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Héric

commune française du département de la Loire-Atlantique

Héric est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Héric
Héric
L'église Saint-Nicolas.
Blason de Héric
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes d'Erdre et Gesvres
Maire
Mandat
Jean-Pierre Joutard
2020-2026
Code postal 44810
Code commune 44073
Démographie
Gentilé Héricois
Population
municipale
6 472 hab. (2021 en évolution de +10,14 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 48″ nord, 1° 39′ 02″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 66 m
Superficie 73,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Héric
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nort-sur-Erdre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Héric
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Héric
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Héric
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Héric
Liens
Site web http://www.heric.fr/

Cette commune du Pays nantais fait partie de la Bretagne historique.

Géographie

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Situation de la commune d'Héric dans le département de la Loire-Atlantique.

Héric est située à 25 km au nord de Nantes, sur la voie express Nantes-Rennes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 752 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Blain à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 837,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Héric est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Héric[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (65 %), prairies (13,8 %), terres arables (10,3 %), forêts (5,2 %), zones urbanisées (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Hyhariacum au XIe siècle[13] dans le cartulaire du Ronceray d'Angers et Hyeric dans le cartulaire de Redon au XIIe siècle. il est encore mentionné sous les formes Hiheric ou Yeric du XIIIe au XVe siècle[14],[15],[16],[17] selon les différents scripteurs et recteurs et s'orthographie définitivement Héric au début du XVIIe siècle[18].

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise désignant le lieu, puis la propriété. Le passage de l'élément -IACU (noté -iacum dans les formes les plus anciennes latinisées) à -ic s'explique par l'influence du breton sur l'évolution romane régulière qui aurait dû se faire en -(a)y ou . En effet, les toponymes des alentours terminé par le suffixe -(i)acum ont tous évolué dans ce sens cf. Saffré, Issé, Sucé, Ligné, etc.

Le premier élément Her- s'explique par l'anthroponyme germanique Hithar[19],[17], dont le [t] intervocalique s'est régulièrement amuï par la suite en langue d'oïl, d'où la contraction Her-. Le sens global est donc celui de « propriété d'Hithar ».

Erwann Vallerie distingue plutôt une latinisation puis une bretonnisation d'un hydronyme d'origine gauloise, Isariācon[20].

Héric possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Éri selon les écritures MOGA et ABCD. En gallo, le nom de la commune se prononce [eʁi], la variante [əʁi] a également été relevée[21].

Le nom est Hierig en breton à partir de la fin du XXe siècle[13].

Histoire

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Héric est composé d'un bourg principal et de plusieurs hameaux qui correspondent en majeure partie aux anciens fiefs et sieuries qui existaient avant la révolution française et dont on retrouve les noms sur les cartes de Cassini[22],[23],[24],[25],[26]

C'est à Saint-Félix, futur évêque de Nantes, que la tradition attribue la création de la paroisse de Héric vers 549.

L'église Saint-Nicolas a été reconstruite au XIXe siècle à l'emplacement de l'ancienne église détériorée pendant la Révolution. La chapelle du Rosaire été ajoutée devant elle et une autre, de la même époque, dans le cimetière situé à l'extrémité du bourg sur la route de Nantes.

Avant la Révolution, outre l'église, on dénombrait plusieurs chapelles aujourd'hui disparues : la chapelle Sainte-Honorée du nom de l'Abbaye au lieu-dit Bout-de-Bois, les chapelles de Saint-Hubert, de la Primais, du Haut-Fay, du Haut-Brossay[27]. La chapelle du château du Chalonge, n'étant pas visible depuis l'extérieur n'a pas été détruite. Elle est encore visible au Domaine du Chalonge.

Époque romaine

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Les Romains se sont établis à Héric après avoir découvert une mine de fer entre les lieux de Néron et du Haut-Brossay. Ils exploitèrent ce fer au lieu-dit la Forgette. Les fouilles de l'archéologue Léon Maitre y ont mis au jour des briques ainsi que des pièces de bronze et d'argent.

Moyen Âge

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C'est sur la terre nommée Boudené (Bout-de-Bois), au nord de Héric, sur les bords de la rivière Isar, que le comte de Nantes Hoël III le Désavoué, dernier de la lignée des Comtes de Cornouaille, prétendant au Duché de Bretagne en 1148, a fait élever le prieuré Sainte-Honorine. Ce prieuré qu'il donne à l'abbaye de Marmoutier fait partie de la dot de sa fille qu'il consacre à Dieu dès le en l'abbaye des Couëts[28].

L'histoire des ducs de Bretagne n'a retenu que l'initiale O[29] du prénom de cette jeune fille, mais la tradition héricoise la prénomme Odeline[30] et affirme que cette demoiselle se réfugia à Bout-de-bois des suites d'un chagrin d'amour.

En 1070, Guegon de Blain, cité en 1090 et 1133 dans le cartulaire de Redon, est seigneur de Blain et de Héric[30],[31].

La seigneurie de Héric détenue par le seigneur de Blain passe, vers 1150, dans la maison de Pontchâteau par le mariage d'Agnès de Blain et d'Olivier de Pontchâteau.

Vers 1200, Constance de Pontchâteau épouse Guillaume II de Clisson, dit le Jeune et transmet la seigneurie de Héric à la Maison de Clisson où elle restera jusqu'en 1407, date du mariage de Béatrix, fille ainée du Connétable de France Olivier V de Clisson l'éborgné d'Auray, avec Alain VIII de Rohan.

Du XVIe au XVIIIe siècle

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La seigneurie de Héric se transmet en 1515 à la Branche de Rohan-Gié par le mariage d'Anne de Rohan avec son cousin Pierre II.

Dans la seconde partie du XVIe siècle, à la suite de leurs seigneurs Henri Ier de Rohan-Gié et René II de Rohan-Gié tous deux fils d'Isabeau d'Albret, une partie de la population de Héric et notamment une partie de ses notables, est sensibilisée voire se convertit au calvinisme[32],[33]. Un des vicaires de Héric y est assassiné en 1565 sans que ses meurtriers ne soient pourchassés ni dénoncés par la population.

En 1642, les trois anciennes châtellenies : Blain, Héric et Fresnay sont réunies en une seule juridiction par Louis XIII, puis érigée en marquisat par Louis XIV en 1660 à la requête de sa cousine Marguerite duchesse de Rohan et princesse de Léon.

Le marquisat de Blain s'étendait sur dix-sept paroisses : Blain, Fay-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne, Bouvron, Saffré, Héric, Fresnay, Grandchamp-des-Fontaines, Sucé-sur-Erdre, Puceul, Vay, Guémené-Penfao, Campbon, Plessé, Guenrouët, Fégréac et Avessac[34].

En 1645, la seigneurie de Héric est transmise à la famille Chabot. Marguerite de Rohan-Gié Princesse de Léon, Duchesse de Rohan et de Porhoët, Dame de Blain, de Héric, de Fresnay, de la Garnache, unique héritière, épouse en 1ères noces Henri Chabot seigneur de Jarnac, d'Apremont, marquis de Saint Aulaye, baron de Mouchamps, qui prend le nom de Henri II de Rohan-Chabot. Héric restera dans cette maison jusqu'à la révolution française.

Une verrerie d'art est créée à Héric en 1588 par Giovanni Ferro[35] « Gentilhomme de l'art et de la science de la verrerie », natif de l'Altare, au Marquisat de Monferrat en Italie. Il fut naturalisé français en 1596 par décret du Roi de France Henri IV.

Jean Leray, Maître Cordonnier, né le à Héric, bénéficia en son temps d'une certaine notoriété, il prit le "titre" de "Sieur de la Pantoufle", un terme en qui l'abbé Beziau voit un exemple de "spiritualité et de française malice"[36].

Héric et ses environs étaient à l'origine couverts d'une épaisse forêt. Elle disparaîtra presque entièrement dans le courant du XVIIIe siècle du fait de l'exploitation humaine.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1951
(décès)
M. Hauray    
1951 mars 1971 Auguste Clergeau[Note 4]    
mars 1971 décembre 1994[37]
(démission)
Jean Hauray[Note 5]   Pharmacien
janvier 1995[Note 6] mars 2001 Jacques Bernard   Chef d'entreprise
mars 2001 mars 2008 André Thébaud DVD Ingénieur agricole, ancien premier adjoint
mars 2008 mars 2014 Lionel Lardeux SE Ingénieur informaticien, ancien premier adjoint
mars 2014 mai 2020 Patrice Leray SE-DVG Employé de banque
mai 2020 En cours Jean-Pierre Joutard SE Ancien cadre supérieur

Population et société

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Démographie

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Selon le classement établi par l'Insee, Héric est une ville isolée qui fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Treillières[9]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 89 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 11 % dans des zones « très peu denses »[38].

Évolution démographique

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En 1871, la commune cède une partie de son territoire, conjointement avec Fay-de-Bretagne, pour permettre la création de Notre-Dame-des-Landes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 6 472 habitants[Note 7], en évolution de +10,14 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 8152 6452 7513 1163 3493 5993 9273 8044 474
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 5404 5954 6914 1614 2484 2444 2334 0483 950
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 8433 8953 8123 2803 2403 1113 0542 9562 800
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 6242 5312 5213 1403 3783 9904 7644 8135 276
2015 2020 2021 - - - - - -
5 8766 4076 472------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,9 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 070 hommes pour 3 098 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,8 
4,7 
75-89 ans
5,1 
12,2 
60-74 ans
13,5 
21,7 
45-59 ans
19,9 
20,6 
30-44 ans
21,2 
17,0 
15-29 ans
16,7 
23,4 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Patrimoine et culture locale

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Nicolas
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours
  • Château de Dréneuf
  • Château de la Courosserie
  • Château de Challonge ou Chalonge
  • Château de la Jubinière
  • Château de la Prairie
  • Château de Beaulieu

Héraldique

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Blason  Blasonnement :
D'argent à la bande de sable chargée de trois molettes d'éperon d'or.
Commentaires : Blason de la famille de Collobet du Bot. Blason conçu par M. Durivault en 1961.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Réélu en 1953, 1959 et 1965.
  5. Réélu en 1977, 1983 et 1989.
  6. Élu à la suite d'une élection municipale partielle.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Héric et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Héric », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Héric ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing : Hyhariacum, XIe siècle; Hiheric, 1287 http://marikavel.com
  15. Jean-Yves Le Moing (1990) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287". http://marikavel.com
  16. Erwan Vallerie (1995) : Hyhariacum, XIe; Hiheric, 1287; Iheric, XIIIe; Hihiric, 1398". http://marikavel.com
  17. a et b Hervé Abalain (2000) : Hiheric, 1287; http://marikavel.com
  18. Registres paroissiaux de Héric Archives du Conseil général de Loire Atlantique
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit
  20. Vallerie, Erwan, « A-zivout an elfenn *Isar, *Iser e stêranvadurezh », Hor Yezh,‎ n° 280, 2014, pp. 19-20
  21. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  22. Archives de Loire Inférieure Léon Auguste Maitre Tome 3 série E Titres-Fiefs
  23. La Châtellenie du Chalonge appartient à Sidrac Chambellé sergent de Héric et mari de Jeanne Hamon Dame de Boudené (Bout-de-Bois), tous deux grands-parents de Michel-Sidrac Dugué de Boisbriant, pionnier et Gouverneur de Montréal.
  24. La seigneurie de la Foresterie appartient à 1539 à René de La Touche-Limouzinière mari de Florida de la Lande-Machecoul.
  25. La terre et le château de la Courosserie appartenaient en 1550 à Pierre Fourché mari de Jeanne de Moayre tous deux ancêtres de Louise fille de Jean Fourché de Quéhillac et première épouse de Nicolas Foucquet. Un siècle plus tard, la Courosserie est anoblie au profit de Philippe Bitault écuyer, cette seigneurie sera transmise à la famille Collobet du Bot par le mariage d’Élisabeth Bitault et de Jean Marie Clément Collobel du Bot. Le Blason de la commune de Héric est d'ailleurs le Blason de la Maison Collobet.
  26. Le Château de Dréneuf parfois noté Dréneuc appartenait aux Rohan qui y installèrent des Calvinistes afin de surveiller la rivière et la route menant au Bourg d'Héric. Le , Henri de Bourbon, prince de Condé devenu "seigneur et possesseur de tous les biens ayant appartenu au sieur de Rohan en la province de Bretagne continue à Thomas Guihard Sieur des Jaulnayes, le bail des terres et seigneuries de Blain et Héric". Thomas Guihard est Lieutenant général de la Maréchaussée de Bretagne et procureur aux Eaux, Bois et Forêts du Gâvre. Son fils aîné prénommé Louis (9/08/1620 Blain - 27/10/1691 Blain) entre dans les ordres à la mort de son épouse, après une carrière militaire comme 1er Capitaine du Régiment d'Enghien. C'est en qualité de prêtre et de recteur de la paroisse qu'il va sévir sur les registres paroissiaux de Blain datant de 1550 à 1691 date de sa mort. Il est l'auteur d'une multitude de faux grossiers et de détériorations, allant jusqu'à déchirer de multiples pages, dans le but, notamment, de se créer des quartiers de noblesse. Il sera débouté de ses prétentions nobiliaires à la réformation de 1669. Sources : Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire Inférieure - Registres paroissiaux de Blain et Fonds généalogique Freslon Blain vue 73/164 http://archives.loire-atlantique.fr
  27. « Héric : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de Nort-sur-Erdre) », sur infobretagne.com (consulté le ).
  28. Résumé du Dictionnaire historique, géographique et topographique de Nantes ... de J.F. Macé de Vaudoré page 61
  29. Père Anselme Histoire généalogique et chronologique des pairs de France: Bretagne p. 50
  30. a et b Mairie de Héric, « Site Officiel de la Commune de Héric - Bienvenue sur le site officiel de la commune », sur heric.fr (consulté le ).
  31. Armorial Général ou Registre de la Noblesse de France pages 39 et suivantes.
  32. Georges Brisset (~ 1570) Sieur des Grustières, Seigneur de Gratence, Auteur de l'Apologie rédigée en considération de " l'attitude inhumaine" du feu le roi de France.
  33. On relève plusieurs actes d'abjuration de la religion réformée sur les registres paroissiaux de Héric http://archives.loire-atlantique.fr
  34. Les lettres royales d'érection du Marquisat furent enregistrées au Parlement de Bretagne en 1662 et à la Chambre des Comptes en 1667.
  35. Maître verrier à Lyon, Nevers, Machecoul (44) puis Nantes (44) vers 1585-1598 et enfin Maître de la verrerie d'Héric (44) suivant l'autorisation donnée par les maire et échevins de Nantes en date du . (tiré de Les Italiens à Nantes et dans le pays Nantais, extrait du Bulletin Italien, t13, 1913, No 2).
  36. Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Loire-Inférieure. Archives civiles Volume 05 pt.01 page 208
  37. « La démission de Jean Hauray est confirmée : Élection d'un nouveau conseiller fin janvier », Ouest-France,‎
    « Jean Hauray, maire depuis 24 ans, avait le 10 novembre dernier, donné sa démission de maire en séance publique ».
  38. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Héric (44073) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  45. Archives Départementales de Loire Atlantique, Registres paroissiaux et d'état civil, commune : Héric, Tables des Baptêmes : 1500-1700, vue 109/162. Cf. : Olivier Lebastard