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Institution Notre-Dame de Sainte-Croix

école catholique, du primaire aux classes préparatoires (Neuilly-sur-Seine)

L’Institution Notre-Dame de Sainte-Croix, souvent appelée Sainte-Croix de Neuilly, est un établissement d’enseignement catholique sous contrat d’association avec l’État, situé à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine en France.

Notre-Dame de Sainte-Croix
Description de l'image Écusson de Notre-Dame de Sainte-Croix de Neuilly.jpg.
Description de cette image, également commentée ci-après
Le bâtiment historique de l'établissement.
Histoire et statut
Fondation 1856
Type Enseignement privé sous contrat d’association avec l’État
Administration
Composante tutelle de l’évêque de Nanterre
Académie Versailles
Directeur Dominique de Chermont
Études
Population scolaire 2100
Formation École primaire, collège, lycée général, classes préparatoires aux grandes écoles
Options Musique, histoire des arts, théâtre
Langue(s) des cours Anglais, allemand, espagnol,
chinois, italien,
latin, grec ancien
Localisation
Ville Neuilly-sur-Seine
Pays Drapeau de la France France
Site web saintecroix-de-neuilly.com
Coordonnées 48° 52′ 56″ nord, 2° 16′ 53″ est
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Institution Notre-Dame de Sainte-Croix

Histoire

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Historique

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L'institution sur une carte postale ancienne.

Fondé en 1856 au château des Ternes par la congrégation des Pères, Frères et Sœurs de Notre-Dame de Sainte-Croix, l’établissement est transféré à son emplacement actuel en 1866[1]. Il se constitue alors en « Société civile des propriétés sises à Neuilly » et prend le nom de « Collège Notre-Dame-de-Sainte-Croix à Neuilly ». En 1889, un achat de terrain double la superficie de la propriété qui, à l'origine, était de 6 000 m2[2]. En 1904, Sainte-Croix comptait six cents élèves[3].

Les décrets contre les congrégations obligent les pères à s’exiler aux États-Unis et au Canada.

Une période de troubles et de persécutions suit. La direction, prête à la critique, et la rupture des liens avec l'archevêché font tomber le nombre des élèves à 150 en 1910. C'est à cette date que l'établissement devient « collège diocésain » et se constitue en société anonyme. C'est alors qu'à la demande des familles, l’archevêché de Paris accepte d'intervenir et envoie comme directeur l'un de ses prêtres, l'abbé Pierre Petit de Julleville, aidé de l'abbé René Barbier de la Serre, qui le secondera durant les 17 années où il restera à son poste, avant d'être nommé évêque de Dijon. Durant ces années, il recrée le collège qui, en 1918, compte sept cents élèves[3],[4].

16 professeurs et 152 élèves ou anciens élèves meurent pendant la Première Guerre mondiale[2].

En 1922, la société achète le « petit collège », boulevard Victor-Hugo, où sont transférés les élèves des classes élémentaires pour lesquels avait été édifié en 1912 un bâtiment provisoire qui fut pendant très longtemps occupé par les classes de cinquième et sixième du « moyen collège ». Par la suite, la progression des effectifs est constante : 900 élèves en 1923, 1 200 en 1935, 1 500 en 1959, 1 680 en 1972 et 1 750 en 1974.

Il devient mixte en 1983, les premières bachelières l’ont été en 1988. Depuis 1993, le chef d’établissement est un laïc.

En 2010, l’Institution fête ses 100 ans en tant qu’établissement diocésain.

Appellation

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Le nom d'origine est « Institution Notre-Dame de Sainte-Croix », généralement abrégé en « Sainte-Croix ». Depuis le décret no 77-521 du 18 mai 1977 portant application aux établissements d'enseignement privé sous contrat de la loi du 11 juillet 1975 (connue sous le nom de réforme Haby), les classes primaires s'appellent « École privée Sainte-Croix », les classes du premier cycle du secondaire « Collège privé Sainte-Croix » et les classes du second cycle « Lycée privé Sainte-Croix »[5].

Les bâtiments

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Construit en 1875, le bâtiment principal, situé au no 30 de l'avenue du Roule, à l'angle avec la rue Parmentier[2], a été acheté par la congrégation de Sainte-Croix du Mans pour agrandir leur école. Ce bâtiment est inscrit à l’Inventaire général du patrimoine culturel de la France[6]. Il a été agrandi plusieurs fois, et de nouveaux bâtiments ont été construits : en 1909 (bâtiment des classes prépas avant sa démolition), en 1978 le lycée et gymnase et en 1987 les laboratoires.

De 2011 à 2013, des travaux ont lieu en vue de construire un nouveau bâtiment plus moderne pour le lycée et les laboratoires, remplaçant les bâtiments de 1909, 1978 et 1987. En effet, l’institution était partiellement locataire de la ville de Paris pour des terrains sur lesquels se trouvaient ces bâtiments. La commune de Paris voulant récupérer une partie des terrains au terme du bail, une réorganisation de l’établissement s’imposait. L’établissement a donc racheté une partie des terrains loués et en a vendu d’autres, avant de commencer les travaux[7]. Un immeuble de bureaux, siège social de Clarins, un hôtel Marriott 4 étoiles et des logements étudiants sont construits sur les terrains récupérés par la commune de Paris[8] ,[9],[10]. La construction du nouveau bâtiment devait être terminée pour la rentrée de l'année scolaire 2013-2014.

Sainte-Croix des Neiges

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En 1946, l’abbé Jean de Clarens, préfet de la classe de seconde, part dans les Alpes chercher un établissement en montagne où les élèves pourront étudier dans de meilleures conditions. C’est en 1948 qu’il choisit le chalet « l’Edelweiss » à Abondance, région dépourvue de brouillard, située à 930 mètres d’altitude, où les enfants pourront consolider et recouvrer la santé. Cet établissement sera alors connu sous le nom de « Sainte-Croix des Neiges ». Il dépend de l’académie de Grenoble, perdure et dispose de deux internats (garçons et filles)[11].

Organisation

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Les Petits Chanteurs, en concert à Séoul en août 2013.

L'institution accueille environ 2 100 élèves[12].

L'école primaire est située 44, boulevard Victor-Hugo, également à Neuilly-sur-Seine. Appelée le « petit collège », cette école primaire accueille les élèves de la première section de maternelle jusqu’au CM2.

Le collège et le lycée — situés 30, avenue du Roule — accueillent environ 1 500 élèves de la 6e jusqu’aux classes préparatoires (écoles de commerce). Elle propose un enseignement général.

Une classe Cerène (Centre de référence pour l'évaluation neuropsychologique de l'enfant)[13] accueille des enfants ayant des troubles spécifiques des apprentissages, autrement appelés troubles « dys » (dyslexie, dyspraxie, dysgraphie...).

Le « lycée du soir » accueille des étudiants en reprise d'études, qui ont besoin d'un accompagnement spécifique pour réussir le baccalauréat.

L’institution est également connue pour son chœur de garçons fondé en 1956 : la Maîtrise de Sainte-Croix de Neuilly - The Paris Boys Choir[2], dirigée depuis 1983 par François Polgár. Ce chœur a pris la suite d'une Schola qui existait dès les origines de l'établissement.

Classements

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Classement du lycée

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Le magazine L'Express publie chaque année un classement des lycées en fonction de trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[14]. En fonction de ces critères et pour les résultats 2014, ce lycée a été classé 18e sur 52 au niveau départemental quant à la qualité d'enseignement, et 418e sur 2 301 au niveau national[15].

Le lycée affiche depuis plusieurs années un taux de réussite de 100 % au baccalauréat[15], mais seulement 70 % à 80 % des élèves de Seconde de cet établissement y poursuivent leurs études jusqu'au baccalauréat[15].

Classement des CPGE

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Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles.

Dans le classement annuel de L'Étudiant, la CPGE Sainte-Croix est classée 10e prépa de France pour le top 10 des écoles de commerce (HEC, ESSEC, ESCP BS, EM Lyon, EDHEC, ENS Paris-Saclay (ex-Cachan), Audencia, Grenoble École de Management, Neoma, Skema, Toulouse Business School) avec un taux d'intégration de 92,2 % en moyenne entre 2016 et 2020.

En 2021, 31,50 % de la promotion a intégré le top 3 (HEC, ESSEC, ESCP) et 80,3 % le top 6, confirmant ainsi la progression des années précédentes.

Personnalités liées à l'établissement

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Direction

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Raymond Dusoullier (juin 1967).

La direction de l'établissement est historiquement assurée par un « supérieur », aidé de plusieurs personnes pour la plupart prêtres :

  • Pierre Petit de Julleville, cardinal, directeur (1910-1914, 1918-1927), aidé de René Barbier de la Serre, préfet des études (1910-1927) ;
  • Joseph Deconinck, directeur (1927-1932)[16] ;
  • Chanoine Gouget, directeur (1932-1942)[17] ;
  • Raymond Dusoullier, directeur (1942 - ) ;
    Raymond Dusoullier ( - ) est prêtre du diocèse de Paris, prélat de Sa Sainteté, chanoine honoraire de Notre-Dame de Paris. Prisonnier de guerre[18], ancien élève de l'École pratique des hautes études[19], il est nommé à l’école Saint-Jean-de-Passy, sous-directeur en 1937-1941 ; il y fonde en 1926, avec le chef Jean Pesneaud, la troupe scoute 26e Paris. Il est plus tard aumônier diocésain de Paris ouest I, puis directeur de Sainte-Croix de Neuilly en 1942[20],[21].
  • Christian Olivier, directeur (-1993)[22] ;
    Christian Olivier (1923-2014) est docteur en droit, avocat à la cour, puis prêtre du diocèse de Nanterre. Aumônier du lycée La Folie Saint-James à Neuilly-sur-Seine, il est ensuite directeur de Sainte-Croix de 1968 à 1993, puis curé de la paroisse Saint-Jacques de Neuilly-sur-Seine[23].
  • Philippe Roger, chef d'établissement coordinateur[24] (1993-2016).
  • Pierrick Madinier (2016 - )[25].
  • Sabine Kimmel ( - rentrée 2022) par intérim[25]
    Sabine Kimmel, jeune retraitée, dirigeait précédemment l'école Saint-Justin de Levallois-Perret[25].

Enseignants

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  • Paul Archambault (1883-1950), professeur de philosophie.
  • Christian Bonnard, ancien élève (promo 1960), ancien professeur, puis préfet de division, puis directeur-adjoint (1964-1996).
  • Patrick Chauvet (1951), ancien élève (promo 1970), aumônier de 1981[26] à 1984, il y enseigne pendant deux ans le français, le latin et le grec.
  • Abbé Jean Emerich (1910-1978), ordonné en et aussitôt nommé préfet à Sainte-Croix, il y reste jusqu'à sa mort. Nommé sous-directeur en 1948, il a enseigné l'anglais puis — directeur des sports — y a développé les colonies de vacances à Vattetot-sur-Mer et le sport (ski, football, équitation, « fêtes de gymnastique »). Également très doué pour le dessin, il est l'auteur de la croix de profession de foi, de la croix des petits chanteurs et de l'écusson du collège[27].
  • Tibor Gertler (1902-1991), professeur de dessin dans les années 1960 jusqu'en [28].
  • Amédée Guiard (1872-1915), professeur de grec.
  • Victor Janton (1906-1998), professeur de philosophie de 1930 à 1934[29].
  • André Lafon (1883-1915), préfet d'étude[30].
  • Leslie Manigat (1930-2014), professeur d'histoire-géographie dans les années 1960, avant d'être le 43e président de la République d'Haïti.
  • Pierre-Henri Mesmin (1887-1975), organiste, compositeur de musique, professeur de musique de 1911 à 1961[31],[32].
  • Maurice Nédoncelle (1905-1976) : à la fin de ses études supérieures, il logeait au collège et y assurait le remplacement de professeurs de lettres et faisait passer des « colles » aux élèves des grandes classes[33].
  • Abbé François Pinardel (1886-1975), préfet de division, professeur de géographie[34].
  • Abbé Bernard Plongeron (1931), professeur d'histoire-géographie dans les années 1960.
  • Pierre Rezé (1925-2011), professeur de lettres des années 1960 aux années 1980[35].
  • Brigitte Rossigneux (1951), professeur d'allemand.
  • Abbé Laurent Sentis (1950), aumônier à partir de , à la suite de Patrick Chauvet
  • Jean Suberville (1887-1953), professeur de lettres (1920-1952)[36].
  • Robert Vintousky (1902-1995), ancien recordman de France de saut à la perche, professeur de sport.

Anciens élèves ayant terminé leurs études à Sainte-Croix

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   Élève de Sainte-Croix de Neuilly 

L’année indiquée pour la promotion est celle du passage du baccalauréat.

 
Une classe vers 1903. Abbé Hermeline et Pierre Renoir (2e rang, 4e à droite).
Anciens élèves ayant terminé leurs études à Sainte-Croix
Prénom et nom Promotion
Manuel Aeschlimann 1982[37],[38],[39]
Jacques Allard 1922[40]
Dominique Ambiel 1971[37],[41],[39]
Jean Ayral 1939[37]
Olivier Babeau 1993[37]
Wally Badarou 1974
Francis Bardot 1963[40]
Frédéric Bedin 1981[37],[42],[43]
Bruno Bich 1964[37]
Henry Bizot 1918[40]
Gonzague de Blignières 1974[37],[44]
Bernard Boesch 1931[40]
Philippe Breton 1954[37],[45]
Pierre de Calan 1928[40]
Ambroise-Marie Carré 1926[40],[46]
Henri Cazelles 1929[40]
Dominique Charpin 1971[40]
Patrick Chauvet 1970[40]
Christian Combaz 1972[37],[43]
Bernard Cordier 1968[40]
Fabrice Dalis 1985[37]
Jean Daniélou 1922[40]
Dominique-Marie Dauzet 1978[37]
André Debray 1922[40]
Didier Decoin 1962[40],[47]
Jean Delaunay 1939[40],[39]
François-Xavier Demaison 1991[37],[39]
Robert Détroyat 1927[37]
Renaud Donnedieu de Vabres 1971[37],[48],[39]
François Drouin 1968[49]
Jean-Baptiste Duroselle 1935[50],[43]
Michel Faré 1931[39]
Philippe Fauquet 1939[37]
Jacques Ferronnière 1923[39]
Pierre Foldes 1969[37],[43]
Bruno Galland 1981[40]
Pierre Giacometti 1980[37],[51],[39]
Bertrand Girod de l'Ain 1941[37]
Louis de Guébriant 1934[40]
Claude Hennion 1968[40]
René Héron de Villefosse 1920[40],[52]
Édouard Husson 1986[37],[43]
Philippe Juvin 1981[37],[39]
Vincent de La Soudière 1958[40]
Patrice de La Tour du Pin 1928[40]
Bernard Lefort 1940[53]
Olivier Le Gendre 1968[40]
Nicolas Lhernould 1992
Bernard Louzeau 1946[40]
Roland du Luart 1958[37],[39]
Jean-Denis Maillart 1932[37],[39]
Robert Mallet 1933[40],[54]
André Malterre 1927[40]
Raymond Marcillac 1936[55],[39]
Jacques Mareuil 1936[40]
Michel Maury-Laribière 1938[40]
Carl Meeus 1984[37]
Bernard Ménez 1961[56],[39]
Jacques Merlin 1919[57]
Marc de Montjou 1912[40]
Paul Otchakovsky-Laurens 1964[37],[58]
Joseph Oughourlian 1989
Bernard Pache 1951[59]
Georges Penchenier 1937[40]
Gérard Pfister 1968[40]
Jean Piat 1943[37],[60]
Léon Poirier 1901[61]
François Polgár 1964[40]
Benoît Prot 1968[40]
Paul-Emmanuel Reiffers 1985[37]
Pierre Renoir 1904[62]
Jean Rigaud 1930[40],[63]
Geoffroy Roux de Bézieux 1980[37],[43]
Georges Scapini 1912[39]
Eugène Schueller 1899, fondateur de L'Oréal[37],[64]
Agathe Schumacher 1992[37]
Étienne Vatelot 1943
Maurice Vaussard 1906[65]
Jean Vercoutter 1928[37]
Pierre de Villemarest 1942[37],[39]
Augustin de Villeneuve-Bargemont 1927[37]

Anciens élèves ayant passé au moins un an à Sainte-Croix

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Photo d'une classe (vers 1906) à Sainte-Croix. Au centre, l'abbé Litter, directeur, et derrière lui l'abbé Maillard[66].

Notes et références

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Références

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  1. Site de la mairie de Neuilly-sur-Seine.
  2. a b c et d « Institution Ste-Croix », neuillysurseine.fr, consulté le 25 août 2023.
  3. a et b Évolution des problèmes immobiliers de l'école depuis sa création, in Bulletin de Notre-Dame-de-Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1975, p. 12-14.
  4. Notice écrologique du cofondateur de Sainte-Croix : Monseigneur René de la Serre, in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1969, p. 4-9.
  5. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, Pentecôte 1981, p. 19-20.
  6. « Maison Sainte-Croix dite Ecole, Collège, Lycée Sainte-Croix, Ecole », notice no IA00079755, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  7. « Note d’information du directeur sur les travaux », sur le site de l'établissement (consulté le ).
  8. « Valode & Pistre et Bouygues immobilier réaliseront le siège de Clarins. », sur le site de l'hebdomadaire Le Moniteur des travaux publics et du bâtiment, (consulté le ).
  9. « Siège social de Clarins et Hôtel Marriott », sur le site pss-archi.eu, service de communication au public en ligne (consulté le ).
  10. « Photos du chantier », sur le site pss-archi.eu, service de communication au public en ligne (consulté le ).
  11. « Page d'accueil », sur le site de l'établissement « Sainte-Croix des Neiges » (consulté le ).
  12. Lycée Notre-Dame de Sainte-Croix (CPGE) sur enseignement-prive.fr, consulté le 8 février 2013.
  13. « page d'accueil », sur site du Centre de référence pour l'évaluation neuropsychologique de l'enfant (consulté le ).
  14. Pierre Falga, « Palmarès des lycées 2015 : notre méthodologie », sur le site du magazine L'Express, (consulté le ).
  15. a b et c « Lycée Notre-Dame de Sainte-Croix - Neuilly-sur-Seine », sur le site du magazine L'Express, (consulté le ).
  16. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, Pentecôte 1982, p. 94.
  17. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, février 1979, p. 51.
  18. Liste officielle des prisonniers de guerre, [lire en ligne].
  19. Liste des élèves et auditeurs réguliers pendant l'année scolaire 1933-1934, in École pratique des hautes études, Section des sciences historiques et philologiques. Annuaire 1934-1935, 1934, p. 85, [lire en ligne].
  20. « Glossaire des noms propres », sur le site « Histoire du scoutisme à Paris » (consulté le ).
  21. Mgr Raymond Dusoullier, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1977, p. 15-34.
  22. « Décès du père Christian Olivier », sur le site de l'association des anciens élèves (consulté le ).
  23. « Avis de décès », sur le site dansnoscoeurs.fr (consulté le ).
  24. « Organigramme », sur le site de l'établissement (consulté le ).
  25. a b et c « Page d'accueil », sur le site de l'établissement (consulté le ).
  26. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1981, p. 26.
  27. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1979, p. 2-57.
  28. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1974, p. 14.
  29. Accueil > Vos sénateurs > Anciens sénateurs IVe République > JANTON Victor.
  30. Collectif, sous la direction de Marc Vinet, Sainte-Croix, imprimerie Tournon, 1964.
  31. Pierre-Henri Mesmin, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1976, p. 71-72.
  32. L'ancienneté chez les organistes et maîtres de chapelle.
  33. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1977, p. 76-77.
  34. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1975, p. 32-45.
  35. Pierre Rezé (1925-2011).
  36. Il y a 50 ans disparaissait Jean Suberville.
  37. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae et af Annuaire des anciens de Sainte-Croix de Neuilly, édition 1996
  38. Who’s Who in France, édition 2008, p. 93
  39. a b c d e f g h i j k l m n o et p Revue annuelle de l’établissement, édition juin 2012, p. 72
  40. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae et af Annuaire des anciens de Sainte-Croix de Neuilly, édition 1982
  41. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 113
  42. Who’s Who in France, édition 2008, p. 235
  43. a b c d e et f Revue de l’établissement, édition juin 2012, p. 73
  44. « Blignières (Gonzague, Marie, Michel Le Barbier de) », dans Who's Who in France, Levallois, Lafitte, , p. 282.
  45. Who’s Who in France, édition 2008, p. 405
  46. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 288
  47. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 543
  48. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 606
  49. Who's Who in France, édition 2015,p. 775.
  50. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 559
  51. Who’s Who in France, édition 2008, p. 994
  52. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 789
  53. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, Pentecôte 1980, p. 66-72.
  54. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 1148
  55. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 1048
  56. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 1093
  57. Jacques Merlin, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Noël 1976, p. 78-83.
  58. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 1315
  59. Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, Pentecôte 1990, p. 43.
  60. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 13788
  61. Léon Poirier, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1969, p. 104-106.
  62. Bernard Pharisien, Pierre Renoir, éditions Némont, 2003 - (ISBN 2-913163-10-6).
  63. Who’s Who in France, édition 1979-1980, p. 1351
  64. Who’s Who in France, édition 1998-1999, p. 1688
  65. Maurice Vaussard, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1978, p. 78-80.
  66. L'abbé Maillard quitte Sainte-croix en 1909, la date 1912 donnée sur le livre source semble erronée, une autre photo datée de 1906 publiée dans Sainte-Croix, imprimerie Tournon, lui est très semblable mais avec d'autres élèves.
  67. Patricia Tourancheau, « Ci-gît Porte-avions, gangster au long cours », sur le site du quotidien Libération, (consulté le ).
  68. « Bertaux, Émile [Auguste Joseph] », sur le dictionnaire des historiens de l'art (consulté le ).
  69. Tanguy Berthemet, « Ali Bongo, « M. Fils » s'est fait un nom », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
  70. Who's Who in France, édition 1998-1999, p. 393.
  71. Léon Poirier fur camarade de classe de Sacha Guitry, in Léon Poirier - Promotion 1901, notice nécrologique in Bulletin de Sainte-Croix de Neuilly, numéro de Pentecôte 1969, p. 104-106.
  72. Who's Who in France, édition 2013, p. 1151.
  73. Who's Who in France, édition 2015,p. 1369-1370.
  74. Who'Who in France
  75. Who's Who in France, édition 2015,p. 1601.
  76. « Articles sur Montherlant (hors presse) », sur le site montherlant.be (consulté le ).
  77. La vie de Jean Renoir sur univ-nancy2.fr.
  78. Son CV.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Collectif, Sainte-Croix 1856-1910-1960, Imprimerie Tournon, Paris, , monographie sur l'institution, son histoire, ses professeurs et ses élèves.
  • Alice Méker, Inauguration à Neuilly - Le nouveau lycée de Sainte-Croix, dans le mensuel Neuilly-Journal indépendant, no 1228, , p. 16-17.

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