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Baillargues

commune française du département de l'Hérault

Baillargues (en occitan : Balhargues) est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie, membre de Montpellier Méditerranée Métropole.

Baillargues
Baillargues
Baillargues
Blason de Baillargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Jean-Luc Meissonnier
2020-2026
Code postal 34670
Code commune 34022
Démographie
Gentilé Baillarguois
Population
municipale
7 735 hab. (2021 en évolution de +8,87 % par rapport à 2015)
Densité 1 007 hab./km2
Population
agglomération
11 113 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 43″ nord, 4° 00′ 49″ est
Altitude Min. 13[1] m
Max. 57[2] m
Superficie 7,68 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Baillargues
(ville-centre)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Crès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Baillargues
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Baillargues
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Baillargues
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Baillargues
Liens
Site web baillargues.fr

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cadoule, le Bérange, et le ruisseau d'Aigues-Vives. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Baillargues est une commune urbaine qui compte 7 735 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Baillargues et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Baillarguois ou Baillarguoises.

Géographie

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Le territoire communal est limitrophe de Castries au nord, Saint-Brès à l'est, Mudaison au sud-est, Mauguio au sud, Saint-Aunès et Vendargues à l'ouest. Il fait partie de l'aire urbaine de Montpellier située à l'est de Montpellier, sur la route nationale 113 menant à Lunel.

Communes limitrophes et proches

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Communes limitrophes de Baillargues
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)[3]
Sussargues (5.85 / 8,78 km)
Castries (2.84 / 3,75 km)
Saint-Hilaire-de-Beauvoir
(10.68 / 14,11 km)
Beaulieu (7.55 / 10,80 km)
Saint-Geniès-des-Mourgues
(4.38 / 8,06 km)
Saint-Christol (9.05 / 20,05 km)
Saint-Brès (1.04 / 1,77 km)
Vendargues
(3.62 / 4,65 km)
Baillargues  Marsillargues
(13.39 / 15,29 km)
Saint-Aunès (4.66 / 6,24 km)
Boirargues (Lattes) (11.21 / 14,39 km)
Pérols (12.47 / 16,99 km)
Mauguio
(5.07 / 5,86 km)
Saint-Just (8.24 / 10,41 km)
Lansargues (4.91 / 6,28 km)
Mudaison (2.58 / 3,23 km)

Voies de communication

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Le territoire communal est divisé par les grands axes de circulation routière : l'autoroute A9 et la route nationale 113.

  • au nord de l'autoroute, s'étendent des garrigues avec quelques parcelles de vignes ;
  • la ville elle-même s'étend dans un triangle formé par l'autoroute au nord, la rivière Bérange à l'est, la nationale et la voie ferrée Montpellier-Nîmes au sud. Dans ce triangle se trouvent le vieux centre dense, les lotissements récents et une zone d'activités commerciales ;
  • au sud de la voie ferrée, les vignes de la plaine de Mauguio ont été remplacées par le golf de Massane, qui voisine avec un lotissement isolé du reste de la commune par un passage à niveau.

Le GR 653 dit Le Chemin d'Arles traverse la commune.

Hydrographie

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Les principaux cours d'eau parcourant la commune sont : le Bérange et la Cadoule, respectivement à la limite est et ouest du territoire, et le canal d'irrigation du Bas-Rhône Languedoc[4],[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 684 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mauguio à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 639,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[12] : les « garrigues de castries » (303 ha), couvrant 2 communes du département[13].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Baillargues est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Baillargues[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (49,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,9 %), zones urbanisées (28,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,7 %), cultures permanentes (2,1 %), forêts (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Baillargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cadoule et le Bérange. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2008, 2011, 2014 et 2015[17],[15].

Baillargues est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Baillargues.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 85 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 284 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 751 sont en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa de Bajanicis en 825 ; Villa de Baglanicus en 909[22], rappelant l'existence en ces lieux d'un domaine gallo-romain originel ; de Balanicis en 1096[22] ; de Balaneges avant 1129[22] ; de Balanegues en 1146[22] ; de Balaneges en 1154[22] ; de Vallanicis en 1155 ; de Balhanicis en 1292[22] ; Baillargues en 1526[22].

Le nom dérive d'un domaine gallo-romain : gentilice latin Ballius + suffixe -anicis[23].

Balhargues en occitan.

Histoire

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Le lavoir : carte postale.

Dès qu'ils eurent conquis la partie méditerranéenne de la Gaule (120-118 av. J.-C.), les Romains organisèrent la province dite « Narbonnaise » (des Alpes aux Pyrénées). Durant cette période romaine, ils créèrent en particulier la célèbre voie Domitienne. C'est à moins de 2 km de cette route – elle passait à l'emplacement de Déméter – qu'un Romain nommé Ballius fit construire une « villa », vaste maison avec dépendances, dans un grand domaine agricole. Au fil des ans, la villa devint un village et son nom évolua jusqu'à devenir Baillargues voici quelques siècles. La première mention de notre village figure sur un document daté de 819 par lequel l'empereur Louis dit « le Débonnaire » cédait à l’évêque de Maguelone la suzeraineté des terres de Baillargues.

Le village fortifié (aux XIIe et XIIIe siècles) occupe un ancien castrum. En 1146, l'église Saint-Julien de Balanegues (Baillargues) est mentionné dans le cartulaire d'Aniane. La mise en défense de l'église, sans doute jugée rapidement insuffisante, fut complétée par une enceinte à peu près rectangulaire, susceptible de décourager une troupe d'assaillants sommairement armés. Cette enceinte entourant le groupe des maisons les plus proches de l'église forme le cœur historique du village. Il en reste d'épaisses murailles, une tour d'angle et une porte monumentale, formée de deux arcs en plein cintre séparés par un mâchicoulis, qui constituait l'entrée principale de la « ville ». Outre cette porte, il existait initialement deux autres portes qui ont été détruites.

La guerre de Cent Ans ayant pris fin, la population augmenta et de nouvelles maisons furent bâties hors des remparts, constituant des faubourgs qui n'ont pas cessé de s'étendre. En 1377, 11 feux composent Baillargues.

Au XVIIe siècle, Castries est érigé en Marquisat par Louis XIV. Celui-ci englobe la commune de Baillargues en 1645.

Au XVIIIe siècle, Baillargues compte 426 habitants en 1709. À la suite de l'épidémie de peste dans la région, elle est composée de 310 habitants en 1743. En 1789, le marquis de Castries dépose ses titres et privilèges. Baillargues n'a plus de seigneur. À la Révolution, Baillargues absorbe Colombiers et prend le nom de Baillargues-et-Colombiers. Les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire »[24].

En 1908, la commune est rebaptisée simplement Baillargues.

Héraldique

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Les armoiries de Baillargues se blasonnent :
« De gueules à saint Julien, revêtu d'une chasuble, le chef nimbé d'or et coiffé d'une tiare, la dextre tenant la palme du martyre, la senestre posée sur son cœur, le tout d'or ».

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis 1944.
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1954 Joseph Suay SFIO  
1954 1971 Louis Laget    
1971 1977 Louis Sigala SE Ancien Inspecteur Général de la Jeunesse et des Sports en Algérie
1977 2001 Simon Leccia PS  
2001 en cours Jean-Luc Meissonnier[25],[26]
(quatrième mandat)[27]
UMP puis DVD Gérant de sociétés civiles immobilières[28],[29]
Conseiller et vice-président de Montpellier Méditerranée Métropole[28],[30]

Jumelages

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Drapeau de l'Espagne  Rocafort (Espagne)

Démographie

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Au dernier recensement, la commune comptait 7735 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
455462501485520566560613672
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
720728854916798683712883949
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0031 0381 0039901 0201 064962934972
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0301 2431 5042 6324 3755 8426 0265 9686 206
2015 2020 2021 - - - - - -
7 1057 6007 735------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 046 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 7 370 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 720 [I 6] (20 330  dans le département[I 7]). 59 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (45,8 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 8,2 % 10,2 % 8,3 %
Département[I 9] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 844 personnes, parmi lesquelles on compte 80,1 % d'actifs (71,8 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 19,9 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 3 317 emplois en 2018, contre 3 156 en 2013 et 2 648 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 3 527, soit un indicateur de concentration d'emploi de 94,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,8 %[I 12].

Sur ces 3 527 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 683 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 83,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,4 % les transports en commun, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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947 établissements[Note 9] sont implantés à Baillargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 947 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
51 5,4 % (6,7 %)
Construction 157 16,6 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
196 20,7 % (28 %)
Information et communication 49 5,2 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 40 4,2 % (3,2 %)
Activités immobilières 52 5,5 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
189 20 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
131 13,8 % (14,2 %)
Autres activités de services 82 8,7 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20,7 % du nombre total d'établissements de la commune (196 sur les 947 entreprises implantées à Baillargues), contre 28 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33] :

  • Eurovia Languedoc Roussillon, construction de routes et autoroutes (109 385 k€)
  • Vitaclim, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (24 421 k€)
  • Montpellier Utilitaires, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (19 896 k€)
  • Cinp Centre D Impression Du Nord De Paris, imprimerie de journaux (14 481 k€)
  • Signaux Girod Sud, construction de routes et autoroutes (13 690 k€)
  • La zone d'activités « La Biste » comprend un supermarché et des commerces spécialisés. Ils profitent de la proximité de l'échangeur autoroutier de Baillargues-Vendargues ; cet axe est gratuit vers la destination de Montpellier. Néanmoins, la zone de Baillargues est en concurrence avec la zone d'activités voisine de Saint-Aunès.
  • Microphyt est une entreprise de biotechnologies en développement qui met en œuvre des microalgues.

Agriculture

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La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 88 38 16 19
SAU[Note 12] (ha) 361 315 234 294

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 88 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 38 en 2000 puis à 16 en 2010[36] et enfin à 19 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 78 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[37],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 361 ha en 1988 à 294 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 4 à 15 ha[36].

Culture locale et patrimoine

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Manifestations

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse de Baillargues dédiée aux saints Julien et Basilisse, de style roman, inscrite à l'inventaire supplémentaires des monuments historiques (sauf les chapelles latérales) - arrêté du [38]. Elle a été édifiée au centre de la partie la plus ancienne du village, sans doute au XIIe siècle. Elle a été fortifiée au XVe siècle pour protéger les habitants des petites troupes de soldats qui, sans emploi, pendant les interruptions de la guerre de Cent Ans pillaient le pays. Ces travaux de mise en défense ont laissé des traces bien visibles : façade flanquée de deux tours, restes de mâchicoulis au sommet de la façade et du clocher, meurtrières sur le chevetetc.
L'entretien de l'église causa quelques soucis aux habitants. La lourde voûte en plein cintre, bâtie en pierre, fut affaiblie par l'écartement des murs latéraux dû à sa poussée, les infiltrations en provenance du toit la dégradèrent à tel point qu'en 1760 il fallut la remplacer par la voûte d'arêtes actuelle. Moins esthétique mais plus légère (on l'a construite en brique), elle ménage l'ensemble du bâtiment.
Au XIXe siècle, la croissance de la population nécessita un agrandissement de l'église. On l'obtint en édifiant, par étapes, quatre chapelles latérales. La présence d'arcs de décharge dans les murs permit de les construire sans attenter à la solidité de l'ensemble. Des travaux importants ont consolidé les parties hautes de l'édifice[39]. L'intérieur a été réhabilité en 2014.
L'église abrite un tableau Apparition de la Vierge à saint François, par Coustou datant du 3e quart du XVIIIe siècle ;
  • Ancienne église romane Saint-Antoine-de-la-Cadoule (XIIe siècle), située en bordure de l'échangeur autoroutier, est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [40] ;
  • Château de Layrargues : cour d'honneur avec portail de fer forgé, façade à fronton triangulaire, perron en hémicycle et parc planté de pins d'Alep ;
  • Monument aux morts, dont la figure de femme en marbre est sculptée dans les ateliers de Jean Mérignargues. En 1922, le monument est inauguré sur le parvis de l'église, il sera déplacé à la place du [41] ;
  • Le golf de Massane, dessiné par l'architecte californien Ronald Fream, possède un parcours 18 trous et un autre de 9 trous compact ainsi qu'un centre d'entraînement.

Galerie

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Personnalités liées à la commune

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  • Alphonse Capion, Abbé, né à Argelliers le , il fut ordonné prêtre en 1889 et devint successivement vicaire à Olonzac, Sainte-Ursule de Pézenas, Saint-Nazaire de Béziers, puis curé à Vendémian et à Baillargues. Il s’établit à Montpellier comme aumônier de la clinique du Carré du Roi où il décède le . Il est notamment l'auteur de l'ouvrage Baillargues 819-1930[réf. nécessaire] ;
  • Louis Vieu (1922-2008), ancien instituteur et directeur de l'école communale. Cet homme d'une profonde érudition a consacré sa vie, en compagnie de son épouse également institutrice, à l'éducation de plusieurs générations de Baillarguois. Il est le père de Pierre Vieu, ancien PDG de la SNCM et actuel PDG de la CGMF. Il est notamment l'auteur de l'ouvrage Baillargues sous Louis XIV. Le centre social communal porte son nom[réf. nécessaire] ;
  • Christian Poucet ;
  • Cyprien Rome ;
  • Laurent Pouchet[42].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Baillargues, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Baillargues ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montpellier », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Baillargues » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Baillargues » (consulté le ).
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  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Baillargues » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
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Autres sources

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  1. À la Patouille, zone où le Bérange quitte le territoire de Baillargues pour Mudaison, l'altitude se situe entre 12,5 et 15 mètres d'après les courbes de niveau de 15 mètres le long du ruisseau côté Baillargues et de 12,5 mètres cent cinquante mètres en aval côté Mudaison, d'après la carte topographique n°2843 OT, titrée Aigues-Mortes, au 1/25 000, Institut géographique national, 2e édition, 2000. Le RGC utilisé comme source pour les données des communes donne une altitude minimale de 13 mètres.
  2. À l'ouest de la commune, près de la limite avec Vendargues, le sommet des collines de lous Carbous est indiqué à 58 mètres sur la carte topographique n°2843 OT, titrée Aigues-Mortes, au 1/25 000e, Institut géographique national, 2e édition, 2000. Le RGC utilisé comme source pour les données des communes donne une altitude maximale de 57 mètres.
  3. Distances vers : Saint-Hilaire-de-Beauvoir, Beaulieu, Saint-Geniès-des-Mourgues, Saint-Christol, Saint-Brès, Marsillargues, Saint-Just, Lansargues, Mudaison, Mauguio, Pérols, Boirargues (Lattes), Saint-Aunès, Vendargues, Castries et Sussargues, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
  4. [PDF] Liste des risques naturels et technologiques auxquels la commune est exposée, page 2 sur 3, publié le par Christelle Lavigne, sur le site du Ministère de l'Écologie (consulté le ).
  5. [PDF] Les travaux d'aménagement de la région du Bas-Rhône et du Languedoc, page 13 sur 22, publié en 1958 par M. Bauzil, sur le site de La Houille Blanche - Revue internationale de l'eau (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Baillargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Montpellier-Aéroport » (commune de Mauguio) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Montpellier-Aéroport » (commune de Mauguio) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  22. a b c d e f et g Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 610.
  23. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 25
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  30. 7Officiel : Jean-Luc Meissonnier, l’interview sport, publié le par Xavier Paccagnella, sur le site actu.fr (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Entreprises à Baillargues », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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  35. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  36. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Baillargues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  38. « Église Saint-Julien et Sainte-Basilisse », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Église Saint-Julien et Sainte-Basilisse à Baillargues », sur patrimoinereligieux34.catholique.fr (consulté le ).
  40. « Ancienne église Saint-Antoine de la Cadoule », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  41. « Leur vivant souvenir ! », Montpellier Magazine, Montpellier, Montpellier Méditerranée Métropole, no 32,‎ , p. 18-19 (ISSN 2801-6394, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  42. « Familles Pouchet, Teissier et Humbert, de Sussargues. 1910-1994 », sur archives-pierresvives.herault.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Alphonse Capion, Baillargues : 819-1930, Nîmes, C. Lacour, coll. « Colporteur », , 232 p.
  • Mission Archives 34, Archives communales de Baillargues : répertoire numérique détaillé, Montpellier, , 139 p.
  • Louis Vieu, Baillargues sous Louis XIV : un village du Bas-Languedoc il y a trois siècles, Nîmes, C. Lacour, coll. « Colporteur », , 198 p.

Fonds d'archives

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Articles connexes

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Liens externes

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