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Discussion:Irak

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Éric Messel dans le sujet Vote en PDD du projet:Histoire sur Guerre d'Irak
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Remarque

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revoir le drapeau, non retenu par le gouvernement actuel. Treanna °¿° 20 jul 2004 à 15:07 (CEST)


Supprimé le paragraphe "Attentats en Irak" qui n'a pas sa place dans la description générale du pays. De plus le même texte est présent dans larticle Guerre en Irak (2003-2004)

TahitiB 24 oct 2004 à 21:08 (CEST)

le terme "Occupation américaine" convient il ?

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L'amateur d'aéroplanes 18 septembre 2005 à 19:13 (CEST) En effet, si les 1ers mois de la présence US/UK et autres étaient une occupation, des résolutions des N.U. à depuis changé le statut juridique, il s'agit des résolutions 1511 et 1546. Dans cette derniére, le pouvoir est transféré au nouveau gouvernement et les forces étrangéres sont "invités" par le gouvernement actuel qui à théoriquement le droit d'en demander le départ.Répondre

mouais : le droit comme la constitution sont quand même bien inspirés par l'occupant, sans parler des décisions du gouvernement ou de la tenue du procès de Saddam Hussein. On a plus affaire à ce qui pourrait devenir un protectorat qu'à des opérations de guerre communes. archeos

L'amateur d'aéroplanes 24 octobre 2005 à 14:35 (CEST) Comme en RFA/RDA, Corée et Japon aprés 1945; les Forces Françaises en Allemagne ont par exemple changé de statut dans les années 50 et n'était plus des forces d'occupation. Le gouvernement actuel est considéré comme légitime par tout les autres états (méme par l'Iran et la Syrie).Répondre

Oui, mais les forces américaines ne le sont pas, ou ont un statut bancal (invasion sous prétextes fallacieux, puis invitation [alors qu'ils sont déjà présents] par un gouvernement encore provisoire, mis en place par l'occupant et qui de toute façons n'a pas d'autre solution pour tenter de remettre un peu d'ordre). Enfin, nous sommes dans une période de transition, et beaucoup d'observateurs ajoutent dans leur description de la situation à la mention terrorisme, les termes guerre civile et guerre de résistance (les trois sont mélangés à mon avis). Je serai pour un statu quo, ce qui ne me paraît pas scandaleux, quand on voit que le terme occupation a été ajouté le 10 septembre, alors qu'elle durait depuis deux années bien tassées. Si on ne parlait d'occupation que pendant moins de deux mois, alors qu'il me paraît encore difficile de préjuger de l'avenir, alors oui là ça me paraîtrait hasardeux. archeos

Visiblement vous n'avez pas pris le temps de lire la charte des Nations Unies car toutes les résolutions prises par le Conseil de sécurité après l'agression américaine contre l'Iraq en Mars 2003 sont illégitimes et si vous êtes malin vous trouverez pourquoi !

Bien à vous.

Iraq avec un Q

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"Iraq" est l'orthographe provenant de la terminologie française des noms d'États et de capitales, issu de l'arrêté du 4 novembre 1993, et paru au J.O. du 25 janvier 1994. Le nom français complet est "RÉPUBLIQUE D'IRAQ". La variante "Irak" est acceptée par l'arrêté. Les deux orthographes sont donc légitimes. --Spécial:Contributions 6 septembre 2010 à 19:31 (CEST) Santoro

« Iraq » s'écrit avec un Q en français! Voir Site de la FAO.---Moyogo 23 octobre 2005 à 19:45 (CEST)Répondre
Tu as l'air d'avoir raison ; et rien de plus facile à modifier il y a le petit bouton "renommer" sur lequel il est si simple de cliquer ;-) Hbbk
Je ne suis pas admin, je ne peux pas effacer Iraq. ---Moyogo 23 octobre 2005 à 20:51 (CEST)Répondre
[révision] bon, j'explique : les orthographes français et anglais sont bien souvent différents et donc on suppose que Iraq est en anglais, mais non, Iraq est en anglais translittéré de l'arabe, et en français aussi Voir site de l'ONU. ---Moyogo 23 octobre 2005 à 20:32 (CEST)Répondre
Bon mon avis d’arabisant du dimanche : (j’ai le même conflit en ce moment sur Rafiq Hariri), la lettre finale est un qâf ق [super mon clavier hein !] qui se transcrit en q mais ensuite y’a des conventions internationales qui ont été fixées avant que la transcription de l’arabe soit bien au point [peut-être pour le prénom Rafiq c’est pareil je sais pas] alors il faut voir comment les principaux pays francophones transcrivent ça. (moyogo ne cherche pas la transcription sur le site du ministère des Affaires étrangères de RDC, tu perds ton temps ;)) (:Julien:) 24 octobre 2005 à 00:51 (CEST)Répondre
Il me semble qu'il est toléré d'écrire Iraq avec un "q", mais qu'en français, c'est le "k" qui domine.
Ce débat a eu lieu il y a un an. Mais je suis assez favorable pour le relancer, et même renommer l'article à la française, c'est-à-dire avec un "k".
Argument de poids : testez ces 2 liens Google sur l'Académie française :
* Iraq, pas de réponse --Papa6 25 septembre 2006 à 15:34 (CEST)Répondre
L'usage courant français est avec un k, la transcription usuelle du nom arabe est avec un q. L'IGN [1] indique que les deux usages sont corrects. Le nom étant lexicalisé comme Irak et Iraq, n'est-il pas plus logique d'utilisé celui qui correspond à la transcription la plus correcte ? --moyogo ☻☺ 10 octobre 2006 à 10:05 (CEST)Répondre
La transcription la plus utilisée en français étant Irak, je serais également d'avis de renommer la page. Svartkell - ? 22 octobre 2006 à 17:32 (CEST)Répondre
Je n'ai rien contre. Ça serait sympa de suivre cette même logique avec Tokyo, Taïwan, etc. La nuance avec Irak/q est que ces deux variantes sont lexicalisées en français. --moyogo ☻☺ 28 octobre 2006 à 00:56 (CEST)Répondre
Avant de lire l'article dans Wikipédia, j'ai toujours cru qu'Irak c'était en français et Iraq c'était en anglais (et effectivement plus correct comme translittération de l'arabe). Mais si seuls l'IGN et la diplomatie suisse utilisent le "k", et que toutes les organisations internationales utilisent le "q", comment se fait-il que la presse est pleine de "k" ? Pour l'article, je serais en faveur de garder le "q", pour suivre l'ONU. --Moumine bavarder gaiement 28 octobre 2006 à 01:05 (CEST)Répondre
Bonjour à vous, et merci pour la continuité de la discussion. J'ai bien noté les arguments de Moyogo, et je suis d'accord pour utiliser la transcription la plus correcte (et non pas forcément la plus courante). Mais à ce titre je rappelle que l'Irak a été créé au XXe siècle, et qu'il conviendrait de regarder l'orthographe qui lui a été donné à ce moment. L'ortographe des diverses administrations onusiennes, selon moi, n'a pas de poids, à moins qu'il ne s'agisse de la SDN. J'ai vu aussi que Lawrence dans les 7 pilliers écrit (sa traduction) "Irak". Mais l'argument qui a le plus de poids à mes yeux reste l'orthographe de l'Académie française (quand même !) et de la diplomatie (française, suisse, belge...). Voici un dernier exemple. Pour moi, j'en reste à la conclusion qu'il faut renommer l'article avec un K, s'il y a concensus (autrement dit, merci Moyogo et Moumine si vous changez d'avis). --Papa6 4 novembre 2006 à 09:08 (CET)Répondre
Disons que nous sommes en 2006, Wikipédia est censée perdurer, et non seulement l'ONU mais l'ISO ont opté pour Iraq. Ces choix sont fait par des terminologues probablement pour assurer une meilleure cohérence avec l'orthographe en arabe - la seule finalement pertinente, à la création de l'Iraq comme maintenant - et ensuite offerts à la communauté internationale. Et les normes ISO sont, il me semble, l'idéal que tout le monde doit s'efforcer d'atteindre, à l'échelle mondiale et dans tous les domaines. Tandis que les recommandations de l'Académie française, c'est un peu.... franco-centré, non? ;)) Il y a la page de redirection Irak pour tous les gens qui cherchent le mot sous cette forme, et après, ils s'instruisent (comme moi) en lisant l'article Iraq. Moumine bavarder gaiement 4 novembre 2006 à 10:33 (CET)Répondre
Petit robert : "Irak ou Iraq", Presse francophone (Le monde, RTL.be, libé, Figaro, libre belgique,Canoe quebec, etc): Irak, google (pages francophones) : 5 120 000 pages pour Irak, 1 650 000 pour Iraq. Il semble donc plus logique d'utiliser l'orthographe le plus couramment utilisé si l'on à droit aux deux !-) apollofox 4 novembre 2006 à 17:35 (CET)Répondre
Faites comme vous voulez, je vais pas me prendre la tete pour le K-Q. Mais songez tout de meme que le renommage d'Irak en Iraq ne date que de fin octobre 2006... Si c'est pour faire des allers-retours deux fois par mois, je vois pas l'intéret.... --Moumine bavarder gaiement 5 novembre 2006 à 20:29 (CET)Répondre
Encore un autre argument : sachant que les 2 orthographes sont correctes, l'ambassade d'Irak fait quand même orthographier son nom avec un "k"Papa6 6 novembre 2006 à 12:14 (CET)Répondre
France ne s'écrit pas "France" dans tous les pays, pas plus que "Great Britain", Deutschland" est que l'on appelle différemment en français, que les italiens appellent différemment etc. Alors pourquoi devrions nous calquer l'orthographe sur la transcription originale du nom du payas dans sa langue, et pas sur l'orthographe la plus utilisée et qui semble admise pour la plupart des gens dont le travail est d'écrire et de parler de ce pays? (cf les académiciens, les journalistes etc?) Ewjoachim 7 novembre 2006 à 21:41 (CET)Répondre

1- Je viens de voir qu'on fait dire n'importe quoi à l'ISO... En effet, pour l'Allemagne, l'ISO a choisi "DEU" (pour Deutschland). L'ISO choisit la dénomination du pays, et non pas la dénomination française.
2- C'est en anglais qu'Irak s'écrit avec un "Q", et en français avec un "K", jusqu'à preuve du contraire. Papa6 9 novembre 2006 à 09:56 (CET)Répondre

bonjour à tous, je cherche à renommer le nom de la page Iraq en Irak, mais je n'arrive pas, il me dit qu'une page existe déjà avec ce nom là ? quelqu'un pourrait-il m'expliquer ou bien le faire ? merci Rob

La page Irak ayant un historique qui fait plus d'une ligne, la procédure simple ne peut être utilisée. Il faut faire appel à un administrateur. Laurent N. 12 novembre 2006 à 17:08 (CET)Répondre
Wikipédia:Demande de renommage pixeltoo⇪員 12 novembre 2006 à 17:53 (CET)Répondre

Il n'y a aucun arabisant sur Wiki? Q et K correspondent à deux lettres arabes différentes, par l'orthographe et par la prononciation. Les orientalistes français, au moins depuis les années 1930 (René Grousset), écrivent Iraq. Mais c'est vrai qu'en français, les médias et l'usage courant utilisent plutôt Irak. D'ailleurs, moi aussi, j'emploie l'un ou l'autre selon l'humeur. A terme, je pense que la forme Iraq finira par s'imposer. - Verkhana, 02 décembre 2006 à 12:41

Bien sûr qu'il y a des arabisants ! Sauf qu'il faut aussi prendre en compte l'usage en français, vu que wikipédia-fr est destinée au public francophone et la plupart des intervenants ont insisté pour remettre le "K" contre mon avis il y a 2 semaines, et à peine un mois après le précédent changement K->Q. Sans doute effectivement que la forme Iraq l'emportera à la longue, mais probablement plus par influence de l'anglais que par souci de précision dans la transcription phonétique... En attendant, c'est K. --Moumine bavarder gaiement 2 décembre 2006 à 17:13 (CET)Répondre

Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 05:13 (CET)Répondre

Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, un lien était indisponible. Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 31 janvier 2006 à 05:13 (CET)Répondre

Occupation française

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Hum Hum l'Irak ou Iraq, aucune importance, a été uniquement sous occupation ou anglaise ??? Vous ne mettez pas la France pourquoi car cela ne fait pas assez neutre ou bien parceque vous l'ignorez et qu'il n'en est pas fait mention dans l'article en anglais ???

Excusez moi du peu mais wikipédia c'est vraiment de la mélasse...

comme ton avis ? Si tu veux, tu peux modifier cet article, mais critiquer est plus "fun" ? Draky 11 août 2006 à 11:18 (CEST)Répondre

Quelle est la durée du mandat du président de l'Iraq?

Le terme d'"occupation américaine" ne convient pas

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La philosophie de Wikipédia est à mon sens de transcrire les faits de façon scientifique et rigoureuse sans tenir compte des a priori politiques ou religieux. Or l'article "Irak" prête particulièrement le flanc à des déviances partisanes du fait d'une part du caractère actuel d'un conflit(s) actif(s) et d'autre part des réactions passionnées provoquées par l'analyse des causes et de l'évolution de cette guerre.

Comme le rappellait justement un précédent utilisateur, si dans les premiers mois du conflit, l'intervention de la Coalition pouvait être considérée comme "illégale" et donc constitutive d'une occupation d'un Etat déchu de sa souveraineté (si on admet que seul l'ONU peut décider du bien-fondé d'une intervention militaire étrangère ce qui peut faire débat : l'intervention de l'OTAN au Kosovo sans le feu vert de l'ONU n'a par exemple pas provoquée les mêmes remous dans les opinions occidentales et musulmanes mais il s'agit d'un autre débat), la situation fut par la suite pour ainsi dire "régularisée" par deux résolutions onusiennes. Dans les faits et d'un point de vue juridique, l'Irak a recouvrée sa pleine et entière souveraineté depuis le 28 juin 2004 qui marqua également la dissolution de l'Autorité Provisoire de la Coalition (A.P.C).

Depuis, la "Force Multinationale" est présente en Irak sur "invitation" du gouvernement Irakien souverain qui rappellons-le a été désigné suite à des élections libres et démocratiques avec une forte participation populaire. Par conséquent, je soutiens que l'article doit détailler plus précisément la nature de la présence américaine sans y faire transpirer de l'hostilité.

Si nous poussions cette logique jusqu'au bout il faudrait alors débattre de la souveraineté voire de l'indépendance des pays accueillant des bases militaires américaines (une bonne cinquantaine dans le monde il me semble) ainsi que de ceux dépendant économiquement des aides américaines (Palaos, Micronésie, Marshall..). Ou évoquer "l'impérialisme" français dans ses anciennes colonies africaines...

Evitons les aveuglements et soyons neutres c'est tout ce que je réclame.

L'amateur d'aéroplanes 24 novembre 2006 à 20:34 (CET) Idem, on ne peut pas dire que l'administration du pays est controlé par les autoritées américaines, le gvt comporte des ministres travaillant pour Téhéran, c'est pour dire...Répondre

Je souscris à l'analyse évoquée et ce d'autant plus que le gouvernement américain n'a qu'une envie : le retrait des troupes. L'histoire a montré que les troupes américaines ont toujours transféré dès que possible le pouvoir à l'autorité du pays au départ occupé. C'était le cas au Japon et en Allemagne par exemple. De même, la France a obtenu facilement le départ des soldats américains de son sol à la demande du général de Gaulle. Il s'agit d'un phantasme lié à l'anti-américanisme, ou encore à un raisonnement fondé sur le passé colonial des pays européens, que de croire qu'il existe une occupation en Irak. Laurent N. 25 novembre 2006 à 10:54 (CET)Répondre

Pour illustrer que le mot occupation ne convient pas, il faut avoir conscience que toutes offensives militaires des troupes de la coalition doit avoir le feu vert des autorités irakiennes. D'ailleurs, un des problèmes soulevés par les militaires américains est que cet accord met parfois du temps. Source : Paris Match du 9 au 15 novembre 2006. L'autorité, même militaire, a été transféré au gouvernement irakien qui décide en dernier ressort. Laurent N. 25 novembre 2006 à 14:06 (CET)Répondre

Date de l'invention de l'écriture en Irak

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Selon le "Dictionnaire de la Civilisation Mésopotamienne", Ed. R. Laffont, 2001, les plus anciens signes d'écriture retrouvés datent d'environ 3 300 av. J.-C. et non pas il y a 3000 ans, d'où correction. EThot

l'histoire irakienne retient le terme d'occupation

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Il s'agit bien d'une occupation militaire d'un pays tiers par un autre pays, comme ce fut le cas en France sous l'occupation allemande. Cela signifie qu'une puissance militaire étrangère occupe un territoire, contrôle les institutions, les principales voies de communications... par les armes et par la contrainte. Actuellement les autorités irakiennes ne peuvent pas obliger les américains à se retirer, ni leur imposer un quelconque calendrier ou même juger les soldats impliqués dans des crimes de civils, car les décisions se font à Washington en témoigne l'enjeu que l'Irak est devenu pour les éléctions de 2004 et de 2008... En l'absence de souveraineté nationale, retirée par un autre pays ou les décisions y sont prises en place et lieu du pays "occupé", on peut parler d'occupation.Par ailleurs, ce n'est pas parce que plusieurs pays participe à la guerre qu'il y a une légitimité internationale qui occulte l'occupation.

Il ne faut pas non plus se baser sur l'O.N.U qui a largement failli à ses obligations de neutralité, dont le conseil de sécurité n'a pas évolué depuis la seconde guerre mondiale.Quant au gouvernement irakien, il est née sous cette même occupation, et se limite à la zone verte seule, il est d'ailleurs très critiqué pour sa politique inexistante alors que les irakiens se plaignent de l'insécurité, des exactions commises par l'armée américaine (torture, meurtre de civils). La légitimité du gouvernement irakien est remise en cause par de nombreux irakiens laissés pour compte - Ce gouvernement d'occupation est inéluctablement destiné à disparaitre.Enfin la majorité des Irakiens emploie le mot "ihtilel" pour décrire leur situation, cela signifie en arabe " occupation".

Il faut également voir le nombre en milliers d'irakiens qui reviennent avec les troupes étrangères par peur d'être assassiné pour motif de collaboration dont les accuse la résistance irakienne. Il existe un véritable front de résistance irakien encore fragmenté ( des dizaines de milliers de combattants), mais qui combat chaque jour les forces d'occupation étrangère appelé "forces de la coalition" en leur infligeant des pertes estimées de 4200 à 22 000 morts selon les sources officielles du pentagone et ceux de l'armée islamique en Irak.

7 février 2008 à 23:17 (CET)

Ajout de quelques "détails", pour tenter de comprendre la situation réelle dans laquelle se trouve l'Irak d'aujourd'hui.

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Ajout de quelques éléments, par toujours bien connus.

Je tiens à préciser que les sources que j'ai utilisées pour ajouter ces quelques éléments qu'il me semblent utiles de connaître quand on souhaite un peu comprendre l'évolution de la situation en Irak, sont a priori "très sûres". Il est possible qu'il s'y trouves des détails qui soint erronées ; aux lecteurs bien informés de les rectifier.

Quant aux lecteurs qui pourraient être étonnées de certaines des informations contenues dans cet article, ils sont invités, avant de réverter rageusement, de bien vouloir s'informer soigneusement, en exerçant leur esprit critique et, éventuellemnt, de rajouter en lien la source par laquelle il ont eu confirmation de la véracité de l'information, permettant de compléter les références et de supprimer des mentions [réf. nécessaire]. Certaines information sont assez "confidentielles", et ne sont faciles d'accès ; c'est la raison pour laquelle j'ai mis au conditionnel, des faits qui sont pourtant absolument avérés.


Très cordialement,

Jrl133 (d) 8 mai 2008 à 18:02 (CEST)Répondre

A propos de "Quelques clés ?"

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Wikipédia n'est pas un forum de discussion, mais me semble destiné à informer ses consultants de la réalité des choses, chacun ayant le droit de se faire une opinion à partir des faits réels dont il peut disposer. Wikipédia ne doit pas, à mon sens, se contenter de "diffuser" passivement des "rumeurs" que certains sont payés à créer. Voir "Discuter Guerre en Irak".


Néanmoins, cher "A", qu’un individu se permette, DANS UN PAGE DE DISCUSSION, de modifier le texte d’un autre contributeur, et a fortiori, de le censurer par sa suppression pure et simple, est, très certainement, du jamais vu dans les annales de Wikipédia ! Et je n’arrive toujours pas à comprendre comment vous vous êtes cru autorisé à un tel acte, contraire à la déontologie la plus élémentaire en matière de contribution (connaissez-vous le sens du mot "déontologie" ?).

Dans une page de discussion, il est d’usage de faire des commentaires aux commentaires d’autres contributeurs, au besoin en demandant, pourquoi pas, à l’auteur la suppression d’un texte que l’on jugerait inutile ou inopportun. Mais il n’est pas d’usage de CENSURER. De quel droit VOUS prévalez-vous pour vous vous y être autorisé ? En cas de désaccord persistant (qui, normalement, ne porte que sur la contenu d’un article et non pas sur les discussion relatives à celui-ci), il est d’usage de faire appel à un administrateur, afin que celui-ci tranche. Je n’imagine pas, après discussion avec un administrateur représentant les contributeurs, de ne pas me soumettre à sa décision (même si je restais, au fond de moi, convaincu que j'ai raison et qu'il a tort), celui-ci ayant, de plus, comme cela me semble normal, la possibilité de bloquer un contributeur récalcitrant.


Quant à moi, même dans le texte d’un article, je ne me permets JAMAIS de censurer la moindre information (même quand je la trouve inutile ou hors sujet). Dans presque tous les cas, je me contente d’ajouter [réf. nécessaire], pour mettre en garde le lecteur. En espérant que le contributeur de bonne foi, auteur du texte, vérifiera par lui-même le fait "douteux" signalé, et rectifiera de lui-même. Quant aux autres... Les seuls cas où je me permets de "réverter" sont ceux où il y a atteinte à la dignité humaine, insinuation calomnieuse ou diffamation envers quelqu’un, mais je m’en explique toujours dans la page de discussion.


Pour ma part, je n’essaie, moi, de n’influencer PERSONNE, que ce soit en glissant insidieusement des opinions parmi des faits ou en faisant en sorte que des faits restent inconnus du plus grand nombre, pratiques, hélas, trop communes : je laisse, moi, ce genre de pratiques à d’autres. Je me contente simplement d’essayer de faire partager le peu de connaissances factuelles que j’ai sur les quelques sujets que je connais un peu, LA OU CA ME SEMBLE UTILE, surtout lorsque ces informations ne se trouvent pas facilement - dans le texte de l’article, si c’est possible, dans la page de discussion de l’article, le cas échéant. Après, à chacun de se faire sa propre opinion à partir de faits - en remarquant tout de même qu'une opinion qui n'est basée sur aucun fait ou sur des "faits" faux...


Il existe, de part le monde, un certain nombre de sujets, qui intéressent à juste titre beaucoup de gens, et qui représentent pour certains Etats des enjeux très considérables. Ces Etats font, et c’est parfaitement naturel, des efforts EXTREMEMENT conséquents pour faire adhérer à leur cause la plus grande part de leur propre opinion publique, et de l’opinion publique mondiale. L’Irak a constitué et constitue toujours, pour les Etats-Unis tout particulièrement, mais pas seulement pour eux, l’un des sujets les plus sensibles, peut-être le plus sensible actuellement. Permettez-moi de vous reproduire partiellement un texte qui, j’ose l’espérer, vous éclairera un peu, texte qui n’est pas confidentiel, mais que vous ne pouvez pas acheter, même chez les meilleurs libraires ; Je ne donnerai pas sa source ([réf. nécessaire] !), me contentant de « traduire » ce texte mot à mot (les gras ne sont pas de moi mais, bien sûr, de l'auteur du texte) :


"Nous sommes sorti de la parenthèse historique du XXeme siècle et de sa sous-parenthèse de la guerre froide. Nous sommes revenus à la vérité de la guerre, qui est d'abord que celle-ci est une lutte pour la liberté d'action. La préservation de notre liberté d'action - qui est notre bien le plus important - est basé sur un nouveau principe très fort qui émerge de nos interventions : le principe de nécessité.

Nous devons intégrer dans notre réflexion deux caractéristiques fortes des nouveaux contextes :

@ La première caractéristique est que le droit nouveau à la guerre est d’avantage affaire de légitimité que de légalité :

- Dimension locale : nous sommes localement "légitimes" si nous répondons mieux que l’Autre aux problèmes de tous ordres auxquels doit faire face la population.

- Dimension extérieure : notre action ne pourra durer que tant que l’opinion publique nationale et internationale en ressentira la légitimité (et cette légitimité, particulièrement fragile, comporte une forte dimension morale, de l’ordre de la perception).

@ La deuxième caractéristique, conséquence de la première, c’est que la guerre est redevenue d’abord une opération de communication et que nous devons d’abord conduire la guerre comme une opération de communication.

Cela veut dire que nous devons contrôler et non pas être contrôlé : il s’agit là du "milieu", puisque gagner la guerre, c’est contrôler le milieu. Cela veut dire que nous devons maîtriser et non pas être maîtrisé : il s’agit là des opinions et donc des médias."


Que vous le vouliez ou non, le monde moderne est comme ça, et pas autrement.


Et les différents articles tels qu'actuellement rédigés sur l’Irak, la Guerre en Irak, Dictature de Saddam Hussein, et quelques autres... en témoignent encore, à certains endroits, avec une très grande éloquence !


Permettez-moi maintenant, après ce préambule, de remettre le texte que vous avez CENSURE. Mais tenez-vous toujours autant à le censurer ? Si vous avez des remarques à me faire, vous voudrez bien, cette fois, utiliser votre "Droit de réponse", ce que je vous invite, cher "A", très cordialement à faire.


Les contributeurs s'intéressant aux "Grands Problèmes" du monde actuel ne sauraient, je pense, être trop attentifs quant à l'esprit critique qu'il convient d'avoir vis-à-vis des informations en provenance des régions "sensibles" du monde, la grande presse, les radios et les grandes chaînes télévisions n'étant quasi exclusivement alimentées en informations par trois agences mondiales de presses, profondément "infiltrées" et "noyautées" (Bagdad, Kaboul, Pékin, Moscou, Beyrouth... également Abidjan et N'Djamena... – mais pas Monaco ou Acapulco - infiltrées et noyautées en fait depuis la "Guerre du Golfe", à l'occasion de laquelle les USA (et d'autres pays...) se sont aperçus de l'intérêt qu'il y avait à contrôler l'information "à la source", puis de laisser librement celle-ci diffuser librement, par l'intermédiaire de gens de bonne foi comme vous et moi) depuis 15 ans par des agents agissants suivant la technique du "Targetting", terme militaire également utilisé par les "Services" dans les actions dites pudiquement "actions d'influence". Le "cœur de cible" de ces actions sont des gens intelligents et cultivés, avec un esprit critique toutefois pas trop développé, qui pourront constituer des relais efficaces pour diffuser plus avant les informations délivrées par les sources infiltrées et noyautées.


Dans l'optique de la future confrontation avec la Chine que le États-Unis jugeraient inévitable et à laquelle ils se prépareraient activement avec leurs alliés de l'OTAN, tout comme la Chine s'y préparerait tout aussi activement, les Etats-Unis jugeraient la réussite de leur implantation en Irak comme actuellement leur priorité "Number One", alors que la présence de l'OTAN en Afghanistan, l'affaiblissement de la Russie et la "démocratisation" du Tibet seraient, du moins pour le moment, secondaire. L'axe d'effort des actions d'influence des Etats-Unis et de leurs alliés serait donc actuellement celui de l'Irak, pays pour lequel ces actions seraient les plus nombreuses et les plus sophistiquées.


Pour ce qui est de l'Irak, les "techniques d'influences" utilisées sont toujours à peu près les mêmes : dépêche contenant un grand nombres d'informations ("Nous sommes parfaitement informés") sans intérêt mais exactes, parmi lesquelles est glissée une (ou deux) "information" qui intéresse "tout le monde", présentée tendancieusement voire mensongèrement, "information" qui constitue "le" message de la dépêche. Quelques indications permettant, pour l'Irak, de décrypter les dépêches en provenance de Bagdad :

- quand on y parle "d'Al-Qaïda", lire "Sunnites salafistes" ;


- quand on y parle de "nostalgiques de l'ancien régime de Saddam Hussein" ou de "Tribus" , lire "Sunnites baassistes", majoritaires chez les Sunnites ;


- quand on parle des Chiites, lire "Moqtada al-Sadr", majoritaires dans la population irakienne ;


- quand Condoleezza Rice affirme ne pas comprendre ce que recherche vraiment Moqtada al-Sadr, se rappeler qu'elle est l'interlocutrice de celui-ci depuis près de cinq ans, et que c'est elle qui a négocié toutes les trêves et tous les "marchés" avec celui-ci, et qu'elle sait parfaitement, elle comme tous les Irakiens, ce qu'il veut et qu'il a obtenu ;


- Quand on parle de la "communauté kurde irakienne", lire "les habitants d'un pays de facto indépendant de l'Irak".


La prudence s'impose, non seulement pour les dépêches d'agences, mais aussi pour les reportages des grandes chaînes de télévision réalisés dans des endroits "sensibles" du Monde, endroits où les intérêts de certaines "Grandes Puissances" (ou de moins grandes...) sont grands, en particulier lorsque les reportages sont réalisés, soit par les "envoyés permanents", ou lorsque les reportages sont faits par des "envoyés spéciaux" inconnus. En dehors des "envoyés permanents" dont l'intégrité morale est connue par leur passé (ils font en général l'objet de campagnes publiques de dénigrement de la part d'associations ou de revues dénonçant leur "partialité", et demandant leur remplacement...), les seules sources d'informations fiables pour ces régions "sensibles" sont donc celles constituées par les reportages des "envoyés spéciaux" dont l'intégrité morale a pu être appréciée lors de missions réalisées antérieurement. Se souvenir également que les ONG constituent pour les "Services" des proies faciles à manipuler !


Par ailleurs et de façon très générale, il convient d'avoir en tête que ce qui n'est pas dit peut être plus important que ce qui est dit : parfois, un silence en dit plus qu'en long discours... Les choses dont on ne parle pas ou plus, alors qu'on devrait logiquement en parler, révèlent toujours des choses qui ne sont pas anodines : en réfléchissant un peu, et à condition d'avoir déjà une idée suffisamment correcte de la situation, on peut faire des hypothèses, tenter de les vérifier, et ainsi progresser un peu dans la connaissance d'une situation...


Quelques indications sur la situation présente en Irak, compétant ceux qu'on trouve actuellement dans l'article, et susceptibles de les éclairer :

- les Sunnites bassistes, qui constituaient la principale force menant des actions militaires contres les forces américaines, auraient négocié à la mi 2007, tout comme l'avaient fait dès le départ les Chiites (Moqtada al-Sadr), une trêve avec l'armée américaine, de façon à pouvoir se protéger des actions terroristes dont ils étaient de plus en plus victimes de la part des Sunnites salafistes ; l'armée américaine leur aurait, en échange, confié le contrôle de toutes les régions sunnites ("Triangle sunnite"), les aidant dans leur lutte contre les salafistes en leur fournissant les renseignements dont ils disposent ; l'armée américaine avec, par suite, la nouvelle armée irakienne, a pu ainsi, quasi intégralement, se replier et se recentrer sur Bagdad, agglomération où elle dispose maintenant 24 brigades de combat, le tiers du volume total de l'armée américaine, trois fois le volume total de l'Armée française (8 brigades de combat), cloisonnant la ville ; ceci explique, à la fois la baisse de ses pertes mensuelles depuis cette date, et le fait qu'elle aie récemment essayé, rompant ainsi la trêve passée avec Moqtada al-Sadr, de prendre le contrôle du quartier chiites de Bagdad, Sadr City ; les Sunnites ont pour objectif de ré-instaurer un régime nationaliste dans toute l'Irak ; étant minoritaires, ils ont bien conscience qu'un tel régime ne peut, au moins au début, revêtir une forme démocratique "à Occidentale" ; les Sunnites baasistes sont soutenus "moralement" par la Syrie, n'ayant pas besoin d'une logistique extérieurs, car ils posséderaient des armes et des munitions pour au moins trente ans, ayant récupéré celles de l'ancienne armée Irakienne, qui avait probablement préparé cette éventualité avant la chute du régime ; ils s'opposeront de toutes leur force à une partition de l'Irak ;

- les Sunnites salafistes, soutenus par l'Arabie Saoudite, veulent d'abord "éliminer" les Baasistes, puis les Chiites, afin d'instaurer un régime intégriste sunnite dans tout l'Irak ; ils ne combattent pratiquement plus les troupes américaines, qui auraient pratiquement évacué toutes les régions sunnites (à l'exception de Bagdad), concentrant leurs actions contre les Sunnites baasistes ; ils sont eux aussi opposés à une partition de l'Irak, et sont opposés, pour des raisons religieuses, à la présence de troupes non musulmanes sur un territoire musulman ;

- Moqtada al-Sadr a passé, dès le départ, une trêve avec les forces de la coalition, alors aux prises avec les actions militaires sunnites (à l'époque, baasistes et salafistes réunis), et contrôlerait l'intégralité des régions chiites, où il a installé de facto une "République islamique" basée sur une interprétation intégriste de la charia (Les sunnites baasistes n'arrêtent pas de dénoncer publiquement des abus, lapidations nombreuses de femmes adultères en particulier) ; les forces américaines et, par suite, la nouvelle armée irakienne, sont totalement absentes de ces régions, les autres contingents de la coalition ayant interdiction formelle de mener des actions offensives contres l'Armée du Mehdi de Moqtada al-Sadr et n'ayant le droit de faire usage de leurs armes qu'en cas de "légitimes défense" ; les forces armées américaines, rompant la trêve, ont tentés par deux fois de limiter la prise de contrôle des régions chiites par Moqtada al-Sadr, à Nadjaf et, récemment, à Sadr City, n'obtenant aucun résultat tangible ; lorsque les Chiites modérés ont compris que la paix avec les américains n'entraînerait pas leur départ, ils auraient progressivement ralliés à Moqtada al-Sadr ; aujourd'hui, les Chiites "modérés", s'étant trop compromis avec l'occupant, ne joueraient pratiquement plus aucun rôle ; tous les partis chiites sont activement soutenus par l'Iran ; ils souhaitent tous, plus ou moins, une partition de l'Irak, les régions chiites disposant de la moitié du pétrole irakien ;

- les Kurdes sont de facto indépendants et vivent en paix ; ils n'ont plus aucun rapport avec les irakiens, la présidence de l'Irak par un Kurde n'étant là que pour faire illusion ; ils sont soutenus par les américains, et ils souhaitent la création d'un Etat Kurde réunissant les Kurdes d'Irak, de Turquie, de Syrie et d'Iran ; les américains sont pris, d'une part entre leur volonté d'affaiblir l'Irak autant que faire se peut et, d'autre part, la nécessité de ménager la Turquie, membre de l'OTAN ; le Kurdistan constitue pour les américains une option de repli au cas où ils ne pourraient pas établir de bases militaires permanentes en Irak, des bases au Kurdistan étant beaucoup moins favorables à l'organisation d'opérations militaires terrestres contre l'Iran et la Syrie, celles-ci n'étant pas du tout possible contre l'Arabie saoudite (voir cartes de la région) ; le Kurdistan possèdent la moitié du pétrole irakien ;

- les groupuscules terroristes irakiens se réclamant d'Al-Qaida seraient encore moins nombreux que les groupes soutenant le gouvernement d'Nouri al-Maliki, et ne joueraient pratiquement aucun rôle en Irak, hier comme aujourd'hui ;

- contrairement à ce qu'ils affirment officiellement, les Sunnites et les Chiites souhaiteraient le maintien des forces américaines en Irak, seules capables de s'interposer entres les communautés Chiite et Sunnite, et d’éviter une guerre civile généralisée ; si un Président des Etats-Unis décidait du retrait des forces américaines d'Irak, les Chiites et les Sunnites, qui ne sont pas cons, s'uniraient probablement pour exiger leur maintien, éventuellement au moyen d'actions militaires conjointes, faisant le siège des garnisons américaines, attaquant les convois essayant de quitter l'Irak, et en détruisant les moyens aériens et maritimes permettant aux troupes américaine de fuir (c'est à peine une blague...) ;

- de toutes façons, tous les irakiens sauraient maintenant que les américains n'auraient certainement pas l'intention de se retirer d'Irak (Ils y conserveraient des bases militaires très importantes), y étant venu avec l'idée d'y rester au moins cinquante ans, de façon à être en mesure de contrôler tout le Moyen-Orient et son pétrole, à être en mesure de procéder à des offensives terrestres contre l'Iran, contre la Syrie et contre l'Arabie Saoudite en cas de besoin, à être en mesure de s'opposer à des alliances que la Chine pourrait un jour vouloir passer avec des Etats de cette région pour utiliser l'arme du pétrole contre les Etats-Unis et leurs alliés, enfin pour disposer de bases aériennes stratégiques à l'ouest de la Chine, au cas où ces bases ne pourraient pas être installées au Tibet... le contrôle de l'Irak permet également aux USA d'être mois dépendant d'Israël pour la défense de leurs intérêts au Moyen-Orient, Israël n'étant pas toujours aussi "malléable" que les Etats-Unis pourraient le souhaiter ; de son coté, Israël y trouverait son compte, l'Irak étant la seule puissance qui était susceptible de contester son rôle de superpuissance unique dans tous les Etats arabes ; évidemment, les américains souhaitent le plus rapidement possible ne plus être directement impliqués dans les affaires intérieures irakiennes, et pouvoir remplir tranquillement les missions à caractère international pour lesquelles ils auraient envahi l'Irak.


Il est impossible de prévoir la suite de cette histoire ; tout ce qu'on peut dire, c'est qu'elle est destinée à durer encore longtemps...

88.173.126.54 (d) 15 mai 2008 à 14:20 (CEST)Répondre


Mettre 3 copies conformes de tes thèses sur "la réalité des choses" sur 3 pages de discussion différentes (Irak, Saddam Hussein, Guerre en Irak), ce n'est plus un échange d'opinion, c'est limite du spam. Apollofox (d) 15 mai 2008 à 21:27 (CEST)Répondre

Equilibrage de l'article

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1. J'ai supprimé tous les références nécessaires, qui rendaient la lecture impossible, au profit d'un bandeau global sources, puisqu'il est vrai que cet article, pourtant classé d'importance maximum, en manque cruellement. Je ferais de même prochainement sur les articles qui ont subi le même sort, comme Saddam Hussein.

2. De nombreux ajouts ont été faits ces derniers jours, assez orientés pour certains, avec une mise en page qui ne correspond pas au normes de la WP. Certains devraient purement et simplement être supprimés, d'autres sont trop précis pour un article pays, et devraient se trouver dans les articles détaillés (histoire de l'Irak, Politique de l'Irak, etc...), qui sont pour certains assez pauvres à l'heure actuelle.

3. J'ai supprimé la note qui suit plus bas, sur le procès de Saddam Hussein. Tous ces points pourraient, s'ils étaient sourcés et discutés de façon neutre, être intégrés dans l'article Saddam Hussein, voire dans un article détaillé de celui-ci, mais certainement pas dans l'article Irak. En outre, la façon dont elle est rédigée, est très orientée.

Ce procès, le premier d'une longue suite de procès prévus , pour chacun desquels la peine de mort étaient normalement requise puisque tous tous les crimes étaient qualifiés de "Crimes contre l'Humanité" et que le condamné devait être exécuté à la première condamnation à mort, portait sur la condamnation à mort, en 1982, par un tribunal irakien, de 148 habitants chiites de la petite ville de ad-Dujaïl, à la suite d'une tentative d'assassinat de Saddam Hussein par une organisation islamiste chiite de cette ville. La loi irakienne prévoyant la prescription des crimes et délits après dix ans , et comme tous les crimes dont Saddam Hussein était accusés dataient d'avant 1991 et étaient donc prescrits, il fut nécessaire de qualifier tous les crimes qui lui étaient reprochés de "Crimes contre l'Humanité" ; toutefois, et quelle que soit la gravité du crime de Diujaïl, pratiquement tous les juristes indépendants sont d'accord pour dire que la qualification de "Crime contre l'Humanité" n'est pas conforme au Droit dans ce cas précis . L'accusation ne fut pas en mesure de prouver que Saddam Hussein avait fait pression sur le tribunal ayant jugé et condamné ces 148 personnes suivant la loi irakienne d'alors , loi qui n'a d'ailleurs pas changé après 2003 et qui est toujours en vigueur , bien qu'il soit évidemment hautement probable que Saddam Hussein ait au minimum "supervisé" le déroulement de ce procès ; en 1982, ce procès et l'exécution des condamnés avaient eu un très large retentissement en Irak , l'objectif du pouvoir étant, sans nul doute, de "dissuader fortement" les populations chiites d'adhérer aux nombreux mouvements islamistes radicaux qui s'étaient constitués à partir de 1960 pour lutter contre le nouvel Etat "impie" . Le seul fait certain qui put lui être reproché était qu'il n'avait grâcié aucun des condamnés, alors qu'il était en son pouvoir de le faire , en particulier dans le cas de condamnés qui n'avaient pas directement participé à l'attentat contre lui et dont le seul "crime" était d'appartenir à cette organisation extrémiste . Dans le cas où Saddam Hussein n'aurait pas été condamné à mort à l'issue de ce premier procès, ce qui aurait peut-être entraîné des émeutes dans toutes les provinces chiites contrôlées par Moqtada al-Sadr, un second procès était prévu dans la foulée , où Saddam Hussein était à nouveau accusé de "Crime contre l'Humanité" , pour le Crime de Guerre du bombardement au gaz, les 17 et 18 mars 1988, de la ville kurde d’Halabja, tuant des milliers de personnes. Dans ce cas également, le rôle personnel de Saddam Hussein ne semble jamais avoir pu être établi avec précision ; après l'exécution de Saddam Hussein, Ali Hassan al-Majid, dit «Ali le Chimique», fut condamné à mort pour avoir commandé ces bombardements, et deux officiers supérieurs irakiens furent condamnés à la même peine pour avoir exécuté ces ordres. Il sera intéressant de voir si Tarek Aziz réitèrera ses accusations envers l'Iran, celui-ci ayant affirmé de façon surprenante à un journaliste américain, dans un livre que ce dernier a publié , que ces bombardements étaient l'œuvre des Iraniens et non des Irakiens, en justifiant ses accusations par la nature des gaz qui auraient été employés lors de ces bombardements , gaz qui étaient, selon lui, des gaz de combat employés par les Iraniens et que les Irakiens ne possédaient pas . Ces évènements seront-ils évoqués lors du ou des procès de Tarek Aziz ? Par ailleurs, des experts indépendants ont-ils été capables de déterminer, à partir des photos que l'on possède du massacre, la nature exacte des gaz employés ? On peut enfin noter que le Tribunal spécial irakien refusa l'ultime requête de Saddam Hussein d'être fusillé , comme la loi irakienne le prévoit en cas de crime politique , la pendaison étant la sanction prévue pour les crimes de droit commun


Cher "Nicod",


Pour ce qui est de la note sur le Procès que vous avez amputée, je suis tout à fait d'accord que c'est bien dans "Saddam Hussein" qu'il devrait se trouver et pas dans "Irak" ; par contre, après l'avoir relu et avoir vu la partie que vous avez amputée, êtes-vous sérieux lorsque vous écrivez : "La façon dont elle est rédigée, est très orientée" ? Elle est effectivement très dure pour le Tribunal spécial irakien mais, pourriez-vous me citer un seul fait inexact dans ce que je dis ? Je suis bien entendu ouvert à toute amélioration de la forme, et à une présentation la plus "neutre" possible des faits - mais sûrement pas à la dissimulation de faits avérés, dont il ne vous appartient pas plus à vous qu'à moi de juger de leur importance.
Il est clair que l'article actuel me semble très amélioré par rapport à l'état dans lequel il se trouvait encore le 7 mai, en petite partie grâce à moi, et surtout grâce à un très mystérieux auteur, qui semble très au fait des problèmes du monde arabe et du Moyen-Orient, qui écrit de temps à autre depuis quelques années dans WP et qui a, étonnamment tenu à garder l'anonymat, alors qu'il a refait la moitié de l'article, en trois jours en en faisant plus de trente modifications, améliorant la clarté de la présentation et sa précision bien sûr, mais faisant aussi discrêtement disparaître un certain nombres de précisions que je venais d'y apporter les jours précédents...
Mais, comme vous me semblez très soucieux de la "neutralité" et de la "non-orientation" de article (ça s’appelle l'honnêteté et c'est relatif à l'Ethique), soucis que je partage avec vous, je voudrait que vous me donniez votre sentiment sur les phases suivantes qui s'y trouve encore :
- "Saddam Hussein met Hassan al-Bakr à la retraite". (Raccourci saisissant, pas très professionnel... "People" ?)
- "à l'age de 42 ans rompant avec le Parti communiste..." (Il était "membre" du Parti communiste !!!!!)
- "...Parti Baas - un parti nationaliste arabe, laïc et socialiste, dont tous les dirigeants sont originaires de la ville de Tikrit..." (C'est faux, ou stupide ? Faut-il, là aussi, se contenter du bandeau "Cet article ne cite pas...")
- "De plus, il veut mettre un point final à la révolution islamique..." (Au minimum, un conditionnel s'imposerait...)
- "le physicien égyptien Yahya el-Meshad, qui travaille avec les physiciens irakiens, est assassiné à Paris, dans une chambre de l’hôtel Méridien. L'enquête ne permet pas d'identifier les coupables, mais le Mossad est soupçonné[3]." (Quel rapport ?)
- "la 1ère charge est envoyée sur le site irakien de Al Tuwaitha, situé à 18 km au sud-est de Bagdad." ( ?)
- "le raïs iraquien..." (Vous qui semblez connaître la région, le qualificatif ne vous étonne pas, puisque c'est de Saddam Hussein dont il s'agit ici ?)
- "était considéré comme le seul rempart contre le danger que représenté l'Iran de Khomeiny et des « pasdaran » et en vertu du vieux principe « l'ennemi de mon ennemi est mon ami », nombreuses étaient les puissances occidentales à soutenir l'irak" (Ca sort d'un rapport du Quai d'Orsay ?)
- "En mars, Saddam Hussein ordonne à l’armée d’utiliser l’arme chimique en accord avec les Etats-unis contre la ville kurde de Halabja." (Sans commentaire)
- "En Octobre (1998) : Bagdad décide de rompre totalement la coopération avec l'Unscom..." (Vous êtes sûr de la date ? Vous savez à la demande de qui les inspecteurs de l'UNSCOM ont quitté l'Irak en 1998 ?)
- "Bill Clinton lance en décembre, et sans mandat de l'ONU, l'opération "Renard du désert" pour obliger Bagdad à coopérer." (Et il échouera, le pauvre Bill... IL est vrai que cette pauvre ONU avait bien besoin d'une aide bienveillante !)
- etc.


Bon, je vous ai déjà fait un commentaire, que je reproduis ci-après, et dans lequel je rappelle
1. qu'il me semble être du devoir de TOUS de signaler dans les articles les faits dont ils savent qu'ils sont "pour le moins douteux" par un [réf. nécessaire] car, autrement, comment voulez-vous que le lecteur, dans un article où il a un bandeau "Cet article ou cette section ne cite pas suffisamment ses sources." C'EST D'AILLEURS CE QUI SE FAIT DANS TOUS LES ARTICLES DE WP, ET IL EST NORMAL QU'IL EN SOIT AINSI DANS LES ARTICLES CONSACRES A L'IRAK COMME DANS LES AUTRES.
2. S'IL Y A DANS LES ARTICLES CONSACRES A L'IRAK UN NOMBRE EXTREMEMENT ANORMALEMENT ELEVE DE [réf. nécessaire], C'EST LA PREUVE QU'IL SE PASSE QUELQUE CHOSE DE TOUT A FAIT ANORMAL SUR CE SUJET, COMME PEUT-ETRE DANS D’AUTRES - ET JE N'Y SUIS POUR RIEN ! Mais je crois avoir tenté de donner un début d'explication dans "Quelques clés ?", explications qu'un lecteur (probablement de bonne foi) avait immédiatement cru bon de supprimer (CENSURER ?) dans une rubrique "Discussion" !!!!!
3. LES [réf. nécessaire] SONT LE SEUL MOYEN D'ATTIRER L'ATTENTION DES LECTEURS SUR DES ELEMENTS "TENDANCIEUX" OU "FAUX" QUE CERTAINS, VOLONTAIREMENT OU NON, GLISSENT PARMI DES FAITS PARFAITEMENT "AVERES" ET "EXACTS".
4. DANS DE NOMBREUX CAS, SUPPRIMER CES [réf. nécessaire] REVIENDRAIT SCIEMMENT A INDUIRE LE LECTEUR EN ERREUR, CE A QUOI JE ME REFUSE TOTALEMENT.



""Chère Nicod,


Je souhaiterais qu'au moins la majorité des [réf. nécessaire] dans le texte, dont beaucoup ont été rajoutées par moi-même récemment, soient conservées, car il s'agit à chaque fois d'affirmation qui me semblent, comme tenu de ce que je connais de cette affaire, "pour le moins douteuses" (ou invérifiables -ce qui revient exactement au même) et qui permettent d'attirer le lecteur sur des faits précis qu'il convient qu'il prennent en compte avec précaution.
Bien entendu, si les rédacteurs des lignes en question peuvent, par des sources fiables rapportant des faits crédibles, confirmer les faits qu'ils rapportent, je n'y verrai, aucun inconvénient, BIEN AU CONTRAIRE, car je fais passer la vérité avant tout autre considération (comme je l’ai déjà indiqué, en particulier dans ma « Page Utilisateur » et les [réf. nécessaire] devraient alors être supprimer par lui-même (s’il ne le faisait pas, je me ferais alors un plaisir de le faire moi-même –car je ne prétends pas qu'il m'est impossible de me tromper.
Par contre, si les rédacteurs de faits "pour le moins douteux", après vérification, se rendent compte de leur caractère "très probablement faux" (donc, comme je ne doute pas qu'ils soient de bonne foi, qu'ils ont été trompés), je pense que le mieux est qu'ils fassent les corrections eux-mêmes ; comme je l'ai déjà indiqué par ailleurs, je m'interdit quant à moi, sauf cas très particulier, de procéder à ce qui pourrait apparaître comme une CENSURE CHOSE QUE JE TOLERE, NI CHEZ MOI, NI CHEZ LES AUTRES. WP est une encyclopédie libre : il appartient donc à chacun de vérifier la justesse de ce qu'il écrit, ou de corriger ses erreurs s'il estime en avoir commis.


Un bandeau général, mise en garde du lecteur indiquant qu'un article ne cite pas suffisamment ces sources est intéressant, car il met en garde, DE FACON GENERALE, SUR LE FAIT QUE LE CONTENU DE L'ARTICLE EST SUJET A CAUTION, mais n'est évidemment pas du tout équivalent à une signalisation, dans l'article même, des faits "douteux", et c'est bien l'identification de ces faits qui est fondamentale pour le lecteur : sinon, que fait-il de cette mise en garde : il fuit l'article ? Il ne lit pas du tout ? Pourtant, dans l'article, il y a des faits exacts, que personne ne conteste. La mise en garde n'est que générale, elle ne signale pas les faits "douteux" ou "pour le moins douteux". D'ailleurs, dans tous ces articles où il y a un bandeau général "L'article ne cite pas suffisamment ces sources, il y a nécessairement une plusieurs [réf. nécessaire] car, en particulier pour un tel article, TOUT LECTEUR QUI :TROUVE UN FAIT « DOUTEUX », ET A FORTIORI, UN FAIT « POUR LE MONS DOUTEUX », se doit à mon sens de le signaler individuellement par un [réf. nécessaire], le rédacteur se devant alors d'apporter la preuve du fait qu'il rapporte en citant la source "crédible" où il tiré son information.


DANS LE CAS PRESENT, LE NOMBRE TRÈS ANORMALEMENT ELEVE DE [réf. nécessaire] MONTRE INDISCUTABLEMENT QU'IL Y UN VRAI PROBLEME !!! ! ! JE CROIS AVOIR ESSAYE DE MONTRER QUELLE EST LA CAUSE PROFONDE DE CE PROBLEME. SOUHAITEZ-VOUS QUE CETTE ANOMALIE SOIT PUREMENT ET SIMPLEMENT DISSIMULEE AUX LECTEURS ET, SI OUI, POURQUOI ?


Comme je n'en crois rien, et suis a priori convaincu de votre bonne foi parfaite, recevez, cher Nicod, mes très cordiales et très sincères salutations,""


DERNIERE QUESTION, ET NON LA MOINDRE : VOUS ETES BIEN ADMINISTRATEUR ? CAR, DANS LE CAS CONTRAIRE, IL S'AGIRAIT DE VANDALISME OUR ET SIMPLE !


Encore une fois, cher "Nicod", très cordialement,


PS : Bien entendu, j'admets parfaitement que l'on puisse avoir une autre vision du monde que la mienne, et que l'on puisse en particulier faire passer les principes partisans de nécessité (voir ci-dessus) devant les principes éthiques (voir, par exemple, ma page utilisateur). Simplement, je tiens à faire savoir que je ne discute pas avec les premiers.

Jrl133 (d) 19 mai 2008 à 07:24 (CEST)Répondre

Guerre Iran/Irak : modifications suspectes

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Suite à un bout de phrase en suspend dans la section "guerre iran/irak", j'ai recherché d'où venaient les modifications ; elles datent d'aout 2008, et je vous invite à regarder les 3 points changés (en 2 modifications) ici : [2]. Ces 3 points sont la disparition des lignes :

  • À l'époque, le raïs iraquien était considéré comme le seul rempart contre le danger que représenté l'Iran de Khomeiny et des « pasdaran » et en vertu du vieux principe « l'ennemi de mon ennemi est mon ami », nombreuses étaient les puissances occidentales à soutenir l'Irak.
  • Rébellion au Kurdistan. Dissidence des Kurdes irakiens, avec la complicité des Iraniens.

Et le changement de :

  • Les deux armées utilisent pendant cette guerre des armes chimiques(...) à L'irak utilis pendant cette guerre des armes chimiques(...)

Je ne suis pas un spécialiste du sujet, et je ne sais pas si ces modifications sont justes ou justifiées (neutralité du propos), mais la non correction des fautes et du formatage du à ces corrections tendent à montrer qu'elles ont été inaperçues... Lien Rag 99 (d) 27 janvier 2009 à 16:13 (CET) --Répondre

Forme longue

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République d'Irak ou République iraquienne ? Qui parle suffisamment bien l'arabe et en maîtrise la grammaire pour dire si l'expression Al-Jumhuriyah al-Iraqiyah doit se traduire à l'aide d'un complément du nom ou d'un adjectif de nationalité ? À moins que le nom officiel ne soit Al-Jumhuriyah al-Iraq... Merci. Cyril-83    Fichier:Armoiries Cyril-83.gif 19 mars 2009 à 20:19 (CET)Répondre

Il vaut mieux se baser sur les formes longues usitées en français selon les documents cités sur Pays_du_monde#Liste, que d’inventer une forme par traduction personnelle de l’original. —C.P. 14 août 2009 à 09:35 (CEST)Répondre
Tout à fait d'accord avec Cépey.--Chrono1084 (d) 18 août 2009 à 20:09 (CEST)Répondre

Retour du lecteur :je cherche les nourritures...

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78.204.168.42 a posté ce commentaire sur 21 juillet 2013 (voir tous les retours).

je cherche les nourritures traditionnelles, et les vêtements

Il est vrai que la section Irak#Culture et l'article détaillé Culture irakienne sont encore peu développés... Il ne tient qu'à vous d'y remédier

Bonnes contributions - BTH (d) 21 juillet 2013 à 14:24 (CEST)Répondre

Incohérences

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Dans l'intro:

le territoire de l’Irak (l'empire sémite de Babylone) est intégré à l’Empire perse, formant, peu avant sa conquête par les Arabes (au IIIe siècle par la tribu des Banu Lakhm) et son islamisation, la province sassanide du Khvarvaran.

et dans :

Avec l'invasion arabe, au VIIe siècle, Bagdad devient la capitale du califat islamique et une des plus grandes villes du monde, au grand rayonnement intellectuel.

Les deux siècle sités (III et VIIe) sont-il cohérent?

De plus, de nouveau dans l'intro:

...L’Irak, terme qui vient du perse Eraq et signifie littéralement « basse terre »...

et dans "histoire"

...Le nom Irak dérive du terme persan Erak, qui signifie "bas-Iran"... avec une réf.: 15 (article dans lequel on explique que l'irak était une province de l'iran (plus exactement de l'empire Perse)

Est-ce compatible?

Je remarque également Erak ou Eraq?

Pituit (discuter) 2 octobre 2014 à 18:11 (CEST)Répondre

Vote en PDD du projet:Histoire sur Guerre d'Irak

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Bonjour, la page Guerre d'Irak évoque la période 2003-2015, alors qu'il existe une page Deuxième guerre civile irakienne qui concerne la période post-2010. Je propose que les contributeurs argumentent et votent sur Discussion projet:Histoire#Fin de la Seconde Guerre du Golfe ? pour en finir une bonne fois sur le champ d'application de cet article. Borne-t-on Guerre d'Irak à 2010 ou continue-t-on la page ? Vous pouvez aller donner vos arguments et vos votes sur la page en question. Cordialement, --Éric Messel (Déposer un message) 10 août 2015 à 23:33 (CEST)Répondre

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