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Chuyer

commune française du département de la Loire

Chuyer est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Chuyer
Chuyer
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Communauté de communes du Pilat Rhodanien
Maire
Mandat
Béatrice Richard
2020-2026
Code postal 42410
Code commune 42064
Démographie
Gentilé Chuyards, Chuyardes[1]
Population
municipale
750 hab. (2021 en évolution de −3,72 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 29″ nord, 4° 41′ 40″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 880 m
Superficie 12,06 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pilat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Chuyer
Géolocalisation sur la carte : France
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Chuyer
Géolocalisation sur la carte : Loire
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Chuyer
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Chuyer

Géographie

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Situation

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La commune se situe à une quinzaine de kilomètres à l'est de Saint-Chamond.

Toponymie

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Le nom de Chuyer serait dérivé du mot chirat, désignant un tas de pierre[2]. Chuyer est mentionné en 1405 comme faisant partie du territoire de Châteauneuf, sous le nom de « Chuyes ». La graphie « Chüyes » est utilisée par la carte de Cassini au XVIIIe siècle[3].

Les habitants de la commune se nomment les Chuyards[4].

Histoire

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Sous l'Ancien Régime, la paroisse fait partie de la province du Lyonnais ; sur le plan religieux, elle dépend du diocèse de Vienne et de l'archiprêtré de Condrieu[5]. Un affrontement des guerres de religion, connu sous le nom de bataille de Vire-Culs, oppose en 1587 une petite armée protestante, commandée par François de Châtillon, aux troupes catholiques de François de Mandelot à proximité de la commune[6]. En 1697, dans sa réponse au questionnaire d'Henri-François Lambert d'Herbigny, intendant de Lyon, le curé de Chuyer dresse un bilan de la situation de la commune : « aucun négoce, la terre assez revenable que les habitants cultivent pour vivre assez pauvrement »[7].

Sous la Révolution française, le village sert de refuge à un certain nombre de prêtres considérés comme réfractaires à la Constitution civile du clergé[8]. L'« arbre de la liberté » est d'ailleurs coupé en 1795 par des inconnus, ce qui pousse les autorités révolutionnaires à demander aux habitants de redoubler de vigilance[9]. À l'époque contemporaine, Chuyer, comme de nombreuses autres communes voisines, entretient des châtaigneraies et produit également des vins réputés. Un auteur note à ce sujet que « le raisin blanc de La Chapelle, de Chuyer et de Saint-Michel reste sur la branche effeuillée jusqu'à ce qu'il ait commencé à pourrir »[10].

Vers 1850, Théodore Ogier en fait la description suivante : « Chuyer est situé entre des montagnes, et sur un sol accidenté, couvert de châtaigners [sic]. Ce village n'offre rien au visiteur. Ses maisons groupées autour de l'église, sont assez bien construites, et commodément distribuées à l'intérieur […]. Les productions consistent en excellents vins, en blés, légumes, céréales et fruits »[11]. En février 1880, la paroisse de Vérin est détachée des villages de Saint-Michel-sur-Rhône et de Chuyer pour former une commune à part entière[12].

En 2011 et 2012, la commune a accueilli des étapes de championnat de France de descente en roller, longskate et streetluge.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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En 2017, la commune comptait 600 inscrits sur les listes électorales[13].

Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen (Front national) arrive en tête avec 25,2 % des votes exprimés. Elle est suivie par Emmanuel Macron (En marche !) avec 20,24 % et François Fillon (Les Républicains) avec 20,04 %. Viennent ensuite Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) avec 15,48 %, Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) avec 8,93 %, Benoît Hamon (Parti socialiste) avec 5,56 %, François Asselineau (Union populaire républicaine) avec 1,59 %, Jean Lassalle (Résistons !) avec 1,39 % et Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste) avec 0,99 %. La participation au premier tour était de 83,72 % dont 1,17 % de bulletins blancs et nuls. Au second tour la participation est plus faible avec 69,67 % de votants dont 11 % de votes blancs ou nuls. Emmanuel Macron remporte 59,57 % des voix exprimées au second tour[13].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Yvonne Chavas    
mars 2001 mars 2008 Armand Maras    
mars 2008 2014 Gilles Chavas    
2014 En cours
(au 28 mai 2020)
Béatrice Richard[14],[15]
Réélue pour le mandat 2020-2026
   

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Le village de Chuyer en avril 2020.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

En 2021, la commune comptait 750 habitants[Note 1], en évolution de −3,72 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3761 0601 1771 1741 2841 1821 1531 1291 112
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 033976937982969696704660627
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
597581553460470452435415441
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
411383372423457587661694766
2015 2020 2021 - - - - - -
779754750------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,5 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 388 hommes pour 380 femmes, soit un taux de 50,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,35 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,3 
5,2 
75-89 ans
4,8 
18,9 
60-74 ans
16,9 
29,4 
45-59 ans
27,9 
15,5 
30-44 ans
16,4 
13,9 
15-29 ans
12,9 
16,3 
0-14 ans
20,9 
Pyramide des âges du département de la Loire en 2021 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
75-89 ans
11 
17,1 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
18,7 
17,5 
30-44 ans
17 
17,9 
15-29 ans
16 
19 
0-14 ans
16,8 

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 901 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris à 12 km à vol d'oiseau[24], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 775,7 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Chuyer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[29]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[30],[31].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,4 %), forêts (25,2 %), prairies (10,3 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie

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Carte de la commune.

En 2016, le taux d'activité des 15 à 64 ans s'élevait à 76,4 %, supérieur à la moyenne départementale (72,7 %). Le taux de chômage s'élevait à 6,6 %, inférieur aux 10 % de la moyenne départementale à la même époque[33],[34].

En 2015, il y a huit exploitations agricoles sur la commune. Pour l'année 2017, hors agriculture, on recense 39 entreprises, dont deux dans le secteur de l'industrie, douze dans celui de la construction et huit commerces[33].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Une pancarte située à la sortie du hameau de Métrieux commémore la bataille de Vire-Culs, livrée le 10 décembre 1587 pendant les guerres de religion[6].

L'église, datant probablement du XIIe siècle, est en partie détruite dans un incendie en 1838[35]. Elle est d'abord vouée au culte de Saint Julien puis à celui de Saint François Régis. Son chœur est de style byzantin[36].

Une ancienne grange fortifiée, le Grand Maras, a jadis appartenu à la famille du maréchal de Villars[37].

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Paul Marat (1743-1793), révolutionnaire français, dont la famille serait originaire de Chuyer ; cette filiation n'est toutefois pas clairement établie[38].

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. Lhortolat et al. 2004, p. 35.
  3. Jean-Édouard Dufour, Dictionnaire topographique du département de la Loire, Université de Saint-Étienne, , 1184 p. (ISBN 978-2-86272-412-6, lire en ligne), p. 219.
  4. Lhortolat et al. 2004, p. 35.
  5. Jean Perreton, « Quelques particularités historiques sur les communes du canton de Pélussin », Dan l'tan, Visages de notre Pilat, no 21,‎ , p. 29 (ISSN 0246-8174).
  6. a et b François Patard, « La bataille de Vire-Culs à Chuyer », La Pie du Pilat, no 3,‎ , p. 19.
  7. Jean Combe, Histoire du Mont Pilat : des temps perdus au XVIIe siècle, Visages de notre Pilat, (1re éd. 1965), 269 p., p. 258.
  8. Odile Faivre, « Persécutions contre l'Église catholique », Dan l'tan, Visages de notre Pilat, no 10,‎ , p. 83 (ISSN 0246-8174).
  9. Marcelle Tabaillon, « Les arbres de la liberté », Dan l'tan, Visages de notre Pilat, no 10,‎ , p. 49-50 (ISSN 0246-8174).
  10. Aristide Matthieu Guilbert, Histoire des villes de France : Bretagne. Touraine. Lyonnais. Béarn. Navarre. Provence, Bureau des publications illustrées, (lire en ligne), p. 453.
  11. Théodore Ogier, La France par cantons : cantons de Pélussin et de Condrieu, Visages de notre Pilat, (1re éd. vers 1850), 124 p., p. 15.
  12. Lhortolat et al. 2004, p. 125.
  13. a et b « Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
  14. Chuyer, site de l'association des maires de France, consulté le 13 mars 2015
  15. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chuyer (42064) », (consulté le ).
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire (42) », (consulté le ).
  22. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  24. « Orthodromie entre Chuyer et Reventin-Vaugris », sur fr.distance.to (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  29. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chuyer ».
  30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. a et b « Dossier complet : Commune de Chuyer (42064) », sur insee.fr, Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  34. « Dossier complet : Département de la Loire (42) », sur insee.fr, Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  35. Jules Éraud, Contribution à l'étude historique du canton de Pélussin (Loire), Visages de notre Pilat (1re éd. 1895), 43 p., p. 38 et 39.
  36. Lhortolat et al. 2004, p. 36.
  37. Lhortolat et al. 2004, p. 39.
  38. Adolphe Vachet, Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités, Abbaye de Lérins, Imprimerie de M. Bernard, , 753 p. (lire en ligne), p. 117.

Bibliographie

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  • Michel Lhortolat, Pierre Dumas, Suzanne Corompt et Jean Perreton, Le patrimoine du canton de Pélussin, Visages de notre Pilat, , 130 p. (ISSN 0246-8174).