Senlis
Étymologie
modifier- (Date à préciser) La plus ancienne attestation[1] est le latin civitas Sulbanectium (« cité des Silvanectes »). La cité est ensuite mentionnée au cours du premier siècle sous le nom de Augustomagus Silvanectum (« marché auguste des Sylvanectes »). Au cinquième siècle, on trouve Civitas Silvanectum, ou encore Silvanectis. Au cours des siècles suivants, le nom évolue phonétiquement en Sinletis, Selnectensis, forme semi-savante, puis Seenlys au neuvième siècle, la forme moderne Senlis est attesté dès le douzième siècle.
Nom propre
modifierNom propre |
---|
Senlis \sɑ̃.lis\ |
- (Géographie) Commune et ville française, située dans le département de l’Oise.
- (Géographie) Commune française, située dans le département du Pas-de-Calais.
- (Géographie) Canton français, situé dans le département de l’Oise[3].
Gentilés et adjectifs correspondants
modifiercommune de l’Oise
commune du Pas-de-Calais
Traductions
modifierPrononciation
modifier- France (Paris) : écouter « Senlis [sɑ̃.lis] »
- Somain (France) : écouter « Senlis [Prononciation ?] »
Anagrammes
modifier→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
modifier- ↑ Senlis (Pas-de-Calais) sur l’encyclopédie Wikipédia
- ↑ M.-A. Lesaint, Traité complet de la prononciation française dans la seconde moitié du XIXe siècle, Wilhelm Mauke, Hambourg, 1871, seconde édition entièrement neuve, p. 277
- ↑ Code officiel géographique : canton de Senlis (6020) sur www.insee.fr
- Senlis (Oise) sur l’encyclopédie Wikipédia
- Cette page utilise des renseignements venant du site habitants.fr.
Étymologie
modifier- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom propre
modifierSenlis *\Prononciation ?\
- Senlis (Oise).
Hiaume a visiere de Senlis
— (L’âtre périlleux, anonyme, manuscrit 1433 français de la BnF)
Notes
modifier- de Senlis, « Le public contemporain, mieux que le lecteur moderne, sait que ces deux cités de l’Oise sont reputées pour leur fabrication d'armures de tête (Senlis) et de corps (Chambly) » Isabelle Arseneau, D’une merveille l’autre. Écrire en roman apres Chretien de Troyes, Université de Montréal, thèse doctorale, 2007.