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Étymologie

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(Date à préciser) Composé de se, la et péter.
Expression d'origine québécoise dans sa forme complète « se péter les bretelles ». En effet, au XIXe siècle, l'habit masculin se composait d'un pantalon, d'une chemise et de bretelles. Il était courant, à l'époque, de tendre ses bretelles avec ses pouces avant de les faire claquer contre sa poitrine lorsque l'on était fier. Référence nécessaire

Locution verbale

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se la péter \sə la pe.te\ (se conjugue → voir la conjugaison de péter)

  1. (Familier) (Pronominal) Se vanter de quelque chose, frimer.
    • Un homme en uniforme, un bel homme, rasé de près et magnétique, la classe et tout, il se la pétait, le mec. — (Pierre Pedelaborde, Les Moussons, 1970)
    • Avant que ce style musical ne répande chez les bourgeois son flow et sa verve, ceux qui dans la vie quotidienne portent le durag sont assimilés à ces types qui se la pètent dans les clips, entre flingues, grosses bagnoles et filles en bikini. — (Christelle Murhula, D’objet de stigmatisation à symbole de fierté, le durag relève la tête, Le Monde. Mis en ligne le 19 juin 2020)
    • Il se la pète grave.

Synonymes

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Traductions

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Prononciation

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Anagrammes

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