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Ordre de succession légitimiste au trône de France

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La dynastie capétienne, ou maison de France, est la plus grande dynastie en Europe, avec 120 membres de sexe masculin vivants descendant en ligne agnatique de Louis XIII. Depuis l'extinction de la maison de Courtenay en 1733, la maison de Bourbon est la seule branche restante de filiation légitime. Après la mort en 1830 du dernier prince de Condé (descendant du dernier fils de Charles de Bourbon, duc de Vendôme), il ne restait plus comme branches légitimes capétiennes que celles issues de Louis XIII.

De nos jours, les descendants en ligne masculine de Louis XIV par son petit-fils Philippe V, duc d'Anjou sont désignés comme princes[1] de Bourbon, alors que les descendants de la lignée mâle de Louis-Philippe Ier (duc d'Orléans puis roi des Français) sont désignés comme princes[1] d'Orléans (ou d'Orléans et Bragance, pour les descendants de Gaston d'Orléans, comte d'Eu) et leur branche est appelée la maison d'Orléans. Sous l'Ancien Régime et la Restauration, le titre des dynastes des branches cadettes était prince du sang royal de France. Sous la monarchie de Juillet (que les légitimistes considèrent comme non avenue, en ce qui concerne les titulatures), il n'y avait plus de titre générique pour les dynastes mâles[2], qui portaient chacun un titre personnel et viager.

En dehors des familles régnantes d'Espagne et de Luxembourg, les titres portés actuellement par les membres de la maison de Bourbon sont des titres de courtoisie. Ils sont traditionnellement admis mais n’ont aucune existence juridique, le chef de la maison de Bourbon (prétendant légitimiste au trône de France) ainsi que ceux des branches anciennement régnantes (Bourbons des Deux-Siciles, Bourbons de Parme, maison d'Orléans, maison d'Orléans et Bragance) n’ayant pas, au regard des lois des Républiques italienne, française et brésilienne, la faculté d’octroyer des marques d’honneur et de distinction ou des titres.

Explications

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L'ordre de succession au trône de France s'obtient selon les lois fondamentales du royaume de France. Le plus proche parent mâle hérite de la couronne à la mort du roi précédent, en commençant par les descendants, et à défaut d'enfants ou de petits-enfants, les frères puis les neveux, arrière-neveux, oncles, cousins, etc., dans lequel les filles ne sont pas héritières. Ainsi, l'héritier doit être un enfant légitime, mâle, et de confession catholique, le Clergé étant, sous l'Ancien Régime, le premier ordre du royaume. Partant de ce principe, seuls les descendants dits dynastes sont numérotés et une vingtaine de descendants non dynastes sont simplement nommés.

Le roi régnant ne dispose pas de la couronne : il ne peut donc ni abdiquer, ni choisir son successeur, ni faire de pacte sur sa succession future.

Les légitimistes français considèrent les renonciations faites par Philippe V d'Espagne au trône de France lors du traité d'Utrecht en 1713 comme non valides pour cette raison. Ils ne reconnaissent, par ailleurs, aucun principe d'exclusion des Capétiens établis à l'étranger (ou de leur descendance agnatique) de la succession au trône de France, excipé par les orléanistes.

Dans le contexte des guerres de religion, l'arrêt Lemaistre du parlement de Paris, en date du , qui « annul[ait] tous traités faits ou à faire qui appelleraient au trône de France un prince ou une princesse étrangère, comme contraire à la loi salique et autres lois fondamentales de l'état », a réaffirmé avec force le principe de l'exclusion des femmes et de leurs descendants — notamment étrangers — du trône de France, en vertu de la loi salique et la loi de catholicité, au moment de la succession d'Henri III. En effet, dans cet arrêt prononcé en séance plénière, les parlementaires rappelèrent par deux fois les conditions posées par les lois fondamentales pour déclarer le nouveau roi, qui devait être catholique et Français : « maintenir la religion catholique, apostolique et romaine et l'état et couronne de France, sous la protection d'un bon roi très chrestien, catholique et françois » ; « Que les lois fondamentales de ce royaume soient gardées [...] pour la déclaration d'un roi Catholique et français »[3]. Après la mort d'Henri III, son héritier selon la loi salique était le roi Henri III de Navarre, souverain étranger mais de lignage français, capétien (fils d'Antoine de Bourbon, descendant direct de saint Louis). Nicole Oresme, évêque de Lisieux et conseiller de Charles V, écrivait que « Tous François sunt d’un lignage, car ils ont aucune similitude ou affinité ou proceineté naturele communelment. [...] Et donques le roy qui est pere de ses subjects [...] doit avoir [...] unité ou convenience de lignage, comme dit est. Par quoy il s’ensuit que ce est inconvenient et chose desnaturele ou hors nature que un homme soit roy d’un royalme et qu’il soit de estrange païs. »[4]. Mais étant protestant, le monarque navarrais n'était pas accepté par les Ligueurs, qui voulaient abolir la loi salique et mettre sur le trône une Habsbourg espagnole catholique, l'infante Isabelle. Celle-ci était petite-fille du roi de France Henri II, mais par sa mère, Élisabeth de France (qui avait épousé le roi d'Espagne Philippe II). Le parlement de Paris rendit l'arrêt Lemaistre pour confirmer que la loi salique était toujours en vigueur, et que de ce fait étaient exclus de la succession les princes étrangers (en l'occurrence, les Habsbourg mais aussi les Savoie, car la sœur cadette de l'infante Isabelle avait épousé le duc de Savoie, Charles-Emmanuel Ier, dont elle avait déjà six enfants).

En s'appuyant sur un exemple carolingien (donc antérieur à l'établissement des lois fondamentales par les Capétiens), le juriste André Favyn[5] affirmait en 1620 que « la Noblesse de France [...] n’a jamais voulu recognoistre Prince Estranger pour son Roy; voire fust-il du Sang de France ». Selon cet auteur, le principe même de l'exclusion des étrangers avait présidé à l'accession au trône de la dynastie capétienne. Favyn parlait d'Arnulf de Carinthie, un Carolingien bâtard devenu roi des Francs orientaux (puis empereur) après la déposition de son oncle Charles III le Gros, et que la noblesse de Francie occidentale ne reconnut pas pour roi, lui préférant Eudes, comte d'Anjou (un Robertien, grand-oncle d'Hugues Capet).

Mais pour l'historien Juvenal des Ursins (archevêque de Reims) au contraire, et s'agissant cette fois des Capétiens, le roi « n’a qu’une manière d’administration et usage [de la couronne] pour en jouir sa vie durant ». Il ne peut donc, « ni aliéner ou bailler le royaume en autre main..... et quand il a un fils, ne lui peut le roi son père ni autre abdiquer ou ôter ce droit, voire même [sic] s'il le voulait et consentait »[6].

Le duc de Saint-Simon, Louis de Rouvroy (1675-1755), tout ami du régent qu'il était, a d'ailleurs affirmé[7],[8] que :

« Ainsy et non autrement, les Ducs et Pairs sont du corps de la noblesse comme les Princes du sang et les Fils de France en sont, comme le Roy mesme en est, lequel pour estre le chef et le souverain de l'Estat n'en est pas moins membre pour en estre la teste, et comme tel, ne peut qu'il ne soit plustost d'un des trois Ordres que des deux autres, puisqu'enfin il est François, et ne le fust il pas né, il le devient dans l'instant qu'il est devenu Roy de France reconnu et légitime, et par cela mesme incorporé partie, membre de l'Estat, dont il n'est Roy et maistre de cette totalité de membres qui compose la Monarchie, que parce qu'à raison de sa Dignité, il est le premier, le plus excellent de tous les autres membres et la teste de tout le corps, qui régit et qui gouverne tous les autres membres. »

En 1713, le procureur général Henri François d'Aguesseau faisait ces observations[9] : « les maximes fondamentales de l'Estat et cette espèce de substitution perpétuelle qui appelle successivement les Princes du sang chacun dans leur ordre à la Couronne, valent bien des lettres de naturalité ».

De surcroît, comme le martela au nom d'« un sentiment de dignité nationale », le journal Le Drapeau blanc le (trois semaines après que, le duc de Berry étant mort, la branche aînée se fut réduite à trois mâles dynastes — le roi, le comte d'Artois et le duc d'Angoulême) : « ce n'était pas à des Français à s'armer d'une clause [la renonciation de Philippe V] imposée par l'étranger, et dans son seul intérêt »[10].

Le jurisconsulte Robert-Joseph Pothier (1699-1772) indiquait quant à lui que « Les enfants nés hors de France de François expatriés, ne sont privés des droits de Regnicole, qu'autant qu'ils demeurent en Pays étranger. S'ils viennent en France, ils recouvrent tous les droits de Citoyens. » Et, sous la Restauration, Louis XVIII soutint que la descendance de Philippe V restait française[11], bien que ni Philippe V ni ses enfants ne fussent revenus vivre en France.

Cependant, le Roi d'Espagne s'adresse au Parlement de Paris le  : « mon intention, Messieurs, est de vous manifester que si, ce qu'à Dieu ne plaise, le Roi Louis XV, mon très cher frère et neveu, venait à décéder sans laisser de successeur issu de lui, je prétends jouir du droit que ma naissance me donne de lui succéder à la Couronne de France à laquelle je n'ai jamais pu valablement renoncer... Dès que j'apprendrai la mort du Roi de France... je partirai pour venir prendre possession du trône des rois, mes pères »[12].

Cela est confirmé lorsque le testament de Louis XIV qui prévoyait la succession possible de ses enfants légitimés, a été cassé par le Parlement de Paris en 1715 pour excès de pouvoir et non conformité aux Lois fondamentales.

Depuis la mort du dernier Condé (Louis VI Henri de Bourbon-Condé), tous les successibles dans l'ordre légitimiste sont des descendants de Louis XIII.

Ordre de succession

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    Louis XIII, roi de FranceLouis XIV, roi de FranceLouis de France, dauphin de FrancePhilippe V, roi d'EspagneCharles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'EspagneFrançois d'Assise de Bourbon, roi d'EspagneAlphonse XII, roi d'Espagne → Alphonse XIII, roi d'Espagne → Jacques-Henri de Bourbon, duc d'Anjou et de Ségovie → Alphonse de Bourbon, duc d'Anjou et de Cadix → Louis de Bourbon (1974), duc d'Anjou
  1.  Louis de Bourbon (2010), dauphin de France, duc de Bourgogne, fils du duc d'Anjou
  2.  Alphonse de Bourbon (2010), fils de France, duc de Berry, fils du duc d'Anjou
  3.  Henri de Bourbon (2019), fils de France, duc de Touraine, fils du duc d'Anjou
    Tous ceux qui précèdent sont des descendants en ligne agnatique d'Alphonse de Bourbon
    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → François d'Assise de Bourbon, roi d'Espagne → Alphonse XII, roi d'Espagne → Alphonse XIII, roi d'Espagne → Juan de Borbón, comte de Barcelone
  4. S.M. Juan Carlos Ier (1938), petit-fils de France[13], roi d'Espagne, fils du comte de Barcelone
  5.  S.M. Felipe VI (1968), premier prince du sang, roi d'Espagne, fils de Juan Carlos Ier
    Tous ceux qui précèdent sont des descendants en ligne agnatique d'Alphonse XIII, roi d'Espagne
    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → Henri de Bourbon, duc de SévilleFrançois de Paule de BourbonFrançois de Paule de Bourbon, duc consort de Séville → François de Paule de Bourbon
  6. François de Bourbon (Francisco de Borbón y Escasany) (1943), duc de Séville, fils de François de Paule de Bourbon
  7.  François de Paule de Bourbon (Francisco de Paula de Borbón y Hardenberg) (1979), fils du duc de Séville
  8.          François de Bourbon (Francisco de Borbón y Karoly) (2017), fils de François de Paule de Bourbon
  9. Alphonse-Charles de Bourbon (Alfonso Carlos de Borbón y Escasany) (1945), fils de François de Paule de Bourbon
  10.  Alphonse de Bourbon (Alfonso de Borbón y Yordi) (1973), fils d'Alphonse-Charles de Bourbon
    •  → fils non dynaste : Alphonse de Bourbon[N 1] (Alfonso de Borbón y Silva) (2014), fils d'Alphonse de Bourbon
    •  → fils non dynaste : Jérôme de Bourbon[N 1] (Jerónimo de Borbón y Silva) (2017), fils d'Alphonse de Bourbon
  11. Henri de Bourbon (Enrique de Borbón y García de Lóbez) (1970), fils de François de Paule de Bourbon



    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → Henri de Bourbon, duc de Séville → François de Paule de Bourbon, marquis consort de Balboa → Joseph de BourbonCharles de Bourbon
  12. Charles de Bourbon (Carlos José de Borbón y Oro) (1940), fils de Charles de Bourbon


  13. Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → Henri de Bourbon, duc de Séville → Albert de Bourbon, duc de Santa ElenaAlbert de Bourbon, duc de Santa Elena → Alphonse de Bourbon, duc de Santa Elena → Albert de Bourbon, duc de Santa Elena
  14. Alphonse de Bourbon (Alfonso de Borbón y Sanchiz) (1961), duc de Santa Elena, fils d'Albert de Bourbon, duc de Santa Elena
  15.  Alphonse de Bourbon (Alfonso de Borbón y Escrivá de Romaní) (1995), fils du duc de Santa Elena

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → Henri de Bourbon, duc de Séville → Albert de Bourbon, duc de Santa Elena → Albert de Bourbon, duc de Santa Elena → Alphonse de Bourbon, duc de Santa Elena → Alphonse de BourbonAlphonse de Bourbon
  16. Alphonse de Bourbon (Alfonso de Borbón y Pérez) (1999), fils d'Alphonse de Bourbon

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Charles IV, roi d'Espagne → François de Paule de Bourbon, infant d'Espagne → Henri de Bourbon, duc de Séville → Albert de Bourbon, duc de Santa Elena → Albert de Bourbon, duc de Santa Elena → Alphonse de Bourbon, duc de Santa Elena → Alphonse de Bourbon
  17. Ferdinand de Bourbon (Fernando de Borbón y Medina) (1966), fils d'Alphonse de Bourbon
  18.  Ferdinand de Bourbon (Fernando de Borbón y Vallejo) (2001), fils de Ferdinand de Bourbon
  19.  Ignace de Bourbon (Ignacio de Borbón y Vallejo) (2005), fils de Ferdinand de Bourbon
  20. Jacques de Bourbon (Jaime de Borbón y Medina) (1971), fils d'Alphonse de Bourbon

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Ferdinand Ier, roi des Deux-SicilesFrançois Ier, roi des Deux-Siciles → Ferdinand II, roi des Deux-Siciles → Alphonse de Bourbon-Siciles, comte de Caserte → Charles de Bourbon-SicilesAlphonse de Bourbon-Siciles, duc de Calabre → Charles de Bourbon-Siciles (Carlos de Borbón-Dos Sicilias y Borbón-Parma) (1938-2015), duc de Calabre
  21.  Pierre de Bourbon-Siciles (Pedro de Borbón-Dos Sicilias y Orleáns) (1968), duc de Calabre, fils de Charles de Bourbon-Siciles
  22.  Jacques de Bourbon-Siciles (Jaime de Borbón-Dos Sicilias y Landaluce) (1992), duc de Noto, fils du duc de Calabre
  23.  Jean de Bourbon-Siciles (Juan de Borbón-Dos Sicilias y Landaluce) (2003), fils du duc de Calabre
  24.  Paul de Bourbon-Siciles (Pablo de Borbón-Dos Sicilias y Landaluce) (2004), fils du duc de Calabre
  25.  Pierre de Bourbon-Siciles (Pedro de Borbón-Dos Sicilias y Landaluce) (2007), fils du duc de Calabre

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Ferdinand Ier, roi des Deux-Siciles → François Ier, roi des Deux-Siciles → Ferdinand II, roi des Deux-Siciles → Alphonse de Bourbon-Siciles, comte de Caserte → Rénier de Bourbon-Siciles, duc de CastroFerdinand de Bourbon-Siciles, duc de Castro
  26. Charles de Bourbon-Siciles (1963), duc de Castro, fils de Ferdinand de Bourbon-Siciles, duc de Castro

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Ferdinand Ier, roi des Deux-Siciles → François Ier, roi des Deux-Siciles → Ferdinand II, roi des Deux-Siciles → Alphonse de Bourbon-Siciles, comte de Caserte → Philippe de Bourbon-SicilesGaëtan de Bourbon-Siciles → enfants non dynastes :
    • Adrien de Bourbon-Siciles[N 2] (Adriano di Borbone-Due Sicilie) (1948), fils de Gaëtan de Bourbon-Siciles
    •  Philippe de Bourbon-Siciles[N 2] (Filippo di Borbone-Due Sicilie) (1977), fils d'Adrien de Bourbon-Siciles
    • Grégoire de Bourbon-Siciles[N 2] (Gregorio di Borbone-Due Sicilie) (1950), fils de Gaëtan de Bourbon-Siciles
    •  Christian de Bourbon-Siciles[N 2] (Cristiano di Borbone-Due Sicilie) (1974), fils de Grégoire de Bourbon-Siciles
    •  Raymond de Bourbon-Siciles[N 2] (Raimondo di Borbone-Due Sicilie) (1978), fils de Grégoire de Bourbon-Siciles


    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Charles III, roi d'Espagne → Ferdinand Ier, roi des Deux-Siciles → François Ier, roi des Deux-Siciles → Ferdinand II, roi des Deux-Siciles → Alphonse de Bourbon-Siciles, comte de Caserte → Gabriel de Bourbon-Siciles → Antoine de Bourbon-Siciles (Antonio di Borbone-Due Sicilie)
  27.  François de Bourbon-Siciles (Francesco di Borbone-Due Sicilie) (1960), fils d'Antoine de Bourbon-Siciles
  28.  Antoine de Bourbon-Siciles (Antonio di Borbone-Due Sicilie) (2003), fils de François de Bourbon-Siciles
  29.  Janvier de Bourbon-Siciles (Gennaro di Borbone-Due Sicilie) (1966), fils d'Antoine de Bourbon-Siciles
  30. Casimir de Bourbon-Siciles (Casimiro di Borbone-Due Sicilie) (1938), fils de Gabriel de Bourbon-Siciles
  31.  Louis de Bourbon-Siciles (Luigi di Borbone-Due Sicilie) (1970), fils de Casimir de Bourbon-Siciles
  32.  Alexandre de Bourbon-Siciles (Alexandro di Borbone-Due Sicilie) (1974), fils de Casimir de Bourbon-Siciles

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de ParmeFerdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'ÉtrurieCharles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → François-Xavier de Bourbon-Parme, duc de Parme → Charles-Hugues de Bourbon-Parme, duc de Parme
  33. S.A.R. Charles de Bourbon-Parme (Carlos de Bourbon de Parme) (1970), duc de Parme, prince de Bourbon de Parme, fils de Charles-Hugues, duc de Parme
    •  → fils non dynaste : S.A.R. Hugues de Bourbon[N 1] (Hugo de Bourbon de Parme) (1997), prince de Bourbon de Parme, fils de Charles, duc de Parme
  34.  S.A.R. Charles de Bourbon-Parme (Carlos de Bourbon de Parme) (2016), prince de Bourbon de Parme, fils de Charles, duc de Parme
  35. S.A.R. Jacques de Bourbon-Parme (Jaime de Bourbon de Parme) (1972), comte de Bardi, prince de Bourbon de Parme, fils de Charles-Hugues, duc de Parme



    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → François-Xavier de Bourbon-Parme, duc de Parme
  36. Sixte-Henri de Bourbon-Parme (1940), duc d'Aranjuez, fils de François-Xavier de Bourbon-Parme, duc de Parme



    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → Félix de Bourbon-Parme, prince de LuxembourgJean de Luxembourg (Jean de Nassau), grand-duc de Luxembourg
  37.  S.A.R. Henri de Luxembourg (Henri de Nassau) (1955), grand-duc de Luxembourg, fils du grand-duc Jean de Luxembourg
  38.  S.A.R. Guillaume de Luxembourg (Guillaume de Nassau) (1981), grand-duc héritier de Luxembourg, fils du grand-duc de Luxembourg
  39.  S.A.R. Charles de Luxembourg (2020), prince de Luxembourg, fils du grand-duc héritier de Luxembourg
  40.  S.A.R. François de Luxembourg (2023), prince de Luxembourg, fils du grand-duc héritier de Luxembourg
  41.  S.A.R. Félix de Luxembourg (Félix de Nassau) (1984), prince de Luxembourg, fils du grand-duc de Luxembourg
  42.  S.A.R. Liam de Nassau (2016), prince de Nassau, fils du prince Felix de Luxembourg
  43.  S.A.R. Balthazar de Nassau (2024), prince de Nassau, fils du prince Felix de Luxembourg
  44.  S.A.R. Louis de Luxembourg (Louis de Nassau) (1986), prince de Luxembourg, fils du grand-duc de Luxembourg
  45.  S.A.R. Gabriel de Nassau (2006), prince de Nassau, fils du prince Louis de Luxembourg
  46.  S.A.R. Noah de Nassau (2007), prince de Nassau, fils du prince Louis de Luxembourg
  47.  S.A.R. Sébastien de Luxembourg (Sébastien de Nassau) (1992), prince de Luxembourg, fils du grand-duc de Luxembourg
  48.  S.A.R. Jean de Luxembourg (Jean de Nassau) (1957), prince de Luxembourg, fils du grand-duc Jean de Luxembourg
  49.  S.A.R. Constantin de Nassau (1988), prince de Nassau, fils du prince Jean de Luxembourg
    •  → fils non dynaste : Félix de Nassau (2018), fils du prince Constantin de Nassau
  50.  S.A.R. Wenceslas de Nassau (1990), prince de Nassau, fils du prince Jean de Luxembourg
  51.  S.A.R. Carl-Johann de Nassau (1992), prince de Nassau, fils du prince Jean de Luxembourg
  52.  S.A.R. Xander de Nassau (17 mai 2022), prince de Nassau, fils du prince Carl-Johann de Luxembourg
  53.  S.A.R. Guillaume de Luxembourg (Guillaume de Nassau) (1963), prince de Luxembourg, fils du grand-duc Jean de Luxembourg
  54.  S.A.R. Paul-Louis de Nassau (1998), prince de Nassau, fils du prince Guillaume de Luxembourg
  55.  S.A.R. Léopold de Nassau (2000), prince de Nassau, fils du prince Guillaume de Luxembourg
  56.  S.A.R. Jean de Nassau (2004), prince de Nassau, fils du prince Guillaume de Luxembourg



    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → Félix de Bourbon-Parme, prince de Luxembourg → Charles de Luxembourg
  57. S.A.R. Robert de Nassau (1968), prince de Nassau, fils du prince Charles de Luxembourg
    • → fils non dynaste : S.A.R. Alexandre de Nassau[N 3] (1997), prince de Nassau, fils du prince Robert de Nassau
    • → fils non dynaste : S.A.R. Frédéric de Nassau[N 3] (2002), prince de Nassau, fils du prince Robert de Nassau


    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → René de Bourbon-ParmeJacques de Bourbon-Parme
  58. Philippe de Bourbon-Parme (1949), fils de Jacques de Bourbon-Parme
  59.  Jacques de Bourbon-Parme (1986), fils de Philippe de Bourbon-Parme
  60.  Joseph de Bourbon-Parme (1989), fils de Philippe de Bourbon-Parme
  61.  Arthur de Bourbon-Parme[18],[N 4] (2021), fils de Joseph de Bourbon-Parme
  62. Alain de Bourbon-Parme (1955), fils de Jacques de Bourbon-Parme

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → René de Bourbon-ParmeMichel de Bourbon-Parme → Éric de Bourbon-Parme
  63.  Michel de Bourbon-Parme (1989), fils d'Éric de Bourbon-Parme
  64.  Henri de Bourbon-Parme (1991), fils d'Éric de Bourbon-Parme
  65.  Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme (1961), fils de Michel de Bourbon-Parme
  66.  Amaury de Bourbon-Parme (1991), fils de Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme



    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → René de Bourbon-ParmeAndré de Bourbon-Parme
  67. Axel de Bourbon-Parme (1968), fils d'André de Bourbon-Parme
  68.  Côme de Bourbon-Parme (1997), fils d'Axel de Bourbon-Parme

    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → Louis de Bourbon-ParmeGuy de Bourbon-Parme
  69. Louis de Bourbon-Parme (1966), fils de Guy de Bourbon-Parme
    • → fils non dynaste : Guy de Bourbon-Parme[N 5] (1995), fils de Louis de Bourbon-Parme


    Louis XIII, roi de France → Louis XIV, roi de France → Louis de France, dauphin de France → Philippe V, roi d'Espagne → Philippe Ier, duc de Parme → Ferdinand Ier, duc de Parme → Louis Ier, roi d'Étrurie → Charles II, duc de Parme → Charles III, duc de Parme → Robert Ier, duc de Parme → Louis de Bourbon-Parme
  70. Rémy de Bourbon-Parme (1942), fils de Louis de Bourbon-Parme
  71.  Tristan de Bourbon-Parme (1974), fils de Rémy de Bourbon-Parme
    • → fils non dynaste : Imri de Bourbon-Parme (2020)
  72. Jean de Bourbon-Parme (1961), fils de Louis de Bourbon-Parme
  73.  Arnaud de Bourbon-Parme (1989), fils de Jean de Bourbon-Parme
  74.  Christophe de Bourbon-Parme (1991), fils de Jean de Bourbon-Parme
    Tous ceux qui précèdent sont des descendants en ligne agnatique de Louis XIV, roi de France
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'OrléansPhilippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des FrançaisFerdinand-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Robert d'Orléans, duc de Chartres → Jean d'Orléans, duc d'Orléans → Henri d'Orléans, duc d'OrléansHenri d'Orléans, duc d'Orléans
  75. Jean d'Orléans (1965), fils d'Henri d'Orléans, duc d'Orléans
  76.  Gaston d'Orléans (2009), fils de Jean d'Orléans
  77.  Joseph d'Orléans (2016), fils de Jean d'Orléans
  78.  Alphonse d'Orléans (2023), fils de Jean d'Orléans
  79. Eudes d'Orléans (1968), fils d'Henri d'Orléans, duc d'Orléans
  80.  Pierre d'Orléans (2003), fils d'Eudes d'Orléans
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'OrléansPhilippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des FrançaisFerdinand-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Robert d'Orléans, duc de Chartres → Jean d'Orléans, duc d'Orléans → Henri d'Orléans, duc d'Orléans
  81. Michel d'Orléans (1941), fils d'Henri d'Orléans, duc d'Orléans
  82.  Charles-Philippe d'Orléans (1973), fils de Michel d'Orléans
  83.  François d'Orléans (1982), fils de Michel d'Orléans
  84.  Philippe d'Orléans (2017), fils de François d'Orléans
  85.  Raphaël d'Orléans (2021), fils de François d'Orléans
  86. Jacques d'Orléans (1941), fils d'Henri d'Orléans, duc d'Orléans
  87.  Charles-Louis d'Orléans (1972), fils de Jacques d'Orléans
  88.  Philippe d'Orléans (1998), fils de Charles-Louis d'Orléans
  89.  Constantin d'Orléans (2003), fils de Charles-Louis d'Orléans
  90.  Foulques d'Orléans (1974), fils de Jacques d'Orléans
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Ferdinand-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Robert d'Orléans, duc de Chartres → Jean d'Orléans, duc d'Orléans → Henri d'Orléans, duc d'Orléans → Thibaut d'Orléans
  91. Robert d'Orléans (1976), fils de Thibaut d'Orléans

    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Louis d'Orléans, duc de NemoursGaston d'Orléans, comte d'EuPierre d'Orléans et Bragance[N 6]Pierre-Gaston d'Orléans et Bragance
  92. Pierre-Charles d'Orléans et Bragance (Pedro de Alcântara Carlos de Bourbon de Orleans e Bragança), (1945), fils de Pierre-Gaston d'Orléans et Bragance
  93.  Pierre-Jacques d'Orléans et Bragance (Pedro Tiago de Orleans e Bragança) (1979), fils de Pierre-Charles d'Orléans et Bragance
  94.  Philippe d'Orléans et Bragance (Filipe de Orleans e Bragança) (1982), fils de Pierre-Charles d'Orléans et Bragance
  95. Alphonse d'Orléans et Bragance (Afonso de Bourbon de Orleans e Bragança) (1948), fils de Pierre-Gaston d'Orléans et Bragance
  96. Emmanuel d'Orléans et Bragance (Manuel de Bourbon de Orleans e Bragança) (1949), fils de Pierre-Gaston d'Orléans et Bragance
  97.  Emmanuel-Alphonse d'Orléans et Bragance (Manuel Afonso de Orleans e Bragança) (1981), fils d'Emmanuel d'Orléans et Bragance
  98. François-Humbert d'Orléans et Bragance (Francisco Humberto de Bourbon de Orleans e Bragança) (1956), fils de Pierre-Gaston d'Orléans et Bragance
  99.  François-Théodore d'Orléans et Bragance (Francisco Theodoro Peçanha de Orleans e Bragança) (1979), fils de François-Humbert d'Orléans et Bragance
    • → fils non dynaste : Gabriel d'Orléans et Bragance[N 7] (Gabriel Pires de Orleans e Bragança) (1989), fils de François-Humbert d'Orléans et Bragance
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Louis d'Orléans, duc de Nemours → Gaston d'Orléans, comte d'Eu → Pierre d'Orléans et BraganceJean d'Orléans et Bragance
  100. Jean-Henri d'Orléans et Bragance (João Henrique de Orleans e Bragança) (1954), fils de Jean d'Orléans et Bragance
  101.  Jean-Philippe d'Orléans et Bragance (João Philippe de Orleans e Bragança) (1986), fils de Jean-Henri d'Orléans et Bragance
  102.   Jean-Antoine d'Orléans et Bragance (João Antonio de Orleans e Bragança) (2017), fils de Jean-Philippe d'Orléans et Bragance

    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Louis d'Orléans, duc de Nemours → Gaston d'Orléans, comte d'Eu → Louis d'Orléans et BragancePierre-Henri d'Orléans et BraganceEudes d'Orléans et Bragance
  103.  Louis d'Orléans et Bragance (Luiz de Orleans e Bragança) (1969), fils d'Eudes d'Orléans et Bragance
    •  → fils non dynaste : Maximilien d'Orléans et Bragance[N 8] (Maximilian Miguita de Orleans e Bragança) (2012), fils de Louis d'Orléans et Bragance
    • → fils non dynaste : Eudes d'Orléans et Bragance[N 9] (Eudes de Orleans e Bragança) (1977), fils d'Eudes d'Orléans et Bragance
    •  → fils non dynaste : Eudes d'Orléans et Bragance[N 10] (Eudes de Orleans e Bragança) (2011), fils d'Eudes d'Orléans et Bragance
    • → fils non dynaste : Guy d'Orléans et Bragance[N 9] (Guy de Orleans e Bragança) (1985), fils d'Eudes d'Orléans et Bragance
    •  → fils non dynaste : François d'Orléans et Bragance[N 10] (Francisco de Orleans e Bragança) (2019), fils de Guy d'Orléans et Bragance
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Louis d'Orléans, duc de Nemours → Gaston d'Orléans, comte d'Eu → Louis d'Orléans et BragancePierre-Henri d'Orléans et Bragance
  104. Bertrand d'Orléans et Bragance (Bertrand de Orleans e Bragança) (1941), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  105. Pierre d'Orléans et Bragance (Pedro de Alcântara de Orleans e Bragança) (1945), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  106.  Gabriel d'Orléans et Bragance (Gabriel de Orleans e Bragança) (1980), fils de Pierre d'Orléans et Bragance
  107.   Gabriel d'Orléans et Bragance (Gabriel de Orleans e Bragança) (2013), fils de Gabriel d'Orléans et Bragance
  108.   Raphaël d'Orléans et Bragance (Rafael de Orleans e Bragança) (2015), fils de Gabriel d'Orléans et Bragance
  109. Ferdinand d'Orléans et Bragance (Fernando de Orleans e Bragança) (1948), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  110. Antoine d'Orléans et Bragance (Antônio de Orleans e Bragança) (1950), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  111.  Raphaël d'Orléans et Bragance (Rafael de Orleans e Bragança) (1986), fils d'Antoine d'Orléans et Bragance
  112. François d'Orléans et Bragance (Francisco de Orleans e Bragança) (1955), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  113. Albert d'Orléans et Bragance (Alberto de Orleans e Bragança) (1957), fils de Pierre-Henri d'Orléans et Bragance
  114.  Pierre d'Orléans et Bragance (Pedro de Orleans e Bragança) (1988), fils d'Albert d'Orléans et Bragance
  115.  Antoine d'Orléans et Bragance (Antônio de Orleans e Bragança) (1997), fils d'Albert d'Orléans et Bragance
    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, } duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Antoine d'Orléans, duc de MontpensierAntoine d'Orléans, 4e duc de GallieraAlphonse d'Orléans, 5e duc de Galliera → Alvare d'Orléans, 6e duc de Galliera → Alphonse d'Orléans
  116. Alphonse d'Orléans (Alfonso de Orleáns-Borbón y Ferrara-Pignatelli) (1968), duc de Galliera, fils d'Alphonse d'Orléans
    • → fils non dynaste : Alphonse-Jean d'Orléans[N 11] (Alfonso Juan de Orleáns-Borbón y Goeders) (1994), fils du duc de Galliera
  117. Alvare d'Orléans (Álvaro de Orleáns-Borbón y Ferrara-Pignatelli) (1969), fils d'Alphonse d'Orléans
    • → fils non dynaste : Aiden d'Orléans[N 12] (Aiden de Orleáns-Borbón y Acosta) (2009), fils d'Alvare d'Orléans


    Louis XIII, roi de France → Philippe de France, duc d'Orléans → Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans → Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, roi des Français → Antoine d'Orléans, duc de Montpensier → Antoine d'Orléans, 4e duc de Galliera → Alphonse d'Orléans, 5e duc de Galliera → Alvare d'Orléans, 6e duc de Galliera
  118. Alvare-Jacques d'Orléans (Álvaro Jaime de Orleáns y Parodi Delfino) (1947), fils d'Alvare d'Orléans, 6e duc de Galliera
  119.  André d'Orléans (Andrés de Orleáns-Borbón y San Martino d'Agliè di San Germano) (1976), fils d'Alvare-Jacques d'Orléans
  120.  Alois d'Orléans (Alois de Orleáns-Borbón y San Martino d'Agliè di San Germano) (1979), fils d'Alvare-Jacques d'Orléans
  121.  Alphonse d'Orléans (Alfonso de Orleáns-Borbón y Solís Jabón) (2010), fils d'Alois d'Orléans
    Tous ceux qui précèdent sont des descendants en ligne agnatique de Louis XIII, roi de France

Arbre récapitulatif

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Revendications dynastiques

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Selon les légitimistes, il existe une inconstitutionnalité des clauses des traités d'Utrecht imposant à Philippe V d'Espagne de renoncer à ses droits sur le trône de France pour lui-même et ses descendants ; en effet, lesdites clauses seraient en contradiction avec la loi d'indisponibilité de la couronne (interdisant notamment au souverain de désigner ses successeurs) et la règle de succession par ordre de primogéniture mâle. Ils ajoutent que l'ancien droit ne connaissait aucun principe de nationalité dégagé à la Révolution française, et rappellent que l'avènement de Philippe IV au trône de Navarre en 1284 ne l'empêcha pas, à la mort de son père Philippe III en 1285, de régner aussi sur la France ; que l'avènement de Louis X au trône de Navarre en 1305 ne l'empêcha pas, à la mort de son père Philippe IV en 1314, de régner aussi sur la France ; que l'avènement de François II au trône d'Écosse en 1558 ne l'empêcha pas, à la mort de son père Henri II en 1559, de régner aussi sur la France ; que l'élection d'Henri III au trône de Pologne en 1573 ne l'empêcha pas, à la mort de son frère aîné Charles IX en 1574, de revenir régner en France ; que l'avènement d'Henri IV au trône de Navarre en 1572 ne l'empêcha pas, à la mort de son cousin et beau-frère Henri III en 1589, de régner aussi sur la France.

Renonciations

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Les renonciations de droits à trônes ont créé des prétentions rivales et des différends entre les branches existantes de la maison de Bourbon.

  • La première est le renoncement, en 1713, de Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV de France, de ses droits au trône français. Une telle renonciation est invalide en vertu des lois fondamentales de ce royaume ; en France, le droit de succession au trône a été considéré comme un droit inaliénable, de sorte que le roi doit toujours être le descendant en ligne masculine d'Hugues Capet. Néanmoins, la loi était sans valeur pratique jusqu'à l'extinction de la ligne masculine de Louis XV de France, en 1883. Cependant Philippe V d'Espagne a contesté publiquement sa renonciation et a écrit en 1724 que si Louis XV, son neveu décédait, il viendrait régner sur le royaume de France.
  • Charles III d'Espagne a ordonné que les royaumes d'Espagne et Deux Siciles ne soient jamais réunis. Dans ce contexte, la loi semi-salique de succession opéré depuis en Espagne, avec deux Siciles suit le principe de secundogeniture si ce trône est vacant. En 1900, le prince Carlos de Bourbon-Deux-Siciles a renoncé à ses droits de succession au trône des Deux-Siciles, à la suite de son mariage avec Mercedes, la princesse des Asturies. Cela a rendu ses enfants héritiers présomptifs du trône d'Espagne. Le fils de Carlos, l'infant Alfonso, duc de Calabre, a repris ses droits, à laquelle son oncle, le prince Ranieri, duc de Castro, est opposé. Le litige est toujours en suspens ; le demandeur Calabria est soutenu par l'Espagne, alors que le demandeur Castro est pris en charge par d'autres maisons royales et les autres membres de la maison de Bourbon-Deux-Siciles.
  • En 1908, Pedro de Alcântara, prince de Grão-Pará, voulait épouser Élisabeth Dobrzensky de Dobrzenicz. Bien que noble bohémienne, elle ne faisait pas partie d'une dynastie royale ou régnante. Mais la constitution (titre 5, chapitre IV, article 120) de l'empire brésilien ne nécessitait pas un mariage avec une famille régnante, seul le mariage de l'héritière du trône (c'est-à-dire seulement si celle-ci était une femme : « O Casamento da Princeza Herdeira presumptiva da Corôa será feito a aprazimento do Imperador »[36]) dépendait du consentement du souverain. La prétendante au trône, qui était la mère de Pedro, voulait cependant que ses enfants se marient avec un membre d'une famille royale, afin d'accroître selon elle les perspectives d'une restauration. Cédant au caprice de sa mère, il a renoncé à ses droits de succession au trône du Brésil. Ainsi la branche de Vassouras, descendants de son frère cadet, le prince Luís d'Orléans-Bragance, sont devenus selon la prétendante, les héritiers de la monarchie brésilienne. Mais en 1940, le prince Pedro Gastão d'Orléans-Bragance, le fils aîné de Pedro, a rejeté la renonciation non officielle et inutile de son père et a assumé ses droits de chef de la Maison impériale du Brésil.
  • L'infant Jacques, futur duc d'Anjou et de Ségovie, a été obligé par son père, le roi déchu Alphonse XIII, de renoncer à ses droits au trône d'Espagne pour lui et ses descendants en 1933, sous prétexte de sa surdité. En 1949, il a récusé sa renonciation non officielle au trône d'Espagne, mais en 1969, l'infant Jacques a accepté le projet d'instauration franquiste d'une nouvelle monarchie espagnole en faveur de son neveu, le futur roi Juan Carlos I d'Espagne.
  • Jean, grand-duc de Luxembourg a renoncé aux titres de la maison de Bourbon-Parme pour lui-même et sa famille en 1986 quand son fils aîné épousa Marie-Thérèse Mestre. Le prince Jean de Luxembourg a renoncé à son droit de succession pour lui et ses héritiers, le . Le prince Louis de Luxembourg a renoncé à son droit de succession pour lui et ses héritiers après son mariage en 2006.

Membres théoriques de la Famille royale reconnus par le duc d'Anjou

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Sous la monarchie française, la liste des membres de la famille royale française - avec le prédicat d'Altesse Royale - était la suivante :

Ce qui donne, actuellement, pour les légitimistes :

Théoriquement, les descendants d'Alphonse XIII d'Espagne (non revendiquée).

Bibliographie

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  • Jean Barbey, Frédéric Bluche et Stéphane Rials, Lois fondamentales et succession de France, Paris, Diffusion université culture, coll. « Cahiers DUC » (no 3), , 2e éd., 47 p. (BNF 34765861)
  • Cercle d'union légitimiste de Normandie, Almanach royal [mis en ligne en 2019] pour l'année bissextile M. M. XX [2020] : lire en ligne
  • Conseil de Monseigneur le duc d'Anjou (ill. Claude Le Gallo), État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison, Paris, Éditions du Palais Royal, coll. « Publications de l'Institut de la Maison de Bourbon » (no 1), , 1re éd., 151 p. (ISBN 2-7777-0204-7, présentation en ligne)
  • Hervé Pinoteau, « Liste des dynastes capétiens », La Gazette royale, organe officiel de l'Association générale des légitimistes de France (directeur de publication : Charles Clerget-Gurnaud, 18 rue Franklin-Roosevelt, Alger ; imprimerie administrative Joyeux, 2 rue Denfert-Rochereau, Alger), no 23,‎ , p. 5-7 (ISSN 2648-3602, OCLC 472409009, BNF 32781508)
  • Le baron Pinoteau, Fabien Gandrille et Christian Papet-Vauban (préf. Alphonse de Bourbon, ill. Claude Le Gallo), État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison (2e édition réalisée pour le centenaire de la mort de Henri V), Paris, Éditions du Léopard d'or, , 2e éd. (1re éd. 1975), 223 p. (ISBN 2-86377-022-5)
  • Le baron Pinoteau, Fabien Gandrille et Christian Papet-Vauban (préf. pour la deuxième édition : Alphonse de Bourbon, ill. Claude Le Gallo), État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison (3e édition publiée avec le concours de l'Institut de la Maison de Bourbon), Paris, Éditions du Léopard d'or, , 3e éd. (1re éd. 1975), 250 p. (ISBN 2-86377-046-2)
  • Le baron Pinoteau et Christian Papet-Vauban (ill. Claude le Gallo et Hervé Pinoteau), État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autre [sic] publications officielles de la Maison, Paris, Éditions du Léopard d'Or, , 4e éd. (1re éd. 1975), 253 p. (ISBN 2-86377-100-1 (édité erroné), BNF 35485120)
  • Le baron Pinoteau, de l'Académie internationale d'héraldique, avec la collaboration de Christian Papet-Vauban et de Jean de Vaulchier, État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison, Paris, Le Léopard d'or, , 5e éd. (1re éd. 1975), 109 p. (ISBN 978-2-86377-239-3)
  • Le baron Pinoteau, de l'Académie internationale d'héraldique (dir.), avec la participation du professeur Jean Barbey, de Christian Papet-Vauban, de Benoît van Hille et de Xavier d'Andeville (préf. Louis de Bourbon, duc d'Anjou, ill. Xavier d'Andeville), État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l'Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison, Paris, Le Léopard d'or, , 6e éd. (1re éd. 1975), 116 p. (ISBN 978-2-86377-278-2)
  • Stéphane Rials, Le légitimisme, Paris, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? » (no 2 017), , 125 p. (ISBN 2-13-038059-X)
  • Stéphane Rials, Le Miracle capétien, Paris, éditions Perrin, coll. « Passé simple », , 402 p. (ISBN 2-262-00433-1)
  • Patrick Van Kerrebrouck et Christophe Brun (préf. baron Pinoteau), La maison de Bourbon : 1256-1987, Villeneuve-d’Ascq, éditions P. Van Kerrebrouck, , 2e éd. (1re éd. 1987), 1 010 p. (ISBN 2-9501509-0-X)

Voir aussi

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Articles connexes

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Notes et références

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  1. a b et c Enfant naturel.
  2. a b c d et e Les descendants de Gaëtan des Deux-Siciles ne sont pas reconnus comme dynastes par l’État présent de la Maison de Bourbon, car le mariage de ce prince avec Olivia Yarrow fut seulement civil[14],[15].
  3. a et b Les descendants de Robert de Luxembourg ne sont pas reconnus comme dynastes par l’État présent de la Maison de Bourbon[16], car le mariage religieux de ce prince avec Julia Ongaro fut seulement protestant (épiscopalien)[17].
  4. Le prince Arthur est dynaste : ses parents se sont mariés à l'église Saint-Germain de Mercuès le 9 juin 2018[19].
  5. Les descendants de Louis de Parme ne sont pas reconnus comme dynastes par l’État présent de la Maison de Bourbon[20], car le mariage religieux de ce prince avec Ariane Nicolet fut seulement protestant (réformé)[21],[22].
  6. Officiellement en français, la plupart des treize Orleans e Bragança nés en France (sauf trois princes de la branche de Vassouras) portent à l'état civil français le nom d'Orléans et Bragance, fidèle traduction de de Orleans e Bragança[23].
  7. Gabriel[24],[25] (appelé par erreur Gabrielle[26],[27], par certaines sources) d'Orléans et Bragance n'est pas reconnu comme dynaste par l’État présent de la Maison de Bourbon[28], car il est issu du deuxième mariage, seulement civil, du prince François (avec Mlle Rita de Cássia Pires).
  8. Maximilien d'Orléans et Bragance n'est pas mentionné dans l’État présent de la Maison de Bourbon[29], qui ignore le mariage de son père, le prince Louis-Philippe, avec Mlle Fernanda Hara Miguita[30]. Les diverses sources consultées ne corroborent pas pour le moment, le mariage catholique du prince Louis-Philippe avec celle que certains monarchistes brésiliens appellent la « princesse Fernanda ».
  9. a et b Pas reconnu comme dynaste par l’État présent de la Maison de Bourbon[29], car il est issu du deuxième mariage, seulement civil[31],[32], du prince Eudes (avec Mlle Mercedes Neves da Rocha).
  10. a et b Son père est issu d'un mariage seulement civil.
  11. Les descendants d'Alphonse d'Orléans ne sont pas reconnus comme dynastes par l’État présent de la Maison de Bourbon[33], car le mariage de ce prince avec Mlle Véronique Goeders fut seulement civil[34].
  12. Aiden d'Orléans n'est pas mentionné dans l’État présent de la Maison de Bourbon[33], qui ignore le mariage de son père, le prince Alvare, avec Mlle Alice Acosta[35]. Les diverses sources consultées ne corroborent pas pour le moment, le mariage catholique du prince Alvare avec Mlle Acosta.

Références

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  1. a et b Titre de courtoisie.
  2. Pour ses filles et sa sœur, le roi Louis-Philippe créa en 1830 le titre de princesse d'Orléans.
  3. Francois Velde, « Arrêt Lemaistre de 1593 », sur heraldica.org (consulté le ).
  4. Nicole Oresme, Le Livre des Politiques d’Aristote.
  5. André Favyn, écrivain héraldiste, avocat au Parlement de Paris, conseiller du roi, Le Théâtre d’honneur et de Chevalerie : ou, l’histoire des ordres militaires des Roys et Princes de la Chrestienté, et leur généalogie. De l’institution des armes et blazons ; roys, heraulds, et poursuivant d’armes ; duels, joustes et tournois, etc., Paris, 1620, p. 549, Lire en ligne.
  6. Prince Sixte de Bourbon de Parme, Le Traité d'Utrecht et les lois fondamentales du Royaume : Thèse pour le Doctorat, Édouard Champion, Paris, 1914, p. 137 [lire en ligne].
  7. Duc de Saint-Simon, Papiers en marge des Mémoires, Paris, Le Club français du livre, coll. « Les Portiques » (no 34), , 1393 p. (BNF 32598682, lire en ligne), p. 249-250.
  8. Duc de Saint-Simon, Écrits inédits de Saint-Simon, t. 3, Paris, Librairie Hachette et Cie, , 512 p. (BNF 43635540, lire en ligne), p. 201.
  9. Observations du Procureur Général d'Aguesseau sur un projet de lettres patentes pour l'enregistrement des renonciations de Philippe V à la couronne de France.
  10. Lire en ligne.
  11. Amédée Boudin, Histoire de Louis-Philippe Ier, roi des Français, t. I, Paris, , 462 p. (BNF 33986969, lire en ligne), p. 338.
  12. Philippe Erlanger, Philippe V d'Espagne : un roi baroque, esclave des femmes, Paris, Librairie Académique Perrin, coll. « Présence de l'histoire », , 408 p. (ISBN 2-262-00117-0), p. 364. Également cité par Paul Watrin, La tradition monarchique (thèse de doctorat d'État en droit), Paris, Diffusion Université-Culture, , 2e éd. (1re éd. 1916) (ISBN 2-904092-01-3), partie 3, chap. III (« Le règne de Louis XV »), p. 181.
  13. État présent de la Maison de Bourbon : pour servir de suite à l’Almanach royal de 1830 et à d'autres publications officielles de la Maison, Paris, Éditions du Palais Royal, puis du Léopard d'or : 1re éd. (1975), p. 26, 2e éd. (1983), p. 26, 3e éd. (1986), p. 29, 4e éd. (1991), p. 142.
  14. État présent 1991, p. 63-64.
  15. État présent 2012, p. 17 et 52.
  16. État présent 2012, p. 67.
  17. Van Kerrebrouck 2004, p. 466.
  18. Seth B. Leonard, « Eurohistory: The Bourbon-Parma Family Welcomes a Baby Boy! », sur Eurohistory, (consulté le ).
  19. État présent 2020, p. 80.
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  21. Van Kerrebrouck 2004, p. 484.
  22. État présent 1991, p. 65.
  23. Van Kerrebrouck 2004, p. 587-588, 594.
  24. « Brazil4 », sur royalark.net (consulté le ).
  25. Décision judiciaire concernant la famille impériale.
  26. Van Kerrebrouck 2004, p. 587.
  27. Paul Theroff, « Brazil », sur angelfire.com (consulté le ).
  28. État présent 2012, p. 82.
  29. a et b État présent 2012, p. 83.
  30. Causa Imperial : o Dia da Imigração Japonesa, blog monarchiste brésilien, partisan de la branche cadette de Vassouras.
  31. Van Kerrebrouck 2004, p. 591.
  32. Causa Imperial : os setenta e cinco anos do Príncipe Dom Eudes, blog monarchiste brésilien, partisan de la branche cadette de Vassouras.
  33. a et b État présent 2012, p. 86.
  34. Van Kerrebrouck 2004, p. 610.
  35. « Netty Royal », sur nettyroyal.nl (consulté le ).
  36. (pt) Constituição Política do Império do Brasil. Em nome da Santíssima Trindade.