jaune
Pasûndâ
Sepejaune \ʒɔn\ wala \ʒon\ linô kôlï wala linô gâtï
- kambîri #ffff00
- Il y a des betteraves blanches, il y en a de jaunes, de rouges, et de marbrées, et quelquefois la pellicule est rouge et la chair est blanche. — (Jean-Antoine Chaptal, Mémoire sur le sucre de betterave , Mémoires de l’Académie des sciences, 1818, Tome 1, âlêmbëtï 347-388)
- Au printemps les sous-bois se tapissent des fleurs de Caltha palustris, Ranunculus Ficaria, Prímula elatíor dont la jaune monotonie s’égaie du bleu des Glechoma hederacea et Viola silvestris. — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises, les associations végétales de la vallée de La Lanterne , thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, lêmbëtï 149)
- Le forsythia est un arbuste ornemental dont la couleur jaune des fleurs et la floribondité sont très appréciées au début du printemps. — (Claire Doré et Fabrice Varoquaux, Histoire et amélioration de cinquante plantes cultivées , Éditions Quae, 2006, lêmbëtï 314)
- Mon frère […] composa pour elle ces chansons qui s’échappent de nous dans des moments de puérilité sauvage, ces enfants étranges du rythme, du mot répété, épanouis dans le vide innocent de l’esprit. Un refrain louait la Toutouque d’être :
Jaune, jaune, jaune,
Excessivement jaune,
A la limite du jaune… — (Colette, La maison de Claudine , Hachette, 1922, réédition Livre de Poche, 1960, lêmbëtï 87)
Pandôo
Sepejaune \ʒɔn\ wala \ʒon\ linô kôlï
- Nzorôko sô akpa bëngö ndîmo.
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard , 1886)
- Le soleil qui quelques minutes avant était rouge cramoisi, était devenu d'un 'jaune vif, et les rayons d'or qu'il dardait étaient si flamboyants que l'œil en était ébloui ; […]. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , Paris : E. Plon & Cie, 1883, lêmbëtï 68)
- Mais dans le même temps qu'elle admirait les robes, Francie éprouvait un étrange malaise. Ses yeux voyaient bien les couleurs, le cerise, l'orange, le bleu vif, le rouge et le jaune, mais elle avait l’impression qu'une chose sournoise se cachait derrière les costumes : […]. — (Betty Smith, Le lys de Brooklyn , gbïänngö tî Maurice Beerblock, 1947, Éditions Belfond, 2014, chapitre 4)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï