille | amanites jonquilles |
| \a.ma.nit ʒɔ̃.kij\ | |
amanite jonquille \a.ma.nit ʒɔ̃.kij\ féminin
- (Mycologie) Espèce de champignon basidiomycète de la famille des amanitacées, au chapeau glabre, jaune clair ou ochracé portant parfois des plaques provenant du déchirement de la volve blanche, à lamelles et à pied blancs.
Le syndrome panthérinien. Il débute 1 à 4 heures après la consommation de l’amanite panthère (Amanita pantherina), de l’amanite tue-mouches (A. muscaria) ou de l’amanite jonquille (A. gemmata) par une agitation euphorique, puis anxieuse, accompagnée d’hallucinations et de délire.
— (Francis Martin, Tous les champignons portent-ils un chapeau ?, 2014, page 135)
Notes
[modifier le wikicode]- Peut être utilisé avec une majuscule (Amanite printanière) pour mettre en avant le fait qu’on donne un caractère générique au mot.
- Il va de soi qu’un simple article de dictionnaire n’est pas suffisant pour déterminer l’espèce d’un champignon et prendre le risque de le consommer.
Synonymes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]- Allemand : Narzissengelber Wulstling (de)
- Anglais : gemmed amanita (en), jonquil amanita (en)
- Finnois : narsissikärpässieni (fi)
- Galicien : cacaforra dourada (gl)
- Hongrois : sárga galóca (hu)
- Italien : amanita giunchiglia (it)
- Néerlandais : narcisamaniet (nl)
- Piémontais : amanita junquillea (*)
- Polonais : muchomor narcyzowy (pl)
- Suédois : gul flugsvamp (sv)
- Tchèque : muchomůrka slámožlutá (cs)
Hyperonymes
[modifier le wikicode]- (simplifié)
- champignons (Fungi)
- basidiomycètes
- amanitacées (Amanitaceae)
- basidiomycètes
Prononciation
[modifier le wikicode]- Somain (France) : écouter « amanite jonquille [Prononciation ?] »
Voir aussi
[modifier le wikicode]- amanite jonquille sur l’encyclopédie Wikipédia
- Amanita gemmata sur Wikispecies
Références
[modifier le wikicode]Sources
[modifier le wikicode]- ↑ Jean-Louis Lamaison, Jean-Marie Polese, Encyclopédie visuelle des champignons, 2005, page 282
Bibliographie
[modifier le wikicode]- André Maublanc, Georges Viennot-Bourgin, Les champignons de France, 1959, page 8
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