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GoGo Penguin (album)

GoGo Penguin est le cinquième album du trio de jazz britannique éponyme GoGo Penguin publié le sur le label Blue Note de Decca Records.

GoGo Penguin
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de GoGo Penguin illustrant l'album
Album de GoGo Penguin
Sortie
Enregistré 16-
The Chairworks, Castleford
Durée 43 min 51 s
Producteur Joseph Reiser et Brendan Williams
Label Blue Note Records

Albums de GoGo Penguin

Historique

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La composition des titres s'est faite principalement avec des moyens numériques avant un enregistrement réalisé – du 16 au aux studios The Chairworks de Castleford en Angleterre[1] – avec des instruments uniquement acoustiques limitant l'usage des pédales à effets et délais notamment[2].

L'annonce de la parution de l'album pour le mois de juin est faite le , immédiatement suivi de la mise en ligne du premier titre Atomised[3] et d'un second, Kora, le [4].

Liste des titres de l'album

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  1. 1_# – 2 min 00 s
  2. Atomised – 4 min 23 s
  3. Signal in the Noise – 6 min 03 s
  4. Open – 4 min 47 s
  5. F Maj Pixie – 5 min 48 s
  6. Kora – 5 min 35 s
  7. Totem – 3 min 54 s
  8. Embers – 3 min 00 s
  9. To the Nth – 4 min 34 s
  10. Don't Go – 3 min 38 s

Musiciens

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  • Chris Illingworth : piano
  • Nick Blacka : contrebasse
  • Rob Turner : batterie

Accueil de la critique

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Pour France Musique, cet album est la « synthèse parfaite d’un son GoGo Penguin qui ne s’est jamais embarrassé des étiquettes » démontrant la maturité du trio mancunien à ce stade de sa carrière et la conscience que ce dernier en a[2]. Selon André Manoukian GoGo Penguin créé, avec cet album, « un feu d'artifice, des fontaines de lumières » aboutissant à « un maximum d'effets avec un minimum de moyens[5] ». Pour le quotidien montréalais La Presse, GoGo Penguin est un « mélange unique et accessible de jazz, de rock, de trip-hop et d’électro » qui propose ici un album « sans faille, superbe conclusion d’un cycle créatif amorcé il y a huit ans »[6]. Tout aussi enthousiaste, le quotidien belge Le Soir considère que l'album « décoiffe, fonce, foudroie, secoue, atomise » dans un album qui est une « synergie totale [...] et imprévisible[7]. »

Notes et références

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