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Un sonnet (de l'italien sonetto aujourd'hui) est une forme de poème strictement codifiée, avec des variantes. Il comporte quatorze vers composant deux quatrains et deux tercets — parfois réunis en un seul sizain final — et doit rimer. Le schéma des rimes varie suivant le type de sonnet, dont on trouvera la liste plus bas. La longueur du vers n'est pas fixe en français. Le sonnet est un genre qui a été pratiqué dans une bonne partie de l'Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques.

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  • Un sonnet (de l'italien sonetto aujourd'hui) est une forme de poème strictement codifiée, avec des variantes. Il comporte quatorze vers composant deux quatrains et deux tercets — parfois réunis en un seul sizain final — et doit rimer. Le schéma des rimes varie suivant le type de sonnet, dont on trouvera la liste plus bas. La longueur du vers n'est pas fixe en français. D'ordinaire, on distingue parmi les sonnets réguliers les « français », « italiens » et « élisabéthains » ou « shakespeariens ». La régularité de la distribution des rimes suivant des formes codifiées n'est pas une condition nécessaire pour que l'on puisse parler de « sonnet », mais l'est évidemment pour parler de « sonnet régulier ». Le sonnet est un genre qui a été pratiqué dans une bonne partie de l'Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques. Dans la littérature française, ce type de poème a été utilisé par beaucoup de poètes : Ronsard, Du Bellay, Heredia, Baudelaire, Stéphane Mallarmé… (fr)
  • Un sonnet (de l'italien sonetto aujourd'hui) est une forme de poème strictement codifiée, avec des variantes. Il comporte quatorze vers composant deux quatrains et deux tercets — parfois réunis en un seul sizain final — et doit rimer. Le schéma des rimes varie suivant le type de sonnet, dont on trouvera la liste plus bas. La longueur du vers n'est pas fixe en français. D'ordinaire, on distingue parmi les sonnets réguliers les « français », « italiens » et « élisabéthains » ou « shakespeariens ». La régularité de la distribution des rimes suivant des formes codifiées n'est pas une condition nécessaire pour que l'on puisse parler de « sonnet », mais l'est évidemment pour parler de « sonnet régulier ». Le sonnet est un genre qui a été pratiqué dans une bonne partie de l'Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques. Dans la littérature française, ce type de poème a été utilisé par beaucoup de poètes : Ronsard, Du Bellay, Heredia, Baudelaire, Stéphane Mallarmé… (fr)
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  • ::« Enquanto Quis Fortuna » :Enquanto quis Fortuna que tivesse :Esperança de algum contentamento, :O gosto de um suave pensamento :Me fez que seus efeitos escrevesse. :Porém, temendo Amor que aviso desse :Minha escritura a algum juízo isento, :Escureceu-me o engenho co tormento, :Pera que seus enganos não dissesse. :Ó vos que Amor obriga a ser sujeitos :A diversas vontades! Quando lerdes :Num breve livro casos tão diversos, :Verdades puras são e não defeitos; :E sabei que, segundo o amor tiverdes, :Tereis o entendimento de meus versos — Luís de Camões (fr)
  • :How soon hath Time, the subtle thief of youth, :Stolen on his wing my three and twentieth year! :My hasting days fly on with full career, :But my late spring no bud or blossom shew'th. :Perhaps my semblance might deceive the truth, :That I to manhood am arrived so near, :And inward ripeness doth much less appear, :That some more timely-happy spirits indu'th. :Yet be it less or more, or soon or slow, :It shall be still in strictest measure even :To that same lot, however mean or high, :Toward which Time leads me, and the will of Heaven. :All is, if I have grace to use it so, :As ever in my great Task-master's eye. — John Milton (fr)
  • ::« Heureux qui comme Ulysse… » :Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, :Ou comme celui-là qui conquit la toison, :Et puis est retourné, plein d'usage et raison, :Vivre entre ses parents le reste de son âge ! :Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village :Fumer la cheminée : et en quelle saison :Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, :Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? :Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, :Que des palais Romains le front audacieux : :Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine, :Plus mon Loire Gaulois, que le Tibre Latin, :Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, :Et plus que l'air marin la douceur Angevine. — Joachim du Bellay, dans Les Regrets (Orthographe modernisée) (fr)
  • :O Amour, ------ O penser ------ O Désir plein de flame, :Ton trait, ---- ton fol appas - la rigueur que je sens, :Me blesse, ---- me nourrit ---- conduit mes jeunes ans :A la mort, ---- aux douleurs -- au profond d’une lame. :Iniuste Amour,- Penser, ------- Desir, cours à Madame, :Porte lui ----- loge lui ------ fay voir comme presens, :A son cœur ---- en l’esprit --- à ses yeux meurtrissans :Le mesme trait- mes pleurs --- les feux que j’ay dans l’ame : :Force, -------- fay consentir- Contrain sa resistance, :Sa beauté ----- son desdain -- et sa fière constance, :A plaindre ---- a soupirer --- A soulager mes vœux, :Les torments, - les sanglots - et les cruels supplices, :Que j’ay ------ que je chery - que je tiens pour délices, :En aimant, ---- en pensant --- en desirant son mieux. (fr)
  • :Quand je pense à ce jour, où je la vis si belle :Toute flamber d'amour, d'honneur et de vertu, :Le regret, comme un trait mortellement pointu, :Me traverse le cœur d'une plaie éternelle. :Alors que j'espérais la bonne grâce d'elle, :Amour a mon espoir par la mort combattu ; :La mort a son beau corps d'un cercueil revêtu, :Dont j'espérais la paix de ma longue querelle. :Amour, tu es enfant inconstant et léger ; :Monde, tu es trompeur, piqueur et mensonger, :Décevant d'un chacun l'attente et le courage. :Malheureux qui se fie en l'Amour et en toi ! :Tous deux comme la mer vous n'avez point de foi :La mer toujours parjure, Amour toujours volage. — Pierre de Ronsard (fr)
  • ::« Sed non satiata » :Bizarre déité, brune comme les nuits, :Au parfum mélangé de musc et de havane, :Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane, :Sorcière au flanc d’ébène, enfant des noirs minuits, :Je préfère au constance, à l’opium, au nuits, :L’élixir de ta bouche où l’amour se pavane ; :Quand vers toi mes désirs partent en caravane, :Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. :Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, :Ô démon sans pitié ! verse-moi moins de flamme ; :Je ne suis pas le Styx pour t’embrasser neuf fois, :Hélas ! et je ne puis, Mégère libertine, :Pour briser ton courage et te mettre aux abois, :Dans l’enfer de ton lit devenir Proserpine ! — Charles Baudelaire, dans Les Fleurs du Mal (fr)
  • ::« Soneto XXIII » : En tanto que de rosa y azucena :se muestra la color en vuestro gesto, :y que vuestro mirar ardiente, honesto, :enciende al corazón y lo refrena; : y en tanto que el cabello, que en la vena :del oro se escogió, con vuelo presto, :por el hermoso cuello blanco, enhiesto, :el viento mueve, esparce y desordena: : coged de vuestra alegre primavera :el dulce fruto, antes que el tiempo airado :cubra de nieve la hermosa cumbre; :Marchitará la rosa el viento helado. :todo lo mudará la edad ligera :por no hacer mudanza en su costumbre. — Garcilaso de la Vega (fr)
  • :Larges yeux de Mnasidika, combien vous me rendez heureuse quand l’amour noircit vos paupières et vous anime et vous noie sous les larmes ; :Mais combien folle, quand vous vous détournez ailleurs, distraits par une femme qui passe ou par un souvenir qui n’est pas le mien. :Alors mes joues se creusent, mes mains tremblent et je souffre... Il me semble que de toutes parts, et devant vous ma vie s’en va. :Larges yeux de Mnasidika, ne cessez pas de me regarder ! ou je vous trouerai avec mon aiguille et vous ne verrez plus que la nuit terrible. — Pierre Louÿs. (fr)
  • ::« La chevelure » :La chevelure vol d'une flamme à l'extrême :Occident de désirs pour la tout éployer :Se pose :Vers le front couronné son ancien foyer :Mais sans or soupirer que cette vie nue :L'ignition du feu toujours intérieur :Originellement la seule continue :Dans le joyau de l'œil véridique ou rieur :Une nudité de héros tendre diffame :Celle qui ne mouvant bagues ni feux au doigt :Rien qu'à simplifier avec gloire la femme :Accomplit par son chef fulgurante l'exploit :De semer de rubis le doute qu'elle écorche :Ainsi qu'une joyeuse et tutélaire torche — Stéphane Mallarmé (fr)
  • :Sa robe était de tulle avec des roses pâles, :Et rose pâle était sa lèvre, et ses yeux froids, :Froids et bleus comme l'eau qui rêve au fond des bois. :La mer Tyrrhénienne aux langueurs amicales. :Berçait sa vie éparse en suaves pétales. :Très douce elle mourait, ses petits pieds en croix ; :Et, quand elle chantait, le cristal de sa voix :Faisait saigner au cœur ses blessures natales. :Toujours à son poing maigre un bracelet de fer, :Où son nom de blancheur était gravé « Stéphane », :Semblait l'anneau rivé de l'exil très amer. :Dans un parfum d'héliotrope diaphane :Elle mourait, fixant les voiles sur la mer, :Elle mourait parmi l'automne… vers l'hiver… :Et c'était comme une musique qui se fane… (fr)
  • ::« Enquanto Quis Fortuna » :Enquanto quis Fortuna que tivesse :Esperança de algum contentamento, :O gosto de um suave pensamento :Me fez que seus efeitos escrevesse. :Porém, temendo Amor que aviso desse :Minha escritura a algum juízo isento, :Escureceu-me o engenho co tormento, :Pera que seus enganos não dissesse. :Ó vos que Amor obriga a ser sujeitos :A diversas vontades! Quando lerdes :Num breve livro casos tão diversos, :Verdades puras são e não defeitos; :E sabei que, segundo o amor tiverdes, :Tereis o entendimento de meus versos — Luís de Camões (fr)
  • :How soon hath Time, the subtle thief of youth, :Stolen on his wing my three and twentieth year! :My hasting days fly on with full career, :But my late spring no bud or blossom shew'th. :Perhaps my semblance might deceive the truth, :That I to manhood am arrived so near, :And inward ripeness doth much less appear, :That some more timely-happy spirits indu'th. :Yet be it less or more, or soon or slow, :It shall be still in strictest measure even :To that same lot, however mean or high, :Toward which Time leads me, and the will of Heaven. :All is, if I have grace to use it so, :As ever in my great Task-master's eye. — John Milton (fr)
  • ::« Heureux qui comme Ulysse… » :Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, :Ou comme celui-là qui conquit la toison, :Et puis est retourné, plein d'usage et raison, :Vivre entre ses parents le reste de son âge ! :Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village :Fumer la cheminée : et en quelle saison :Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, :Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? :Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, :Que des palais Romains le front audacieux : :Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine, :Plus mon Loire Gaulois, que le Tibre Latin, :Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, :Et plus que l'air marin la douceur Angevine. — Joachim du Bellay, dans Les Regrets (Orthographe modernisée) (fr)
  • :O Amour, ------ O penser ------ O Désir plein de flame, :Ton trait, ---- ton fol appas - la rigueur que je sens, :Me blesse, ---- me nourrit ---- conduit mes jeunes ans :A la mort, ---- aux douleurs -- au profond d’une lame. :Iniuste Amour,- Penser, ------- Desir, cours à Madame, :Porte lui ----- loge lui ------ fay voir comme presens, :A son cœur ---- en l’esprit --- à ses yeux meurtrissans :Le mesme trait- mes pleurs --- les feux que j’ay dans l’ame : :Force, -------- fay consentir- Contrain sa resistance, :Sa beauté ----- son desdain -- et sa fière constance, :A plaindre ---- a soupirer --- A soulager mes vœux, :Les torments, - les sanglots - et les cruels supplices, :Que j’ay ------ que je chery - que je tiens pour délices, :En aimant, ---- en pensant --- en desirant son mieux. (fr)
  • :Quand je pense à ce jour, où je la vis si belle :Toute flamber d'amour, d'honneur et de vertu, :Le regret, comme un trait mortellement pointu, :Me traverse le cœur d'une plaie éternelle. :Alors que j'espérais la bonne grâce d'elle, :Amour a mon espoir par la mort combattu ; :La mort a son beau corps d'un cercueil revêtu, :Dont j'espérais la paix de ma longue querelle. :Amour, tu es enfant inconstant et léger ; :Monde, tu es trompeur, piqueur et mensonger, :Décevant d'un chacun l'attente et le courage. :Malheureux qui se fie en l'Amour et en toi ! :Tous deux comme la mer vous n'avez point de foi :La mer toujours parjure, Amour toujours volage. — Pierre de Ronsard (fr)
  • ::« Sed non satiata » :Bizarre déité, brune comme les nuits, :Au parfum mélangé de musc et de havane, :Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane, :Sorcière au flanc d’ébène, enfant des noirs minuits, :Je préfère au constance, à l’opium, au nuits, :L’élixir de ta bouche où l’amour se pavane ; :Quand vers toi mes désirs partent en caravane, :Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. :Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, :Ô démon sans pitié ! verse-moi moins de flamme ; :Je ne suis pas le Styx pour t’embrasser neuf fois, :Hélas ! et je ne puis, Mégère libertine, :Pour briser ton courage et te mettre aux abois, :Dans l’enfer de ton lit devenir Proserpine ! — Charles Baudelaire, dans Les Fleurs du Mal (fr)
  • ::« Soneto XXIII » : En tanto que de rosa y azucena :se muestra la color en vuestro gesto, :y que vuestro mirar ardiente, honesto, :enciende al corazón y lo refrena; : y en tanto que el cabello, que en la vena :del oro se escogió, con vuelo presto, :por el hermoso cuello blanco, enhiesto, :el viento mueve, esparce y desordena: : coged de vuestra alegre primavera :el dulce fruto, antes que el tiempo airado :cubra de nieve la hermosa cumbre; :Marchitará la rosa el viento helado. :todo lo mudará la edad ligera :por no hacer mudanza en su costumbre. — Garcilaso de la Vega (fr)
  • :Larges yeux de Mnasidika, combien vous me rendez heureuse quand l’amour noircit vos paupières et vous anime et vous noie sous les larmes ; :Mais combien folle, quand vous vous détournez ailleurs, distraits par une femme qui passe ou par un souvenir qui n’est pas le mien. :Alors mes joues se creusent, mes mains tremblent et je souffre... Il me semble que de toutes parts, et devant vous ma vie s’en va. :Larges yeux de Mnasidika, ne cessez pas de me regarder ! ou je vous trouerai avec mon aiguille et vous ne verrez plus que la nuit terrible. — Pierre Louÿs. (fr)
  • ::« La chevelure » :La chevelure vol d'une flamme à l'extrême :Occident de désirs pour la tout éployer :Se pose :Vers le front couronné son ancien foyer :Mais sans or soupirer que cette vie nue :L'ignition du feu toujours intérieur :Originellement la seule continue :Dans le joyau de l'œil véridique ou rieur :Une nudité de héros tendre diffame :Celle qui ne mouvant bagues ni feux au doigt :Rien qu'à simplifier avec gloire la femme :Accomplit par son chef fulgurante l'exploit :De semer de rubis le doute qu'elle écorche :Ainsi qu'une joyeuse et tutélaire torche — Stéphane Mallarmé (fr)
  • :Sa robe était de tulle avec des roses pâles, :Et rose pâle était sa lèvre, et ses yeux froids, :Froids et bleus comme l'eau qui rêve au fond des bois. :La mer Tyrrhénienne aux langueurs amicales. :Berçait sa vie éparse en suaves pétales. :Très douce elle mourait, ses petits pieds en croix ; :Et, quand elle chantait, le cristal de sa voix :Faisait saigner au cœur ses blessures natales. :Toujours à son poing maigre un bracelet de fer, :Où son nom de blancheur était gravé « Stéphane », :Semblait l'anneau rivé de l'exil très amer. :Dans un parfum d'héliotrope diaphane :Elle mourait, fixant les voiles sur la mer, :Elle mourait parmi l'automne… vers l'hiver… :Et c'était comme une musique qui se fane… (fr)
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  • es (fr)
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  • 1 (xsd:integer)
  • Poème de Pasquier (fr)
  • Soneto XXIII. (fr)
  • Un exemple de sonnet Peletier (fr)
  • Un exemple de sonnet marotique (fr)
  • Un exemple de sonnet élisabéthain (fr)
  • « Keepsake », in Au jardin de l'Infante (fr)
  • « Les Yeux » (fr)
  • « Sonnet VII » in Sur la mort de Marie (fr)
  • « On His Being Arrived to the Age of Twenty-three » (fr)
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  • Soneto con estrambote (fr)
  • Soneto con estrambote (fr)
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  • Un sonnet (de l'italien sonetto aujourd'hui) est une forme de poème strictement codifiée, avec des variantes. Il comporte quatorze vers composant deux quatrains et deux tercets — parfois réunis en un seul sizain final — et doit rimer. Le schéma des rimes varie suivant le type de sonnet, dont on trouvera la liste plus bas. La longueur du vers n'est pas fixe en français. Le sonnet est un genre qui a été pratiqué dans une bonne partie de l'Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques. (fr)
  • Un sonnet (de l'italien sonetto aujourd'hui) est une forme de poème strictement codifiée, avec des variantes. Il comporte quatorze vers composant deux quatrains et deux tercets — parfois réunis en un seul sizain final — et doit rimer. Le schéma des rimes varie suivant le type de sonnet, dont on trouvera la liste plus bas. La longueur du vers n'est pas fixe en français. Le sonnet est un genre qui a été pratiqué dans une bonne partie de l'Europe, tant dans les poésies syllabiques que rythmiques. (fr)
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  • Sonnet (fr)
  • Hamalaudun (eu)
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  • Sonet (pl)
  • Soneto (es)
  • Soneto (pt)
  • Sonetto (it)
  • Sonnet (af)
  • Sonnet (vi)
  • Сонет (ru)
  • Сонет (uk)
  • 十四行诗 (zh)
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