dbo:abstract
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- Topographiquement et topologiquement parlant, le col est une structure « en selle de cheval » formée en montagne par l'intersection d'une ligne de crête et de deux talwegs situés de part et d'autre, c'est-à-dire :
* le point le plus bas entre deux sommets appartenant à la même arête ;
* le point de passage sur la ligne de crête le moins haut entre deux versants de montagne. C'est parfois le seul lieu alentour relativement horizontal, avec néanmoins des approches depuis les talwegs constituant les secteurs les plus pentus du cheminement. Suivant sa facilité d'accès, son dénivelé, le col est souvent utilisé pour relier deux vallées mitoyennes d'une même montagne faisant obstacle aux échanges. Les chemins d'accès aux cols les plus accessibles sont souvent aménagés de routes ou de voies ferrées. Certains cols de montagne s'appellent « pas » dans les Alpes (ex. : pas de Morgins), « port » (ex. : port d'Envalira) ou « hourquette » (ex : Hourquette d'Ancizan) dans les Pyrénées. Le terme « forcla(z) » est également fréquent dans les Alpes, de la Savoie aux Grisons ; il dérive de la même étymologie que hourquette, « petite fourche », désignant la forme en « V » du col vu sur la ligne de crête. De nombreux cols ont joué un rôle dans l'histoire. Certains ont aussi des « fonctions écologiques et économique » particulières. Au Pays basque, en Soule et en Basse-Navarre plus particulièrement, le mot port est synonyme des pâturages de haute montagne ou de l'estive. (fr)
- Topographiquement et topologiquement parlant, le col est une structure « en selle de cheval » formée en montagne par l'intersection d'une ligne de crête et de deux talwegs situés de part et d'autre, c'est-à-dire :
* le point le plus bas entre deux sommets appartenant à la même arête ;
* le point de passage sur la ligne de crête le moins haut entre deux versants de montagne. C'est parfois le seul lieu alentour relativement horizontal, avec néanmoins des approches depuis les talwegs constituant les secteurs les plus pentus du cheminement. Suivant sa facilité d'accès, son dénivelé, le col est souvent utilisé pour relier deux vallées mitoyennes d'une même montagne faisant obstacle aux échanges. Les chemins d'accès aux cols les plus accessibles sont souvent aménagés de routes ou de voies ferrées. Certains cols de montagne s'appellent « pas » dans les Alpes (ex. : pas de Morgins), « port » (ex. : port d'Envalira) ou « hourquette » (ex : Hourquette d'Ancizan) dans les Pyrénées. Le terme « forcla(z) » est également fréquent dans les Alpes, de la Savoie aux Grisons ; il dérive de la même étymologie que hourquette, « petite fourche », désignant la forme en « V » du col vu sur la ligne de crête. De nombreux cols ont joué un rôle dans l'histoire. Certains ont aussi des « fonctions écologiques et économique » particulières. Au Pays basque, en Soule et en Basse-Navarre plus particulièrement, le mot port est synonyme des pâturages de haute montagne ou de l'estive. (fr)
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- Topographiquement et topologiquement parlant, le col est une structure « en selle de cheval » formée en montagne par l'intersection d'une ligne de crête et de deux talwegs situés de part et d'autre, c'est-à-dire :
* le point le plus bas entre deux sommets appartenant à la même arête ;
* le point de passage sur la ligne de crête le moins haut entre deux versants de montagne. C'est parfois le seul lieu alentour relativement horizontal, avec néanmoins des approches depuis les talwegs constituant les secteurs les plus pentus du cheminement. (fr)
- Topographiquement et topologiquement parlant, le col est une structure « en selle de cheval » formée en montagne par l'intersection d'une ligne de crête et de deux talwegs situés de part et d'autre, c'est-à-dire :
* le point le plus bas entre deux sommets appartenant à la même arête ;
* le point de passage sur la ligne de crête le moins haut entre deux versants de montagne. C'est parfois le seul lieu alentour relativement horizontal, avec néanmoins des approches depuis les talwegs constituant les secteurs les plus pentus du cheminement. (fr)
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