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Laplume

commune française du département de Lot-et-Garonne

Laplume est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne en région Nouvelle-Aquitaine.

Laplume
Laplume
Vue du village.
Blason de Laplume
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Séverine Coudert
2020-2026
Code postal 47310
Code commune 47137
Démographie
Gentilé Pennaviens
Population
municipale
1 337 hab. (2021 en évolution de −8,55 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 06′ 46″ nord, 0° 31′ 56″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 218 m
Superficie 32,64 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Ouest agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Laplume
Géolocalisation sur la carte : France
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Laplume
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Laplume
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Laplume
Liens
Site web Site de la mairie

Ses 1402 habitants sont appelés les Pennaviens et Pennaviennes.

Elle fait partie de l'arrondissement d'Agen et de son aire d'attraction qui compte une population de 120 576 habitants.

Géographie

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Localisation

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Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans le Brulhois, sur la route nationale 131 entre Agen et Condom.

Vue 3d du relief du Canton de Laplume et de la vallée de la Garonne Agenaise. En rouge les délimitations de communes, en bleu les cours d'eau et fleuve. Facteur d’exagération de 10 sur les altitudes pour une meilleure visualisation.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sainte-Colombe-en-Bruilhois, Aubiac, Lamontjoie, Marmont-Pachas, Moirax, Moncaut, Roquefort, Saint-Vincent-de-Lamontjoie et Saumont.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 750 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records LAPLUME (47) - alt : 160 m 44° 06′ 48″ N, 0° 34′ 54″ E
Statistiques établies sur la période 1999-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1999 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,5 2,8 5,2 7,6 11,1 14,7 16 15,9 13,1 10,7 5,7 2,9 9
Température moyenne (°C) 5,8 7 10,2 12,9 16,6 20,6 22,1 22,1 19,1 15,3 9,2 5,9 13,9
Température maximale moyenne (°C) 9 11,1 15,3 18,2 22,1 26,5 28,3 28,2 25 19,9 12,6 8,9 18,8
Record de froid (°C)
date du record
−9,4
27.01.07
−12
09.02.12
−9
01.03.05
−1,7
07.04.21
1,7
06.05.19
6,3
05.06.14
9,5
17.07.00
9,4
29.08.21
5
27.09.10
−2
25.10.03
−7,2
18.11.07
−10,5
17.12.01
−12
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,8
02.01.03
25,2
27.02.19
27,5
20.03.05
31,4
30.04.05
34,3
29.05.01
38,6
29.06.19
40,6
23.07.19
41,7
04.08.03
37
03.09.05
31
02.10.11
25
07.11.15
19,6
08.12.10
41,7
2003
Précipitations (mm) 65,9 48,2 51,7 79,3 71,2 56,5 55,3 49,3 68,8 63,6 76,9 71,1 757,8
Source : « Fiche 47137003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Laplume est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), forêts (2,8 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Laplume est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Ruisseau de Jorle, le Ruisseau de Brimont, le Ruisseau Labourdasse et le Petit Auvignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2008 et 2009[16],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[17]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laplume.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque technologique

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La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 6]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 7],[21],[22].

Toponymie

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Le nom ancien de la ville était Penna, du mot pré-latin d'origine celto-ligure penn désignant une hauteur rocheuse (penne ou pène, toponymes fréquents dans le Sud de la France). Il a été traduit littéralement d'après le latin penna, « plume » : confusion fréquente car le blason de Penne (Tarn), également bâtie sur un éperon rocheux, porte une plume.

Histoire

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Laplume a été la capitale de la vicomté et du bailliage d'appel de Bruilhois ou Brulhois.

 
Le Brulhois.

La commune de Laplume accueillit des habitants de Lemud, en Moselle, expulsés par les Allemands à l'automne 1940, à l'instar du village voisin de Roquefort.[réf. souhaitée]

Héraldique

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Blason de Laplume  Blason
D'azur aux trois tours couvertes d'argent, girouettées de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de Laplume 
Alias du blason de Laplume
D'azur à trois tours d'or, celle de la pointe sommée d'un bouquet de trois plumes d'argent, le tout enfermé dans une filière du même.
Alias du blason de Laplume 
Alias du blason de Laplume
D'azur à trois tours terrassées et couvertes d'argent, girouettées de gueules, celle du milieu plus haute, sommée d’une croisette pattée de sable[23].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1989 mars 2008 Bernard Villes   Boulanger-pâtissier
mars 2008 mai 2020 Éric Bacqua DVG Enseignant
mai 2020[24] En cours Séverine Coudert DVG Psychologue du travail

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 1 337 habitants[Note 8], en évolution de −8,55 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 8101 7891 7241 7861 8241 6551 7071 7701 742
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7351 7421 6241 6381 5591 5901 5641 4131 305
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1891 2771 2391 0861 1421 0971 0821 1781 218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2481 0781 1011 0811 0421 2051 3271 3621 446
2018 2021 - - - - - - -
1 3541 337-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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L'église Saint-Barthélemy
 
L'église Saint-Pierre de Cazaux.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • E. d'Antin, Une commune pendant les guerres de religion d'après les archives de Laplume, p. 311-330, 473-494, Revue de l'Agenais, année 1893, tome 20 (lire en ligne)
  • E. d'Antin, Une commune pendant les guerres de religion d'après les archives de Laplume, p. 52, 152, 230, 352, 535, Revue de l'Agenais, année 1894, tome 21 (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  7. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 47137003 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Laplume ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Agen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Laplume », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laplume », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  23. Armorial de France
  24. « Séverine Coudert à la tête de la mairie », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 22.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 191-192 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
  30. Notice no PA00084149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Eglise Saint-Barthélemy », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).