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Auray

commune française du département du Morbihan

Auray [oʁɛ][1] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

Auray
Auray
L'hôtel de ville.
Blason de Auray
Blason
Auray
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
(siège)
Maire
Mandat
Claire Masson
2020-2026
Code postal 56400
Code commune 56007
Démographie
Gentilé Alréens, Alréennes
Population
municipale
14 222 hab. (2021 en évolution de +3,46 % par rapport à 2015)
Densité 2 058 hab./km2
Population
agglomération
23 266 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 07″ nord, 2° 58′ 53″ ouest
Altitude 37 m
Min. 0 m
Max. 43 m
Superficie 6,91 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Auray
(ville-centre)
Aire d'attraction Auray
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton d'Auray
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Auray
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Auray
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Auray
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Auray
Liens
Site web www.auray.fr

En 2021, avec 14 222 habitants[Note 1], elle est la 7e commune la plus peuplée du Morbihan et la 25e de Bretagne[2].

Géographie

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Localisation

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La ville d'Auray se trouve a vol d'oiseau à 17 km à l'ouest de Vannes, à 30 km à l'est-sud-est de Lorient et à 40 km au sud de Pontivy. Elle est bordée par les communes de Crac'h au sud et à l'ouest, Brech au nord et Pluneret à l'est. Par sa localisation à la limite entre les eaux douces du Loc'h (dit aussi Rivière d'Auray) et les eaux du golfe du Morbihan, Auray occupe le premier point de franchissement depuis l’embouchure du Loc'h située quinze kilomètres en aval. Ce point de passage au niveau du gué, puis du pont de Saint-Goustan, fut disputé militairement à maintes reprises au cours de l'histoire, il était protégé par le château d'Auray.

Auray est située dans le parc naturel régional du Golfe du Morbihan.

Communes limitrophes d’Auray
Crach Brech Brech
Crach Auray  Pluneret
Crach Crach Pluneret

Description

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La ville est traversée par un petit fleuve côtier, la rivière d'Auray, qui débouche dans le golfe du Morbihan. La ville haute est sur la rive ouest de la rivière, sur le bord du plateau armoricain, profondément entaillé par la rivière. Le port de Saint-Goustan est au fond de la vallée, à l'est de la rivière.

La commune d'Auray est dans la région climatique «  Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée », son climat est caractérisé par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3], il est de type « climat océanique franc », selon des données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique. L'observatoire de l'environnement en Bretagne a publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009, qui place Auray dans la zone « intérieur », exposée à un climat médian à dominante océanique[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,3 mm[6],[7].

Des prévisions d'évolution du climat à Auray en 2050 ont été construites selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre, et sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records AURAY (56) - alt. : 26 m, lat : 47°39'33"N, lon : 2°58'15"O
Records établis sur la période du 01-06-1994 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 4,2 4,1 5,2 6,8 9,8 12,5 14,1 13,9 11,8 10,1 6,7 4,6 8,6
Température moyenne (°C) 7 7,4 9,2 11,3 14,3 17,1 18,8 18,7 16,6 13,8 10 7,6 12,6
Température maximale moyenne (°C) 9,9 10,8 13,2 15,8 18,8 21,7 23,6 23,5 21,4 17,5 13,4 10,6 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−10,9
02.01.1997
−6,9
11.02.12
−7,7
01.03.05
−2,2
04.04.22
0
01.05.16
4,6
03.06.1996
7,5
06.07.1996
6,8
20.08.14
4
18.09.05
−2,5
30.10.1997
−4,7
29.11.10
−7,3
29.12.1996
−10,9
1997
Record de chaleur (°C)
date du record
17,5
27.01.03
20
23.02.19
24,2
19.03.05
27,2
07.04.11
30,4
25.05.12
35,4
18.06.22
38,4
18.07.22
37,8
10.08.03
32,3
04.09.23
28,8
08.10.23
20
01.11.15
16,7
27.12.15
38,4
2022
Précipitations (mm) 109,6 83,2 67,5 70,4 63,7 54 50,5 55,1 71,9 106,7 114,8 121,9 969,3
Source : « Fiche 56007001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Auray est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Auray[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auray, dont elle est la commune-centre[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (74,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,7 %), prairies (9 %), terres arables (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), eaux maritimes (2,8 %), zones humides côtières (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols. 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Le Port Saint-Goustan est à l'origine de la ville. Il est situé sur la rivière d'Auray, au point le plus en amont que peuvent atteindre les navires de mer avec l'aide de la marée. Il reçoit des navires de haute mer jusqu'au XIXe siècle. C'est aussi un port de cabotage très actif en direction de l'Espagne et de la Grande-Bretagne. Son déclin comme port de commerce commence avec l'arrivée du chemin de fer en 1862. Aujourd'hui, c'est un port de plaisance et une escale du circuit touristique du tour du golfe du Morbihan.

Saint-Goustan en bas de la ville est le premier site possible d'un pont sur une route longeant le littoral entre Vannes et Quimper. En aval, la rivière d'Auray est large et escarpée[17]. En amont, les marais de la vallée du Loch rendent difficile le passage avant Tréauray à 4 km au nord. La voie romaine de l'Océan, de Lyon à Gésocribate (Le Conquet) par Nantes, y passe. Au milieu du XIXe siècle, la construction d'une nouvelle route en remblai sur le marais du Loch permet d'accéder directement à la ville haute depuis Vannes. Dans les années 1950, la route nationale Vannes - Lorient contourne le centre d'Auray par le nord. En 1989, la construction du viaduc de Kerplouz[18] sur la RN 165 en 4 voies au-dessus de la rivière d'Auray en aval de Saint-Goustan débarrasse l'agglomération du trafic de transit, et suscite une zone industrielle au sud du centre-ville.

Chemin de fer

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La gare d'Auray est située à plus de deux kilomètres au nord du centre-ville à cause de la topographie difficile. Elle est desservie quotidiennement.

Le chemin de fer arrive à Auray en 1862, avec l'ouverture par la Compagnie du PO de la ligne de Nantes à Lorient via Savenay, concomitante avec celle de la ligne de Rennes à Redon de la Compagnie de l'Ouest[19]. La ligne est prolongée jusqu'à Quimper dès 1863. L'embranchement vers Quiberon est inauguré le [20].

Toponymie

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Auray semble provenir du latin Aula Régia (cour royale). Cela semble être confirmé par le toponyme en breton An Alre[21].

Histoire

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Origines

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Auray a été classée par le Ministère de la Culture ville d'art et d'histoire jusqu'au printemps 2006.

Auray est un nom de lieu, ayant pour origine un nom breton de personne, mentionné pour la première fois en 1069, Alrae, puis en 1168 Alrai, en breton Alré[22][source insuffisante].

Moyen Âge

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La seigneurie d'Auray relevait de Guingamp avant de passer en 1034 dans la maison des ducs. En 1168, Auray est pris par le roi d'Angleterre Henri II.

L'emplacement primitif d'Auray et de son ancien château est un promontoire situé au bord d'un plateau dominant le fond d'une ria avec un port et un gué sur une rivière côtière.

Auray a donné naissance à deux bourgs situés de chaque côté du château :

Après une motte castrale avec donjon attestés au XIe siècle, le château d'Auray est reconstruit à partir de 1201[24] pour Arthur Ier. Il a ensuite été le lieu de séjour de plusieurs ducs de Bretagne.

Sous le règne du duc Jean le Roux, la Chambre des comptes de Bretagne y a siégé en 1286 et 1287, avant de retourner à Muzillac. En 1289, son fils Jean II y assembla son Parlement.

Le duc François Ier y épouse Isabeau d'Écosse le . Tombant en ruine, sa démolition est décidée, ses pierres vendues en 1559 et transportées pour reconstruire le fort de Palais à Belle-Île.

En 1341 Charles de Blois, candidat légitime à la couronne de Bretagne, en prit possession jusqu'à sa mort le à la bataille d'Auray (laquelle se déroula en fait sur le plateau de Rostevel, près du marais de Kerzo sur le territoire de la paroisse de Brech, mais tout près de la ville d'Auray) qui mit fin à la guerre de succession de Bretagne.

On trouve trace d'une foire dès 1434 : le duc crée celle de la Sainte-Élisabeth (le ), place du Saint-Esprit, pour financer la commanderie du Saint-Esprit (l'hôpital des pauvres).

La châtellenie d'Auray était le chef-lieu du pays de Lanvaux qui était une des neuf grandes baronnies siégeant aux États de Bretagne, jusqu'à ce qu'elle soit réunie au domaine ducal et qu'elle soit remplacée en 1451 par celle de Quintin.

Époque moderne

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En 1626 est fondé un couvent de Capucins, en 1632 un couvent de Clarisses est construit.

En 1632, le Commandeur Isaac de Razilly accompagné de Nicolas Denys, Charles de Menou de Charnizay, trois Capucins, cinq Jésuites et 300 Hommes d'Elite partent du Port d'Auray pour rétablir la ville de Port-Royal en Acadie sous les ordres du Cardinal de Richelieu, deux autres vaisseaux les accompagnent.

Benjamin Franklin débarque au port de Saint-Goustan le au début de la guerre d'indépendance des États-Unis pour demander l'aide militaire de la France à Louis XVI.

Révolution française

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Halles d'Auray, gravure de Thomas Drake, vers 1850.

En 1789, au moment de la Révolution française, Auray était un siège royal établi en 1565 d'où relevaient plusieurs juridictions particulières, avec un commandant de place, une brigade de maréchaussée, un sous-commissaire de marine, une sénéchaussée qui relevait du présidial de Vannes. La ville avait le droit de députer aux États de Bretagne, elle était le siège d'un subdélégué, d'un bureau des cinq grosses fermes, elle possédait un collège, un hôtel-Dieu (hôpital de soins) et un hôpital général (hospice pour les pauvres).

Auray devient chef-lieu d'un district de 1790 à 1795. Lors de la bataille d'Auray du les Républicains commandés par le général Lazare Hoche attaquent la ville d'Auray défendue par la division chouanne de Bois-Berthelot, alors forte de 2 500 à 4 000 hommes, qui tenait la tête de pont de Landévant-Auray de l’expédition contre-révolutionnaire.

En 1795, après l'échec de l'expédition de Quiberon et la reddition des Émigrés commandés par Sombreuil le , la plupart des prisonniers sont transférés à Auray. Après un jugement sommaire par des commissions militaires où siègent des citoyens de la ville, 750[25] sont fusillés dans un pré en Brech sur la rive ouest du Loch, appelé depuis le Champ des martyrs, et inhumés sur place. En 1829, leurs ossements sont exhumés et déposés dans le caveau d'une chapelle mémorial à la Chartreuse d'Auray.

Cadoudal, chef chouan, est dans une partie de la paroisse de Brech qui fait désormais partie de la ville d'Auray.

Le XIXe siècle

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Une autre bataille d'Auray se déroule le lors de la chouannerie de 1815. Elle s'achève par la victoire des Impériaux qui repoussent les Chouans et prennent d'assaut la ville d'Auray.

À la fin de l'année 1815, l'évêque de Vannes, Mgr de Bausset-Roquefort, installe un séminaire dans l'ancien couvent des Carmes[26], récupéré par le diocèse à la faveur de la Restauration. Le petit séminaire ouvre ses portes le 14 novembre 1815 avec soixante élèves, répartis en quatre classes, sous la direction du P. Cuénet[27].

En 1829 une chapelle expiatoire est construite près des marais de Kerso dans la prairie, dénommée depuis Champ des martyrs, où 711 émigrés faits prisonniers lors de la bataille de Quiberon en 1795, furent exécutés.

Le Conseil municipal d'Auray demande dans une délibération en date du l'annexion à Auray d'une partie du territoire des communes de Brech et de Pluneret, arguant : « La ville d'Auray n'a pour ainsi dire aucun territoire. Une partie de son agglomération est située en Brech et se trouve comprise dans le canton de Pluvigner ; c'est là qu'est située la station des deux chemins de fer improprement appelée jusqu'à ce jour gare d'Auray. Du côté de Saint-Goustan, une partie du faubourg dépend de la commune de Pluneret »[28]. Le Conseil général approuva l'annexion en 1864 à Auray « de la gare dite Gare d'Auray, sise sur la commune de Brech, ainsi que de la section entière de cette dernière commune, comprise entre la ville d'Auray et le chemin de fer, à partir du viaduc de Kermadio jusqu'en face de la Chartreuse et se dirigeant de là vers la commune de Crach, en englobant les villages de Kerperdrix, de Kerudo, de la partie du village de Kerbois, située en Brech, et les villages de la Ville-Neuve, de Kerléano, jusqu'à la limite de la commune de Crach, et de toute la partie de Pluneret agglomérée au faubourg de Saint-Goustan jusqu'à la route de Sainte-Anne[29]. »

Le XXe siècle

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La Première Guerre mondiale

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Le monument aux morts d'Auray porte les noms de 226 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[30].

L'Entre-deux-guerres

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La Seconde Guerre mondiale

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La gare d'Auray a été pendant la Seconde Guerre mondiale le lieu de transit du béton qui servit à construire sur les côtes de la région de nombreux blockhaus du Mur de l'Atlantique. Après-guerre, la collecte des déchets militaires amène la création d'une entreprise sur le lieu-dit Pi-park.

Le monument aux morts d'Auray porte les noms de 45 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale[30] ; parmi elles, Jean Marca et Henri Conan, deux cheminots détenteurs de tracts communistes, furent arrêtés le à Auray et fusillés le à Vannes[31].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Sept soldats originaires d'Auray sont morts pendant la guerre d'Indochine et six pendant la guerre d'Algérie ; ainsi qu'un autre sur un théâtre d'opérations extérieur[30].

Le XXIe siècle

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L'épidémie de coronavirus de 2020

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Le , Auray et les communes voisines sont un des premiers foyers de l'épidémie de coronavirus, avec quatre personnes testées positives à Auray, quatre à Crach et deux à Carnac[32], à la suite d'un premier cas détecté le au Centre hospitalier voisin de Vannes (Morbihan)[33] possiblement contaminé par un « patient déjà sur le territoire breton » selon Stéphane Mulliez, directeur de l'ARS[34]. Le lendemain c'est douze cas dans le Morbihan : cinq à Crach, deux à Auray, trois à Carnac et un à Saint-Philibert[35]. Le , c'est 35 cas sur sept communes autour d'Auray, dix de plus en jour, dont deux à Sainte-Anne-d'Auray[36] et le 106 cas, dont 53 sont revenus chez eux sans troubles, 29 hospitalisés et trois décédés[37]. Entre-temps, 13 communes du Morbihan appliquent des mesures de restriction depuis le , avec 9 000 élèves confinés[38].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Yves Kerroux[d],[42] Soc.ind. Agent général d'assurances
Conseiller général d'Auray (1945-1964)
Nommé maire par le CDL

(décès)
François Guhur   Commerçant

(décès)
Yves Kerroux[d] RI Agent général d'assurances
Conseiller général d'Auray (1945-1964)
François Hervis   Adjoint faisant fonction de maire
[43]
(décès)
Pierre Dugor[e] RI Horloger-bijoutier
Conseiller général d'Auray (1964-1969)
[44] Marcel Le Gélébart[f] DVD Retraité de la SNCF, maire honoraire
Élu à la suite d'une élection complémentaire
Michel Naël[g] DVD
(UDF app.)
Directeur régional de l'enseignement agricole privé
Conseiller général d'Auray (1994-2008)

(démission)
Michel Le Scouarnec PCF Professeur des écoles
Sénateur du Morbihan (2011-2017)
2e vice-président d'Auray communauté (2008-2012)
[45] Guy Roussel DVG
(PS app.)
Dessinateur projeteur
2e vice-président d'Auray communauté (2012-2013)
[46]
(démission)
Jean Dumoulin UDI Chef d'entreprise
[47] Joseph Rochelle DVD Ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
[48],[49] En cours Claire Masson EELV Professeure de mathématiques
3e vice-présidente Auray Quiberon Terre Atlantique

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[50],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 14 222 habitants[Note 6], en évolution de +3,46 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 6002 8053 3823 3963 7343 8953 8154 0183 882
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9493 9674 5424 8944 6335 8706 3926 2366 466
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 4856 6657 1226 9497 1547 1817 0888 6428 159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8 1188 44910 2569 89210 32310 91112 42012 53613 667
2021 - - - - - - - -
14 222--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[53]

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Écoles publiques

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  • Le Loch.
  • Joseph-Rollo.
  • Éric-Tabarly.
  • Saint-Goustan (maternelle uniquement).

Écoles privées

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  • Sainte-Thérèse.
  • Gabriel-Deshayes.
  • Diwan (enseignement en langue bretonne).

Enseignement secondaire public

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  • Collège Le Verger.
  • Lycée Benjamin-Franklin.

Enseignement secondaire privé

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  • Lycée d'enseignement professionnel Saint-Louis.
  • Lycée agricole et horticole Kerplouz La Salle.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • le port Saint-Goustan ;
  • le château d'Auray, château ducal pris et démoli en 1570. L'actuelle rue du château a été établie la même année sur son ancien fossé comblé ;
  • le manoir de Kerléano, maison de naissance de Georges Cadoudal, date du XVIIIe siècle, il est inscrit partiellement et classé partiellement au titre des monuments historiques par les arrêtés du et [55] ;
  • l'église Saint-Gildas. Édifiée en 1636 et classée monument historique dans sa totalité, elle abrite un retable lavallois en pierre et marbre de 1664 attribué à Olivier Martinet, un orgue du
    et des fonts baptismaux avec dais sculpté. Du XVIIIe siècle, elle conserve des boiseries dans les chapelles latérales, et un élégant buffet d'orgue ;
  • la chapelle du Saint-Esprit. Édifice du XIIIe siècle, elle est le dernier vestige de la commanderie de l'Ordre du Saint-Esprit de Montpellier. Au XIVe siècle, cette « Maison Magistrale Conventuelle et Hospitalière du Saint-Esprit à Auray » (mention de 1289, Jean de Monette) serait devenue l'une des principales de France, avec, sous son autorité, une cinquantaine de fondations. En 1762, le pape Clément XIII abolit l'Ordre du Saint-Esprit. La ville y installe le siège de l'Hôpital général, puis, en 1790, un hôpital militaire. Au début du XIXe siècle, ce qui reste des bâtiments fut transformé en caserne permanente. D'importants travaux transformèrent la chapelle telle que l'on pouvait la voir avant la restauration de 1990-1994. Elle prendra ainsi le nom de Caserne Duguesclin. L'actuelle restitution permet à cet édifice de retrouver ses volumes d'origine : un vaisseau unique à cinq travées et un chevet plat (silhouette peu commune en Bretagne). L'édifice est classé monument historique le (façades et toitures) ;
  • l'église Saint-Charles-de-Blois ;
  • la croix de Saint-Fiacre ;
  • le couvent du Père Éternel ;
  • l'hôtel de ville, édifié au XVIIIe siècle, est un monument historique depuis le [56] ;
  • la chapelle d'Hospitaliers du Saint-Esprit. Édifice du XIXe siècle (son portail date du XVe siècle), elle abrite une maquette de cuirassé d'arsenal datant de 1865. Inscrit MH en 1925[57].
  • la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes (1862-1878) ;
  • le manoir de Kerdroguen date des XVIIIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[58] ;
  • le manoir de Kerdrain date du XVIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel en 1928[59] ;
  • le manoir de Moncan date du XVIIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[60] ;
  • Le pont de Saint-Goustan. La première mention d'un pont en pierre reliant la ville basse à la ville haute date du XIIIe siècle. En 1464, lors de sa reconstruction, il fut appelé pont Neuf. Sa forme définitive date de 1752 et sa dernière restauration remonte à 1983. À l'extrémité droite de l'ouvrage, sur la rive gauche, est construit le bâtiment d'octroi.
  • la fontaine Chazelles. Située quai Martin, elle date de 1821 et servait à ravitailler en eau les habitants et les bateaux de passage ;
  • la chartreuse Saint-Michel du Champ, au nord de la gare d'Auray, est sur la commune de Brech ;
  • le monument de Cadoudal et le prieuré de Saint-Cado ;
  • L'église Saint-Sauveur, dénommée aussi église Saint-Goustan.
  • le théâtre à l'italienne[61], Logo monument historique  Classé MH (2016).

Culture bretonne

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Activités culturelles

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Le bagad de la Kevrenn Alré évolue en première catégorie du championnat national des bagadoù.

La ville héberge depuis 1951 la Kevrenn Alré dont le bagad et le cercle celtique ont chacun remporté leurs championnats respectifs à de multiples reprises.

Langue bretonne

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Historiquement, Auray est en pays bretonnant (dialecte de Vannes) mais les citadins parlent généralement français depuis le XVIIIe siècle. On a prêché en breton dans les paroisses d'Auray jusqu'aux années 1930.

À la rentrée 2018, 136 élèves étaient scolarisés à l’école Diwan et dans les filières bilingues catholiques (soit 8,7 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[62].

L'école Diwan An Alre scolarise 69 élèves à la rentrée 2018.

L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le .

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logo et devise

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Blason ancien d'Auray : Losangé d’or et d’azur.

Blason moderne d'Auray : De gueules à une hermine passante au naturel et son écharpe flottante d’hermine, au chef cousu d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or.


Logo d'Auray, depuis octobre 2017.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Samuel Le Goff, Chroniques du pays d'Auray : la communauté de ville d'Auray au 18e siècle, Auray, Société d'histoire et d'archéologie du pays d'Auray, 2001 (ISBN 2-9504033-2-8).
  • Jacques Guillet, Auray, 1860-1980 - Chronique des quartiers,Coop Breizh, 2012 (ISBN 978-2-84346-528-4)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Auray comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. Christophe Marie Auguste Guyot d'Asnières de Salins, né le à Auray, décédé le au château de Kervihan à Carnac. Fiche Geneanet : [1]
  2. Louis Adam de Beaumais, né en , décédé le à Vannes.
  3. Jean-Adrien Huguet, né en , décédé le .
  4. a et b Yves Kerroux, né le à Ploëzal.
  5. Pierre Dugor, né le à Quimperlé, décédé le à Auray.
  6. Marcel Le Gélébart, né le 11 janvier 1901 à Brest.
  7. Michel Naël, né le à Tréal, décédé le à Vannes. [2]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Prononciation en français standardisé de France retranscrite selon la norme API.
  2. « Populations 2021 : quel est le rang de votre commune dans le top/flop breton ? », Le Télégramme,‎ (lire en ligne).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  6. « Station Météo-France commune de Ploërmel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France commune de Auray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Auray », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auray », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. La mention d'un « pont de César » sur la Rivière d'Auray, à la hauteur de Plessis-Kaer, est souvent invoquée, mais il s'agit probablement d'une légende ; il n'y a pas trace de chemins d'accès. Marteville et Varin (1843)
  18. Structurae, BDD des travaux publics
  19. Rail-Bretagne, ligne Rennes - Quimper
  20. Jean-Pierre Nennig, « 12 Auray - Quiberon », Le chemin de fer de Bretagne sud, JPN, 2008, p. 169-176.
  21. Gregoire de Rostrenen, Dictionnaire francois-celtique ou francoisbreton (etc.), Julien Vatar, (lire en ligne).
  22. Albert Dauzat
  23. La terre, où le prieuré a été construite, aurait été donnée à l'abbaye de Rhuys en par Constance, duchesse de Bretagne, mère d'Arthur Ier.
  24. « Château », notice no IA00008579, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Les chiffres varient grandement selon les sources, de 370 à 1000, selon que l'on invoque le nombre total de condamnés ou les exécutions à Brech; les chefs, dont Sombreuil, ont été fusillés à Vannes
  26. « Près d’Auray. Il y a 203 ans, le Petit séminaire ouvrait ses portes », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  27. Achille Guidée, Vie du P. Varin, Paris, Poussielgue, , « VI », p. 27. Le P. Pierre Cuénet, entré en 1794 chez les Pères du Sacré-Cœur, sera supérieur du petit séminaire de Sainte-Anne de 1815 à 1826.
  28. Morbihan. Conseil général, « Projet d'annexion à la commune d'Auray de parties des communes de Brech et de Pluneret », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , pages 50 et 51 (lire en ligne, consulté le ).
  29. Morbihan. Conseil général, « Projet d'annexion à la commune d'Auray de parties des communes de Brech et de Pluneret », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , p. 132 et 133 (lire en ligne, consulté le ).
  30. a b et c http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?act=view&insee=56007&pays=France&dpt=56&idsource=55526&table=bp&lettre=&fusxx=&debut=0
  31. Éric Rondel, Crimes nazis en Bretagne : 1941-1944, Sables-d'Or-les-Pins, Éd. Ouest & compagnie, , 255 p. (ISBN 978-2-36428-032-8).
  32. Communiqué de l'ARS: Coronavirus : un premier foyer identifié dans le Morbihan
  33. Ouest-France, [3]
  34. Camille Allain, le dans 20 Minutes [4]
  35. France-Bleu [5]
  36. "Coronavirus : Sainte-Anne-d’Auray intègre le « cluster » formé autour d’Auray" Le Télégramme du
  37. France Télévisions le [6]
  38. "Coronavirus : où sont les principaux foyers épidémiques ?" le vendredi dans France Bleu [7]
  39. « Lionel Huette, un maire qui a laissé sa marque », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  40. « Louis de Beaumais, un maire « éclair » », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  41. « Personne ne veut des fonctions de maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  42. « Yves Kerroux, premier maire d'après-guerre », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  43. « Nécrologie : M. Pierre Dugor, maire d'Auray, conseiller général, est décédé », Ouest-France (archives du journal),‎
  44. « M. Marcel Le Gélébart élu maire d’Auray », Ouest-France (archives du journal),‎
  45. « Conseil. Guy Roussel élu maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  46. « Auray. Le maire Jean Dumoulin démissionne », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  47. « Conseil. Joseph Rochelle élu maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. « Le nouveau conseil municipal », sur auray.fr, (consulté le ).
  49. « Claire Masson (EELV) conduira la liste », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. « site internet de la ville d'Auray »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Auray.fr (consulté le ).
  54. Une coprésidence pour Auray Football Club sur le site d'Auray
  55. « Manoir de Kerléano », notice no PA00091009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  56. « Hôtel de ville », notice no PA00090995, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Chapelle d'Hospitaliers du Saint-Esprit », notice no PA00090991, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « Manoir de Kerdroguen », notice no IA00008546, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  59. « Manoir de Kerdrain », notice no IA00008545, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  60. « Manoir de Moncan », notice no IA00008547, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  61. « Petit théâtre », notice no PA56000076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
  63. Fiche de Ronan Badel, site ricochet-jeunes.org.
  64. « Ronan Badel, illustrateur et auteur passionné », article du journal Ouest-France du .