[go: up one dir, main page]

Jules Gounon

pilote de course français

Jules Gounon, né le à Aubenas (Ardèche), est un pilote automobile français roulant sous licence andorrane depuis 2023. Il est pilote d'usine Mercedes-AMG depuis 2021.

Jules Gounon
Photographie d'un homme debout, de face, qui pointe vers la caméra avec un sourire
Jules Gounon à Barcelone en 2019.
Biographie
Date de naissance (29 ans)
Lieu de naissance Aubenas (France)
Nationalité Français
Nationalité sportive Drapeau d'Andorre Andorran (depuis 2023)
Carrière
Années d'activité Depuis 2010
Qualité Pilote automobile en GT World Challenge Europe et Intercontinental GT Challenge
Parcours
AnnéesÉcurie0C.0(V.)
2017 Audi Saintéloc 1 (1)
2018-2020 Bentley M-Sport 21 (2)
2021- Mercedes AKKODIS ASP 20 (4)

Vainqueur des 24 Heures de Spa à deux reprises (en 2017 et 2022), des 12 Heures de Bathurst à trois reprises (en 2020, 2022 et 2023), il a remporté deux fois consécutivement le titre en GT World Challenge Europe Endurance Cup, en 2022 et 2023. Il remporte l'Intercontinental GT Challenge en 2023.

Il a aussi remporté les 24 Heures de Daytona en catégorie GTD-Pro en 2023.

Biographie

modifier

Jeunesse et débuts en karting (1994-2012)

modifier
Photographie d'un pilote automobile sur son karting, vu de trois-quarts, levant le bras droit, en signe de victoire. 
Jules Gounon après sa victoire au Kart Mag Prem's en 2011.

Né à Aubenas le 31 décembre 1994, fils de Jean-Marc Gounon, pilote automobile, Jules Gounon grandit dans un environnement de sport automobile[1]. Demandant un kart pour Noël dès ses huit ans, son vœu n'est pas exaucé[1]. À 15 ans, en 2010, après de bons résultats scolaires, son père lui offre finalement son premier kart ; s'il démarre relativement tard le karting, son père lui apprend que « Démarrer tard n’est pas un souci, si tu es bon, on te remarquera immédiatement ! »[1]. Pour sa première course, il obtient une deuxième place en championnat Rhône-Alpes[1]. Le reste de l'année montre un potentiel certain, sans pouvoir le concrétiser, avec un abandon en finale du championnat de France, malgré des performances dans les manches précédentes[2], et une lutte pour la victoire en Coupe de France, un accrochage, qu'il considère comme son pire souvenir[3], et une remontée de la 34e à la 9e place[1].

En 2011, Gounon termine quatrième du championnat de France FFSA[4] mais il obtient le titre de champion de France Rotax[3], ainsi que la victoire au Trophée Kart Mag Prem's[5]. Malgré des contacts pour des débuts en F4 française dès 2012, il préfère rester en karting[3]. Sous contrat avec Sodikart, il est sacré champion en Rhône-Alpes, troisième en France, et termine vice-champion d'Europe, devancé pour un point pour le titre continental X30[6]. Quelques mois plus tard, il est sacré champion du monde X30[7],[8]. Il est ensuite reconnu comme « sportif de haut niveau » par le Ministère des Sports[9].

Passage à la monoplace (2013-2014)

modifier

Après son titre de champion du monde de karting, Jules Gounon fait ses premiers essais en monoplace, sur une Formule 4 en [10]. Il décide donc de commencer sa carrière en monoplace en Formule 4 française, débutant en mai[11]. Après un premier podium au Mans, il obtient sa première victoire assez rapidement, sous la pluie, sur le circuit de Pau-Ville, bien que handicapé par des problèmes hydrauliques lors des essais ; de plus, il ne marque que la moitié des points, la course ayant été arrêtée avant les 75 % de la distance de la course[12],[13]. Après une période moins faste, Jules Gounon réalise sa meilleure manche de la saison à Magny-Cours, où il remporte les trois courses, à l'issue d'un « week-end de rêve »[14],[15]. À Lédenon, Gounon remporte deux nouvelles victoires, lors des courses 1 et 3[16],[17]. Grâce à cette belle deuxième moitié de saison, Jules Gounon est finalement sacré vice-champion de France de Formule 4, avec un total de six victoires et neuf podiums[18],[19]. En fin d'année, il effectue des essais sur une Formule Renault 2.0, à Barcelone et à Budapest[18]. Il est également finaliste du Volant EuroFormula 2013, offrant une bourse de 60 000 euros, mais ce prix revient finalement à Anthoine Hubert, champion de F4 française[20].

Après des essais de pré-saison difficiles avec KTR, Jules Gounon s'engage tout de même avec cette équipe en Eurocup Formula Renault 2.0 et en Formula Renault 2.0 Northern European Cup (NEC) ; le passage entre une Formule 4 et une Formule Renault 2.0 ne se fait pas sans mal pour l'Albenassien[21],[22]. Non seulement, les performances sont en deçà des attentes, mais Jules Gounon doit faire face à des problèmes de budget. Il ne participe qu'à deux courses en Eurocup, ne marquant aucun point[23]. En NEC, il se classe 23e avec 54 points[24]. Jules Gounon explique ce déficit de performances par le fait qu'il n'a « jamais su [s]’entendre avec le team »[25]. Alors que la carrière de Jules Gounon semble avoir pris un certain coup, le Français relance sa carrière en étant sacré « Espoir Porsche Carrera Cup France 2015 » devant huit autres pilotes, remportant une bourse de 30 000 euros, et un entraînement spécialisé du pilote officiel Porsche, Patrick Pilet[26],[27].

Porsche Carrera Cup France (2015)

modifier
Photographie d'une Porsche Carrera blanche et verte, vue de trois-quarts. 
Jules Gounon sur sa Porsche 911 GT3 Cup lors d'une manche de Porsche Carrera Cup France en 2015.

La carrière de Jules Gounon prend un virage à la suite de son titre d'Espoir Porsche Carrera Cup France 2015 : le Français rejoint l'une des équipes leader de la Porsche Carrera Cup France, Martinet by Alméras[28],[29]. Il remporte sa première victoire dans la compétition, au Val de Vienne, après avoir mené durant la totalité de l'épreuve[30], ce qui lui permet de rester aux avant-postes en championnat[31]. Sa fin de saison est coupée par un accident assez inhabituel avec Joffrey De Narda : les deux pilotes s'accrochent et la voiture de Gounon monte sur celle de De Narda[32],[33]. Touché aux vertèbres[34], Gounon parvient néanmoins à tenir sa place pour la dernière manche de la saison[35]. Finalement, avec une victoire, il termine sa première saison en Porsche Carrera Cup France à la sixième position[36]. En dehors de ses engagements en Porsche Carrera Cup France, Jules Gounon participe également avec son père Jean-Marc Gounon, aux 24 Heures de Daytona Classic ; il termine deuxième du groupe B, et premier des GT[37],[38]. En fin d'année, Jules Gounon est annoncé sur la liste des engagés des 24 Heures de Dubaï dans le baquet d'une BMW M235i Racing Cup exploitée par Sorg Motorsport. En compagnie de Pierre Martinet, Olivier Baron et Luca Cima (initialement Romain Brandela), Gounon fait ses débuts en endurance[39],[40]. Le , lors des qualifications, il boucle quatre tours de piste au volant de la BMW, mais une sortie de piste de Luca Cima oblige l'équipage à déclarer forfait pour la course[41].

Arrivée en GT et premières victoires (2016-2017)

modifier

Saison 2016 : révélation en Allemagne

modifier

En , Jules Gounon participe à ses premiers essais avec Callaway Competition sur des GT3 dans le cadre des ADAC GT Masters à Oschersleben[42]. Il revient alors de blessure, ayant été opéré des jambes et alité pendant un mois[43]. Il s'y distingue particulièrement et y est confirmé pour la saison entière[44]. Toujours au mois d'avril, parallèlement à son programme en ADAC GT Masters, Jules Gounon est pilote titulaire en Blancpain GT Series Endurance Cup au sein de l'écurie Konrad Motorsport où il pilote la Lamborghini Huracán GT3 en compagnie de Christopher Zöchling et Christopher Brück[45],[46]. Il ne franchit pas la ligne d'arrivée au terme de la course et perd un point sur son permis pour avoir commis un excès de vitesse dans la voie des stands[47],[48]. Début mai, lors de la deuxième manche du championnat sur le Sachsenring, Jules Gounon s'impose avec son coéquipier Daniel Keilwitz[49],[50]. Sur le Lausitzring, il remporte sa deuxième victoire de la saison[51]. Sur le Red Bull Ring, Jules Gounon termine sur les podiums des deux courses et profite du déclassement du vainqueur initial de la deuxième course pour s'octroyer sa troisième victoire de la saison et prendre la tête du championnat[52],[53].

Pendant la deuxième moitié de saison, il ne retrouve pas le chemin du podium, mais reste en lutte pour le titre jusqu'à la dernière course[54]. Lors de la dernière course, sur le Hockenheimring, il perd le contrôle de sa Corvette avant le virage no 7 et s'encastre violemment contre le mur intérieur[55]. Transféré au centre médical du circuit, « conscient, et en condition stable », il souffre finalement d'une jambe cassée ; il déclare : « Je suis vraiment chanceux au vu de l'impact et de la décélération... je ne me souviens pas de grand-chose, mais la crash-box de ma Corvette m'a probablement sauvé la vie »[56]. Il termine finalement troisième du championnat (meilleur débutant) avec son coéquipier Daniel Keilwitz, avec trois victoires en quatorze courses[57].

Saison 2017 : victoire aux 24 Heures de Spa et titre en ADAC GT Masters

modifier

Au début de l'année, Jules Gounon signe avec Land Motorsport, avec plusieurs de ses rivaux en ADAC GT Masters, pour disputer les 24 Heures de Daytona[58]. Il se montre en lutte pour la victoire durant toute l'épreuve, avant de finir deuxième de la catégorie GTD[59]. Fin mars, il signe avec AKKA-ASP pour disputer les Blancpain Endurance Series dans la catégorie Pro-Am Cup, et avec Callaway Cars pour les ADAC GT Masters[60]. Dans ce championnat, après des premières courses infructueuses, avec son copilote Daniel Keilwitz, il retrouve la victoire sur le Red Bull Ring, et prend la tête du championnat[61]. À Zandvoort, en l'absence de Keilwitz, blessé, remplacé par Renger Van der Zande, il remporte sa deuxième victoire et accroît son avance dans le championnat ADAC GT Masters[62],[63]. En Blancpain Series, après deux podiums dans la catégorie Pro-Am Cup, Jules Gounon signe son premier contrat de pilote d'usine officiel avec Audi Sport Saintéloc Racing, à l'occasion des 24 Heures de Spa, qu'il dispute sur une Audi R8 LMS, aux côtés de Markus Winkelhock et Christopher Haase[64]. Sur l'Audi R8 LMS, à l'issue d'une édition très serrée, où six équipages terminent dans le même tour de la course de 24 heures, il s'impose avec ses deux copilotes allemands, remportant la plus grande victoire de sa carrière jusque-là, à l'âge de 22 ans[65],[66]. De retour en ADAC GT Masters, au Nürburgring, il trouve un nouveau copilote en la personne d'Albert Costa[67].

Après deux manches non réussies au Nürburgring et au Sachsenring, il retrouve la victoire lors de l'avant-dernière course de la saison sur le Hockenheimring, lui permettant d'être sacré champion des ADAC GT Masters, pour sa deuxième saison dans la discipline[68].

Pilote chez Bentley (2018-2020)

modifier

Premières courses (2018)

modifier

En , Jules Gounon devient pilote d'usine de Bentley Motorsport, remplaçant Oliver Jarvis, dans le cadre de la Blancpain GT Series Endurance Cup et de l'Intercontinental GT Challenge[69]. Il a pour copilotes les Britanniques Steven Kane et Guy Smith[69]. Il participe en début d'année aux 12 Heures de Bathurst, où il pointe un temps en deuxième position, avant de souffrir de divers problèmes mécaniques et de terminer seizième, sixième de sa catégorie[70],[71]. Bentley engage une nouvelle Bentley Continental GT3 pour la Blancpain Endurance Cup. Après deux premières courses non concluantes, son coéquipier Guy Smith, après 17 ans chez Bentley, décide de partir, et est remplacé par Jordan Pepper[72]. Aux 1 000 kilomètres du Castellet, Jules Gounon se bat pour la victoire jusqu'au dernier tour, mais, handicapé par un problème de capot moteur, il est battu de justesse par la Lexus d'Albert Costa, ce qui représente son premier podium de la saison[73]. Revenant aux 24 Heures de Spa un an après sa victoire, cette fois en tant que pilote officiel Bentley, il doit faire face à treize constructeurs différents sur cette épreuve[74]. À quelques heures de la fin de course, la Bentley no 7 de Gounon doit abandonner après une fuite du liquide de refroidissement et un problème de disque de frein à l'arrière[75]. En août, il effectue sa première participation en Super GT, le championnat japonais de GT, pour les 500 miles de Fuji[76]. Il fait équipe chez EIcars Bentley avec Yuji Ide et Ryohei Sakaguchi, pilotes réguliers du championnat[77]. Habituée aux pneus Pirelli en Blancpain Cup, la Bentley est équipée de pneus Yokohama, et se montre beaucoup moins à l'aise dans ce championnat[78]. Jules Gounon contribue néanmoins à l'obtention d'une treizième place, ce qui est le meilleur résultat de la saison de l'équipe en Super GT[78].

Victoire aux 1 000 kilomètres du Castellet et premières 24 Heures du Mans (2019)

modifier
Photographie de cinq hommes sur un podium, vus de face, levant leurs trophées, dans la nuit. 
Jules Gounon et ses coéquipiers remportent la première victoire de Bentley avec sa nouvelle voiture lors des 1 000 kilomètres du Castellet.

En , Jules Gounon est prolongé par Bentley M-Sport comme pilote d'usine en Intercontinental GT Challenge et en Blancpain GT Series Endurance Cup pour la saison 2019 aux côtés de Steven Kane et Jordan Pepper[79]. Il s'agit d'une année particulière pour Bentley qui célèbre son centenaire et qui commence cette année avec les 12 Heures de Bathurst[80]. Jules Gounon réalise le meilleur temps de la dernière séance d'essais libres[81]. En course, la Bentley de Gounon, malgré un très bon rythme, subit deux crevaisons et se classe finalement huitième[82]. Après deux courses hors des points en Blancpain Cup à Monza et Silverstone, il arrive au circuit Paul-Ricard ; les qualifications sont divisées en trois séances : ainsi, les trois pilotes des équipages doivent réaliser le meilleur temps possible, et un temps combiné des trois pilotes est obtenu, donnant l'ordre de la grille de départ[83]. Jules Gounon se montre le plus rapide, permettant à Bentley M-Sport de décrocher sa première pole position[83],[84]. En course, la Bentley no 107 de Gounon reste constamment aux avants-postes, inquiétée par la Lamborghini Huracán GT3 d'Andrea Caldarelli en début de course puis par la Ferrari 488 GT3 de Miguel Molina en fin de course[85]. En effet, alors que la nuit est tombée, le pilote espagnol profite d'un arrêt aux stands trop lent chez Bentley pour prendre la tête de la course, reléguant Gounon à distance de Molina[85]. Sa tâche est facilitée par une pénalité pour la Ferrari pour une infraction lors de son précédent arrêt aux stands[85]. Ceci permet à Jules Gounon de garder la tête de la course jusqu'au bout, offrant à Bentley sa première victoire depuis l'arrivée de sa nouvelle voiture en 2018[85],[86]. En juin, aidé par Stéphane Ortelli, Jules Gounon est titularisé par Risi Competizione pour participer aux 24 Heures du Mans, aux côtés de Pipo Derani et Oliver Jarvis, au volant d'une Ferrari 488 GTE[87],[88]. Qualifiés en 17e position de leur catégorie, Gounon et ses coéquipiers parviennent à terminer la course en onzième position des GTE Pro, malgré un problème mécanique dans les dernières heures de l'épreuve[89]. Il est par la suite de retour aux 24 Heures de Spa avec son équipe Bentley M-Sport, qui aligne quatre voitures, soit deux voitures de plus que pour les autres manches de la saison[90]. Jules Gounon et les Bentley sont en difficulté et accumulent les problèmes, terminant à une lointaine 49e place[91].

Photographie d'un homme blanc, en combinaison blanche et grise, en gros plan, souriant, vu de face. 
Jules Gounon sur le podium des 3 Heures de Barcelone.

Aux 10 Heures de Suzuka, alors que Bentley Motorsport change de directeur, en la personne de Paul Williams[92], Gounon et ses coéquipiers terminent huitièmes, dans le même tour que le vainqueur[93]. Aux 3 Heures de Barcelone, dernière manche de la Blancpain GT Series Endurance Cup, Jules Gounon, Steven Kane et Jordan Pepper, s'élancent de la douzième position sur la grille de départ et parviennent à remonter jusqu'à la troisième place, Gounon se montrant parmi les plus rapides dans les derniers tours pour obtenir ce nouveau podium[94], qui leur permet de terminer quatrièmes du championnat[94]. Par ailleurs, depuis les 24 Heures de Spa 2017, dans l'histoire du championnat, douze équipes différentes ont gagné les douze dernières courses, seuls deux pilotes s'imposant à deux reprises : Albert Costa et Jules Gounon (vainqueur avec Audi à Spa en 2017, et Bentley au Castellet en 2019)[94]. Pour la dernière course de la saison, aux 9 Heures de Kyalami, Bentley change la composition de ces équipes : si Jules Gounon et Jordan Pepper continuent à piloter la Bentley no 107, ils font équipe avec le Belge Maxime Soulet, ancien pilote de la no 108, qui échange sa place avec Steven Kane[95]. Un temps en tête à la faveur de la stratégie, Gounon et ses coéquipiers perdent un tour à cause de la dernière neutralisation (Full Course Yellow) et terminent finalement douzièmes[96].

Victoire aux 12 Heures de Bathurst (2020)

modifier

Début , Bentley et M-Sport prolongent sans surprise Jules Gounon en Intercontinental GT Challenge, aux côtés de Jordan Pepper et Maxime Soulet sur la Bentley Continental GT3 no 7[97]. Dans la GT World Challenge Europe Endurance Cup (anciennement connu sous le nom de Blancpain GT Series Endurance Cup), M-Sport se retire du championnat : Bentley reste néanmoins et fait alliance avec l'équipe américaine K-Pax Racing qui engage Jules Gounon, associé avec Soulet et Rodrigo Baptista[98]. Quelques semaines après, Jules Gounon est mis à disposition par Bentley pour l'équipe française cliente CMR en GT World Challenge Europe Sprint Cup (anciennement Blancpain GT Series Sprint Cup)[99]. Il est ainsi le seul pilote Bentley, en parallèle de son programme avec M-Sport en Intercontinental GT, à être engagé sur toutes les courses du GT World Challenge Europe, en Endurance avec Bentley K-Pax et en Sprint avec Bentley CMR[99]. Fin janvier, il retourne aux 24 Heures de Daytona avec le Meyer Shank Racing, sur une Acura NSX GT3 Evo[100]. Cependant la course se révèle assez difficile pour l'équipage, où l'Acura est pénalisée en vitesse de pointe à cause de la Balance of Performance (BoP ou équilibre des performances)[101]. Gounon et ses coéquipiers rencontrent également plusieurs problèmes mécaniques durant l'épreuve, mais parviennent à remonter pour terminer dixième de leur catégorie GTD[102]. En février, pour la première manche de l'Intercontinental GT Challenge, aux 12 Heures de Bathurst, Jules Gounon doit se contenter du onzième temps en qualifications[103]. Sa Bentley no 7 parvient à remonter le peloton, et figure en tête de classement à la mi-course, le Français se montrant véloce et régulier[104]. En fin de course, alors que la pluie et l'orage menacent, Jules Gounon subit une crevaison dans la dernière heure, à proximité de l'entrée des stands[105],[106]. Il parvient à ressortir en tête et franchit la ligne d'arrivée en vainqueur, remportant pour la première fois de sa carrière les 12 Heures de Bathurst[105],[106]. Il s'agit de la première victoire d'un pilote français sur la classique australienne[107]. Il s'agit également de la première victoire de Bentley au palmarès de cette épreuve, et de leur plus grande victoire en endurance depuis les 24 Heures du Mans 2003[108],[109].

Fin février, Jules Gounon obtient une dérogation de Bentley pour s'engager avec Phoenix Racing sur une Audi R8 LMS Evo aux NLS Series (anciennement VLN Series) et aux 24 Heures du Nürburgring[110]. Après la pandémie de Covid-19 et une saison de sport automobile passablement perturbée, Jules Gounon est confirmé chez Risi Competizione pour les 24 Heures du Mans au sein d'un équipage entièrement français, avec les expérimentés Olivier Pla et Sébastien Bourdais[111]. Il s'agit donc de la deuxième apparition consécutive dans la course mancelle pour Jules Gounon,qui avait fait ses débuts dans la même équipe l'an dernier[112]. Cependant, début juin, en raison de la crise sanitaire et économique, Bentley M-Sport annoncent leur retrait de l'Intercontinental GT Challenge pour le reste de la saison, malgré la victoire aux 12 Heures de Bathurst en janvier : le directeur Paul Williams déclare : « nous serons pleinement concentrés sur nos [équipes clientes] et nous devons le faire maintenant plus que jamais. »[113]. Bentley se réserve ainsi le droit de s'engager pour le reste de la saison d'Intercontinental GT Challenge, avec une autre équipe que M-Sport comme K-Pax ou CMR[113].

La saison de GT World Challenge Europe reprend finalement fin juillet, avec les 3 Heures d'Imola en Endurance Cup, permettant à l'équipe américaine K-Pax Racing de Jules Gounon de faire ses débuts sur la scène européenne[114]. Cependant, cette première épreuve se révèle peu fructueuse pour l'équipage du Français qui doit rentrer aux stands dans les dix premières minutes de course pour un problème mécanique, finissant la course avec deux tours de retard[115]. À Misano pour le début de saison de la Sprint Cup avec Bentley CMR, Jules Gounon lutte pour la victoire avec Thomas Neubauer, avant de passer le relais à son coéquipier Nelson Panciatici qui bataille également pour la première place, avant d'échouer sur la troisième marche du podium[116].

Pour la deuxième année consécutive, Jules Gounon retourne aux 24 Heures du Mans, toujours avec Risi Competizione, mais cette fois avec Olivier Pla et Sébastien Bourdais à ses côtés[117],[118]. Quatrième de la catégorie LMGTE Pro à l'arrivée[119], il retourne en GT World pour le reste de la saison avec Bentley Motorsport. Juste avant la dernière course de la saison au Castellet, le constructeur britannique décide de se retirer de la compétition à la fin d'année, laissant Jules Gounon libre de tout contrat pour 2021[120].

Passage chez Mercedes et consécration en GT (depuis 2021)

modifier

Premiers succès avec Mercedes (2021)

modifier

Toujours sans volant chez une équipe d'usine, Jules Gounon ouvre sa saison 2021 aux 24 Heures de Daytona en IMSA avec Risi Competizione, où il termine quatrième de sa catégorie GTLM[121].

En , il rejoint Mercedes-AMG pour une durée de deux ans en tant que pilote d'usine pour les programmes GT[122]. Il est ainsi engagé dans les championnats GT World Challenge Europe avec AKKA-ASP, et retrouve les ADAC GT Masters avec Zakspeed[123].

Dès son premier weekend avec Mercedes lors des 3 Heures de Monza, en Endurance Cup, il signe le meilleur temps des qualifications ainsi que le record de la piste[124]. Il termine sa première course, avec Daniel Juncadella et Raffaele Marciello, à la deuxième place du podium[124]. Il confirme en signant à nouveau la pôle position aux 24 Heures de Spa, mais l'équipage de sa Mercedes no 88 ne verra pas l'arrivée après la défaillance d'un amortisseur à six heures de l'arrivée[125].

Après un nouveau podium aux 3 Heures du Nürburgring, il décroche la victoire lors de la dernière course de l'année, aux 3 Heures de Barcelone[126], devenant le premier pilote à s'imposer en GT World avec trois constructeurs différents (Audi, Bentley et Mercedes)[127]. Échouant à quatre points du titre, il termine vice-champion d'Europe de GT[127]. Ces performances dès sa première saison lui permettent de s'affirmer comme l'un des meilleurs pilotes de sa discipline, selon le journaliste spécialiste Laurent Mercier[128].

Engagé en Sprint Cup avec l'inexpérimenté Petru Umbrarescu, il sert également de pilote référence et d'entraîneur au pilote roumain classé Silver[128]. Face à des équipes alignant parfois deux pilotes professionnels (catégorisés Platine), le début de saison est décevant, mais le duo termine la saison sur le podium à Brands Hatch puis à Valence[129].

Pour son retour en ADAC GT Masters, championnat qui l'avait révélé avec son titre en 2017, Jules Gounon arrive chez Zakspeed avec le Polonais Igor Walilko[130]. Si les premières manches sont mitigées, le Français renoue avec le succès au Lausitzring puis au Sachsenring[131].

À la suite de l'émergence du variant Omicron du SARS-CoV-2 en Afrique du Sud fin 2021, les 9 Heures de Kyalami, dernière épreuve de la saison dans le cadre de l'Intercontinental GT Challenge, sont reportées à [132]. Les qualifications sont annulées à cause de pluies torrentielles, et ce sont les temps des pré-qualifications qui sont pris en compte, permettant à Jules Gounon et ses coéquipiers de s'élancer de la pole position[133]. En course, après une longue bataille avec la Ferrari de Côme Ledogar et Alessandro Pier Guidi, Jules Gounon et sa Mercedes s'imposent finalement, lui permettant, encore une fois après l'avoir fait en GT World, de devenir le premier pilote à s'imposer dans des manches de l'Intercontinental GT Challenge avec trois constructeurs différents[133].

Double succès à Bathurst et Spa et champion GT World Challenge Europe Endurance (2022)

modifier

Jules Gounon entame sa deuxième année chez Mercedes-AMG par les 24 Heures de Dubaï au cours desquelles il termine 3e à la mi-janvier[134]. En février, il annonce ajouter un championnat supplémentaire à son programme par rapport à l'année précédente en s'engageant en British GT Championship (en) avec RAM Racing[135]. Peu après sa victoire aux 9 Heures de Kyalami (comptant pour la saison précédente), il part de l'autre côté de l'Océan Pacifique, monter sur la troisième marche du podium aux 12 Heures de Sebring dans le championnat IMSA[136].

Pour le retour des 12 Heures de Bathurst (après l'annulation de l'édition 2021 à cause de la crise sanitaire), Jules Gounon est aux avant-postes durant toute la course avant de prendre la tête après la neuvième heure, à la suite d'une pénalité pour un relais trop long d'un de ses rivaux[137],[138]. Tenant du titre après avoir gagné l'épreuve il y a deux ans pour Bentley, il garde la tête de la course jusqu'au bout et obtient la victoire devant deux autres Mercedes[137].

Après plusieurs podiums lors du début de saison du GT World Challenge Europe (en Endurance et en Sprint), Jules Gounon remporte, avec Raffaele Marciello et Daniel Juncadella, les 24 Heures de Spa pour la deuxième fois, après s'être imposé en 2017[139]. Son équipe française Akkodis ASP triomphe pour la première fois dans cette épreuve, l'équipage de la no 88 étant parti de la pole position et ayant toujours figuré dans le groupe de tête[140], malgré un tête-à-queue causé par un retardataire à trois heures de l'arrivée. Jules Gounon prend alors la tête du championnat GT World Challenge Europe Endurance Cup[141]. Malgré un abandon sur le Hockenheimring, il sécurise finalement son premier titre en GT World Challenge Europe Endurance Cup lors de la dernière épreuve à Barcelone[142]. Au contraire de son coéquipier Raffaele Marciello, il ne fait pas le doublé avec la Sprint Cup, ayant manqué plusieurs manches en raison d'engagements dans d'autres épreuves, comme notamment les 12 Heures de Bathurst ou l'ADAC GT Masters[143]. Il termine deuxième de l'Intercontinental GT Challenge, à quatre points du champion Daniel Juncadella, après avoir abandonné sur problème de pression d'eau aux 12 Heures du Golfe à Yas Marina[144].

En British GT, Jules Gounon se montre rapidement à son aise, signant une pole position avec une grande marge sur la concurrence lors de son premier meeting à Oulton Park[145]. S'il perd initialement sa victoire à cause d'une procédure de drapeau rouge, un appel de son équipe lui permet de récupérer ce succès un mois plus tard[146]. Manquant la moitié de la saison en raison d'autres engagements, il termine cinquième du championnat avec quatre podiums en autant de courses[147].

En Allemagne, pour sa troisième participation, Jules Gounon monte sur la troisième marche du podium des 24 Heures du Nürburgring[148]. Toujours outre-Rhin, il continue son programme en ADAC GT Masters avec Fabian Schiller comme coéquipier[149]. Après une première victoire en ouverture à Oschersleben[150], il est le pilote avec le plus de victoires au championnat avec son coéquipier Schiller, mais une saison en dents de scie le fera terminer seulement troisième au classement final[151].

Engagé lors de plus de trente weekends de course, vainqueur des 9 Heures de Kyalami, des 12 Heures de Bathurst, des 24 Heures de Spa et champion GT World Challenge Europe Endurance Cup, sa saison 2022 est à cette date la plus réussie, lui permettant de s'installer parmi les grands noms du GT[152].

Renouvellement du contrat avec Mercedes et nouvelles victoires (2023)

modifier

En , Jules Gounon signe un nouveau contrat pour trois années supplémentaires avec Mercedes-AMG[153]. S'il arrête l'ADAC GT Masters pour la saison 2023, il s'engage avec le constructeur allemand et WeatherTech Racing pour le championnat IMSA complet, se disputant intégralement aux États-Unis[154].

Déçu par la Fédération française du sport automobile (FFSA) qui ne l'a pas convié à la cérémonie des « Trophées du Sport Automobile » de décembre 2022 malgré sa saison riche en succès, il décide de courir sous licence andorrane à compter de la saison 2023, pays où il habite depuis deux années et où il souhaite aider les jeunes pilotes[155].

Jules Gounon commence sa saison avec les 24 Heures de Daytona dans le cadre du championnat IMSA : faisant équipe avec Daniel Juncadella, Maro Engel et Cooper MacNeil, il parvient à résister à la pression de la Ferrari d'Antonio García et de la Lexus de Jack Hawksworth pour remporter l'épreuve pour la première fois[156],[157]. Une semaine après, Jules Gounon devient le deuxième triple vainqueur des 12 Heures de Bathurst après John Bowe en s'imposant en Australie pour la troisième année consécutive[158]. Dans la dernière heure de course, avec des pneumatiques plus usés que ceux de ses poursuivants, Jules Gounon résiste dans un premier temps à son coéquipier d'écurie Maro Engel avant que celui-ci ne l'envoie dans l'herbe[159]. Pénalisé pour cette action, Engel voit ses chances de victoire s'envoler[159]. C'est enfin au tour de Matt Campbell sur sa Porsche de faire pression sur Gounon sans parvenir à le dépasser, le Français franchissant la ligne d'arrivée en vainqueur[159].

Tenant du titre des 9 Heures de Kyalami, Jules Gounon fait son retour dans l'épreuve dans la catégorie Pro-Am, où il explique que son objectif est d'aider le pilote amateur Kenny Habul, propriétaire de l'équipe SunEnergy1 Racing, à obtenir le meilleur résultat possible dans la Coupe des Indépendants[160]. Cinquième à l'arrivée, Jules Gounon, Yannick Mettler et leur patron Kenny Habul décrochent la victoire dans la catégorie Pro-Am, permettant au Français de garder la tête de l'Intercontinental GT Challenge[161].

En GT World Challenge Europe Endurance Cup, tenant du titre, il subit un abandon à Monza avant de revenir sur le devant de la scène à la manche suivante en s'imposant aux 1 000 kilomètres du Castellet[162]. Aux 24 Heures de Spa, dernier vainqueur en date, Jules Gounon vise un troisième succès mais doit se contenter de la deuxième position à une douzaine de secondes de la BMW de tête[163]. Cependant, Jules Gounon et ses coéquipiers Raffaele Marciello et Timur Boguslavskiy prennent leur revanche moins d'un mois plus tard avec une nette victoire aux 3 Heures du Nürburgring après avoir signé la pole position et le meilleur tour en course[164]. Avec cette sixième victoire dans le championnat, il égale le record de succès détenu par Maxime Martin[164]. Le trio scelle définitivement le titre lors de la dernière manche avec une cinquième position aux 3 Heures de Barcelone[165]. Avec Raffaele Marciello, Jules Gounon remporte son deuxième titre consécutif dans la catégorie, tous les deux en étant coéquipiers chez Mercedes Akkodis ASP[166].

En parallèle de sa campagne européenne, Jules Gounon est aux avant-postes aussi en IMSA aux États-Unis où, après sa victoire en catégorie GTD Pro à Daytona en début d'année, il s'impose à nouveau dans cette même catégorie à Laguna Seca[167]. Après encore une victoire de catégorie sur l'Indianapolis Motor Speedway en IMSA, il enchaîne avec une deuxième place sur ce même circuit mais cette fois en Intercontinental GT Challenge, lui permettant de conserver la tête du championnat avant la finale à Yas Marina[168]. Il continue ce mois d'octobre américain en remportant le Petit Le Mans en GTD-Pro sur le circuit de Road Atlanta, lui permettant, toujours en GTD-Pro, de terminer deuxième du classement général du championnat, et d'être sacré champion de catégorie dans la Michelin Endurance Cup, compétition basée seulement sur les résultats des épreuves de Daytona, Sebring, Watkins Glen et Petit Le Mans[169].

Jules Gounon termine sa saison par un nouveau podium aux 12 Heures d'Abou Dabi en décembre, lui permettant de décrocher sa première couronne dans l'Intercontinental GT Challenge.

Vie privée

modifier
Photographie de trois hommes assis sur le capot d'une voiture 
Jules Gounon (au centre), avec son père Jean-Marc Gounon (à gauche), et son grand-père Jean-Louis Gounon (à droite).
Photographie d'un homme en short gris, t-shirt blanc, vu de dos, jouant au golf, sous un ciel globalement ensoleillé 
Jules Gounon jouant au golf en novembre 2019.

Jules Gounon est le fils de Jean-Marc Gounon, pilote automobile français ayant participé à quelques Grands Prix de Formule 1, et ayant terminé les 24 Heures du Mans 1997 en deuxième position[170].

Jules Gounon vit à Lyon puis à Barcelone[1], avant de déménager en Andorre en 2021[171].

Il est amateur de cyclisme, de cinéma, de musique[1], mais surtout de golf qui l'aide notamment, selon lui, dans la « gestion de ses émotions », primordiale en sport automobile[172]. Une semaine avant les 24 Heures du Mans 2019, il a participé aux 24 Heures Golf, avec d'autres personnalités du sport automobile comme Jean-Karl Vernay ou le Dr. Ullrich[173].

Ses pilotes préférés sont Ayrton Senna et son père Jean-Marc Gounon, alors que le sportif hors sports mécaniques qu'il préfère est le golfeur Tiger Woods[3].

En 2015, il obtient son BPJEPS[31].

En 2021, il lance son agence « JBR Management », en coopération avec Bastian Ostian (manager), proposant du coaching, de l'entrainement physique et de l'entrainement aux médias à des pilotes professionnels et amateurs[174],[175].

Résultats en karting

modifier
  • 2010 :
    • Championnat de France Rotax, 6e (meilleur débutant)
  • 2011 :
    • Classement national du Rotax français, Vainqueur
    • Finale du Challenge national, 2e
    • Course de qualification au championnat de France, Vainqueur
    • Championnat de France de karting FFSA, 4e
    • Trophée Kart Mag Prem's, Vainqueur
  • 2012 :
    • Championnat Rhône-Alpes de karting X30, Champion
    • National Series of Karting X30, 3e
    • Championnat d'Europe de karting X30, 2e
    • Championnat du monde de karting X30, Champion

Résultats en compétition automobile

modifier
Photographie d'un homme assis sur le toit de sa voiture blanche et bleue, heureux et levant le poing. 
Jules Gounon célébrant son titre en ADAC GT Masters en 2017 sur le Hockenheimring.
Photographie de trois hommes debouts et souriants, levant à eux trois un énorme trophée, sur un podium. 
Jules Gounon (au centre) remporte les 24 Heures de Spa en 2017 pour sa première participation sur cette course.

Résultats aux 24 Heures du Mans

modifier
Tableau synthétique des résultats de Jules Gounon aux 24 Heures du Mans
Saison Écurie Voiture Coéquipiers Classe Tours Pos. Class. Pos.
2019   Risi Competizione Ferrari 488 GTE Evo   Pipo Derani
  Oliver Jarvis
LMGTE Pro 329 40e 11e
2020   Risi Competizione Ferrari 488 GTE Evo   Sébastien Bourdais
  Olivier Pla
LMGTE Pro 339 23e 4e

Articles connexes

modifier

Notes et références

modifier
  1. a b c d e f et g « Présentation », sur julesgounon.com (consulté le ).
  2. Julie Tonelli, « Opération ‘Nationale’ à Varennes », sur kartcom.com, (consulté le ).
  3. a b c et d « Au crible : Jules Gounon (Karting) », sur aubenas.fr, (consulté le ).
  4. Julie Tonelli, « De Peretti Champion, Jouvanceaux vainqueur à Laval », sur kartcom.com, (consulté le ).
  5. « Nom : Gounon - Prénom (à retenir) : Jules Vainqueur du Trophée Kart Mag Prem's avec Action Karting », sur actionkarting.fr, (consulté le ).
  6. « Jules le conquérant », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  7. « Une saison de rêve », La Tribune,‎ , p. 43 (lire en ligne).
  8. « Histoires de famille », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  9. « Jules Gounon – Pilote Automobile Ardéchois », sur planete-ardechoise.com, (consulté le ).
  10. Michel Roux, « Le pilote ardéchois Jules Gounon dans le baquet d’une F4 », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  11. « Jules Gounon et Amaury Rossero, deux jeunes pilotes prometteurs en stage à Langogne », sur midilibre.fr, Langogne, (consulté le ).
  12. Gilles Merlo-Pich, « La grande première de Jules Gounon », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  13. Guillaume Renard, « F4 – Anthoine Hubert et Jules Gounon s’illustrent à Pau », sur chequeredflags.fr, (consulté le ).
  14. (en) Valentin Khorounzhiy, « Gounon secures Magny-Cours hat-trick », sur paddockscout.com, (consulté le ).
  15. « Gounon sort du lot », Auto Hebdo,‎ , p. 63 (lire en ligne).
  16. « Jules Gounon sur tapis vert », sur ffsa.org, (consulté le ).
  17. « Jules GOUNON en démonstration à LEDENON », sur automobile-drome-ardeche.com, (consulté le ).
  18. a et b Christine Tournigand, « Automobile : Jules Gounon vice-champion de France », sur e-tribune.fr, (consulté le ).
  19. (en) « French F4 Championship 2013 standings », sur driverdb.com (consulté le ).
  20. « Antoine Hubert Volant EuroFormula », sur autohebdo.fr, (consulté le ).
  21. Laurent Mercier, « Monza : Les premières brèves… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  22. Pierre Dautriat, « Automobile : Pour Jules Gounon en Europcup, le combat sera rude », sur e-tribune.fr, (consulté le ).
  23. (en) « Formula Renault 2.0 Eurocup 2014 standings », sur driverdb.com (consulté le ).
  24. (en) « Formula Renault 2.0 NEC 2014 standings », sur driverdb.com (consulté le ).
  25. « Entretien avec Jules Gounon, pilote de monoplace et ‘’fils de’’… », sur actu-moteurs.com, (consulté le ).
  26. « JULES GOUNON: ESPOIR PORSCHE CARRERA CUP 2015 », sur autonewsinfo.com, (consulté le ).
  27. Patrick Garcia, « Jules Gounon sacré espoir Porsche Carrera Cup France 2015 », sur caradisiac.com, (consulté le ).
  28. « Le nouveau challenge de Jules Gounon », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  29. Nicolas Guillaume, « Rencontre avec Jules Gounon », sur echappement.com, (consulté le ).
  30. Laurent Mercier, « Val de Vienne, Course 1 : Jules Gounon (Martinet by Alméras) de bout en bout », sur endurance-info.com, (consulté le ).
  31. a et b Laurent Mercier, « Jules Gounon : “Porsche est une marque qui impose le respect” », sur endurance-info.com, (consulté le ).
  32. « Jules Gounon termine sa course sur le toit d’une Porsche 911 », sur divertissonsnous.com, (consulté le ).
  33. Laurent Mercier, « Insolite : Jules Gounon sur le toit de Joffrey De Narda », sur endurance-info.com, (consulté le ).
  34. Laurent Mercier, « Jules Gounon touché aux vertèbres suite à sa cabriole », sur endurance-info.com, (consulté le ).
  35. « Carrera Cup - Jules Gounon rétabli », sur autohebdo.fr, (consulté le ).
  36. (en) « Porsche Carrera Cup France 2015 standings », sur driverdb.com (consulté le ).
  37. « LES 24 HEURES DE DAYTONA CLASSIC, AU CŒUR DE LA COURSE AVEC GILLES BOYER. », sur autonewsinfo.com, (consulté le ).
  38. Claude Foubert, « 24H Daytona Classic : Résultats et photos », sur endurance-info.com, (consulté le ).
  39. Laurent Mercier, « 24H Dubai : Les brèves du mercredi… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  40. Laurent Mercier, « 24H Dubai : La liste des pilotes au départ quasiment complète », sur endurance-info.com, (consulté le )
  41. Laurent Mercier, « 24H Dubai : Le jeudi en bref… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  42. Laurent Mercier, « Jules Gounon brille en essais sur une Corvette C7 GT3-R », sur endurance-info.com, (consulté le )
  43. Laurent Mercier, « Jules Gounon : “Le plus bel endroit pour vivre de son métier est le GT3″ », sur endurance-info.com, (consulté le )
  44. Laurent Mercier, « Jules Gounon confirmé sur la Corvette C7 GT3 du Callaway Competition », sur endurance-info.com, (consulté le )
  45. Laurent Mercier, « Monza : Le vendredi après-midi en bref… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  46. Laurent Mercier, « Monza : Les échos du vendredi matin… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  47. (en) « Monza 3 Hours - (Race Results) », sur racingsportscars.com
  48. Laurent Mercier, « Monza : Les brèves d’après-course… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  49. Laurent Mercier, « Jules Gounon ouvre son compteur et celui de la Corvette C7 GT3 au Sachsenring », sur endurance-info.com, (consulté le )
  50. « Jules Gounon, vainqueur en Allemagne », sur ledauphine.com, (consulté le )
  51. Claude Foubert, « Lausitzing, course 2 : deuxième victoire pour J.Gounon/Kellwitz (Corvette) », sur endurance-info.com, (consulté le )
  52. « ADAC GT Masters : Jules Gounon finalement vainqueur », sur ledauphine.com, (consulté le )
  53. Laurent Mercier, « Kévin Estre et Jules Gounon brillent sur le Red Bull Ring », sur endurance-info.com, (consulté le )
  54. « ADAC GT masters : Jules Gounon perd la tête à Zandvoort », sur ledauphine.com, (consulté le )
  55. « ADAC GT - Gounon accidenté à Hockenheim », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  56. « Un gros crash et une jambe cassée pour Jules Gounon », sur ledauphine.com, (consulté le )
  57. (en) « ADAC GT Masters 2016 standings », sur driverdb.com (consulté le )
  58. « Jules Gounon avec Land Motorsport à Daytona », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  59. « 24H. de Daytona - Première réussie pour Jules Gounon », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  60. Laurent Mercier, « Jules Gounon (AKKA-ASP) : « Plus le challenge est relevé, plus la victoire est belle » », sur endurance-info.com, (consulté le )
  61. Laurent Mercier, « Red Bull Ring, Course 1 : Gounon/Keilwitz imposent la Corvette C7 GT3/Callaway Competition », sur endurance-info.com, (consulté le )
  62. Laurent Mercier, « Zandvoort, Course 1 : Gounon/Van der Zande imposent la Corvette Callaway Competition », sur endurance-info.com, (consulté le )
  63. Pierre Tassel, « ADAC GT-C1 : Jules Gounon augmente son avance au championnat », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  64. « 24h de Spa - Jules Gounon pilote officiel Audi », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  65. Pierre Tassel, « 24h de Spa - Audi et Saintéloc triomphent au bout du suspense », sur autohebdo.fr, Circuit de Spa-Francorchamps, (consulté le )
  66. « 24h de Spa-Francorchamps: victoire d'Audi avec Haase, Winkelhock et Gounon », sur rtl.be, (consulté le )
  67. « ADAC GT - Un nouvel équipier pour Jules Gounon au Nürburgring », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  68. « Jules Gounon champion de l’ADAC GT Masters », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  69. a et b Pierre Tassel, « Blancpain GT - Jules Gounon rejoint Bentley Motorsport », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  70. « Bathurst : Jules Gounon débute avec Bentley, Kevin Estre avec Porsche », sur ledauphine.com, (consulté le )
  71. (en) « Liqui-moly Bathurst 12 Hour 2018 standings », sur driverdb.com (consulté le )
  72. « Guy Smith remplacé par Jordan Pepper chez Bentley après Silverstone », sur endurance-info.com, (consulté le )
  73. Frédéric Kevers, « 1000 KM du Paul Ricard - Superbe victoire dans le dernier tour pour Emil Frey Lexus Racing, sur le fil devant Bentley », sur actu-moteurs.com, (consulté le )
  74. Gauthier Castaldi, « 24 Heures de Spa : Gounon défend son bien », sur ledauphine.com, (consulté le )
  75. « 24H de Spa - La Bentley n°7 perd pied », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  76. « Jules Gounon confirmé pour le rendez-vous de Fuji », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  77. « Jules Gounon en renfort chez EIcars à Fuji », sur endurance-info.com, (consulté le )
  78. a et b Pierre-Laurent Ribault, « Super GT 2018-5 : Doublé Lexus aux 500 miles de Fuji », sur leblogauto.com, (consulté le )
  79. Gauthier Castaldi, « Gounon prolonge avec Bentley en 2019 », sur ledauphine.com, (consulté le )
  80. (en) « Bentley races into Centenary year at Bathurst », sur bentleymotors.com, (consulté le )
  81. « 12H Bathurst, Libres 5 : Bentley Team-Sport en pointe », sur endurance-info.com, (consulté le )
  82. « VICTOIRE DE LA PORSCHE 911 GT3 R DEVANT LES ASTON MARTIN ET MERCEDES AUX 12 HEURES DE BATHURST », sur autonewsinfo.com, (consulté le )
  83. a et b Martin Angus, « Bentley prend l'avantage au Castellet en Blancpain GT », sur franceracing.fr, (consulté le )
  84. Pierre Tassel, « Jules Gounon offre la pole à Bentley Team M-Sport au Paul Ricard », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  85. a b c et d Martin Angus, « Blancpain GT, Circuit Paul Ricard : Bentley mène du début à la fin », sur franceracing.fr, (consulté le )
  86. Pierre Tassel, « Première victoire pour la nouvelle Bentley en Endurance Cup », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  87. Jacques-Armand Dupuis, « Le Mans - Jules Gounon confirmé chez Risi », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  88. Frédéric Veille, « 24 Heures du Mans 2019 : Jules Gounon sur les traces de son père », sur rtl.fr, (consulté le )
  89. « Post Race Report from Risi Competizione – 2019 24 Hours of Le Mans », sur motegiracing.com, Le Mans, (consulté le )
  90. Pierre Tassel, « Bentley officialise ses lignes pour Spa, Pipo Derani en renfort », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  91. (en) Sam Tickell, « Spa, Bentley and M-Sport according to Jules Gounon », sur racerviews.com, (consulté le )
  92. Laurent Defet, « Seb Morris poursuit chez Bentley Team M-Sport aux 10 Heures de Suzuka », sur endurance24.fr, (consulté le )
  93. Laurent Mercier, « 10H Suzuka : Audi Sport Team WRT de bout en bout », sur endurance-info.com, (consulté le )
  94. a b et c (en) « The Weekend Roundup: Barcelona », sur racingworld24.com, (consulté le )
  95. Pierre Tassel, « Bentley Team M-Sport modifie ses lignes pour Kyalami », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  96. (en) John Dagys, « Kyalami Post-Race Notebook », sur sportscar365.com, (consulté le )
  97. Medhi Casaurang-Vergez, « M-Sport se concentre sur l'IGTC avec Bentley en 2020 », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  98. Pierre Tassel, « K-Pax Racing en pointe de l'engagement de Bentley en Endurance Cup », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  99. a et b Pierre Tassel, « CMR engagé avec Bentley en GT World Challenge Europe », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  100. Pierre Tassel, « Jules Gounon avec Meyer Shank Racing à Daytona », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  101. (en) Jamie Klein, « Acura's Daytona BoP "a tough pill to swallow" », sur motorsport.com, (consulté le )
  102. (en) « Top-10 results for both NSX GT3 Evos at Daytona 24 Hours », sur jasmotorsport.com, (consulté le )
  103. Florian Defet, « 12H de Bathurst, EL5 : Jules Gounon et Bentley Team M-Sport se montrent avant les qualifs », sur endurance24.fr, (consulté le )
  104. Laurent Mercier, « 12H Bathurst, H+7 : Gounon et Bentley font le show en piste… », sur endurance-info.com, (consulté le )
  105. a et b (en) « Bathurst 12 Hour: Gounon, Soulet and Pepper win for Bentley », sur autosport.com, (consulté le )
  106. a et b Medhi Casaurang-Vergez, « 12 Heures de Bathurst - Triomphe pour Bentley et Gounon-Soulet-Pepper », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  107. « Jules Gounon s'offre une première historique en Australie ! », sur ledauphine.com, (consulté le )
  108. John Dagys, « Gounon: “Racing Gods” Were With Bentley in Wild Final Hour », sur sportscar365.com, (consulté le )
  109. (en) Michael Eubanks, « Bentley scores maiden Bathurst 12 Hour win », sur nbcsports.com, (consulté le )
  110. Pierre Tassel, « Jules Gounon avec Phoenix Racing », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  111. Gaël Angleviel, « Bourdais, Pla, Gounon chez Risi Competizione aux 24 Heures du Mans », sur franceracing.fr, (consulté le )
  112. Basile Davoine, « Bourdais et Pla rejoints par un troisième Français pour Le Mans », sur motorsport.com, (consulté le )
  113. a et b Pierre Tassel, « Bentley Team M-Sport met un terme prématuré à sa saison 2020 », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  114. Pierre Tassel, « K-Pax prêt à « passer au niveau suivant » », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  115. Pierre Tassel, « Team WRT réalise la course parfaite à Imola », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  116. Florian Defet, « GT World Ch. Eu. Sprint – Misano, course 1 : Vanthoor, Weerts et Audi/WRT s’imposent », sur endurance24.fr, (consulté le )
  117. Pierre Tassel, « Jules Gounon : « Nous sommes les vrais outsiders » », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  118. Guillaume Nédélec, « 24 Heures du Mans. Jules Gounon : « Prendre soin de la Ferrari » », sur ouest-france.fr, (consulté le )
  119. « Palmarès de Jules Gounon aux 24H du Mans », sur les24heures.fr (consulté le )
  120. Pierre Tassel, « Bentley Motorsport mettra fin à son programme officiel après Kyalami », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  121. « 24h de Daytona 2021 : 7 Français sur le podium ! », sur sports.auto-moto.com, (consulté le )
  122. (en) Andy Lloyd, « GT: Jules Gounon Joins Mercedes-AMG For 2021/22 », sur motorsport.radio, (consulté le )
  123. (de) « Ex-Meister kehrt mit Zakspeed in das ADAC GT Masters zurück », sur motorsport-xl.de, (consulté le )
  124. a et b Pierre Tassel, « Jules Gounon n'a pas manqué son retour chez AKKA-ASP », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  125. (en) Andy Lloyd, « AKKA ASP on Provisional Pole for Spa 24 », sur enduranceandgt.co.uk, (consulté le )
  126. (en) Daniel Lloyd, « AKKA-ASP Wins 3H Barcelona; Iron Lynx Drivers Clinch Title », sur sportscar365.com, (consulté le )
  127. a et b « L’Ardéchois Jules Gounon vice-champion d’Europe », sur ledauphine.com, (consulté le )
  128. a et b Laurent Mercier, « Jules Gounon : "Ne pas s'enflammer et ne pas avoir de regret" », sur endurance-info.com, (consulté le )
  129. (en) « GT WORLD CHALLENGE EUROPE VALENCIA WEEKEND ROUNDUP », sur sportscarracingnews.com, (consulté le )
  130. (en) Martina Müller, « Jules Gounon: "Level of the ADAC GT Masters very high". », sur speedweek.com, (consulté le )
  131. « L’Ardéchois Jules Gounon gagne encore », sur ledauphine.com, (consulté le )
  132. Alexis Plisson, « Les 9H de Kyalami reportées du 3 au 5 février prochain », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  133. a et b Enzo Blin, « IGTC Kyalami : Marciello, Gounon, Boguslavskiy s'imposent, Ledogar / Pier Guidi titrés », sur franceracing.fr, (consulté le )
  134. Éliane Gilain, « Doublé Audi WRT aux 24 Heures de Dubaï; Mikaël Grenier sur le podium ! », sur poleposition.ca, (consulté le )
  135. Valentin Glo, « Jules Gounon avec RAM Racing en British GT », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  136. « 12 Heures de Sebring : Jules Gounon signe un nouveau podium », sur ledauphine.com, (consulté le )
  137. a et b Gonzalo Forbes, « SunEnergy1 et Gounon remportent les 12 Heures de Bathurst », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  138. John Rowberg, « VICTOIRE DE JULES GOUNON ET TRIPLÉ MERCEDES À BATHURST EN AUSTRALIE », sur autonewsinfo.com, (consulté le )
  139. Thibaut Villemant, « 24H de Spa – ASP et Jérôme Policand touchent enfin au but ! », sur endurance-info.com, Circuit de Spa-Francorchamps, (consulté le )
  140. « Mercedes remporte les 24 Heures de Spa grâce à l’écurie française Akkodis-ASP », sur ouest-france.fr, (consulté le )
  141. Sébastien Gente, « Endurance : Jules Gounon s’impose aux 24 Heures de Spa », sur dicodusport.fr, (consulté le )
  142. « L'Ardéchois Jules Gounon devient champion d’Europe ! », sur ledauphine.com, (consulté le )
  143. « GT WORLD CHALLENGE A CATALUNYA : TRIOMPHES ITALIENS.MARCIELLO ET ASK CHAMPION », sur autonewsinfo.com, (consulté le )
  144. Medhi Casaurang, « Doublé pour AF Corse aux 12 Heures du Golfe, Daniel Juncadella champion IGTC 2022 », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  145. (en) Joe Hudson, « Jules Gounon: “You are always chasing the perfect lap” », sur gt-report.com, (consulté le )
  146. (en) James Newbold, « British GT Oulton Park result overturned after RAM appeal upheld », sur autosport.com, (consulté le )
  147. (en) « Intelligent Money British GT Championship - GT3 2022 standings », sur driverdb.com (consulté le )
  148. Enzo Blin, « 24 Heures du Nürburgring : 6ème succès dans l'Eifel pour Audi et Phoenix Racing ! », sur franceracing.fr, (consulté le )
  149. Medhi Casaurang, « Jules Gounon de retour en ADAC GT Masters », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  150. « Gounon confirme à Oschersleben », sur ledauphine.com, (consulté le )
  151. Jean-Baptiste Lassaux, « ADAC GT Masters – Raffaele Marciello champion 2022, Emil Frey Racing remporte le titre Équipe », sur sport-auto.ch, (consulté le )
  152. Geoffroy Barre, « Jules Gounon, le maître du GT », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  153. Laurent Mercier, « Un nouveau contrat de trois ans pour Jules Gounon avec Mercedes-AMG », sur endurance-info.com, (consulté le )
  154. Gonzalo Forbes, « Gounon avec WeatherTech Racing à Daytona et pour le reste la saison », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  155. Dorian Granger, « Jules Gounon change de nationalité sportive », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  156. Guillaume Vachey, « 24H Daytona 2023 : Le triomphe d'Acura et du Meyer Shank ! », sur franceracing.fr, (consulté le )
  157. « Endurance - La France brille aux 24 Heures de Daytona ! », sur sports.auto-moto.com, (consulté le )
  158. Gonzalo Forbes, « 12 Heures de Bathurst – SunEnergy1 conserve sa couronne, 3e victoire pour Gounon », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  159. a b et c Geoffroy Barre, « Mercedes remporte les 12 Heures de Bathurst 2023, Jules Gounon triple vainqueur de l'épreuve », sur endurancemag.fr, (consulté le )
  160. (en) John Dagys, « Gounon Focused on Kyalami Pro-Am Honors With SunEnergy1 », sur sportscar365.com, (consulté le )
  161. Laurent Mercier, « Doublé des BMW M4 GT3/WRT aux 9H de Kyalami », sur endurance-info.com, (consulté le )
  162. Gautier Camels, « Akkodis ASP s’impose aux 1000 km du Paul Ricard », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  163. Charles Guiraud, « 24 Heures de Spa : « Il m’a impressionné par sa maturité », l'Ardéchois Jules Gounon arrache une belle deuxième place », sur ledauphine.com, (consulté le )
  164. a et b Florian Defet, « GTWC – Nürburgring : Victoire triomphale de Gounon, Marciello, Boguslavskiy et Akkodis ASP Team (Mercedes) ! », sur endurance24.fr, (consulté le )
  165. Charles Guiraud, « « Dans 10-15 ans, on s’en rappellera » : Jules Gounon, ce pilote ardéchois qui gagne tout ou presque en Endurance », sur ledauphine.com, (consulté le )
  166. Pierre Tassel, « Gounon - Marciello, duo magique d'Akkodis-ASP », sur endurance-info.com, Circuit de Barcelone, (consulté le )
  167. (en) « Gounon and Juncadella Co-Drive the No. 79 WeatherTech Racing/Proton Competition Mercedes-AMG GT3 to Second IMSA GTD Pro Victory of the Season at WeatherTech Raceway Laguna Seca », sur conceptcarz.com, (consulté le )
  168. Gonzalo Forbes, « Troisième victoire de rang pour BMW, Team WRT célèbre à Indianapolis », sur autohebdo.fr, (consulté le )
  169. Pierre Tassel, « Petit Le Mans - WeatherTech Racing et Forte Racing lauréats en GTD PRO / GTD », sur endurance-info.com, (consulté le )
  170. Martin Businaro, « Course de leur vie #36 Jean-Marc Gounon, France 1994 », sur f1i.fr, (consulté le ).
  171. Thibaut Emme, « Pourquoi Jules Gounon courra pour Andorre en 2023 ? », sur leblogauto.com, (consulté le )
  172. Florian Defet, « Jules Gounon (Risi Competizione) : « respecter le circuit et la légende du Mans » », sur endurance24.fr, (consulté le )
  173. « 24 H Golf 2019: Jules Gounon sur le green du Mans », sur lemans.org, (consulté le )
  174. Laurent Mercier, « Jules Gounon et Bastien Ostian lancent JBR Management », sur endurance-info.com, (consulté le )
  175. (en) « Our drivers », sur jbrdrivermanagement.com (consulté le )

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :