Acq (Pas-de-Calais)
Acq est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Acquois.
Acq | |||||
Salle des fêtes. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Alain Bartier 2020-2026 |
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Code postal | 62144 | ||||
Code commune | 62007 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Acquois | ||||
Population municipale |
797 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 164 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 20′ 54″ nord, 2° 39′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 145 m |
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Superficie | 4,86 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-1 | ||||
Législatives | 2e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-acq.fr | ||||
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La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLe territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 4,86 km2 ; son altitude varie de 77 à 145 mètres[1].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par la rivière Scarpe, cours d'eau naturel non navigable de 26,8 km qui prend sa source dans la commune de Tincques et se jette dans la Scarpe canalisée au niveau de la commune de Saint-Nicolas[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :
- le coteau boisé de Camblain-l'Abbé et de Mont-Saint-Éloi, d’une superficie de 729 hectares et d'une altitude variant de 84 à 166 mètres. Cette ZNIEFF est composée de bois plus ou moins pentus. Dans le bois d’Écoivres, une couche géologique du Landénien continental affleure au sommet, avec un sol constitué de sables fins et de blocs de grès, grès qui a été exploité dans le bois d’Écoivres[10] ;
- la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 hectares et d'une altitude variant de 60 à 115 mètres, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Acq est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), prairies (14,3 %), zones urbanisées (9,2 %), forêts (2,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Asc en 1104, Aesc en 1154 dans le cartulaire du chapitre d'Arras, Aesch entre 1154 et 1159 dans le même cartulaire, Asch 1220[17], Ack au XIIIe siècle[18], Aasc en 1258[19], Aasch en 1261[20], Asck en 1305[21], Asq en 1430[22], Asques en 1570[23],[24].
Du germanique ask (frêne)[25].
Histoire
modifierAcq est cité une première fois en 862, au sujet d'un combat entre Bauduin de Fer, forestier de Flandre et les troupes du roi de France Charles le Chauve (Juxta Ascum).
Bauduin avait enlevé Judith, la fille de Charles le Chauve, son suzerain. Vaincu par son vassal, certaines personnes avaient regardé les deux grandes pierres, plus connues sous le nom de Pierres Jumelles comme un trophée en souvenir de la victoire de Bauduin.
Acq est cité, une seconde fois, en 1269, pour une exécution judiciaire qui démontre les rivalités entre les différents pouvoirs sur une même commune.
Les gens du comte de Saint-Pol avaient brûlé la maison d'un criminel et le lendemain, ce fut au tour des gens du comte d'Artois de brûler deux autres maisons afin de ne pas laisser empiéter ses droits.
Acq a toujours été la propriété des seigneurs d'Ecoivres : les d'Oisy (jusqu'au début du XVIe siècle), les Longueval, les Soissons-Moreuil. Puis en 1670, la seigneurie d'Acq ainsi que celle d'Ecoivres furent vendues à Antoine-Guillaume Mathon, écuyer, receveur des États d'Artois. En 1743, le dernier Mathon mourut en laissant trois filles. L'une d'elles, Jeanne Mathon, épousa Alexandre François Ignace de Brandt de Galametz dont le fils était seigneur d'Ecoivres à la Révolution[27].
Lors de la bataille de l'Artois (mai-juin 1915), un des affrontements de la Première Guerre mondiale, Acq, située à l'arrière du front, accueille des soldats relevés du front, par exemple en juin 1915. Pendant cette période de cantonnement,les troupes restent en cantonnement d'alerte, récupèrent, se livrent à des opérations de nettoyage de leurs équipements et suivent des périodes d'instruction, d'entrainement à la marche. On retrouve également des soldats qui bivouaquent à Wanquetin, Frévin-Capelle[28].
Des troupes séjournent dans les mêmes lieux au début septembre 1915, peu de temps avant la 3e bataille de l'Artois[29].
-
L"armée britannique du 4th Royal Tank Regiment
-
…dans une cour de ferme d'Acq.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Arras-1.
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierÉquipements et services publics
modifierJustice, sécurité, secours et défense
modifierLa commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[32].
Population et société
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Acquois[33].
Démographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 797 habitants[Note 4], en évolution de +8,29 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 400 femmes, soit un taux de 50,89 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEn 2019, dans la commune, il y a 293 ménages fiscaux qui comprennent 790 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 5] de 25 550 euros, soit supérieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[39],[40].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- La chapelle Notre Dame de Lourdes a été érigée en style néo-gothique en 1883 par la famille Cuvellier en mémoire de leur fille Ledoïsca morte à vingt ans.
- Une église dédiée à Saint Géry. Cet édifice religieux est une construction typique de la région de l’Artois. Ce bel édifice rural en pierre blanche avec un larmier et un soubassement en grès datant des XVIe et XVIIe siècles, possède un clocher à tour carée.
- Le château d'Acq. Propriété privée, c'est un magnifique château de style Louis quatorzien. Il se situe à l'entrée de la commune de Villers-au-Bois.
- La salle des fêtes. L'ancienne école privée Jeanne d'Arc, datant de 1899, fut réhabilitée en salle des fêtes[27].
- Le monument aux morts[41].
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Le Monument aux morts.
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L'Eglise Saint Géry.
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La chapelle Notre Dame de Lourdes.
Patrimoine culturel
modifierLes "Pourcheaux" d'Acq (les pourceaux d'Acq) était un sobriquet attribué autrefois aux villages d'Acq.
En patois artésien, un "pourcheau" désigne un porc, jeune ou adulte.
Pendant la période révolutionnaire les Maire devaient assister à des réunions se tenant au chef-lieu du canton. Un jour le Maire d'Acq donna pouvoir à son collègue de Villers-au-bois pour le remplacer et voter à sa place. Ce jour il y eut de nombreux votes et chaque fois que le Maire de Villers-au-Bois votait pour son collègue d'Acq, il déclarait à haute voix, en patois: "Pour chaux d'Acq", ce qui veut dire: " Pour ceux d'Acq". L'expression eut un succès inespéré, l'auditoire faisant semblant d'entendre: "Pourcheaux d'Acq". Un pourcheaux d'Acq étant donc un habitant d'Acq[42].
Une autre explication du sobriquet est que les habitants d’Acq qui fréquentaient les cafés buvaient trop de bière et d’alcool, et devaient sortir souvent pour vomir leur trop plein[43].
Héraldique
modifierBlason | D'azur semé de fleurs de lis d'or, au lion naissant d'argent; à la bordure réduite du même[44]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[45] :
- M. Fournet et M. Fournet, Les familles d'Acq de 1694 à 1894, Boulogne-sur-Mer, 2000.
- R. Le Roux et A. Monchaux, Acq, un village près du front. L'histoire de la commune pendant la Grande Guerre, Acq, 2015.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 6]
- « Acq » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Scarpe (E2010600) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Acq et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013280 - Coteau boisé de Camblain et Mont-Saint-Eloi », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Dans un titres de Haute-Avesnes.
- Dans un chapitre de Saint-Barthélémy.
- Dans le cartulaire des chapelains d'Arras.
- Censier d'Arras.
- Dans une charte d'Artois.
- Dans les archives nationales.
- Abbaye de Saint-Vaast.
- Extrait du Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, par le comte de Loisne, 1907.
- Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Communauté de communes de l'Artois
- Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, , 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 43-45, lire en ligne.
- « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- « Archinoë - Registres paroissiaux et d'etat civil », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
- Marcel Debove, « Acq : Alain Bartier succède à Jean-Pierre Delcour au poste de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « C'est dans la salle des fêtes qu'a eu lieu la réunion d’installation du conseil municipal ce jeudi soir. Sans surprise, Alain Bartier a été élu maire à l’unanimité ».
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Acq (62007) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- Commune d'Acq, « Guide Communal 2021 "Acq" ».
- « Les Pourcheaux d'Acq ».
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- « La commune d'Acq », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).