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La Bouille

commune française du département de la Seine-Maritime

La Bouille est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

La Bouille
La Bouille
Vue du village.
Blason de La Bouille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Jacques Meng
2020-2026
Code postal 76530
Code commune 76131
Démographie
Gentilé Bouillais, Bouillaises
Population
municipale
710 hab. (2021 en évolution de −5,33 % par rapport à 2015)
Densité 559 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 21′ 07″ nord, 0° 55′ 57″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 133 m
Superficie 1,27 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Ouen-de-Thouberville
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Elbeuf
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Bouille
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La Bouille
Liens
Site web labouille.fr

Géographie

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Localisation

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La Bouille est située sur la rive gauche de la Seine (elle est reliée par un bac à Sahurs, sur la rive droite), à la lisière de la forêt domaniale de La Londe-Rouvray et à la limite du département de l'Eure.

La Bouille appartient aujourd'hui au canton d'Elbeuf, avant la réforme de 2015, elle faisait partie du canton de Grand-Couronne.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jumièges à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Bouille est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Ouen-de-Thouberville[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,7 %), eaux continentales[Note 4] (20,2 %), zones urbanisées (17,7 %), prairies (9,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La Bouille est desservie par la ligne G du réseau Astuce, la reliant au centre-ville d'Elbeuf via Grand-Couronne. Les usagers souhaitant rejoindre Rouen doivent effectuer une correspondance avec la ligne F6 à hauteur du Lycée Fernand Léger, puis avec la ligne 27 ou le métro à hauteur de Georges Braque.

 
Passage du bac de Seine de La Bouille.

Le bac de La Bouille permet le passage vers Sahurs.

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes La Boille fin du XIIIe siècle; Port de la Bouille entre 1396 et 1421[14]; La bouille en 1629, en 1715 (Frémont), et en 1757 (carte de Cassini)[15].

Une bouille est un bourbier, un marais, lieu marécageux, du latin bau-ucula, dérivé de baua, « boue ».

Toponyme ayant le sens de « Bourbier, marécage »[16],[17].

Le village, construit en bord du fleuve, soumis aux inondations, devait être effectivement fort boueux, comme l'écrit Amélie Bosquet en 1855 dans son ouvrage La Normandie illustrée.

Histoire

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Girouette de la mairie 1933.

On note le verguillon (girouette en normand) original de la mairie de La Bouille, rappelle le passage des Vikings sur leurs esnèques (drakkars). La girouette (et verguillon, issus tous deux du vieux norrois viðr-viti mot à mot viti « qui montre » ou « indicateur » du viðr, le vent > vieux normand wirewite) était à l'origine utilisée sur les bateaux vikings.

La Bouille est libérée par les Canadiens le [18].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1955 1959 Paul Gonde    
1959 1962 André Rivière    
1962 1965 Pivain    
mars 1965 mars 1971 Louis Dubos    
mars 1971 mars 1983 Daniel Chevallier[19]   Médecin-radiologue
mars 1983 mars 1989 Jean Thomas   Officier
mars 1989 juin 1995 Daniel Chevallier[20]   Médecin
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Michel Lennuyeux[20] DVD  
mars 2008 mai 2020[21] Joël Temperton    
mai 2020[22],[23] En cours
(au 10 août 2020)
Jacques Meng   Ingénieur en urbanisme retraité

Équipements et services publics

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Eau et déchets

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Espaces publics

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Enseignement

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Postes et télécommunications

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Justice, sécurité, secours et défense

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 710 habitants[Note 5], en évolution de −5,33 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9598028771 1821 171796772741745
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
667652625602556562565544536
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
515519502435466444497611618
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
661611661550862791808805780
2015 2020 2021 - - - - - -
750707710------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Médias

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Robert Antoine Pinchon, La Bouille sous la Neige, huile sur toile, 90 × 50 cm.

Natifs du lieu

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  • Charles-Félix Maillet du Boullay (1795-1878), architecte.
  • Michel Joseph Napoléon Liénard (1810-1870), ornemaniste et sculpteur.
  • Hector Malot, écrivain français, né à La Bouille le . Quelques heures après sa naissance, un voilier virant maladroitement, brisa la vitre de la chambre du nouveau-né avec son mât de beaupré : on y voit là bien sûr le présage d'une destinée peu commune… Le petit Hector passa à La Bouille son enfance. Bercé par l'animation qui règne dans le bourg, il observe les navires en partance pour des destinations lointaines, le passage du bac, le départ du bateau pour La Bouille, la clientèle des auberges… Il travaille chez son père, qui est notaire, tout en étudiant le droit. Hector Malot commence aussi à écrire. Son premier livre, Les Amants, paru en 1859, connaît un grand succès. Il persévère dans cette voie et, très prolifique, écrit de plus en plus de romans, qualifiés de « populaires ». Romancier fécond, il rédige quelque soixante-dix ouvrages qui connurent en leur temps un grand succès. L'auteur y développe des situations conventionnelles, héritées du mélodrame. Romain Kalbris (1869) et surtout Sans Famille (1878), auquel fait pendant En Famille (1893), œuvres d'un moralisme discret, véritables témoignages sur la société de la fin du XIXe siècle, sont encore goûtés des enfants. Il meurt à Fontenay-sous-Bois le .
  • André Derocque (1898-1940), chirurgien.
 
La Seine à la Bouille, coup de vent ou La Seine à Sahurs, coup de vent par Alfred Sisley.

Héraldique

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Les armes de la commune de La Bouille se blasonnent ainsi :

Taillé : au 1er d’or au navire au naturel, habillé d’une voile de gueules chargée de deux léopards d’or l’un au-dessus de l’autre, voguant de face sur une mer isolée d’azur, au 2e de gueules à la plume d’argent posée en bande et passée en sautoir avec un pinceau du même, à la toque de cuisinier d’argent brochant sur le sautoir accostée de deux masques de théâtre d’or.

Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • La Bouille, perle de la Seine, La Bouille, Ass. La Bouillotte, 1995 (ISBN 2901342051)
  • Eugène Lefebvre et Daniel Lemariey (préf. Yvon Pailhès), La Bouille : Moulineaux, Caumont, Sahurs : par les cartes postales, Luneray, Bertout, , 127 p. (ISBN 2867432278, OCLC 464336101)
  • Anne-Marie Lessertois, Relevé des mariages de la paroisse de la Bouille de 1668 à 1802, Rouen, CGRSM, 1993
  • Guy Pessiot, Histoire de l'agglomération rouennaise : La Rive Gauche, Éditions PTC, , 288 p. (ISBN 978-2-906258-21-1, lire en ligne), p. 30-39.
  • Edmond Spalikowski, La Bouille, paradis touristique, Rouen, Éditions Maugard, 1936

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Ouen-de-Thouberville comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre La Bouille et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jumieges » (commune de Jumièges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Saint-Ouen-de-Thouberville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Bouille ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Archives départementales de la Seine-Maritime, Tab. Rouen, reg. 7 f. 120 reg. 19 f. 152.
  15. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 123.
  16. Albert Dauzat, Le Français moderne, 1940, volume 8, page 312.
  17. Agronymes: mélanges de toponymie et de dialectologie, en hommage à Pierrette Dubuisson - Page 115.
  18. « La Bataille de Normandie à la Bouille », Normandie, 14 septembre 1944.
  19. Le Grand Livre des Rouennais : qui est qui dans l'agglomération rouennaise ? (préf. Guy Pessiot), Du P'tit Normand, , 253 p. (OCLC 468723694), p. 51
  20. a et b « Un maire honoraire : LA BOUILLE. La municipalité rend hommage à deux anciens premiers édiles, Daniel Chevalier et Michel Lennuyeux », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Avec la cérémonie des voeux, le maire de La Bouille lance le clap de fin… : Joël Temperton a présenté une dernière fois ses vœux en tant que maire… sans mâcher ses mots », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « « Je suis convaincu que la loi devrait limiter à deux mandats pour tous les élus, donc je m’applique cette règle ! » Le ton doux amer était donné par un maire au franc-parler qui ne mâche pas ses mots, entre froide colère et malicieuse espièglerie. ».
  22. « Municipales à La Bouille : le deuxième adjoint candidat à la succession du maire : Le deuxième adjoint Jacques Meng candidat à la succession du maire avec une liste apolitique et citoyenne », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 71 ans, cet ancien ingénieur en urbanisme retraité, est conseiller municipal depuis 2008, adjoint depuis 2016, mais surtout Bouillais depuis quarante ans ».
  23. « Municipales 2020. Jacques Meng élu à La Bouille : Deuxième adjoint du maire sortant sous l’ancienne mandature, Jacques Meng vient d’être élu maire de La Bouille », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Hôtel de ville de La Bouille », sur PSS-Archi..
  29. Jean Favier, Louis XI, p. 548, Fayard, Paris 2001