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Citroën Axel

automobile

La Citroën Axel est un modèle d'exportation, pour quelques pays d'Europe de l'Ouest, de la petite berline Oltcit (Olténie + Citroën)[1] présentée en octobre 1981 et produite à Craiova en Roumanie. En France, cinq versions ont été vendues à partir de juillet 1984[2] : Axel, Axel (Entreprise), Axel 11 R, Axel 12 TRS et Axel 12 TRS (Entreprise).

Citroën Axel
Citroën Axel
Rassemblement d'Axel à Andijk, 2019

Marque Citroën
Années de production 1984 - 1988
Production 60 184 exemplaire(s)
Classe Citadine polyvalente
Usine(s) d’assemblage Drapeau de la Roumanie Craiova
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) Moteur boxer série G:
1 129 cm3
1 299 cm3
Position du moteur longitudinale avant
Puissance maximale 57,5 - 61,5 ch 6 - 7 (41,4 - 44,2 kW)
Couple maximal 81 - 98 N m
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle 4 ou 5 rapports
Masse et performances
Masse à vide 830 - 875 kg
Vitesse maximale 150 - 157 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 13,1 - 15,4 s
Consommation mixte 8,6 - 8,9 L/100 km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline bicorps 3 portes, 5 places

Entreprise bicorps 3 portes, 2 places

Châssis Citroën Axel / Oltcit
Coefficient de traînée 0,36 - 0,37
Suspensions Barres de torsions transversales,
amortisseurs hydrauliques à l'avant et à l'arrière
Direction à crémaillère
Freins Av et Ar : à disques ventilés
Ar : à disques
Dimensions
Longueur 3 725 mm
Largeur 1 542 mm
Hauteur 1 417 mm
Empattement 2 370 mm
Volume du coffre 296 dm3
Chronologie des modèles

Historique

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Projet Y

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Entre 1968 et 1973, Citroën tente un rapprochement avec Fiat afin de réaliser des économies et de nouer des accords techniques et commerciaux grâce à l'apport de capitaux[3]. Cependant, le gouvernement français met son veto à la cession de Citroën en faillite à Fiat et pousse Peugeot à absorber Citroën en décembre 1974.

Durant cette période de rapprochement entre Citroën et Fiat, Citroën a tenté d'adapter la Fiat 127, tout juste lancée, avec l'étude RA. Faute d'accord sur les prix de revient, l'idée avorte. Au même moment, en 1972, les ingénieurs de Citroën lancent le projet Y : une petite berline cinq portes équipée de moteurs refroidis par air avec un moteur bicylindre dérivé de celui de la 2 CV ou quatre cylindres d'origine GS, et suspensions à barres de torsion.

Après la reprise de Citroën par Peugeot, le groupe décide d'abandonner le projet Y (malgré sa finalisation prévue pour courant 1976) jugé insuffisamment avancé et ayant déjà coûté cher au groupe qui doit composer avec les échecs du moteur rotatif et du développement des CX, GS et SM[3]. Peugeot impose en urgence le projet RB, basé sur une carrosserie coupé de la Peugeot 104 à mécanique Ami 8, qui sera la future Citroën LN. Conjointement, en 1975, est également étudiée la Citroën Visa (projet VD) ; Robert Opron et Jean Giret, les stylistes de Citroën s'inspirent de la ligne du projet Y en sa version à 5 portes pour la Visa[4].

Création d'Oltcit

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Oltcit Club, spécifique au marché de l'Est.

En 1976, le Président de la république socialiste de Roumanie Nicolae Ceaușescu lance un appel d'offres pour la fourniture clé en main d'une usine et d'un modèle à fabriquer, afin de développer l'industrie automobile de la république socialiste de Roumanie. Cette opportunité arrange les ingénieurs de Citroën qui refusaient d'abandonner le projet Y. Face au concurrent ouest-allemand Volkswagen, le groupe français sort vainqueur[5].

Peugeot ressort de ses tiroirs le projet Y, prenant dorénavant l'appellation « TA », pour l'industrialiser à bas coût en Roumanie[6],[7]. Le , la société Oltcit, codétenue par Citroën à 36 % et à 64 % par l'État roumain (pour un investissement total de 2,5 milliards de Francs) est créée[8]. L'Oltcit roumaine est donc la dernière voiture de conception 100 % Citroën puisque antérieure au rachat de la marque par Peugeot. L'usine et ses installations comprise dans le contrat pour 1,5 milliard de francs est ultra-moderne pour son époque par rapport aux standards d'Europe de l'Est[9]. Celle-ci devait être opérationnelle dès 1978, mais de nombreux retards imputables à la bureaucratie communiste font que la mise en production n'a lieu qu'en 1981, avec une production initiale prévue de 130 000 exemplaires par an[8] qui a dû vite être revue à la baisse.

Comme l'Oltcit se vend mal en Europe de l'Est, le groupe PSA apporte son aide en distribuant une partie des voitures fabriquées sous le nom d'Axel dans plusieurs autres pays non-communistes (Autriche, Belgique, France, Italie et Pays-Bas), mais également en guise de contrepartie des importations de pièces Citroën en Roumanie[10],[11]. Citroën récupère dès lors une voiture à un prix défiant toute concurrence, ce qui permet également de compenser les frais liés aux études menées pour le projet Y.

Après leur fabrication à Craiova, les véhicules destinés à l'exportation en Europe de l'Ouest sont soumis à une vérification à l'usine d'Aulnay-sous-Bois avant leur commercialisation, afin de vérifier que les standards de qualité attendus sont bien respectés ; très souvent, les automobiles doivent être démontées, certaines pièces remplacées, puis ré-assemblées avec plus de rigueur[12],[13],[14].

L'Oltcit arrive non seulement sur le marché occidental dix ans après sa conception, mais en outre sa marge de bénéfice est faible, sa consommation élevée, ses qualités de finitions médiocres et sa conception et style dépassés. Dans ces conditions, le réseau de distribution Citroën rechigne à la vendre, et d'autant plus que l'arrivée de l'Axel dans la gamme engendre une concurrence interne avec les LNA et Visa[15].

Les différentes versions

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Axel Entreprise de 1988 présentée au salon Époqu'Auto 2019.

La gamme française était constituée de cinq versions[16],[17].

  • Trois modèles de berlines :
    • Axel
    • Axel 11 R
    • Axel 12 TRS
  • Deux modèles utilitaires :
    • Axel Entreprise
    • Axel 12 TRS Entreprise

Les versions « Entreprise » sont des petits utilitaires au seuil de chargement bas (0,55 m) au même niveau que le plancher[18], ce qui en fait son argument de vente principal. Leur volume utile est de 1,08 m3 contre 296 dm3 pour le coffre d'une berline ou encore 619 dm3 avec banquette rabattue[19].

Le bas de la gamme est occupé par l'Axel qui est déjà mieux équipée que la Visa de base. Elle possède en outre un essuie-glace à 2 vitesses avec lave-glace électrique à l'avant, des feux de recul, le désembuage de la lunette arrière, la vérification du niveau de liquide de frein et des témoins d'usure (pression huile moteur ; charge batterie)[20].

La berline ne possède pas d'appuis-tête avant, contrairement à la version Entreprise (en option), ni le pré-équipement radio (de série sur 11 R et 12 TRS). Des bandes de protection latérale sont disponibles en accessoires, ainsi que les jantes en alliage léger qui peuvent remplacer les jantes tôles de série, très similaires à celles des C15 phase 1 essence.

Axel 11 R

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Axel 11 R de 1986 du marché italien.

À 41 000 francs, la 11 R reçoit en plus des phares à iode (halogène), un pré-équipement radio, des appuis-tête avant, une montre à affichage numérique, un compte-tours, un compteur kilométrique journalier, une boîte à gants fermant à clef, un rétroviseur intérieur jour/nuit, des rétroviseurs extérieurs réglables depuis l'intérieur, des enjoliveurs de roues en plastique, des baguettes de protection latérales, un allume-cigare, des ceintures de sécurité arrière à enrouleur, un cendrier avant avec éclairage, un cendrier arrière, des crochets porte-vêtements, un essuie-glace avant à balayage intermittent, un essuie-glace arrière, des glaces de custode pivotantes, un lecteur de cartes (spot), des poignées de maintien au pavillon, un rhéostat d'éclairage du tableau de bord, une tablette arrière amovible, des tapis de sol en moquette et un voyant de frein à main.

Sur le tableau de bord, sont désormais présents les voyants de température d'huile moteur, du serrage du frein à main et de la réserve de carburant ainsi qu'une molette de réglage de l'éclairage du tableau de bord.

La 11 R ne dispose que des jantes en alliage léger comme option.

Axel 12 TRS

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À 45 200 francs, la 12 TRS est le haut de gamme du modèle. Elle dispose d'une boîte à 5 vitesses et des jantes alliage aux dimensions millimétriques TRX AS[21]. Seule la peinture métallisée vernie est en option pour 850 francs.

Caractéristiques

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Vue de trois-quarts avant.
 
Vue de trois-quarts arrière.

La forme générale inspire la Visa, cependant aucune pièce n'est commune entre les deux véhicules (hormis les grilles d'aération, le plafonnier et les boutons du tableau de bord de certaines Visa). L'Axel bénéficie de nombreux atouts comme sa tenue de route, son confort de suspension, sa nervosité et une habitabilité meilleure que celle de la Visa avec un coffre plus vaste et plus pratique d'accès grâce à un seuil de chargement très bas.

Initialement étudiée pour être équipée d'une suspension hydropneumatique, elle en est finalement dépourvue pour maintenir un coût faible de fabrication et faciliter la tâche des ouvriers roumains formés à la hâte. La suspension avant est à barres de torsion longitudinales et doubles bras formant un parallélogramme déformable. Une lame de ressort relie les extrémités arrière des barres de torsion avant, procurant un effet antiroulis d'autant plus ferme que l'auto est chargée. La suspension arrière est à barres de torsion transversales, sans décalage des bras, et amortisseurs horizontaux. Tout est disposé sous le plancher et permet d'éviter de pénaliser la largeur utile du coffre par des puits d'amortisseurs verticaux comme ceux notamment de la Visa[22]. Cette disposition sera reprise par de nombreux modèles PSA, chez Citroën dès l'AX et chez Peugeot dès la 205.

Au rang des défauts, la ligne est esthétiquement dépassée puisque son style a été arrêté dix ans plus tôt pour le projet Y ; certains détails, comme les gouttières apparentes, trahissent cet âge[23]. La consommation est élevée (8-9 l/100), du fait notamment du poids élevé (50 kg de plus en moyenne qu'une Visa) qui s'explique par divers renforcements de caisse destinés à adapter le véhicule aux conditions d'utilisation en Roumanie. Le freinage est efficace, mais l'effort à exercer sur la pédale est élevé à cause de l'absence de servofrein. Pour les premiers modèles, de nombreux problèmes de fiabilité liés à un manque de contrôle de qualité de la production de l'usine roumaine ternissent l'image et compromettent, avec la consommation, sa crédibilité comme petite voiture économique[24] pouvant concurrencer les Fiat 127, Peugeot 104 et Renault 5.

En France, l'Axel a une carrière discrète bien que bénéficiant d'un prix de vente très intéressant : la version de base est à 37 000 francs mais mieux équipée que la 2 CV qui se vend entre 30 100 francs et 35 400 francs. Les versions « Entreprise » (deux places avec TVA à 18,6 % récupérable au lieu de 33 %) à 35 000 francs, ont le plus de succès.

Précurseur de la voiture low cost, l'Axel ne rencontre pas le succès souhaité. « Rien ne sert d'avoir raison trop tôt. » lâche un laconique Jacques Calvet aux journalistes qui demandent son opinion sur les raisons de l'échec. L'arrivée de l'Axel incommode le bas de gamme maison, car elle provoque une concurrence interne supplémentaire avec la 2CV, la LNA et la Visa. L'AX, à la conception plus moderne, s'ajoute à cette liste en 1986.

Voyant les ventes de l'Axel s'effondrer et les difficultés avec les Roumains perdurer, Citroën revend ses parts de marché en 1988, arrêtant alors sa production. L'Axel est retirée du catalogue au 1er juillet 1990 après 28 115 exemplaires commercialisés en France entre 1984 et 1990[25],[26]. La vente des tout derniers modèles d'Axel restés en concession cesse en 1992 pour les Pays-Bas et en 1994 en Italie pour la dernière Axel vendue neuve[27].

Motorisations

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Le « moteur boxer bicylindre » de 652 cm3 étudié pour le projet Y est finalement utilisé sur la Citroën Visa à partir de 1978[10]. C'est une évolution du moteur de la 2CV et ses dérivés, qui a notamment bénéficié du traitement Nickasil des cylindres, une technique employée par Citroën durant ses essais sur le développement du moteur à piston rotatif[22].

Ce moteur ne fut monté que sur l'Oltcit Spécial, version bas de gamme commercialisée sur le marché roumain. Les motorisations vendues sur l'ensemble des marchés étaient le moteur boxer série G 1 129 cm3 de 57,5 ch DIN et le 1 299 cm3 de 61,5 ch DIN. Comme les boîtes de vitesses, ils dérivent de la Citroën GSA . Le 1 299 cm3 est réservé à la finition haut de gamme 12 TRS et accouplé à une boîte 5 rapports.

Particularité identique à la GSA pour les 1,3 L italiennes, l'alésage est légèrement augmenté pour porter la cylindrée réelle à 1 301 cm3 et autoriser la voiture à parcourir les autoroutes italiennes avec une limitation de vitesse supérieure.

Les freins, à quatre disques, ne sont pas assistés. Ils sont ventilés et placés en sorties de boîte à l’avant[22]. La crémaillère de direction à pignon central est spécifique.

Version Motorisation Architecture Puissance max. Vitesse max. 0 à 100 km/h
Axel / 11 R Moteur boxer série G Essence, 4 cylindres boxer, 1 129 cm3 57,5 ch à 6 260 tr/min. 150 km/h 15 s 4
12 TRS Moteur boxer série G Essence, 4 cylindres boxer, 1 299 cm3 61,5 ch à 5 500 tr/min. 157 km/h 13 s 1

Production

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Production par modèle[27]
1984 1985 1986 1987 1988 Total
Axel & Axel 11 R 9 343 13 997 8 802 3 258 1 451 36 851
Axel 12 TRS 1 649 3 577 1 582 2 037 1 313 10 158
Axel Entreprise 2 615 4 327 2 318 1 158 659 11 077
Axel 12 TRS Entreprise 1 420 459 138 70 11 2 098
Total 15 027 22 360 12 840 6 523 3 434 60 184

Dans la culture populaire

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  • L'Axel fait une apparition au cinéma dans le film L'Amour en douce en 1984, avec Daniel Auteuil figurant au volant d'une 12 TRS[28] avec Emmanuelle Béart.
  • Dans sa chanson intitulée Citroën, le rappeur Lomepal évoque l'Axel : « Mais ça roule comme une Citroën Axel, j'garde l'esprit au frais, il m'reste des kilomètres à faire[29]. »

Galerie de photographies

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Bibliographie

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  • La cousine de Craiova, Thijs van der Zanden, Citrovisie, 2012.
  • Kleintjes in crisistijd, Thijs van der Zanden, Citrovisie, 2017.
  • Citroën et le citroënisme : essai historique sur la passion automobile et l'innovation, Au Pont 9, (ISBN 9791096310609), Paris, 2020. Joël Broustail
  • Axel & Oltcit, les Citroën de l'Est, Thijs van der Zanden & Axel Bornand, Citrovisie, 2021.

Notes et références

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  1. L'Argus, 15 octobre 1981.
  2. L'Automobile Magazine no 457, juillet 1984.
  3. a et b « Le jour où Agnelli et Fiat faillirent racheter Citroën », sur www.carjager.com (consulté le )
  4. 60 ans de style et de prototypes Citroën, par Roger Guyot et Christophe Bonnaud, éditions Roger Régis
  5. Thierry Astier, « Axel 12 TRS, Chef-d’œuvre en péril ? », Chevronnés n°25,‎ , p. 60-67
  6. « Biographie George Taylor Président de société. », sur www.whoswho.fr (consulté le )
  7. « George Taylor - Les Echos », sur www.lesechos.fr (consulté le )
  8. a et b « Citroën Axel », l'automobile ancienne,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Reportage sur la fabrication de l'Axel, réalisé afin de rassurer le public. https://www.youtube.com/watch?v=hR6D8QxYZds
  10. a et b La Citroën GS de mon père, par Dominique Pagneux, éditions E.T.A.I.
  11. « OLTCIT / CITROËN AXEL - Populaire franco-roumaine. EP4 - Rétro Passion le Blog », Rétro Passion le Blog,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. PSA - Citrovidéo, « Citroën Axel Usine Oltcit et fabrication », (consulté le )
  13. PSA - Citrovidéo, « Citroën Axel, les soucis de fiabilité et de qualité », (consulté le )
  14. Pierre-Louis Champeaux, « Citroën Axel 12 TRS : Visa pour la Roumanie », Autoplus Classiques, no 47,‎ , p. 52-57
  15. PSA - Citrovidéo, « L'axel Citroën mal vue par le réseau », (consulté le )
  16. Citroën, Brochure Citroën Axel, année-modèle 1987, Automobiles Citroën, , 4 p. (lire en ligne), p. 4
  17. PSA - Citrovidéo, « Citroën Axel - Oltcit - spot longue durée », (consulté le )
  18. Citroën Axel, « Présentation Citroën Axel Entreprise », (consulté le )
  19. Citroën Service, Brochure Gamme Entreprise 1987, Automobiles Citroën, , 12 p., p. 3
  20. Citroën Axel, « Citroën Axel - Présentation de Juillet 2018 », (consulté le )
  21. Colin Paturel, « Axel OltCit », (consulté le )
  22. a b et c Les Citroën du monde, par Gilles Colboc et Jean-François Ruchaud, éditions E.T.A.I.
  23. Joël Broustail, Citroën Essai sur 80 ans d'anti-stratégie, Éditions Vuibert, , 155 p. (ISBN 978-2-7117-7818-8 et 2-7117-7818-5)
  24. « La saga des voitures moches (11) / Citroën Axel - Petites Observations Automobiles (POA) », Petites Observations Automobiles (POA),‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. « Cette voiture a une histoire peu banale. (Index en page 1) - Page : 28 - Discussions libres (Général) - FORUM Pratique », sur forum-auto.caradisiac.com (consulté le )
  26. Charle, Aurélien., Citroën : un siècle d'aventures, Paris, Larousse, dl 2018, 124 p. (ISBN 978-2-03-595684-2 et 2035956846, OCLC 1078379476, lire en ligne)
  27. a et b Zanden, Thijs van der (T. H. J. M.), Citroën Axel : la cousine de craiova, Citrovisie, , 228 p. (ISBN 978-90-815208-0-5 et 9081520806, OCLC 794311368, lire en ligne)
  28. Citroën Axel, « Citroën Axel 12 TRS au cinéma! (1984) », (consulté le )
  29. « Lomepal - Citroën (Prod Meyso) » (consulté le )

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