Parme (Parma) | |
Informations | |
Pays | Italie |
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Cours d'eau | Parma |
Altitude | 69 mètre |
Superficie | 260,6 km² |
Population | 196 764 hab. () |
Densité | 755,04 hab./km2 |
Gentilé | parmigiani |
Code postal | 43121–43126 |
Préfixe téléphonique | |
Fuseau | UTC+01:00, UTC+02:00 |
Localisation | |
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Site officiel | |
Site touristique | |
Parme est une ville italienne de la province de Parme, dans la région d'Émilie-Romagne. Renommée pour le fromage et les jambons dont elle était le centre de commerce, elle fut, à la Renaissance, la capitale d'une principauté dont les Farnèse étaient Ducs.
Comprendre
[modifier]Climat
[modifier]J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
Diagramme des températures en °C
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7.2
-0.4
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9.4
0.1
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14.2
3.2
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18
7.4
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22.6
11.7
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27.7
16.3
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30.3
18.8
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24.2
14.4
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18.6
10.3
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12.4
5.3
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7.7
0.6
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60 | 69 | 71 | 93 | 85 | 60 | 42 | 53 | 79 | 99 | 106 | 71 |
Temp. max. annuelles moyennes en °C 18.5
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Temp. min. annuelles moyennes en °C 8.9
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Précipitations annuelles en mm 888
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Légende: Temp. maxi et mini en °C • Précipitation en mm | |||||||||||
Source : www.climate-data.org
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À Parme, le climat est semi-continental, avec des hivers froids et humides et des étés chauds et humides.
La ville est située dans la partie ouest de l'Émilie-Romagne, où le climat prend plus les caractéristiques de la vallée du Pô que la partie orientale qui est influencée par la mer Adriatique.
La température moyenne en janvier est de 3°C, celle de juillet est de 25°C.
Les précipitations à Parme sont modérées, puisqu'elles s'élèvent à 770 millimètres par an ; les pluies sont assez bien réparties tout au long de l'année, bien qu'il y ait deux maximums au printemps et en automne. L'été est la saison où les pluies sont les plus rares ; en cette saison, et à la fin du printemps, ils peuvent se produire sous forme d'orage (mais beaucoup moins qu'à Milan).
L'hiver, de décembre à février, est froid, humide et gris. Les températures peuvent rester autour de zéro même pendant la journée, surtout en décembre et janvier, et le ciel reste couvert pendant de longues périodes.
Le brouillard, qui était autrefois fréquent, est devenu plus rare au cours des dernières décennies, et dernièrement, il ne se produit que dans les périodes où la haute pression atlantique domine.
La neige à Parme tombe généralement au moins une fois par an, et parfois elle peut être abondante (généralement, lors des chutes de neige les plus abondantes, elle atteint 30/35 centimètres, mais en février 1929 la neige atteignait 80 cm et en janvier 1985 j'en atteignais 55 cm). La neige peut tomber à la fois pendant les vagues de froid, avec le vent soufflant du nord-est (comme cela se produit à Bologne), et en présence de vents du sud à haute altitude (comme cela se produit à Milan).
En moyenne, il tombe environ 30 cm de neige par an. Au cours des années les plus enneigées (1962-63, 1985-86, 2009-10), la quantité totale de neige tombée a atteint un mètre.
Lors des vagues de froid les plus intenses, devenues plus rares ces dernières décennies, les minimums nocturnes peuvent descendre aux alentours de -15/-20 °C. En janvier 1985, la température est même tombée à -25°C. En d'autres occasions, elle est descendue jusqu'à -18 °C en février 1956, à -20,5°C en janvier 1963 et à -15 °C en février 2012.
L'été, de juin à août, est chaud et humide, et généralement ensoleillé.
Par temps chaud la température peut dépasser les 35°C. A l'université, la température atteint 40°C en juillet 1983 et 39°C fin juin 2019.
Le vent faible et l'humidité élevée rendent la chaleur désagréable, même si juste avant minuit une légère brise arrive des Apennins, qui ne sont pas loin.
Le vent de la mer Ligure, le "marin", parvient à atteindre la ville plus facilement au printemps et en automne, tandis qu'en hiver et en été le vent est généralement faible ou absent.
Histoire
[modifier]A partir de 779, les évêques de Parme exercent leurs pouvoirs spirituel comme temporel sur l'ensemble de la ville et les campagnes voisines. L'un d'eux, Pierre Caudalus, devient antipape, en 1061, peu de temps avoir ordonné la construction d'une nouvelle cathédrale, la précédente ayant été frappée par un incendie.
Peu à peu, cependant, la ville s'émancipe de son prince épiscopal et Parme devint Commune libre, statut confirmé, en 1183, par la Paix de Constance. Cette situation ne l'empêche pas de passer sous le contrôle des seigneurs successifs de Milan, Visconti, Sforza ou Rois de France.
L'école de Parme En France, depuis Stendhal, on catalogue généralement sous l'intitulé école de Parme une série de peintres parmesans qui furent actifs de la fin du XVe siècle au tout début du XVIIe siècle. Il Corregio et Il Parmigianino, son élève, sont sans doute les plus renommés. |
En 1521, à l'issue des Guerres d'Italie, le pape Léon X prend le contrôle de la ville.
En 1534, le cardinal Alexandre Farnèse, évêque administrateur de l'église de Parme devient pape, sous le nom de Paul III et, douze ans plus tard, il constitue le duché de Parme qu'il attribue à son fils naturel, Pierre Louis Farnèse. La famille Farnèse dirigera cette nouvelle principauté jusqu'en 1731, lorsque le duc Antoine François Farnèse meurt sans héritier mâle.
Élisabeth Farnèse, nièce d'Antoine François Farnèse, et seconde épouse du roi Philippe V d'Espagne, obtient que soit attribué à son fils Charles le duché de Parme et de Plaisance qui, ainsi, passe dans la maison Bourbon-Parme. Ce changement de dynastie a pour conséquence directe, et presque immédiate, un transfert d'une grande partie des collections d'arts des Farnèse à Naples, nouvelle capitale de Charles de Bourbon, devenu roi de Naples.
En 1815, le duché de Parme et Plaisance est attribué, à titre viager, à Marie-Louise d'Autriche, fille de l'empereur d'Autriche et épouse de l'exilé Napoléon. Jusqu'à sa mort, en 1847, la "bonne duchesse" se montrera très attachée à sa nouvelle capitale, mais aussi pleine de soins pour ses habitants. Elle occupe, Pour cela, elle occupe une place à part dans la mémoire et le cœurs des parmesans et plusieurs salles du musée Glauco Lombardi lui sont consacrées.
Après le retour des Bourbons et dans le contexte du Risorgimento, les "populations" de Parme et de Plaisance demandent leur rattachement au Royaume de Sardaigne par trois plébiscites, en mai 1848, puis en août 1859 et en mars 1860.
A l'été 1922, la ville de Parme se signale par les barricades qui y sont érigées contre le fascisme.
Le 9 septembre 1943, la suite de l’armistice de Cassibile, les troupes nazies attaquent les troupes italiennes installées à Parme et prennent rapidement le contrôle de la ville. Les persécutions contre la petite communauté juive commencent dès l'installation des occupants. Dix-neuf parmesans seront reconnus "Justes parmi les nations".
En avril et mai 1944, les alliés bombardent la ville, à quatre reprises. Parme, cependant, se "libère", avec les seules forces de la Résistance, le 9 mai. Plus de 800 partisans auront péris pendant la guerre.
Le 2 juin 1946, 73,2% se prononcent en faveur de la République et, dans la nuit du 5 juillet, le monument en l'honneur du Roi Victor Emmanuel II est plastiqué.
Au début du XXIe siècle, la cité est choisie pour devenir le siège de l'autorité européenne de sécurité des aliments.
Aller
[modifier]En avion
[modifier]La ville dispose d'un aéroport.
- 1 Aéroport Giuseppe Verdi (IATA : PMF, Aeroporto Giuseppe Verdi) Via Licinio Ferretti 40 - 43126 Parma, Italy, +39 0521 9515, fax : +39 0521 980394, courriel : info@parma-airport.it –
Compagnie aérienne | Destinations |
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Ryanair | Cagliari, Londres-Stansted, Trapani |
Il est aussi possible d'atterrir à Milan ou à Bologne puis de se rendre en train jusqu'à Parme.
En train
[modifier]- 2 Gare de Parme (au Nord de la ville, à 10 min du centre) – La gare est régulièrement desservie par des trains vers Bologne ou Milan : environ un par heure dans chaque sens. Parme est à une heure et demie de Milan et à environ une heure de Bologne.
En voiture
[modifier]La ville est accessible par l'autoroute qui relie la ville de Bologne à celle de Milan. Attention, les voies de décélération sont quasi-inexistantes.
Le centre ville étant en ZTL (zone à trafic limité[1]), on ne peut pas y accéder en voiture. Des parkings payants existent en périphérie immédiate notamment, par ordre de proximité avec l'hypercentre :
- 1 Toschi (473 places) Viale IV Novembre, 43121 Parma 2,3 € par heure. – APCOA/ parking souterrain payant, situé non loin du Palazzo della Pilotta ; places de bon dimensionnement ; borne de paiement à l'extérieur.
- 2 D.U.S. (144 places) Viale Mentana
- 3 Parcheggio Stazione
- 4 Parcheggio Goito (254 places) Via Goito, 1/A, 43121 Parma PR, Italie 2,3 € par heure / 15 € par jour. – APCOA
- 5 Central Parking Repubblica (548 places) Via Emilia Est, 7B, 43121 Parma 2,1 € par heure.
- 6 Kennedy (seulement 72 places) Via Kennedy John Fitzgerald, 4, 43125 Parma (sur l'autre rive de la rivière Parme)
Par ailleurs, il existe des parking-relais (avec bus) gratuits en périphérie. Vous pouvez utilement consulter le site parmawelcome [2]
Circuler
[modifier]En terme de mobilité douce, le site infomobility[3] peut vous aider même s'il ne se décline qu'en italien ou en anglais.
Comme déjà indiqué, le centre ville étant en ZTL (zone à trafic limité et, à moins que votre hôtel ne s'y trouve, vous ne pourrez pas entrer en voiture.
7 Bus urbain Piazzale Barbieri, 1 – 43125 Parme 6h30-20h00. unité, 1,7 € ; 8 voyages, 12,5 € ; journée, 5,4 €. – Parme est parcouru par un réseau urbain. Des distributeurs de ticket sont disponibles à la gare et dans les parkings-relais. la vente des billets peut aussi se faire auprès de revendeurs agréés [4]. Le paiement à bord est également possible mais uniquement par carte bancaire sans contact, et seulement pour le détenteur de cette carte.
Vélos à louer consulter l'office de tourisme. – Des vélos sont disponibles en libre service, mis à disposition par la ville. Des linéraires à vélos sont prévus. La ville ne dispose par de pistes cyclables, la circulation des vélos se faisant sur les trottoirs.
Voir
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- le campanile, plus récent que le reste de la cathédrale, il abrite 6 cloches dont une de 1285 ; - la façade, avec ses trois niveaux de galeries/loggias, fut achevée en 1281, lorsque lui fut adjoint un protiro dont les colonnettes ont des lions pour stylophore. Le portail central est surmonté d'un arc sculpté représentant les 12 mois d'une année qui commençait alors le 25 mars (on fane en juin, on tue le premier cochon en novembre,...). L'architrave est ornée de confrontations entre symboles positifs et représentations de la bestialité (remarquez la chimère à l'extrême gauche). - la coupole, à l'intérieur de la cathédrale. Dans les années 1526-1530, Le Corrège réalise, sous le dôme au dessus du maître-autel, une fresque d'environ 650 m² représentant l'assomption de la vierge. Utilisant sa connaissance de la perspective, le peintre peint un cortège d'anges montant en spirale qui, renforcé par une judicieuse disposition des nuages, crée un effet ascensionnel, tout en atténuant les contraintes d'une architecture octogonale. Selon la tradition, les apôtres étant revenus des quatre coins du monde pour entourer Marie dans ses dernières heures terrestres, ils sont représentés en bas de l’œuvre, sur le tambour de la coupole. Ils s'appuient sur une balustrade dont la représentation, en trompe-l’œil, permet de ménager les espaces nécessaires aux oculi, destinés à faire entrer la lumière. Dans la partie la plus dense du cortège, juste au dessus de la Vierge entourée d'anges musiciens, on peut repérer Adam et Eve, Abraham, Isaac et Rebecca, mais aussi Judith. Au sommet de la composition, l'archange Michel, dans une curieuse position, d'ailleurs décriée au XVIe siècle, descend recueillir l'âme de la Vierge. ●-▶ Prévoyez une pièce de 2 € pour pouvoir éclairer cette œuvre. - le mobilier comprend diverses pièces dignes d'intérêt dont la chaire réalisée, en 1613, dans le style baroque, le maître-autel en marbre rose, réemploi d'un élément du XIIe siècle et, surtout un fragment de l'ancien jubé (ou de l'ancien ambon), en marbre, du XIIIe siècle, démoli au XVIe siècle. Visible dans le transept sud, celui-ci représente une descente de croix réalisée, en 1178, par Benedetto Antelami. A la droite de la croix, en bois non équarri, et dans la lumière du soleil personnifié, se tiennent les saintes femmes chaussées de poulaines, St Jean (seul personnage pieds nus, en dehors du Christ) et l'Eglise porteuse du calice et de son étendard. A gauche, se trouvent, sous la lune, les soldats romains et autres païens, notamment ceux hésitant à se partager la tunique du Christ ou jouant, aux dés, le reste de ses effets ; les juifs ne voulant pas croire sont personnifiés avec le personnage de la synagogue forcée à s'incliner par un archange et dont la bannière est brisée, dans une figuration antisémite assez traditionnelle pour l'époque. |
- 2 Baptistère (Battistero di San Giovanni) Piazza Duomo 10 h 00 - 18 h 00. 12 € avec l'accès au musée diocésain (pas de billet spécifique ; la vente de billet s'effectue au musée diocésain) ; entrées réduites à 10 € et billets famille à 25 € pour deux adultes et l'ensemble des enfants mineurs ; entrée gratuite pour les moins de 13 ans. – L'un des monuments médiévaux les plus importants d'Europe. Le baptistère marque une belle transition entre les style roman et gothique. Sa coupole peinte et ses murs peints sont à voir ; une visite qui semble incontournable./ photographies possibles mais sans flash
- Théâtre Farnese (Teatro farnese). L'immense théâtre en bois, pouvait accueillir jusqu'à 5 000 spectateurs, a été reconstruit à l'identique après les destructions de la seconde guerre mondiale. Edifié au XVIIe siècle, dans l'ancienne salle de bal des Farnese, il se trouve au second étage du Palazzo della Pilotta. Entièrement construit en sapin, la profondeur exceptionnelle de sa scène permettait la manipulation de nombreux et imposants décors. En raison de son coût de fonctionnement, il ne servit qu'à huit reprises au temps des Ducs mais, à lui seul, il justifie une étape à Parme. - Galerie nationale d'Art (Galleria Nazionale). La galerie comprend une partie de la collection d'art constituée par les Farnèse et les Ducs et Duchesses de Parme. Quelques pièces de mobilier sont visible mais l'essentiel des collections relèvent de la peinture et des arts graphiques. Le parcours se fait, globalement, de manière chronologique. Le plus important fonds est constitué d’œuvres italiennes dont l'Annonciation réalisée par Le Corrège, la Femme au turban du Parmigianino ou la Scapigliata attribuée à Léonard de Vinci. Quelques œuvres flamandes sont également visibles ainsi que la guérison de l'aveugle du Greco. Les dernières salles présentent enfin des peinture du XXe siècle dont le triptyque des Trois sœurs d'Amadeo Bocchi, bonne entrée en matière pour découvrir ce peintre parmesan.
- Musée archéologique (Museo Archeologico)- accès au premier étage-. Musée archéologique de la ville exposant des œuvres de l'Égypte Antique, de la Rome Antique et des Étrusques, de la Grèce et de la Préhistoire, avec parcours chronologique. - Biblioteca Palatina- accès à droite du théatre-. La bibliothèque de l'ancien palais dont une des salles est visible dans le parcours de visite. |
- 4 Parco Ducale – Jardins, bassin avec île, Teatro al Parco de style fasciste ; le Palais du Jardin est le siège de la police scientifique.
- 5 Camera della Badessa – Dans l'ancien couvent Saint-Paul, comme la pinacothèque Stuard ; les voutes de certaines pièces de l'appartement de l'abbesse ont été peinte par Le Corrège.
autres musées
[modifier]- 6 Museo Glauco Lombardi Palazzo di Riserva, Strada G. Garibaldi, 15, +39 0521 233727, courriel : info@museoglaucolombardi.it mar.- sam. : 9 h 30 - 16 h 00, dim. : 9 h 30 - 19 h 00. – Au sein de l'ancien palais de la Réserve, les collections d'un passionné. Etablissement soutenu, en particulier, par la fondation Napoléon, le souvenir napoléonien et le Cercle Napoléon.
- 7 Musée diocésain 10 h 00 - 18 h 00. 12 € (avec l'entrée du baptistère) ; entrées réduites à 10 € et billet famille à 25 € pour deux adultes et l'ensemble des enfants mineurs.
- 8 Pinacothèque Stuard lun. : 10 h 00 - 17 h 30, mer.- ven. : 10 h 00 - 17 h 30, sam.- dim.10 min - 30 h 18 et 30 h. – Musée municipal d'art
autres édifices religieux
[modifier]- 9 Eglise Saint Jean l'Evangéliste (San Giovanni Evangelista) (juste derrière la cathédrale) accès gratuit. – Construite au tournant des XVe siècle et XVIe siècle, cette église abrite derrière sa façade baroque des fresques renaissance avec, entre autres, une coupole peinte par Le Corrège et des décors par Le Parmesan (les arches des chapelles nords).
- 10 Santa Maria della Steccata (Santa Maria della Steccata) Piazza Steccata, n°9 gratuit. – Eglise du XVIe siècle ayant notamment reçu un décor du Parmesan sur le thème des dix vierges ; elle est aussi devenue la nécropole des Ducs de Parme.
Faire
[modifier]Apprendre
[modifier]Travailler
[modifier]Acheter
[modifier]Manger
[modifier]Bon marché
[modifier]Prix moyen
[modifier]- 1 Borgo 20 borgo XX marzo fermé les dimanches et lundi. – Un bon établissement, à deux pas de la place du Duomo, avec une carte pas trop longue et une cuisine où les produits bio sont en bonne place. Un menu tradition léger mais savoureux qui vous reviendra à 30 € coperto compris, avec dégustation de charcuterie en entrée. Une carte gourmande avec des produits de saison (et en presque français).