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Étymologie

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De louer, précédé du préfixe sous- pour indiquer la dépendance.

sous-louer \su.lwe\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Donner en location un appartement, une maison ou partie de maison ou une terre dont on est locataire ou fermier.
    • Lorsque Lisbeth vint tenir la maison, elle voulut aussitôt sous-louer le premier étage qui, disait-elle, payerait toute la location, le comte serait alors logé pour presque rien ; mais le vieux soldat s’y refusa. — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
    • Le penn-ty est un journalier à qui un propriétaire loue, ou bien à qui un fermier sous-loue une petite maison et quelques terres. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
    • Alors pour s’en sortir, elle sous-loue deux chambres dans son appartement romain, à l’insu de sa propriétaire. — (Journal 20 minutes, édition Paris, no 944 du 7 avril 2006.)
  2. Prendre en location non pas du propriétaire, mais du locataire.
    • À cause de sa femme, il m’a demandé de garder ma cambuse, de la lui sous-louer. — (Jacques Decrest, L’Oiseau-poignard, éditions de Flore, 1936, chapitre VIII)

Traductions

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Prononciation

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Références

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