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Sabres (Landes)

commune française du département des Landes
(Redirigé depuis Sabres)

Sabres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Sabres
Sabres (Landes)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Cœur Haute Lande
(siège)
Maire
Mandat
Gérard Moreau
2020-2026
Code postal 40630
Code commune 40246
Démographie
Gentilé Sabrais, sabraise, sabraises
Population
municipale
1 165 hab. (2021 en évolution de −2,59 % par rapport à 2015)
Densité 7,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 56″ nord, 0° 44′ 19″ ouest
Altitude Min. 58 m
Max. 107 m
Superficie 160,13 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Haute Lande Armagnac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Sabres
Géolocalisation sur la carte : France
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Sabres
Géolocalisation sur la carte : Landes
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Sabres
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Sabres

Géographie

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Localisation

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Sabres se situe en Haute Landes et faisant partie du parc naturel régional des Landes de Gascogne, dans le bassin de la Leyre.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Arengosse, Commensacq, Labrit, Luglon, Luxey, Morcenx-la-Nouvelle, Solférino, Trensacq, Vert et Sore.

Hydrographie

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La Grande Leyre naît dans le marais de Platiet au sud-ouest de Sabres. Le bourg est traversé par le ruisseau de l'Escamat, un affluent de la Leyre.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 136 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1971 à 2017 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SABRES LEPA (40) - alt : 76 m 44° 08′ 48″ N, 0° 44′ 36″ O
Records établis sur la période du 01-01-1971 au 31-12-2017
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,3 5,4 9,2 12,2 13,9 13,8 10,8 8,6 4,6 2,3 7,3
Température moyenne (°C) 6 7 9,7 11,8 15,6 18,7 20,8 20,8 17,9 14,3 9,3 6,5 13,2
Température maximale moyenne (°C) 10,4 12,4 16,1 18,2 22,1 25,3 27,6 27,7 25 20 13,9 10,6 19,1
Record de froid (°C)
date du record
−20
08.01.1985
−14
11.02.12
−11,8
06.03.1971
−6
04.04.1996
−2
10.05.1982
2
12.06.1994
3
11.07.1972
2,8
20.08.1972
−1
20.09.1977
−4,5
16.10.09
−11
22.11.1998
−13
17.12.01
−20
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
21
23.01.1971
26
23.02.1990
29,6
25.03.1981
33,5
30.04.05
36
26.05.17
40,5
21.06.03
41,5
19.07.16
41
17.08.12
37
07.09.16
33
02.10.1985
28,5
08.11.15
23
16.12.1989
41,5
2016
Précipitations (mm) 102,7 88,5 79 96,6 81,3 69,9 62,4 74,6 81,7 111,1 123,8 110,6 1 082,2
Source : « Fiche 40246001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Sabres est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (59,4 %), forêts (23 %), terres arables (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sabres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de l'Escamat et la Grande Leyre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000, 2009 et 2020[16],[14].

Sabres est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sabres.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 656 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 158 sont en aléa moyen ou fort, soit 24 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie

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Histoire

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Une partie des terres de la commune est achetée par Napoléon III pour constituer son domaine impérial de Solférino, qui devient une commune à part entière en 1863.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1803 1813 Antoine Bonnat    
1813 1815 Jean Bonnat    
1815 1816 Étienne Caraux    
1816 1823 Pierre Duboscq    
1823 1831 Pierre Bonnat    
1832 1837 Jean-Pierre Duboscq-Gayau    
1837 1848 Barthélémi Canteloup    
1848 1848 Pierre Gayrault    
1848 1853 Romain Duboscq    
1853 1860 Antoine Ridalas    
1860 1870 Bertrand Dubruil    
1871 1877 François Laffargue    
1877 1879 Antoine-Agénor Duboscq    
1879 1884 Georges-Constant Canteloup    
1884 1891 Léopold Pallas    
1891 1907 Bernard Paul Sarran    
1907 1919 Julien Dupin    
1919 1925 Maurice Lenée   Chevalier de la Légion d'Honneur
1925 1929 Maurice Cassagne    
1929 1942 Maurice Lene    
1942 1943 Dublanc    
1944 1945 Descat    
1945 1953 Charles Lamarque-Cando SFIO Ancien directeur d'école à Mont-de-Marsan
Conseiller général du canton de Sabres (1936-1940, 1945-1951)
Député (1945-1958, 1962-1968)
1953 1964 André Bourden    
1964 1995 Jean Salinas SFIO-PS Conseiller général du canton de Sabres (1976-2001)
1995 2008 Jean-Paul Sébastien PS  
mars 2008 En cours Gérard Moreau PS Artisan retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Drapeau de l'Espagne  El Arenal (Ávila) (Espagne) depuis 1998[21].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23]. En 2021, la commune comptait 1 165 habitants[Note 4], en évolution de −2,59 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9111 8081 6791 9202 4562 4212 5242 6012 540
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 4842 5252 5732 6082 5542 5402 5452 5852 510
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5062 4082 4022 1432 0572 0061 8011 5901 503
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 3091 1431 1051 0581 0961 1071 1891 1961 210
2018 2021 - - - - - - -
1 1701 165-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Lieux et monuments

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Le clocher-mur de l'église.

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Félix Pédegert (1809-1889), religieux catholique et poète, curé de Sabres de 1853 à 1889 ;
  • Jean-Baptiste Gabarra (1842-1925), religieux catholique et historien local, vicaire de Sabres de 1866 à 1874 ;

Enseignement

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L'école communale.

Sabres possède une école maternelle et élémentaire ainsi qu'un lycée professionnel agricole et forestier, le LPAF Roger-Duroure.

Culture

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Fêtes de la Saint-Leu

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Le dernier weekend du mois d'août, le village vit au son des bodegas, des bandas, et s'amuse au rythme de ses fêtes taurines.

Activités sportives

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Écologie et recyclage

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 40246001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Sabres ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sabres », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Annuaire des communes jumelées
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « L'église Saint-Michel », notice no PA00084003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « L'église Saint-Michel (notice) », notice no IA40001386, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Le paganisme contemporain chez les peuples celto-latins par Paul Sébillot, 1908 ; chapitre III, L'enfance : 23. La marche, les dents et la parole. ».
  29. « Découvertes de monnaies antiques dans la Grande Lande, Laurent Callegarin, in J.-Cl. Merlet et J.-P. Bost (dir.), De la lagune à l’airial. Le peuplement de la Grande-Lande. Actes du Colloque de Sabres des 8 et 9 novembre 2008, suppl. Aquitania, 24 ».