Hénu
Hénu est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Haisnois.
Hénu | |||||
Le château, classé monument historique. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Campagnes de l'Artois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Hemery 2020-2026 |
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Code postal | 62760 | ||||
Code commune | 62430 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Haisnois | ||||
Population municipale |
156 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 09′ 18″ nord, 2° 31′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 162 m |
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Superficie | 4,38 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-le-Comte | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | henu.fr | ||||
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La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 141 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 4,38 km2 ; son altitude varie de 104 à 162 m[1].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
Le territoire de la commune, situé dans le bassin Artois-Picardie, est traversé par le Ruisseau de Beaucamp, cours d'eau naturel non navigable de 5,1 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Amand et se jette dans la Quilliene au niveau de la commune de Pas-en-Artois[3].
Paysages
modifierLa commune s'inscrit dans le « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[4].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composée pour 70 % en culture[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 866 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 ha et d'une altitude variant de 65 à 154 m. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[12].
Espèces faunistiques et floristiques
modifierLe site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Hénu est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), forêts (11,7 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (5,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierToponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Haisnu (1265) ; Hennu (XIIIe siècle) ; Henuch (XIVe siècle) ; Haynu (1613)[19].
Peut-être du germanique hasn (a) « gris » et du suffixe collectif -othu : « ensemble (de terres) gris »[20]. Ce nom pourrait-être issu du mot celtique hain, « bois » ou hen, « vieux » .
Histoire
modifierAvant la Révolution française, Hénu est le siège d'une seigneurie. En août 1722, par lettres données à Versailles, la terre d'Hénu est érigée en comté[21]. La terre d'Hénu située en Artois a toute la justice seigneuriale, un château très ancien, avec quatre grandes tours, plusieurs bâtiments contenant quinze arpents de terrain, cent-vingt de bois, cinq de terres labourables et trente de prairies et chemins. 25 à 26 fiefs en relèvent. La terre de Warlincourt à laquelle elle est réunie possède également toute la justice seigneuriale, plusieurs bâtiments et quarante fiefs qui en relèvent[21].
Le château d'Hénu avec sa façade riche de 31 fenêtres date de 1745. Remplaçant une ancienne place forte, on doit sa construction à Charles-Maximilien Malet de Coupigny, seigneur d'Hénu et de Warlincourt, , etc. qui bénéficie en août 1722 du titre de comte par lettres données à Versailles, érigeant la terre d'Hénu en comté[21]. Il est profondément remanié par Monsieur Houdouart de Thièvres qui le rachète en 1810 après avoir fait fortune dans le sucre de betterave. Le château est accompagné d'un corps de ferme dont l'histoire est précisée dans le livre Les Belles Fermes édité en 2015 par Le Syndicat Agricole, à Lille, sous la signature de Jean-Claude Grenier, PP 261–261.
Le , la comtesse Paul Le Mesre de Pas, née Cleenewerck de Crayencrourt (Famille Cleenewerck de Crayencour) est tuée à Hénu lors d'une partie de chasse[22].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[23].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois[23].
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte[23].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[24].
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Haisnois[33].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2021, la commune comptait 156 habitants[Note 4], en évolution de −6,02 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 88 hommes pour 77 femmes, soit un taux de 53,33 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonument historique
modifier- Le château, construit par la famille de Coupigny en 1745, il est saisi à la Révolution puis transformé en une fabrique de chicorée. Propriété de la famille Boudoux d'Hautefeuille. Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [39].
Autres monuments
modifier- L'église Saint-Nicolas.
- Le monument aux morts[40].
Personnalités liées à la commune
modifier- Maximilien Charles de Coupigny, seigneur d'Hénu et de Warlincourt, etc., bénéficie en août 1722 du titre de comte par lettres données à Versailles, érigeant la terre d'Hénu en comté[21].
Héraldique, logotype et devise
modifierBlason | D'azur à l'écusson d'or chargé d'un arbre de sinople[41]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- nier, Nos belles fermes, patrimoine rural du Nord-Pas de Calais, Société d'Édition Agricole et Rurale, Lille, ISSN 1960-8489
Articles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier relatif aux rattachements de la commune sur le site de l'Insee, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 5]
- « La commune » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Beaucamp (E5500630) » (consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hénu et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Hénu ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 194.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 731.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 73-74, lire en ligne.
- Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, La Voix du Nord éditions, 1998, page 41
- « Rattachements administratifs de la commune », sur l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Claude Sabathès, « Le maire d’Hénu, Sébastien Desbureaux, a démissionné : Le premier magistrat ne supporte plus les dissensions avec le conseil municipal dans la conduite de différents travaux. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jean-Paul Hémery est le nouveau maire d’Hénu », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas André, « Le bilan des maires - Hénu - Jean-Paul Hémery : «Notre salut passera par le bénévolat. Il faut mobiliser... » : Jean-Paul Hémery est maire depuis le 12 juillet. Un nouveau conseil municipal avait été élu à la suite de la démission du maire et de son premier adjoint. M. Hémery qui a déjà l’expérience avec cinq mandats de conseiller, se dit prêt à briguer le prochain mandat... si on le lui demande, Pour Hénu, 165 habitants, le maire considère que la stabilité serait la bienvenue. « Nous avons cinq logements vacants soixante-deux foyers et 64 jeunes de moins de 20 ans » », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Hénu: Jean-Paul Hemery réélu pour un mandat entier : Élu maire à la suite de la démission de Sébastien Desbureaux lors de la précédente mandature, Jean-Paul Hemery a été reconduit dans ses fonctions lors de la réunion du conseil municipal du vendredi 28 mars. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Nicolas André, « Les projets des maires - Hénu- Jean-Paul Hémery : « Les dotations sont ce qu’elles sont, il faut faire avec » : Le maire d’Hénu est pragmatique et mise sur la solidarité des élus pour investir tout en continuant à privilégier les économies. Gros morceau du mandat : la mairie, la salle communale, le parking. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hénu (62430) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Château », notice no PA00108304, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).