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Jean Antoine Gros

peintre, miniaturiste, graveur et illustrateur français

Jean-Antoine Gros, né le à Toulouse et mort le à Paris[1], est un peintre, miniaturiste, graveur et illustrateur français, collectionneur et commerçant d'œuvres d'art.

Jean-Antoine Gros
Naissance
Décès
(à 57 ans)
Paris
Période d'activité
Activité
Élève
Lieu de travail
Mouvement
Conjoint
Cécile Madeleine Gros (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Biographie

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Jean-Antoine Gros commence une carrière de professeur de dessin à l'école des beaux-arts de Toulouse. Il s'oriente vers la peinture de portraits en miniatures. Il se passionne pour l'art et devint un collectionneur avisé de tableaux[2].

En 1747, il grave à la taille-douce, le frontispice de la thèse, imprimée à Montauban, sous le titre Exercices littéraire, soutenu dans le collège de Gimont et représentant Moïse présentant les tables de la Loi[3].

En 1759, il grave un nouveau frontispice pour la thèse Sur les empêchements de mariage, soutenue par Joseph Rest devant la Faculté de droit de Toulouse[4].

Le , il grave le frontispice de la thèse de philosophie soutenue au collège de l’Esquile à Toulouse[5].

En 1764, il épouse, à l'église Saint-Eustache de Paris, Félicité Labille, sœur de la miniaturiste et pastelliste Adélaïde Labille-Guiard. Mais quatre ans plus tard, Félicité Labille mourut[6].

Le il continue de graver des frontispices pour des thèses philosophiques de candidats présentées au Collège Royal à Paris[7].

Le , il se remarie avec Madeleine Cécile Durant (1745–1831) qui, comme sa première épouse, était également miniaturiste et pastelliste.

Le naquit leur fils Antoine-Jean Gros (1771-1835). Il apprend à son fils à dessiner à l’âge de six ans, et se montre dès le début un maître exigeant.

En 1778, la peintre Élisabeth Vigée Le Brun réalise le portrait du jeune Antoine-Jean âgé de 7 ans. Elle lui donnera par la suite, ses premiers cours de peinture. À l'âge de 14 ans, son fils entre, de son propre gré, à l’atelier de David, qu’il fréquente assidûment tout en continuant de suivre les classes du collège Mazarin.

Il meurt le à Paris.

Notes et références

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Liens externes

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