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Jules-François Horteur

personnalité politique française

Jules-François Horteur né le à Chavannes (Savoie) mort le à Chavannes (Savoie) pendant son mandat de député, est un homme politique savoyard, maire de Chavannes, conseiller général du canton de la chambre et député républicain modéré de Saint-Jean-de-Maurienne entre 1876 et 1895.

Jules-François Horteur
Fonctions
Député français

(19 ans, 6 mois et 3 jours)
Élection 20 février 1876
Réélection 14 octobre 1877
21 août 1881
4 octobre 1885
22 septembre 1889
20 août 1893
Circonscription Savoie
Législature Ire, IIe, IIIe, IVe, Ve et VIe (Troisième République)
Groupe politique Centre gauche (1876-1877)
Union républicaine (1877-1893)
Prédécesseur Circonscription créée
Successeur Charles Jouart
Président du Conseil général de la Savoie

(5 ans)
Prédécesseur Nicolas Parent
Successeur Antoine Perrier
Conseiller général de la Savoie

(24 ans)
Circonscription Canton de La Chambre
Maire de Les Chavannes-en-Maurienne
Biographie
Nom de naissance Jules, François Horteur
Date de naissance
Lieu de naissance Les Chavannes-en-Maurienne, (France)
Date de décès (à 52 ans)
Lieu de décès Les Chavannes-en-Maurienne, (France)
Nationalité Française
Profession Avocat

Jules-François Horteur
Présidents du Conseil départemental de la Savoie

Biographie

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Il étudie le droit, et embrasse le métier d'avocat. Devient maire de Chavannes puis conseiller général le du canton de La Chambre. Il est élu au second tour de scrutin le , comme député républicain modéré de Saint-Jean-de-Maurienne. Il est l'un des signataires du manifeste des 363[1] en et après la dissolution de la chambre par le cabinet le , il est réélu député le . Inscrit sur la liste « Union républicaine », il rejette toute politique antireligieuse. À nouveau réélu le 21 aout 1881, il est porté au renouvellement de la liste républicaine de la Savoie du . Il vote notamment pour le projet de loi Lisbonne restrictif de la liberté de la presse, pour les poursuites de trois députés membres de la Ligue des patriotes, et pour les poursuites contre le général Georges Boulanger. Il est aussi secrétaire général de la Haute-Savoie en janvier 1891[2].

Références

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  1. Fiche sycomore
  2. Revue savoisienne publiée par l'Académie florimontane, Annecy, compilé par Charles Marteanx - Publié 1896 – Page 86.

Voir aussi

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Sources

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Articles connexes

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Liens externes

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