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Musée Roybet-Fould

musée à Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, en France

Le musée Roybet-Fould a ouvert ses portes au Parc de Bécon à Courbevoie dans les Hauts-de-Seine en 1951[2]. Il a été restauré il y a quelques années. À l'autre bout du parc de Bécon, se dresse le pavillon des Indes.

Musée Roybet-Fould
Façade avant.
Informations générales
Ouverture
Visiteurs par an
10 112 (2003)
17 567 (2004)
10 687 (2005)[1]
Site web
Bâtiment
Protection
Recensé à l'inventaire généralVoir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
France
Commune
Adresse
178, boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
Coordonnées
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Historique

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Le pavillon de la Suède et de la Norvège pendant l'exposition universelle de 1878.

Le bâtiment du musée est collé au pavillon de la Suède et de la Norvège qui avait été construit pour l'Exposition universelle de 1878 par Henrik Thrap-Meyer[3]. Il a été donné à la fille adoptive du prince George Stirbey, Consuelo Fould, qui habitait là. Elle y a fait de la peinture et, à sa mort, a légué une partie de sa fortune à la mairie de Courbevoie pour en faire un musée du nom de son professeur : Ferdinand Roybet. À proximité et dépendant du musée se trouve le pavillon des Indes britanniques de l'exposition universelle de 1878.

Collections

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Le musée regroupe des collections d'œuvres de la seconde moitié du XIXe siècle et notamment celles de Consuelo Fould et de Ferdinand Roybet. On y retrouve également des sculptures et peintures de Jean-Baptiste Carpeaux, des dessins d'Alexandre Séon, des peintures d'Adolphe La Lyre, Ary Scheffer, Léon-Charles Canniccioni, Auguste Durst, Albert Gleizes.

Le musée abrite par ailleurs une collection de jouets et des témoignages relatifs à l'histoire locale (souvenir du retour des cendres de Napoléon Ier, des affiches, des cartes postales).

 
La façade du pavillon de Suède et Norvège de 1878, aujourd'hui à l'arrière du musée Roybet-Fould.

Il s'y trouve des vestiges du palais des Tuileries, incendié sous la Commune de Paris (1871)[4],[5].

Expositions temporaires

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Le musée organise régulièrement des expositions temporaires consacrées aux jouets :

  • Les Trains-jouets de 1835 à 1940 , 1975[6]
  • La Poupée française, 1980
  • Poupées-merveilles : exposition du au [7], avec des créations de Sylvia Natterer, Héloïse[8], notamment.
  • Poupées tibétaines, exposition du au

Galerie

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Notes et références

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  1. (fr)[PDF]Veille Info Tourisme, p. 121
  2. « J’ai enfin osé pousser les portes du musée Roybet Fould de Courbevoie ! », sur lejournaldebecon.fr, Le Journal de Bécon, (consulté le ).
  3. Sylvain Ageorges, « Les expositions universelles de Paris, de 1855 à 1937. », sur expositions-universelles.fr (consulté le ).
  4. « Les Tuileries. Grands décors d’un palais disparu », sur monuments-nationaux.fr, Centre des monuments nationaux (consulté le ).
  5. François-Guillaume Lorrain, Ces lieux qui ont fait la France, Fayard, (lire en ligne)
  6. notice BnF du catalogue Les Trains-jouets de 1835 à 1940
  7. notice BnF du catalogue Poupées-merveilles
  8. Site Les extraordinaires modèles d' Héloïse

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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