[go: up one dir, main page]

Saint-Créac (Gers)

commune française du département du Gers

Saint-Créac (Sent Criac en gascon) est une commune française située dans le nord-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Saint-Créac
Saint-Créac (Gers)
Le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Vincent Bégué
2020-2026
Code postal 32380
Code commune 32371
Démographie
Gentilé Saint Créacais, Saint Créacaise
Population
municipale
85 hab. (2021 en évolution de −6,59 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 21″ nord, 0° 48′ 09″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 252 m
Superficie 8,37 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fleurance-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Créac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Créac
Géolocalisation sur la carte : Gers
Voir sur la carte topographique du Gers
Saint-Créac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Saint-Créac

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, la Lavassère et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Créac est une commune rurale qui compte 85 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 511 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Saint-Créacais ou Saint-Créacaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Loup, inscrite en 1995.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

Saint-Créac est une commune de Gascogne situé en Lomagne. C'est une commune limitrophe avec le département de Tarn-et-Garonne

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Gramont, Marsac, L'Isle-Bouzon, Mauroux et Saint-Clar.

Géologie et relief

modifier

Saint-Créac se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie

modifier
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Créac.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, la Lavassère, le ruisseau de Langlés et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mauroux à 1 km à vol d'oiseau[8], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[12] : le « vallon de Lavassère et plateau de Mauroux » (639 ha), couvrant 7 communes du département[13] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[12] : le « cours de l'Arrats » (815 ha), couvrant 30 communes dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne[14].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Saint-Créac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), forêts (3,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Saint-Créac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Créac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 68 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

modifier

Histoire

modifier

Les Templiers et les Hospitaliers

modifier

L'église Saint-Loup de Saint-Créac est la première église de Saint-Créac qui fut construite au Ve siècle. Le village étant devenu fief de l'ordre du Temple, elle fut remaniée au XIIe.

Avec la dévolution des biens de l'ordre du Temple l'église est revenue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Après que Saint-Créac fut rasé en 1369 par un lieutenant du Prince Noir, seul subsiste de cette époque le chœur roman, le reste du bâtiment datant quant à lui du XIVe siècle. Le mur-pignon abrite une cloche de 1745. L'église (avec le mur d'enceinte de son cimetière, à l'exclusion des peintures murales déjà classées) est inscrite monument historique depuis le [20]. La peinture monumentale datant du XVe siècle est classée au titre objet des monuments historiques depuis 1908[21].

Politique et administration

modifier
 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Yves Martin[22] MoDem Agriculteur retraité
2020 En cours Vincent Bégué    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

modifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24]. En 2021, la commune comptait 85 habitants[Note 3], en évolution de −6,59 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
420489463416511445429400383
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
375358322314284268252250225
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
237226180168164181193174168
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1351191351141001021028585
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 1,7 % 3,5 % 6,3 %
Département[I 6] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 46 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (75 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 18,8 % d'inactifs[Note 4],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 32 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 35, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 9].

Sur ces 35 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 77,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

modifier

8 établissements[Note 5] sont implantés à Saint-Créac au [I 12]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantées à Saint-Créac), contre 8,3 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

modifier

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 23 19 15 12
SAU[Note 7] (ha) 751 719 888 939

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 19 en 2000 puis à 15 en 2010[29] et enfin à 12 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[30],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 751 ha en 1988 à 939 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 78 ha[29].

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • La croix monumentale du bourg surmontant un autel.
  • Le lavoir.
  • Le château fort: il ne reste plus rien du château des templiers, rasé en 1369. Il jouxtait l'église.

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Créac » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier
  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Créac ».
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Créac » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Créac » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Créac » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

modifier
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Saint-Créac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Arrats »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Saint-Créac et Mauroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Créac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « vallon de Lavassère et plateau de Mauroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « cours de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Créac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Créac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Notice no PA00135705, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « Peinture monumentale : les Apôtres », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  22. Site de la préfecture - Fiche de Saint-Créac
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  29. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Créac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).