Amoreena Winkler

Données clés
Naissance	Rome, Italie
Activité principale	Romancier
Langue d’écriture	Français
Genres	Autobiographie, Témoignage

Amoreena Winkler, née en 1978, est une rescapée de la secte « les enfants de Dieu^{[N 1]} ». Elle est également l'auteur de deux ouvrages consacrés à son vécu et son expérience.

Biographie

Amoreena Winkler est née en 1978, à Rome, dans la secte pédophile, proxénète et apocalyptique « les enfants de Dieu^{[N 1]} » dont elle sort à l’âge de 17 ans.

Œuvre

Amoreena Winkler est l'auteur d'un diptyque autobiographique composé de Purulence (2009) et de Fille de chair (2014), dans lequel elle raconte son enfance et son adolescence au sein de la secte « les enfants de Dieu^{[N 1]} ». Purulence, cité par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES), a connu lors de sa parution un grand retentissement médiatique^[1]^,^[2]^,^[3]^,^[4]^,^[5]^,^[6]^,^[7]. L'Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu (UNADFI) souligne, sur son site, combien ses ouvrages sont considérés comme étant « un précieux témoignage^[8] ».

Amoreena Winkler, Purulence, Angoulême, ego comme X, 2009, 246 p. (ISBN 978-2-910946-73-9 et 2-910946-73-8, BNF 42083889)
Fille de chair, ego comme x, 2014.

Notes et références

Notes

↑ ^{a b et c} « Les enfants de Dieu », connu ensuite sous le nom de La Famille ou La Famille Internationale (The Family International), est le nom d'un groupe sectaire créé en 1968. À la suite de la découverte de ses agissements en matière sexuelle — incitation à la prostitution, inceste et pédophilie —, elle sera dissoute en 1978 mais poursuivra ses activités sous diverses dénominations. À ne pas confondre avec un mouvement New Age d'origine australienne — Santiniketan Park Association alias The Familiy — cofondé par Anne Hamilton-Byrne et Raynor Johnson.

Références

↑ « L'innocence perdue des Enfants de Dieu », sur www.20minutes.fr, 14 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014).
↑ « Elle témoigne au nom des enfants victimes de sectes », sur www.leparisien.fr, 16 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014)
↑ Ghislaine Gerbelot, « Née dans une secte », sur www.ledauphine.com, 15 octobre 2010.
↑ « Amoreena, victime d'une secte, témoigne sur RTL », sur www.rtl.fr, 15 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014)
↑ « Amoreena Winkler », sur www.franceinter.fr (consulté le 3 septembre 2014)
↑ (it) Marta Cervino, « Intervista: Amoreena Winkler », sur www.marieclaire.it, 28 janvier 2011 (consulté le 3 septembre 2014)
↑ (it) Elena Stancanelli, « Paura, botte e bugie così noi ragazzini diventavamo schiavi », La Repubblica,‎ 2 février 2011 (lire en ligne)
↑ « Amoreena Winkler », sur www.unadfi.org Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu (Unadfi) (consulté le 3 septembre 2014)

Articles connexes

Liens externes

Portail de la littérature française

[Santiniketan-1] {a b et c} « Les enfants de Dieu », connu ensuite sous le nom de La Famille ou La Famille Internationale (The Family International), est le nom d'un groupe sectaire créé en 1968. À la suite de la découverte de ses agissements en matière sexuelle — incitation à la prostitution, inceste et pédophilie —, elle sera dissoute en 1978 mais poursuivra ses activités sous diverses dénominations. À ne pas confondre avec un mouvement New Age d'origine australienne — Santiniketan Park Association alias The Familiy — cofondé par Anne Hamilton-Byrne et Raynor Johnson.

[2] « L'innocence perdue des Enfants de Dieu », sur www.20minutes.fr, 14 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014).

[3] « Elle témoigne au nom des enfants victimes de sectes », sur www.leparisien.fr, 16 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014)

[4] Ghislaine Gerbelot, « Née dans une secte », sur www.ledauphine.com, 15 octobre 2010.

[5] « Amoreena, victime d'une secte, témoigne sur RTL », sur www.rtl.fr, 15 octobre 2010 (consulté le 3 septembre 2014)

[6] « Amoreena Winkler », sur www.franceinter.fr (consulté le 3 septembre 2014)

[7] (it) Marta Cervino, « Intervista: Amoreena Winkler », sur www.marieclaire.it, 28 janvier 2011 (consulté le 3 septembre 2014)

[8] (it) Elena Stancanelli, « Paura, botte e bugie così noi ragazzini diventavamo schiavi », La Repubblica,‎ 2 février 2011 (lire en ligne)

[9] « Amoreena Winkler », sur www.unadfi.org Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu (Unadfi) (consulté le 3 septembre 2014)

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