agraver

(Date à préciser) De grave.

agraver \a.ɡʁa.ve\ transitif 1^er groupe (voir la conjugaison)

1. (Désuet) Variante orthographique de aggraver.
   • Cependant aucun symptôme fâcheux n'autorise ses craintes et ne doit agraver les inquiétudes de ceux qui l'entourent. — (L'Ami de la religion, 1833)
   • Quand il ira devant son juge, Au lieu d'y trouver un refuge, Sa défense inutile et vaine, Ne fera qu'agraver sa peine ; — (Les Psaumes de David mis en vers, 1828)

• France (Lyon) : écouter « agraver [Prononciation ?] »
• Aude (France) : écouter « agraver [Prononciation ?] »
• Somain (France) : écouter « agraver [Prononciation ?] »

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(Date à préciser) Verbe dérivé de grave (« grève, gravier »), avec le préfixe a- et le suffixe -er.

agraver *\Prononciation ?\ transitif

1. Engraver, engager une embarcation dans le sable, la vase.

• Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IX^e au XV^e siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage

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agraver \Prononciation ?\ 1^er groupe (voir la conjugaison)

1. Retenir sur la grève (pour un bateau).

• Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes, Lachèse et Dolbeau, Angers, 1881, page 191 à 562, p. 214 → [version en ligne]

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agraver \Prononciation ?\ 1^er groupe (voir la conjugaison) transitif (graphie ABCD)

1. Blesser au pied.

• Régis Auffray, Le petit Matao, Rue des Scribes, 2007, ISBN 978-2-906064-64-5, page 78