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Monthyon

commune française du département de Seine-et-Marne

Monthyon est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Monthyon
Monthyon
La mairie.
Blason de Monthyon
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Meaux
Maire
Mandat
Claude Decuypère
2020-2026
Code postal 77122
Code commune 77309
Démographie
Gentilé Monthyonnais
Population
municipale
1 749 hab. (2021 en évolution de +2,82 % par rapport à 2015)
Densité 144 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 31″ nord, 2° 49′ 41″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 168 m
Superficie 12,11 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Monthyon
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Monthyon
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Monthyon

Géographie

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Localisation

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La commune est située à environ 9 km au nord-ouest de Meaux[Carte 1].

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Monthyon est située en Goële sur une butte.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune 
Carte des réseaux hydrographique et routier de Monthyon.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • le ru de Viry, long de 4,12 km[2], et ;
  • le ru des Touches, long de 2,56 km[3], qui confluent avec le ru de Rutel ;
    • le fossé 01 de Néronde, 1,10 km[4], qui conflue avec le ru des Touches ;
  • le fossé 01 de la Buvotte, 1,83 km[5], qui conflue avec le ru du Bois Colot.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,20 km[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Transports en commun

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Réseau de bus Roissy Est :

  • Ligne 704 (Meaux - Saint-Pathus) ;
  • Ligne 711 (Meaux - Moussy-le-Neuf).

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Monthyon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[17]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 92 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[20] dont la Marche, le Château Gaillard, la ferme de l'Hôpital (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6% ), zones urbanisées (6,4% ), forêts (3,9% ), mines, décharges et chantiers (2,3% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[21].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

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La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[24]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

Logement

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En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 656 dont 91,8 % de maisons et 7,3 % d’appartements.

Parmi ces logements, 93,1 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants[Note 3].

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 85,9 % contre 11,9 % de locataires[25] dont, 2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 4] et, 2,1 % logés gratuitement.

Toponymie

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Mons Ionis (vers 1145) ; Montium (1183) ; Sacerdos de Monte Ivonis (1188) ; Mont Ion (1188) ; Mons Yvonis (XIIe siècle) ; Apud Montoon (1239) ; Territorium de Montyone (1250) ; Mons Yonis (1258) ; De Monte Yono (1263) ; Montion (vers 1265) ; Monthyon (1276) ; Montyon (XIIIe siècle) ; Montyon lez Meaulx (1499)[26].

Histoire

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Ancien Régime

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Mentionné au XIIe siècle, « Mons Ionis ».

Église à la collation de l'abbé de Saint-Faron de Meaux.

Prieuré bénédictin de Saint-Michel en dépendance de l'abbé de Saint-Faron.

Le village accueillait en 1238 une communauté d'hospitaliers réunie à la commanderie de Choisy-le-Temple, dont ne subsiste que la « ferme de l'Hôpital ».

En 1789, Monthyon faisait partie de l'élection de Meaux et de la généralité de Paris et suivait la coutume de Paris[réf. nécessaire].

Époque contemporaine

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Théâtre de la première bataille de la Marne en . À cette époque Henri Barbusse et Emile Médard sont passés à Monthyon en binôme.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1983 Roger Van Houdenove    
1983 1989 Jean Dupire   Agriculteur
1989 mars 2014 Bernard Lefranc   Président du SMITOM[27]
mars 2014 En cours
(au 6 mai 2021)
Claude Decuypère   Agriculteur
Vice-président de la CA du Pays de Meaux (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Politique de développement durable

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [29],[30].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Monthyon est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [31],[32],[33].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[34]. Le CA du Pays de Meaux (CAPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[31],[35].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [31],[36],[37].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[38].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

En 2021, la commune comptait 1 749 habitants[Note 5], en évolution de +2,82 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8641 0049989721 0681 0441 0461 0411 017
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
929889887871899838799834799
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
760728758673810923749602754
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7697928581 0391 1761 3371 6041 6441 710
2021 - - - - - - - -
1 749--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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  • Exploitations agricoles.

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Monthyon est dans la petite région agricole dénommée la « Butte de Damartin », constituée de deux petites enclaves à l'intérieur de la « Goële et Multien », au nord du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[43].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[44]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 5 en 1988 à 6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 153 ha en 1988 à 166 ha en 2010[43]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Monthyon, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Monthyon entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[43],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 5 5 6
Travail (UTA) 14 10 10
Surface agricole utilisée (ha) 767 837 998
Cultures[45]
Terres labourables (ha) 762 837 998
Céréales (ha) 548 515 613
dont blé tendre (ha) 354 373 430
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 138 s 145
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) s s 107
Élevage[43]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 90 108 138

Culture locale et patrimoine

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Villa la Grimpette.
 
Château de Monthyon.
 
Ancienne gare de Monthyon.
 
L'église Saint-Georges.

Lieux et monuments

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  • Église placée sous le vocable de Saint-Georges, XVIe siècle contient entre autres une statue de « la Vierge à l'Enfant » classée au titre d'objet[46],
  • Statue d'Antoine Auget de Montyon par François Joseph Bosio classée au titre d'objet[47], (devant l'église).
  • Château de Monthyon, XVIIe et XVIIIe siècles de style Louis XIV édifié sur les ruines d'un château fort du XIIe siècle, situé place Carruel, face à la Mairie. Acquis en 1959 par Jean-Claude Brialy, il est cédé à la ville de Meaux en 2006[48]. Les scènes finales du film Le Cercle rouge sont tournées dans le parc du château.
  • La « Ferme de l'hôpital », autrefois commanderie des hospitaliers, avait pour vocation d'héberger les pèlerins et leurs chevaux sur leur route. D'où les écuries restantes et une ancienne chapelle aujourd'hui détruite.
On a pu retrouver des plans attestant de l'existence d'une chapelle à la ferme de l'hôpital dans les années 1600. Celle-ci aurait été détruite par la suite au moment de la Révolution.
  • La villa La Grimpette[49] , 57 ter, rue de la République, était un lieu de rencontres artistiques du début de XIXe siècle.
En tant que maison du peintre Eugène Boch, elle hébergeait une de plus importantes collections de tableaux impressionnistes de son temps dont des tableaux de Vincent van Gogh, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Henri Matisse, Émile Bernard, Anna Boch (sœur du peintre).
En 1941 plus de 700 tableaux, aujourd'hui dispersés dans les plus grandes collections et musées du monde, se trouvaient dans la villa. Les œuvres de Van Gogh se trouvent au Musée d'Orsay à Paris, au Musée Solomon R. Guggenheim à New York et au Musée van Gogh à Amsterdam.[réf. nécessaire]
Divers artistes aujourd'hui célèbres ont également séjourné dans la villa. Plus tard, elle appartint à la famille de Sede et elle continuait d’accueillir d'autres artistes connus comme Marc Chagall.[réf. nécessaire]
La villa a été rachetée en 2010 par la mairie de Monthyon.

Personnalités liées à la commune

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  • Henri Barbusse au 231e régiment d'infanterie en 1914.
  • Eugène Boch (1855-1941), artiste peintre belge ami de Vincent van Gogh a habité la villa La Grimpette.
  • Jean-Claude Brialy (1933-2007), acteur, réalisateur et scénariste y possédait le château de Monthyon, acquis en 1959 et légué en 2006 à la ville de Meaux[48]. Il y est mort en 2007.
  • Jacques Chazot (1928-1993), danseur, écrivain et mondain parisien y est mort. Il est inhumé au cimetière communal.
  • Julio González (1876-1942), sculpteur et peintre espagnol, avait acheté une maison de campagne dans le village en 1925 qu'il occupa jusqu'en 1940 et y effectua plusieurs sculptures figuratives sur la pierre de Monthyon entre 1933-1936, inspirées de la statuaire des cathédrales[50].
  • Roberta González, née à Paris le et morte à Monthyon en 1976, artiste peintre et sculptrice française, fille unique du sculpteur Julio González.
  • Jean-Baptiste de Montyon (1733-1820), philanthrope et économiste français, dernier baron de Montyon, fondateur d'un prix littéraire fondé en 1782 décerné par l'Académie française.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Monthyon », p. 411–413
  • Monthyon, «  La Butte ». Des origines à nos jours, Annie Chambault, Lys Éd. Amatteis, 2007.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  3. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  4. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Monthyon, » sur Géoportail (consulté le 25 avril 2020)..
  2. « Monthyon - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Viry (F6431400) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Touches (F6431200) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Néronde (F6431250) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Buvotte (F6414100) » (consulté le ).
  6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 juin 2019
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  11. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monthyon », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  44. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monthyon », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  46. Notice no PM77001186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  47. Notice no PM77001187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  48. a et b Léna Lutaud, « Jean-Claude Brialy et son jardin secret », Le Figaro, supplément Le Figaro et vous,‎ 17-18 septembre 2022, p. 31 (lire en ligne).
  49. Villa La Grimpette
  50. Julio González, collection du Musée national d'art moderne, sous la direction de Brigitte Léal, éditions MNAM, 2007, p. 162-163 (ISBN 978-2-84426-323-0).