Lambres-lez-Douai
Lambres-lez-Douai est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
Lambres-lez-Douai | |||||
La mairie en mars 2019. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Douaisis | ||||
Maire Mandat |
Caroline Sanchez 2023-2026 |
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Code postal | 59552 | ||||
Code commune | 59329 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lambrésiens | ||||
Population municipale |
4 926 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 559 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 13″ nord, 3° 04′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 23 m Max. 42 m |
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Superficie | 8,81 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Douai-Lens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Douai | ||||
Législatives | Dix-septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierSituation
modifierCommunes limitrophes
modifierGéologie, relief et hydrographie
modifierLambres-lez-Douai est traversée par la Scarpe.
Morphologie urbaine
modifierUn béguinage a été ouvert en 1997[1],[2].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Scarpe canalisée, la Petite Sensée, le Courant de l'Enfant Jesus, le Lambres-lez-Douai[3] et divers autres petits cours d'eau[4],[Carte 1].
La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[5].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe amont ». Ce document de planification concerne un territoire de 553 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe amont et se composant de trois vallées : celle de la Scarpe, du Gy et du Crinchon. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la communauté urbaine d'Arras[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 2 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,5 | 1,5 | 3,3 | 5,1 | 8,5 | 11,4 | 13,2 | 13 | 10,4 | 7,8 | 4,5 | 2,1 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 4 | 4,5 | 7,2 | 10,1 | 13,5 | 16,5 | 18,6 | 18,4 | 15,3 | 11,5 | 7,3 | 4,5 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,4 | 7,4 | 11,2 | 15,1 | 18,5 | 21,6 | 23,9 | 23,9 | 20,1 | 15,2 | 10,1 | 6,9 | 15 |
Record de froid (°C) date du record |
−20,5 08.01.1985 |
−12,5 07.02.1991 |
−11 13.03.13 |
−4,5 11.04.03 |
−1,5 05.05.1996 |
1 02.06.1962 |
4,1 17.07.1971 |
0,8 17.08.1966 |
0 19.09.1977 |
−6 30.10.1997 |
−9,5 23.11.1998 |
−12,5 29.12.1996 |
−20,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 01.01.22 |
19,5 24.02.21 |
24,8 31.03.21 |
28 20.04.1968 |
31,3 27.05.05 |
36 27.06.11 |
40,8 25.07.19 |
36,6 08.08.20 |
35,5 15.09.20 |
29 01.10.11 |
20,5 07.11.15 |
16,2 31.12.22 |
40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 57,8 | 51,4 | 52,5 | 41,9 | 56,6 | 63,3 | 68,1 | 68,1 | 60,9 | 64,4 | 71 | 73,2 | 729,2 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lambres-lez-Douai est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,3 %), zones urbanisées (24,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20 %), prairies (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par les lignes 14, 15, 17 et 113 du réseau urbain Évéole et par la ligne 821 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 3.
Toponymie
modifierLe nom de Lambres est construit sur le même modèle que celui de Samarobriva (Amiens) : le pont sur Samara. Lambres, c'est Lugus briva, le pont de Lugus. Les ponts furent des constructions importantes, ils étaient toujours gardés, ils portaient le nom d'une divinité. Lugus était le dieu suprême des Celtes.
À l'origine, Lambres-lez-Douai s'appelait Lambrae Vicius.
Histoire
modifierInitialement, la ville était trois fois plus grande que Douai ; à cette époque, un petit hameau. Grégoire de Tours dit que Chilpéric Ier y a enterré son frère Sigebert Ier dans ses vêtements royaux en 576. Il dit ensuite que le corps de Sigebert Ier a ensuite été amené à l'abbaye Saint-Médard de Soissons pour y être enseveli auprès de son père[19].
Charles II le Chauve posséda à Lambres un manoir avec un moulin qu'il donne par diplôme du à l'abbaye de Marchiennes[20].
En 1933, la commune de Lambres devient Lambres-lez-Douai.
L'usine Georges-Besse du groupe automobile Renault est implantée en partie sur le territoire de la commune.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales le , vingt-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 677 inscrits, dont 1 003 votants (27,28 %), 31 votes blancs (3,09 %) et 879 suffrages exprimés (87,64 %). La liste étiquetée divers droite Avec vous, Lambres demain menée par Bernard Goulois recueille l'intégralité des suffrages exprimés, étant la seule à se présenter[21],[22].
Liste des maires
modifierMaire de 1802 à 1807 : Bart. Lecq[23],[24].
À la suite de la démission de plus d'un tiers des membres du conseil municipal, dont six adjoints, une élection municipale partielle est organisée le 18 juin 2023[29] et voit s'affronter le maire sortant, Bernard Goulois, et son ancienne adjointe démissionnaire, Caroline Sanchez. Cette dernière remporte le scrutin avec 66,61 % des suffrages et obtient 24 sièges sur 29. Elle est officiellement élue maire le 23 juin 2023[28].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 4 926 habitants[Note 5], en évolution de −3,64 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 372 hommes pour 2 699 femmes, soit un taux de 53,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- le collège André-Malraux.
- le monument aux morts.
- l'église Saint-Sarre, reconstruite vers 1960.
Personnalités liées à la commune
modifier- Saint Sarius prêtre et confesseur naquit à Lambres au VIIe siècle. Il est fêté le [36],[37].
- Sigebert Ier roi d'Austrasie fut assassiné en 575 et a été enterré à Lambres.
- Alfred Trannin (1842-1894), député du Nord, demeura, et décéda en cette commune le .
- Albert-Eugène-Édouard Decarpentry (1878-1956), général, cavalier réputé, auteur d'ouvrages d'équitation.
- Robert Bouquillon (1923-2013), artiste peintre, demeura dans la rue qui depuis 2012 porte son nom.
Héraldique
modifierLes armes de Lambres-lez-Douai se blasonnent ainsi : "D'argent à trois pots à deux anses de sable, au franc quartier brochant de gueules semé de billettes d'argent au lion brochant du même." |
Folklore
modifierLambres-lez-Douai a pour géant Sigebert Ier[38].
Le 1er géant est apparu en 1956 soutenu par les propriétaires d'un café-épicerie. Il était porté par un homme et sortait pour les deux ducasses de la commune en mai et août. Quelques années après, il est laissé a l'abandon, on dit même qu'il aurait brulé.
En 1980, un second géant est construit par la MJC et le collège André-Malraux. Réalisé en bois, il a une hauteur de 4,20 m pour un poids de 150 kg et est porté par 4 hommes.
Son arrivée est accompagné par le début des Fêtes de Sigebert.
En 2003, Sigebert est transformé, toujours par la MJC. Un sculpteur de la commune réalise la nouvelle tête, les mains et la nouvelle ossature en partant de l'ancien fait d'aluminium et de bois. Son poids est réduit de 150 à 110 kg et il n'est plus porté que par deux personnes
En 2022, la création est confié au constructeur cominois Pierre Loyer. Fait en osier, il s'allège encore pour passer à environ 100 kg. Il perd son épée et récupère son sceptre avec un pigeon sur le haut et le style de sa jupe. Un scramasaxe est ajouté en référence à celui qui a servi à deux esclaves de la 3e épouse son frère Chilpéric pour le tuer.
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Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Lambres-lez-Douai » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Une société HLM réinvente le béguinage
- Le béguinage, alternative à la maison de retraite, reportage sur TF1, 2012, consulté le 31 octobre 2012
- Sandre, « le Lambres-lez-Douai »
- « Fiche communale de Lambres-lez-Douai », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « la Scarpe canalisée »
- « SAGE Scarpe amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lambres-lez-Douai et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lambres-lez-Douai ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Anselme de Sainte-marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France- Tome I (lire en ligne), p. 17.
- Archives historiques et littéraires du nord de la France, et du midi de la Belgique, Volume 5, Au Bureau des Archives., 1829, [1]
- « Élections municipales, Lambres-lez-Douai », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 33.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Lambres-lez-Douai », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 9.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
- « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166..
- « Traitement des déchets : le syndicat garde son président : Martial Vandewoestyne, maire de Lambres, reste président du Symevad », L'Observateur du Douaisis, no 595, , p. 4.
- Dorothée Delomez, « Rythmes scolaires : « au cœur du projet, c'est l'enfant » : Attaqué sur ses choix dans le contexte des rythmes scolaires, Martial Vandewoestyne, le maire, explique pourquoi son équipe s'est portée sur le samedi matin d'école, plutôt que le mercredi. », L'Observateur du Cambresis, no 1336, , p. 13.
- « Lambres-lez-Douai : Bernard Goulois, nouveau maire de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « Caroline Sanchez élue maire par le conseil municipal de Lambres-lez-Douai : C'était officieux depuis les élections municipales de dimanche : tête de la liste Engagés pour Lambres-lez-Douai, arrivée en tête du scrutin, Caroline Sanchez a été élue de Lambres-lez-Douai par le conseil municipal, ce vendredi soir. », La Voix du Nord, (lire en ligne , consulté le ).
- « Il y aura une nouvelle élection municipale à Lambres-lez-Douai », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lambres-lez-Douai (59329) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Alban Bulter, Jean-françois Godescard, Charles Butler, Lactantius - Vies des pères, des martyrs, et des autres principaux saints - page 52 - 1832 - chez Vanlinthout et Vandenzande à Louvain - archive de abbaye of Ghethsemani université de Californie - numérisé par Google Books
- Aimé Nicolas Leroy, Les hommes et les choses du nord de la France et du midi de la Belgique,Bureau des Archives du Nord, 1829, [2]
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15