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Violet

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La dame en violet, de Pál Szinyei Merse (1874), Galerie nationale hongroise.

Le violet est un champ chromatique qui désigne des couleurs situées sur le cercle chromatique entre les pourpres et les bleus.

Définition

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Nom de couleur

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Comme nom de couleur, violet fait partie, avec orange ou gris, de ceux qui n'apparaissent dans les langues qu'après les divisions principales des champs chromatiques. Il est attesté en français en 1520 dans une description du pouvoir et de l'orgueil de l'empereur Héliogabale[1]. Violets sont les « habits exprès de satin » de la suite de Gaston de Foix en 1457, selon les Annales de Foix, 1539[2].

La couleur violette est dès le début différenciée des rouges pourpres, bien que ces teintes voisines puissent se mêler.

« Veneris gemma [ sorte d'améthyste ] est de couleur pourprine, meslée de violet, ou comme la resplendeur d'une rose par dedans, & semble reflamboyer doucement contre les yeux. »

— Les illustrations de Gaule, 1549[3].

À l'âge classique, se basant sur la déviation de la lumière par le prisme, certains considèrent le violet comme une des couleurs principales, avec le rouge, le jaune et le bleu[4].

La définition du violet est aujourd'hui assez incertaine. En principe, lavé de blanc, le violet devient un mauve ; un violet rougi est un pourpre, et un violet rougi pâli est un rose. En pratique, certains auteurs distinguent mal les trois champs du violet, du mauve et du pourpre, malgré ou à cause des efforts de la colorimétrie. La colorimétrie, en effet, est une discipline internationale, où la section américaine de la Commission internationale de l'éclairage a eu un rôle déterminant[5]. La colorimétrie définit rigoureusement les pourpres comme l'exact équivalent du « purple » en anglais, mais hors de cette spécialité, le même champ chromatique, qui s'étend sur le cercle chromatique des bleus aux rouges, se divise en français entre violet et pourpre.

La norme française « Classification méthodique générale des couleurs » distingue les violets et les pourpres[6], là où une étude australienne de 2002 montre que les personnes anglophones interrogées ne distinguent qu'un champ purple[7]. Il apparaît que le champ chromatique du mot « purple » ne soit pas celui de pourpre[8].

Il est aussi certain que le mot mauve, appliqué aux teintures en Angleterre au XIXe siècle dans le domaine de la mode féminine pour désigner la teinture à l'orseille, a dans ce pays un sens similairement plus large en anglais qu'en français[9]. En français, c'est un violet lavé de blanc (un pourpre lavé de blanc est en général un rose), en anglais, un purple lavé de blanc est un mauve ; comme indiqué précédemment, les purple correspondent à l'ensemble des violets et des pourpres[10].

Le Répertoire de couleurs de la Société des chrysanthémistes (1905) indique que le « purple » des Anglais ou « Deep purple » des Américains « à notre avis, doit plutôt être appelé Violet pourpré[11] ». Pour l'auteur, « purple » est donc à la limite entre violets et pourpres.

Dans un ouvrage écrit avant la publication de la norme française, Maurice Déribéré distingue, pour le violet, un champ étroit à l'extrémité des couleurs de l'arc-en-ciel entre l'indigo et le poupre, avec une répartition des champs des autres noms de couleurs très différente de celle retenue[12].

L'ambigüité des termes de couleurs du champ chromatique des violets, pourpres, lilas et mauves se vérifie également dans d'autres langues européennes comme l'anglais[13] et l'espagnol[14].

Les qualités du violet, du point de vue de sa perception dans un ensemble coloré, dépendent beaucoup de la définition qu'on en donne.

Le violet est une couleur ambiguë, ni chaude, ni froide, et l'un ou l'autre selon la nuance et l'entourage[15]. De même, le violet est une couleur fuyante, c'est-à-dire que des taches violettes sur un fond neutre semblent plus loin que le fond (des trous violets) ; mais les pourpres-rouges, que certains classent comme violets, sont des couleurs saillantes, c'est-à-dire que les taches sur fond neutre semblent posées au-dessus du fond[16].

Colorimétrie

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On appelle violet l'extrémité du spectre visible, au-delà du bleu dans les couleurs de l'arc-en-ciel, et avant les ultraviolets, complètement invisibles. La limite de longueur d'onde entre lumières monochromatiques bleues et violettes varie selon les auteurs, par exemple 446 nanomètres selon Abney, 405 nm pour Rood[17], en moyenne 450 nm[18]. L'efficacité lumineuse spectrale de ce rayonnement est faible. À 466 nm, elle est d'environ 10 %, et décroît avec la longueur d'onde. À 405 nm, elle est inférieure à 1 %. On observe plus facilement la nuance violette des lumières au-delà du bleu avec des appareils qui permettent de compenser cette faible luminosité.

Mais le champ des violets s'étend dans le domaine des « pourpres », qui ne sont pas des métamères d'une lumière monochromatique mêlée de blanc, mais d'un mélange d'un bleu ou d'un violet et d'un rouge monochromatique avec du blanc. Quand on repère les couleurs par longueur d'onde dominante et pureté d'excitation, on indique une longueur d'onde négative, parce que l'intersection de la droite qui relie le point représentatif de la couleur à la courbe du lieu spectral sur le diagramme de chromaticité se trouve de l'autre côté du blanc. Le violet CIE L*a*b* 15, 60, -50, a conventionnellement une longueur d'onde dominante de −564 nm[19].

Dans la vie courante, on observe des violets mêlés de blanc, qui sont ordinairement des couleurs qui présentent un spectre où dominent les courtes longueurs d'onde (bleus), avec une contribution des rouges.

Chevreul a placé les couleurs de son cercle chromatique, obtenu par une estimation visuelle de l'écart entre les couleurs, par rapport aux raies de Fraunhofer. Son 3 bleu-violet est au milieu entre les raies G et H (431 et 397 nm) ; et le 5 violet-rouge se situe entre les raies A et B (759 et 687 nm). Son violet est donc entièrement en dehors du spectre ; c'est ce qu'on appelle en colorimétrie un pourpre ; et en effet « le violet semble partager également aussi [ l'intervalle ] du bleu au rouge[20] ».

Le Répertoire de couleurs de la Société des chrysanthémistes (1905) donne de nombreuses nuances de violet, avec des références aux fleurs de couleurs similaires, et aux noms sous lesquels on les trouve chez les teinturiers et marchands de couleur[21].

Selon les valeurs indiquées par la norme AFNOR X08-010 Classification méthodique générale des couleurs (annulée le 30 août 2014), le champ chromatique violet regroupe les couleurs des lumières dont la longueur d'onde dominante est comprise approximativement entre 466 et 380 nm, se poursuivant avec les pourpres les plus proches jusqu'à −556 nm, c'est-à-dire que la ligne qui les relie, sur le diagramme de chromaticité, au point qui représente l'illuminant — l'illuminant C pour AFNOR X08-010 — coupe le lieu spectral de l'autre côté, à la longueur d'onde de 556 nm, donnant une couleur vert-jaune. Les violets proprement dits occupent l'espace de 449 à −563 nm[22].

En synthèse additive le violet peut être produit à l'aide d'un mélange de bleu et d'un peu de rouge ; en synthèse soustractive c'est une couleur difficile, en raison des imperfections cumulées des encres magenta et cyan qu'on y emploie.

Le violet est le plus souvent à l'opposé du jaune sur les cercles chromatiques d'artistes. Dans de très nombreux cas les pigments violets, en effet, donnent des gris quand on les mélange à des jaunes.

Nuancier des violets teints et utilisés pour la manufacture de tapis de la Savonnerie à Paris, 2018

Au début du XVIIe siècle, on fait le violet à partir du carmin de cochenille : « pour faire violet cramoisi, quand la soie est teinte en rouge, on la met tremper dans la lessive bien chaude, bien nette, et devient violette[23] ».

Autrefois on utilisait le jus de myrtille pour colorer les tissus en bleu violacé. Le chou rouge donne des teintes violacées, en général plutôt mauves (lavées de blanc).

Le violet allyltoluidin connu sous le nom de mauvéine est un oxyde d'aniline utilisé pour teindre les tissus. Il fut découvert en 1856 par le chimiste anglais Perkin[24]. Il fut à l'honneur en 1862 lors de l'exposition universelle où la Reine Victoria parue arborant une robe teinte de ce colorant.

La plupart des colorants violets sont en fait des mélanges de bleus, de magentas et de pourpres en proportions variées.

Le violet est une couleur rare à l'état naturel. La plupart des pigments violets sont des modifications chimiques de colorants naturels ou des produits de synthèse.

Pigments minéraux
Pigments organiques

L'encre violette

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Jusqu'au début des années soixante-dix, l'enseignement de l'écriture à l'école primaire utilisait l'encre violette, préparée avec l'aniline, pour la raison que l'encre noire corrodait rapidement la pointe des plumes en acier utilisées par les maîtres et les élèves[25].

Réactifs pH

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Plusieurs indicateurs de pH ont une phase violette, soit en milieu neutre, soit en milieu basique, ce sont le méthyl violet (violet de gentiane), le bleu de bromophénol (bbp), le rouge congo, l'azolitmine (papier tournesol), le pourpre de bromocrésol, et l'alizarine.

Le jus de chou rouge est un indicateur de pH facile à utiliser chez soi. En milieu neutre il est naturellement violet ou bleu violacé. Il devient bleu en milieu salin, puis vire au vert et au jaune dans un milieu de plus en plus basique. Inversement en milieu acide il vire du mauve au rouge. Il contient des anthocyanes, qui sont des indicateurs colorés acido-basiques naturels.

Le violet en imprimerie

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Même si le mélange de magenta avec une part plus petite de cyan est censé donner du violet, la quadrichromie ne peut produire un violet vif. La synthèse soustractive parfaite suppose des colorants bloc, qui laissent passer toute la lumière dans une plage, et bloquent complètement la couleur complémentaire. Mais les pigments cyan et magenta sont loin de cet idéal ; ils absorbent une partie de la lumière qu'ils devraient laisser passer. Le magenta absorbe du bleu et un peu de rouge, tandis que le cyan absorbe du vert et du bleu, quoique moins qu'il n'absorbe le rouge. Quand on mélange le magenta avec le cyan, on absorbe des couleurs qu'on devrait transmettre, et le résultat ne peut être aussi lumineux qu'il le devrait. Le violet obtenu par quadrichromie est toujours approximatif ; il se rapproche plus du jus de cerise ou du bordeaux. Pour obtenir un violet vif ou profond en imprimerie, il faut recourir à des encres spéciales. Le Pantone pourpre et le Pantone violet offrent des nuances de violet pur à cet effet.

Voici un exemple de différence entre un violet obtenu en synthèse additive et sa simulation en quadrichromie. À gauche il s'agit d'un violet saturé RVB composé de 100 % de bleu et 50 % de rouge. À droite c'est ce même violet séparé en quadrichromie, ce qui donne 51 % de cyan et 65 % de magenta. Comme on peut le voir, la séparation quadri ne parvient pas à restituer un violet pur.

Couleur liturgique

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Dans la religion chrétienne catholique, le pape Innocent III a défini vers 1200 le violet comme insigne de pénitence[26]. La couleur violette est portée par l'ensemble du clergé en tenue liturgique durant les périodes de jeûne comme le Carême de Noël ou l'Avent (4 dimanches précédant Noël) et le Carême. Elle est quelquefois utilisée par les confréries de pénitents pour leur manteaux.

Dans les religions catholiques romaine et anglicane, elle est portée également par l'évêque en tenue de chœur (soutane, camail, anneau portant une améthyste et calotte). Elle allie dans ce cas la pénitence à la pourpre, signe de dignité et d'autorité. Du XVIe siècle au début du XIXe siècle, la couleur bleu-violet des vêtements épiscopaux catholique est obtenue par un mélange de deux colorants, l'indigo naturel et le carmin de cochenille. Ce n'est que sous le pontificat de Pie XI que la nuance de violet en usage à la cour papale est fixée par décret. La nuance choisie est un violet riche en rouge et tirant sur le mauve[réf. souhaitée].

Couleurs conventionnelles

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  • À partir du XVIe siècle les rois de France portaient par privilège le violet au lieu du noir commun en signe de deuil[27]. À la fin du XIXe siècle, le vêtement de couleur violette signifie un deuil atténué, soit par la distance de la parenté, soit par le temps.
  • Dans le code de couleurs des résistances électriques et des condensateurs, la couleur violet correspond au chiffre 7, au multiplicateur x107, à une précision de 0,1 % et à un coefficient de température de 5ppm. Dans la norme CEI 60757, on le nomme VT (abréviation de violet).
  • Dans le code de couleurs des tuyauteries de transports de fluides, la couleur de fond violet pâle indique les liquides corrosifs, acides et les bases (Norme française NF X-08-100).
  • Dans la signalisation ferroviaire du Code Verlant, le carré violet, ou feu violet en signalisation lumineuse, commande, sur voies de service, l'arrêt absolu avant le signal. Le feu violet figure ainsi au centre des heurtoirs.
  • L'insigne de la décoration française des Palmes académiques est un ruban violet.
  • Le circulaire satin violet représente les sciences dans la faluche.

Au milieu du XIXe siècle, l'invention du colorant appelé murexide, extrait du guano, lança une mode des tons pourpres, mauves et violets. Cette mode engendra une élévation des prix ; d'où des recherches chimiques qui débouchèrent sur l'invention du colorant à l'aniline, de conséquences industrielles considérables[28].

La créatrice de mode Vivienne Westwood eut une période psychédélique où dominaient les pourpres et violets intenses. Dans les années 2000, elle proposait toujours quelques pièces en tartan violacé ou prince-de-galles mauve[réf. souhaitée].

Décoration

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En décoration, les atmosphères baroques et intimistes, utilisent les tons prune, aubergine et lilas[réf. souhaitée].

Au XIXe siècle, les poètes et peintres, symbolistes et impressionnistes, appréciaient les tons subtils de cette couleur qui selon eux exprimait comme nulle autre pareille la lumière du soir « lorsque les derniers feux du soleil rencontrent l'éther bleu de la terre ». Pour eux le violet était la quintessence de la lumière qui meurt et tutoie l'autre monde, une allégorie de la voie du milieu équilibre entre l'ici-bas et l'au-delà[réf. nécessaire].

Tableaux

Politique et société

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Après , des féministes arborent des vêtements de teintes mauves. Le violet avait déjà été choisi par les suffragettes au début du siècle[29].

En Espagne, le parti Podemos est représenté par sa couleur violette. La Seconde République espagnole avait ajouté le violet (« morado ») aux couleurs sang et or du royaume d'Espagne[30].

En France, la France insoumise, fondatrice de l'Union populaire devenue Nouvelle Union populaire écologique et sociale s'inspire de Podemos et adopte également le violet comme couleur principale.

Pendant longtemps, la couleur violette fut mal considérée, elle symbolisait la fourberie et la tristesse, et était associée à la pénitence et à l'affliction. Elle était souvent confondue avec le noir jusqu'à son identification à l'extrémité du spectre solaire après le bleu, grâce à Newton. Au Moyen Âge, le violet était dénommé « subniger » (sous-noir ou demi-noir)[31], comme toutes les couleurs foncées[32]. Le roi en deuil ne portait pas le noir, mais le violet. Dans le demi-deuil, une nuance sombre violette était autorisée après un an de noir intégral[réf. souhaitée].

La Renaissance se plaît à l'analogie sonore et lumineuse :

« L'Amour et la foudre sont flammes
De l'ardente fureur des cieux,
Qui violentes à nos âmes,
Sont violettes à nos yeux. »

— Chanson à une belle portant une parure violette, 1606[33].

La couleur violacée de la figure signifie « l'homme méchant & Saturnien, qui ne fait que machiner trahisons et entreprises pernicieuse[34] ». L'adjectif saturnien renvoie à la mélancolie.

  • Le violet est aussi associé à la magie et au surnaturel, avec les « contes violets » ou contes invraisemblables et les « anges violets » ou êtres lunaires[réf. nécessaire].

Minéraux ou pigments, colorants ou teintures, lumière

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....

Plantes, fleurs et légumes

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Produits fabriqués

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Quelques drapeaux ou pavillons

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Rares sont les drapeaux qui arborent du violet ou une couleur approchante.

  • Le drapeau de la Seconde République espagnole ajoute une bande violette (« morado », pourpre) aux couleurs monarchiques sang et or[30].
  • Le drapeau de la région métropolitaine de Tokyo est principalement violet foncé (murasaki).
  • Le drapeau de la Dominique arbore en son centre, un perroquet dont les plumes ventrales et sa huppe sont violets.

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Bibliographie

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  • Philip Ball (trad. Jacques Bonnet), Histoire vivante des couleurs : 5000 ans de peinture racontée par les pigments [« Bright Earth: The Invention of Colour »], Paris, Hazan, , p. 287-334 ch. 9 « Une passion pour le pourpre »
  • Maurice Déribéré, La couleur, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? » (no 220), , 12e éd. (1re éd. 1964)
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 1, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 2, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, Encyclopédie de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 3, Puteaux, EREC, , p. 436-440 « Violet »
  • Robert Sève, Science de la couleur : Aspects physiques et perceptifs, Marseille, Chalagam,

Articles connexes

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Notes et références

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  1. Pero Mexía (trad. Claude Gruget), Les diverses leçons de Pierre Messie, (lire en ligne), p. 360.
  2. « Annales de Foix ».
  3. Jean Lemaire de Belges, Les Illustrations de Gaule et singularitez de Troye, (lire en ligne), p. 44.
  4. Pierre-Sylvain Régis, Système de philosophie, contenant la logique, la métaphysique, la physique et la morale, t. 3, Paris, (lire en ligne), p. 181.
  5. Gustave Durup, « Progrès conjoints des idées et du langage dans les sciences de la couleur », L'année psychologique, vol. 47-48,‎ , p. 213-229 (lire en ligne). Ce volume est daté 1946, mais l'auteur mentionne les réunions de 1948, et apporte en 1952 des précisions à cet article « publié il y a trois ans »
  6. AFNOR X-08-010 dans Sève 2009, p. 247 et Petit, Roire et Valot 2001, p. 158-159
  7. (en) Paul Green-Armytage, « Colour Zones – Explanatory diagrams, colour names, and modifying adjectives : 9th Congress of the International Colour Association », Proceedings of SPIE, vol. 4421,‎ , p. 864 (lire en ligne).
  8. Annie Mollard-Desfour, « Les mots de couleur : des passages entre langues et cultures », Synergies Italie, no 4,‎ , p. 23-32 (lire en ligne) ; Annie Mollard-Desfour, Le Rouge : Dictionnaire des mots et expressions de couleur. XXe et XXIe siècles, CNRS éditions, coll. « Dictionnaires », (1re éd. 2000) ; Annie Mollard-Desfour, Le Rose : Dictionnaire des mots et expressions de couleur. XXe et XXIe siècles, CNRS éditions, coll. « Dictionnaires », .
  9. Ball 2010, p. 306
  10. Green-Armytage 2002.
  11. Henri Dauthenay, Répertoire de couleurs pour aider à la détermination des couleurs des fleurs, des feuillages et des fruits : publié par la Société française des chrysanthémistes et René Oberthür ; avec la collaboration principale de Henri Dauthenay, et celle de MM. Julien Mouillefert, C. Harman Payne, Max Leichtlin, N. Severi et Miguel Cortès, vol. 1, Paris, Librairie horticole, (lire en ligne), p. 184.
  12. Déribéré 2014, p. 112, figure 2, sans source.
  13. comme on le voit dans Ball 2010.
  14. Junquera Cubiles 2014, p. 160.
  15. Déribéré 2014, p. 85.
  16. Déribéré 2014, p. 71.
  17. Déribéré 2014, p. 5.
  18. Petit, Roire et Valot 1999, p. 146, col.1 et fig.2 col.2 ; Yves Le Grand, Optique physiologique : Tome 2, Lumière et couleurs, Paris, Masson, , 2e éd., p. 36.
  19. Robert Sève, Donner leur nom aux couleurs: dénomination des couleurs évaluées par colorimétrie, Lexitis, (ISBN 9782362331695, présentation en ligne).
  20. Eugène Chevreul, De la loi du contraste simultané des couleurs et de l'assortiment des objets colorés considérés d'après cette loi dans ses rapports avec la peinture, les tapisseries..., Paris, Pitois-Levrault, (lire en ligne), p. 39, 45
  21. Henri Dauthenay, Répertoire de couleurs pour aider à la détermination des couleurs des fleurs, des feuillages et des fruits : publié par la Société française des chrysanthémistes et René Oberthür ; avec la collaboration principale de Henri Dauthenay, et celle de MM. Julien Mouillefert, C. Harman Payne, Max Leichtlin, N. Severi et Miguel Cortès, vol. 2, Paris, Librairie horticole, (lire en ligne)
  22. Sève 2009, p. 246-251 ; Petit, Roire et Valot 2001, p. 158-159 (chapitre « couleur et colorimétrie »).
  23. Claude Duret, Histoire admirable des plantes et herbes esmerveillables & miraculeuses en nature, Paris, .
  24. Ball 2010, p. 307-310.
  25. Dictionnaire Ferdinand Buisson, 1911, en ligne.
  26. Déribéré 2014, p. 89.
  27. Alfred Franklin, La vie privée d'autrefois : arts et métiers, modes, mœurs, usages des Parisiens, du XIIe au XVIIIe siècle : Teinturerie et deuil, vol. 18, 1887-1902 (lire en ligne).
  28. Ball 2010, p. 305sq.
  29. « Le violet couleur des féministes ? », sur 8mars.info (consulté le ).
  30. a et b (es) Eduardo Luis Junquera Cubiles, « De banderas, colores y reyes », Historia digital, vol. 14, no 24,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Michel Pastoureau, Les Couleurs de nos souvenirs.
  32. Philibert Monet, Invantaire des deus langues françoise et latine, assorti des plus utiles curiositez de l'un et de l'autre idiome, (lire en ligne), pour qui, à l'âge classique donc, violet se dit Color violacceus, amethystinus, ïanthinus « p. 968 »
  33. coll. Val, « Chanson XXX », Rouen 1606.
  34. Jean Belot, Instruction familière et très facile pour apprendre les sciences de chiromance et phisiognomie, Paris, N. Rousset, (lire en ligne)
  35. Champignons de France André Maublanc Masson (ISBN 978-2225846267)