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klocʼh

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Étymologie

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Du moyen breton cloch[1] d’un celtique *klokko-, qui a donné le gaulois *clocca, puis le bas-latin clocca duquel sont issus le français cloche, l'anglais clock (« horloge »), l'allemand Glocke (« cloche »)[2].
À comparer avec les mots cloch en gallois, clogh en cornique, clog en gaélique irlandais (sens identique).

Nom commun

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Mutation Singulier Pluriel
Non muté klocʼh kleier
Adoucissante glocʼh gleier
Spirante cʼhlocʼh cʼhleier

klocʼh \ˈklɔːx\ masculin

  1. Cloche.
    • Hag e anavezen piou a vije gant ar cʼhlocʼh bihan en a-raok, an tamm klocʼh bihan-ze hag a gargas ker bras korfad aon e Tomaz ar Gervini, ma n’eus mui netra evit her sponta na war greiz an deiz, nag e-kreiz an dua nozveziou [...]. — (Ivon Krog, Eur zacʼhad marvailhou, Buhez Breiz, 1924, page 206)
      Et je savais qui serait devant avec la petite cloche, ce peit bout de cloche qui avait donné une telle grosse peur à Tomaz ar Gervini que plus rien ne peut l’effrayer ni en plein jour, ni au milieu des nuits les plus noires.
    • Met penaos ecʼh en em gave ar cʼhlocʼh-se er vered ha perak e voe sammet kuit acʼhane ? — (Yeun ar Gow, E skeud Tour Bras Sant Jermen, Éditions Al Liamm, 1978, page 57)
      Mais comment cette cloche se trouvait-elle dans le cimetière et pourquoi fut-elle enlevée de là ?
    • Setu un devezh, ar breur-kaer o pourmen en alezioù ar jardin a glevas kleier ar barrouz o son trist-trist-meurbet. — (An Toull Kurius hag ar Cʼhorf hep Ene, conte populaire recueilli par Marsel Klerg, in Al Liamm, no 47, novembre–décembre 1954, page 41)
      Voici qu’un jour, le beau-frère, se promenant dans les allées du jardin, entendit les cloches de la paroisse sonner très tristement.

Dérivés

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Références

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