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Voir aussi : cene, Cene, çene, Cène, cenę, ceně, -cène, -cene

Étymologie

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(Date à préciser) Du latin cena (« repas »).

Nom commun

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Singulier Pluriel
cène cènes
\sɛn\

cène \sɛn\ féminin

  1. Variante orthographique de Cène.
    • Au centre de la table d’honneur étaient deux chaises plus élevées que les autres, destinées au maître et à la maîtresse de la maison, qui présidaient à la cène hospitalière, et, en faisant ainsi, ils méritaient le titre de partageurs de pain, titre d’honneur chez les Saxons. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
    • Il y a un genre de zwinglianisme sec et superficiel qui réduit la cène du Seigneur à n’être qu’un souvenir vide, et le baptême une pantomime à laquelle on se soumet par obéissance seulement. — (Le Chrétien évangélique, vol. 11, 1860, page 311)
  2. Repas pris en commun.
    • Que dire de l'incongru, complice d'un bon menu, d'une indéniable entente et du chauffage central ? Elle se tassait, par moments, elle se laissait aller, arrondie, engourdie, bénigne et dardant comme un chat des prunelles amincies sur notre aimable cène. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 44)
    • Il ne soupçonnait pas que sa protégée détestait ces repas pris en commun. Elle eût préféré jeûner dans sa chambre que d’avoir à affronter cette cène. — (Amélie Nothomb, Mercure, Éditions Albin Michel, Paris, 1998, page 43)

Traductions

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Prononciation

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Homophones

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Paronymes

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