Rimont
Rimont est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Rimont | |||||
Abbaye de Combelongue sur la commune de Rimont. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Bonnel 2020-2026 |
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Code postal | 09420 | ||||
Code commune | 09246 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
536 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 59′ 47″ nord, 1° 17′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 386 m Max. 1 059 m |
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Superficie | 28,4 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Est | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Ses habitants sont appelés les Rimontais(es).
Géographie
Le village est situé sur une colline et longé par la RD 117. Le territoire communal s'étend des bords du massif du Plantaurel au nord et s'élève au sud dans le massif de l'Arize jusqu'à la forêt de Fachan, au niveau du col de Rille (situé sur la commune d'Esplas-de-Sérou). La commune fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Hameaux
Combelongue, Bartolle, Calibère, Grious, Pladellac, Micassou, Bastard, les Milles, Maneyre, Fajaou, Brouilh, Pujol, Sargoueil, Terrac, Pondeau....
Communes limitrophes
Rimont est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 615 hectares ; son altitude varie de 354 à 418 mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec la route départementale D 117 ancienne route nationale 117. La ligne d'autobus de Foix à Saint-Girons financée par le département marque un arrêt à Rimont. Les cyclistes entraînés empruntent la voie verte pour se rendre à Saint-Girons ou à Foix.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Baup, le Pujol, le ruisseau paleté, un bras du Ruisseau le Baup, le ruisseau de la Maille, le ruisseau de la Pisse de Fajau, le ruisseau de l'Evêque, le ruisseau de Leychel, le ruisseau Delvivade, le ruisseau de Maury, le ruisseau de Montabézout, le ruisseau des Malaises et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 39 km de longueur totale[4],[5].
Le Baup, d'une longueur totale de 20,1 km, prend sa source dans la commune de Rimont et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat à Saint-Lizier, après avoir traversé 6 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12],[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soulan », sur la commune de Soulan, mise en service en 1975[14] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 218,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 13 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,3 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Rimont est une commune rurale[Note 4],[21]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,2 %), prairies (36,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), zones urbanisées (1,2 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Deux hypothèses étymologiques pour Rimont : soit le mont riant, soit le ruisseau venant de la montagne riu - mont. La situation de la bastide bâtie sur la colline encourage la première hypothèse.
Histoire
Des amphores gallo-romaines, des pièces de monnaie de l'époque de Charlemagne et la longue histoire de l'abbaye de Combelongue fondée en 1138, confirment l'ancienneté du site.
Eustache de Beaumarchais, sénéchal de Toulouse, fonde la bastide de Rimont en 1272 pour le compte du roi, en contrat de paréage avec l'abbé de l'abbaye de Combelongue. L'église du village fut aussi construite en 1272. En 1769 est lancée la construction du clocher. L'horloge et les fresques intérieures datent en revanche du XIXe siècle.
En 1903, la commune sera desservie par le chemin de fer de Foix à Saint-Girons.
Le , sur le territoire de la commune, une attaque menée par 31 résistants contre une colonne de 2 000 soldats Allemands et Turkestanais en retraite, cause la mort de 17 d'entre eux.
En représailles la localité est incendiée. Onze Rimontais sont fusillés, 236 immeubles sont entièrement détruits et 18 partiellement. Sur le nombre, 152 maisons d’habitations sont détruites sur 169. Ce sont 95 familles soit 321 personnes qui sont sans abri. La mairie, les écoles, les archives sont anéanties[27].
Les attaques du maquis ariégeois se poursuivent toutefois et aboutissent le près de Castelnau-Durban[28] à la capture de la colonne ennemie (les Allemands perdent entre 150 et 300 morts et 1 200 prisonniers[29] - plus de 1 500 selon d'autres sources[28]).
Le dessinateur et écrivain Ferdinand Bac, petit-neveu illégitime de Napoléon Ier, se réfugia au village durant la guerre. La maison où il résidait fut incendiée et nombre de ses travaux partirent dans les flammes.
Le , Eugène Claudius Petit, Ministre de la Reconstruction, inaugure le « village ressuscité » de Rimont.
L'association « Musée pyrénéen de la Résistance et de la Libération » a été constituée en pour la période de 1936 à 1945.
La ligne SNCF de Foix à Saint-Girons sera fermée en 1955. La gare, longtemps en déshérence, sera utilisée par l'association PROMMATA en 1991. Une voie verte valorisera l'ancienne emprise de la voie ferrée en 2010.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Rimont est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[30], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[31].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, à la circonscription administrative de l'État de l'Ariège et à la région Occitanie[30].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Est pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[30], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[32].
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[33],[34].
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelage
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2021, la commune comptait 536 habitants[Note 6], en évolution de +0,94 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[39] | 1975[39] | 1982[39] | 1990[39] | 1999[39] | 2006[40] | 2009[41] | 2013[42] |
Rang de la commune dans le département | 46 | 47 | 63 | 53 | 60 | 65 | 58 | 60 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement
École maternelle et primaire en regroupement pédagogique intercommunal avec Castelnau-Durban avec ferme pédagogique (en cours de réalisation). Rimont fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture et festivités
- « Les Gais Rimontais », groupe musical de bandas dont la notoriété dépasse le cadre communal.
- Association loisirs, art et culture, créée en 2011.
- Chaque année autour du a lieu la fête du village.
Activités sportives
- Ferme équestre de Lassalle avec une carrière extérieure.
- Gymnastique volontaire, pétanque, pêche...
Écologie et recyclage
La déchetterie intercommunale la plus proche se trouve sur la commune voisine de Castelnau-Durban, au lieudit Leychartou (RD 117).
Économie
Artisanat
Boulangerie-pâtisserie au village ; « Le grenier à jambons », restaurant, charcuterie traditionnelle à partir de porcs élevés à la ferme ; artisan distillateur, au village ; sandalerie, ceinturier, arnacheur, aux Grious ; Biscuiterie ariégeoise ; miels, au Pladellac et à Bastard ; fromages de chèvre fermiers, aux Milles ; légumes biologiques, jus de pomme, vinaigre de cidre, à Micassou ; fruits rouges à Sargoueil ; fleurs, plantes, plants de légumes, au village ; production artisanale de kombucha biologique... et artisanat du bâtiment, de la menuiserie, de la ferronnerie et de l'automobile.
Commerces
« Au bon accueil », café, épicerie, presse, plats à emporter... au village, agence postale.
Technologies appropriées
L'Association de promotion de l'agriculture moderne en traction animale[43] est installée dans l'ancienne gare de Rimont. Elle réalise et promeut des machines de travail du sol performantes pour une utilisation avec des animaux de traits. Créée en 1991 sous le parrainage de Jean Nolle, qui lui a légué trois porte outils et leurs plans de fabrication, PROMMATA a réalisé des interventions complètes dans huit pays d’Afrique, deux d’Europe de l’Est, un au Moyen-Orient et de nombreuses autres plus ponctuelles partout dans le monde.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye de Combelongue avec son abbatiale Saint-Laurent.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Rimont, datant du XVIIe siècle avec clocher des XIIe et XIIIe siècles. Elle contient cinq tableaux de François et Jean-Antoine Pedoya.
- Moulin à eau de Combelongue, sur le Baup, entièrement restauré.
- Voie verte pédestre, cycliste et équestre empruntant pour l'essentiel l'ancien ballast de la voie ferrée de Foix à Saint-Girons, y compris le tunnel de 900 m situé sur la commune.
- Fontaine de la Bielle.
- Lavoir couvert.
-
Ancienne gare de Rimont.
-
Stèle en hommage aux Résistants du Maquis de la Crouzette. À l'intersection de la D 33 et de la D 18b, au-dessus du col de Rille et en contrebas du col de la Crouzette, à l'extrémité sud de la commune de Rimont sur la route des crêtes.
Personnalités liées à la commune
- Paul-Joseph Bordes (1761-1847), député de l'Ariège, né et mort à Rimont.
- Henry Bordeaux (1870-1963), avocat, romancier et essayiste, dont une partie des ascendants sont originaires de Maneyre, hameau de la commune.
- Paul Laffont, né le 25 avril 1885 au Mas-d'Azil (Ariège) et mort assassiné le 13 juillet 1944 à Rimont.Il fut maire de la commune, député et sénateur.
- Gabriel Milési (1947-2021), né à Foix, journaliste et écrivain, d'origine italienne, naturalisé français en 1959, il passe son enfance à Rimont.
- Guillaume de Almeida, né le à Rimont, coureur cycliste professionnel naturalisé Portugais.
Héraldique
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de l'Ariège
- Massacres perpétrés par les forces allemandes en France durant la Seconde Guerre mondiale
- Col de la Crouzette
- Liste des bastides
- Couserans
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes et cartes
Notes
- Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Rimont », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- « Carte hydrographique de Rimont » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « le Baup »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Soulan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Rimont et Soulan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Soulan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Rimont et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- http://www.histariege.com/rimont.htm
- http://www.histariege.com/resisthist09.htm
- René Grando, Jacques Queralt, Xavier Febrés, Camps du mépris : des chemins de l’exil à ceux de la Résistance (1939-1945). 500 000 républicains d’Espagne indésirables en France, Llibres del Trabucaire, Perpignan, 1991, 2e édition. (ISBN 2-905828-32-3), p. 154
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Rimont », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « communauté de communes Couserans-Pyrénées - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Prommata »