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Utilisateur:Strologoff

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ce Wikipédien est décédé durant la seconde moitié de l'année 2015. Cette page est conservée en sa mémoire.

« J'ai arrêté d'en vouloir aux individus le jour où j'ai analysé le rapport des êtres humains à leurs animaux domestiques. Quand on abandonne sur le bord de la route un animal qui a voué sa vie à vous apporter du bonheur tous les jours pendant plusieurs années parce qu'on n'a pas le temps de lui trouver une solution pour un mois, on n'a aucune culpabilité à abandonner un ami qui se retrouve isolé familialement, déclassé professionnellement ou financièrement, invalide, atteint de dépression ou d'un cancer. Au Moyen-âge, tout était fait pour que tout le monde croit en Dieu. Dans la société moderne, tout est fait pour vous faire croire que vous vous épanouissez dans l'individualisme. Un mensonge auquel tout le monde croit, ça devient une vérité. »

A propos de moi

« Tout le monde devrait m'aimer vu que je suis un rigolo... »

Strologoff traverse actuellement un gros passage à vide dans sa vie. En même temps, personne ne fait rien pour le convaincre de s'en sortir. Je ne sais pas comment cela va finir. Très exigeant avec moi-même, je l'ai peut-être trop été avec les autres. Je remets donc ce « message à caractère informatif » concernant mon avenir proche, que j'avais déjà publié. L'exercice a été difficile mais, devant l'impossibilité de me relancer sur un projet professionnel viable autre que vendre Le Figaro à des personnes âgées dans ma boutique, je l'ai rédigé en pensant qu'il servira de jointure entre ceux qui m'ont connu avant la mort de mon grand-père, quand j'avais encore les moyens de mettre en œuvre mon ambition professionnelle et familiale, qui m'ont abandonné progressivement et se sont résignés quant à mon destin et ceux qui m'ont connu après, qui ne savent pas tout ce que j'ai du affronter, auxquels je ne peux pas tout confier sur ma vie car je sais à quel point les personnes sont enclines à la panique lorsque l'on leur confie une volonté de partir, même dignement et en leur expliquant tous les tenants et les aboutissants. Il est toujours plus facile de « refiler le problème » à la police ou à n'importe quel autre tiers plutôt que d'essayer de prendre contact avec moi. Certains ont le « syndrome du collabo ». Plutôt que de proposer des solutions ou des contacts, ils préfèrent faire appel aux forces de l'ordre. Je ne me fais pas d'illusion quant à ces personnes : ce sont les mêmes qui, à certaines périodes historiques, dénonçaient leurs voisins juste pour le plaisir de les voir partir entre deux policiers, la jouissance de « collaborer » en quelque sorte... Les deux vitres que cette bande d'illettrés en uniforme avec matraque et arme à feu, ont brisé dans mon salon en novembre 2013, sont là pour le prouver. Car j'ai eu le malheur d'être au travail quand ils sont venus chez moi. Et dans l'esprit limité d'un policier, quelqu'un qui n'est pas chez lui 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, c'est suspect. La police a tous les droits car les policiers sont constamment couverts par leur hiérarchie, en plus de jouir d'un anonymat total dans une société où nous, pauvres civils, passons notre journée à sortir nos cartes d'identité pour à peu près tout. Je prévois des émeutes sociales en France avant 2017, bien plus violentes celles des « banlieues » de 2005. Le problème, c'est que l'émotion suscitée par l'attentat contre Charlie Hebdo fait qu'aujourd'hui, cette même police s'arroge encore plus « tous les droits ». Je ne serai plus là pour le voir mais le jour où une révolte populaire arrivera, deux solutions s'offriront alors aux corps constitués, dont la police fait partie :

  • Tirer sur la foule
  • S'allier à la population pour faire la Révolution

J'espère que c'est la seconde solution qui sera choisie.

« Remercié » du lycée de Sèvres en 2nde en 2004 pour avoir souligné l'absence totale de pédagogie du prof de maths. Avec ma manière à moi.

Issu d'un milieu populaire (j'ai grandi cité Danton à Sèvres), je suis né en 1987, en tant que bâtard, puisque né d'une liaison que ma mère (qui travaillait dans un centre aéré à Sèvres) a eu avec un homme marié beaucoup plus âgé, qui conduisait les cars pour la ville de Sèvres. Je n'avais donc pas de papa mais mes grands-parents maternels se sont montrés exemplaires dans mon éducation, tant dans le respect du monde qui nous entoure que dans les valeurs helléno-chrétiennes qui leur étaient chères. J'ai été baptisé et j'ai fait ma première communion (pour faire plaisir à ma grand-mère, très catholique). J'ai vers 14-15 ans choisi l'athéisme car c'était pour moi le mode de fonctionnement le plus rationnel. Quand je suis arrivé en 2nde, c'était avec un projet professionnel bien défini : obtenir le bac puis une licence puis enfin intégrer une école de journalisme par l'intermédiaire des concours. Mon projet familial l'était également : avoir plusieurs enfants et être un papa exemplaire. En 2010, j'ai d'abord postulé au concours du CFJ (qui était admissible à bac+2), je n'ai pas réussi ce concours car je devais m'occuper de ma mère Dominique souffrante du cœur, qui s'est fait poser un pacemaker en juillet 2010 et est finalement morte d'insuffisance cardiaque en décembre 2010, à 58 ans, à l'hôpital d'instruction des armées Percy. Pire, j'ai même dû redoubler ma deuxième année de licence de droit en 2010-2011 car j'avais environ 9,5 de moyenne et une seule matière à TD à repasser. Durant cette période, en tant qu'étudiant boursier, je postule même à « La Chance aux Concours ». L'examinateur semble conquis mais choisit de retenir majoritairement des étudiants arrivant à bac+3 à la fin de l'année. Il m'envoie par ailleurs ce mail, s'excusant presque d'avoir privilégié le niveau scolaire à l'envie :

Bonjour Mickael, Je suis au regret de t'informer que le jury réuni ce mardi n'a pas retenu ta candidature à la CAC. Ton enthousiasme et ta personnalité nous ont séduit [...] Nous t'encourageons donc à persévérer, et dans tes études de droit et dans ta curiosité naturelle envers l'actualité et la profession pour te représenter l'an prochain. Bien cordialement, Loïck Berrou

J'ai tellement donné pour cet objectif et aujourd'hui, ça paraît tellement loin...

Pendant le premier trimestre 2011, je déménage du HLM de ma mère, cité Danton à Sèvres pour rejoindre mon grand-père. En 2011-2012, j'arrive donc logiquement en 3ème année de licence. Au bout de la saison, la carotte est tellement belle : l'Ecole de journalisme avec un grand E, surtout l'année de l'Élection présidentielle française de 2012. Moi le petit-fils d'électricien-gazier, moi dont la mère a passé sa vie à mettre des courriers dans des enveloppes car elle ne pouvait intellectuellement rien faire d'autre professionnellement, j'étais sur un nuage toute cette année. J'avais un emploi du temps de dingue cette année-là : lever à 5 ou 6 heures (un grand merci à Emmanuel Maubert dont le 5/7 sur Europe 1 m'a bien aidé à synthétiser et à retenir l'information de masse pour préparer les concours), cours toute la journée, fin très tard et match parfois le soir pour un site Internet et/ou pour continuer de parfaire ma culture footballistique. Coucher souvent à minuit, parfois plus. Ce que je regrette, c'est d'avoir sacrifié certaines belles histoires d'amour parce que je sacrifiais tout au journalisme et quand je me faisais « larguer », je me disais toujours « même si cette conne s'en va, il me restera toujours le journalisme ». Avec le recul, je me dis qu'il fallait vraiment que j'aime mon objectif professionnel pour tenir un tel rythme, week-end et vacances inclus. Mais j'en voulais car j'avais la niaque et il restait suffisamment d'argent pour poursuivre mes études tant que mon grand-père serait en vie mais à l'arrivée, j'ai tout perdu : il est mort en mai 2012, suite à la négligence des infirmiers censés s'occuper de lui quasi-quotidiennement et qui finalement ne venaient que tous les dix jours pour préparer les piluliers. Ils ont détecté trop tard un Fécalome que même l'hôpital de Sèvres n'a pas pu soigner. Je savais à l'avance l'abandon dont je serai victime si mon grand-père mourrait. J'avais donc décidé à l'avance que je le suivrai. Mes amis n'ont pas compris que quand mon grand-père est mort, mes ambitions professionnelles et familiales mourraient aussi. Et ceux qui ont essayé de me faire remonter la pente sont uniquement ceux qui m'ont connu après et à qui je ne pouvais pas tout dire. Je sais que ma disparition fera de la peine à certains d'entre eux mais on ne peut pas satisfaire tout le monde.

Dans la vie, vous vous rendez vite compte que les beaux discours des gens n'amènent à rien de concret.

J'ai un temps pensé qu'une « chaîne de solidarité » se formerait autour de moi, de la part de toutes les personnes que j'avais côtoyées, afin de parvenir à mes fins sur le plan professionnel mais j'ai pu constater le même phénomène pour moi que mon grand-père lorsqu'il est devenu invalide : lorsque vous n'êtes plus présent physiquement, les gens vous oublient très vite... Et mon erreur a probablement été de trouver du travail très vite après plutôt que d'aller « gratter » tous les jours chez les copains. J'ai également essayé tant bien que mal de garder mon légendaire sens de l'humour plutôt que de pleurnicher en permanence. Et aujourd'hui, je ne suis plus indispensable pour personne. Et, de toute manière, comme le disait mon ancien médecin traitant, « Les cimetières sont pleins de gens indispensables ». Quand je surfe sur Internet et que je vois tous les groupuscules prônant des idéologies extrêmes, religieuses, etc., prêts à passer à l'action violente en recrutant mon genre de « profil de personnalité » ayant « tout perdu », je pense que tous mes amis ne réalisent pas la chance qu'ils ont que je ne sois pas tombé dans ce type d'idéologie. On a pourtant une responsabilité quand on côtoie tous les jours une personne durant plusieurs années (comme les copains de lycée ou de fac) ou quand on côtoie toutes les semaines une personne durant presque une décennie (comme ceux du foot). Par exemple, de ne pas laisser s'effondrer la personne socialement et de tout mettre en œuvre régulièrement pour qu'il retrouve goût à la vie. Par exemple, de se déplacer soi-même ou de prendre contact avec lui (et de ne pas le faire faire par la force publique) lorsque l'on pense qu'il est en danger. Qu'ils se rassurent : je suis trop intelligent pour aller me faire exploser au milieu d'anonymes qui n'ont rien demandé, je suis constamment dans une logique de main tendue et de réconciliation avec tout le monde. Je voulais être Patrick Poivre d'Arvor et à l'arrivée, je suis devenu Lambert de Tchao Pantin, avec les médicaments à la place de l'alcool... J'ai tout essayé en terme de consommation de ce qui peut l'être pour me tuer discrètement depuis la mort de mon grand-père. Je soutiens toujours tout le monde de manière inconditionnelle mais l'inverse n'est pas vrai. Avouez qu'il vaut mieux se suicider seul chez soi que de finir comme Merah, Kouachi et autres jeunes isolés et manipulés... Lors de mes congés d'été, pris en octobre 2014 (je suis bien loin du personnage du beauf de Cabu (auquel je rends hommage) qui se demande s'il va partir en juillet ou en août), un groupe de presse a accepté de me prendre en stage mais a dû y renoncer car l'on ne peut pas être salarié dans une entreprise et stagiaire dans une autre. Bref, une bête raison de sécurité sociale. L'année 2014-2015 a donc été la plus frustrante de ma vie professionnelle. Je ne sortais quasiment plus à partir de mon refus de stage et j'ai découvert ce que signifiait « s'impliquer beaucoup pour recevoir peu » à la boutique pour laquelle je travaille. De début avril à mi-mai, je suis donc très logiquement (suite logique de choses...) victime d'un burnout spectaculaire à force de faire le travail de 2 ou 3 personnes et de faire des semaines à 6 jours de manière répétée. J'ai été alité un mois en perdant 10 kilos (à cause du syndrome de Gilbert dont je souffrais durant cette période). Quand vous perdez 1 kilo tous les 3 jours, vous vous dites « Souffrir, d'accord mais à quel moment je meurs enfin ? ». A mon retour, mon patron a été infect avec moi, une procédure aux prd'hommes est en cours contre lui alors je n'en dirai pas plus mais vous en saurez bientôt plus.

Au bout d'un moment...

Malheureusement, j'ai appris à mes dépens qu'il ne faut pas « laisser de traces » sur son corps en essayant de mourir. C'est pourquoi la seule solution qui s'offre à moi est le surdosage médicamenteux. Je sais à quel point cette solution est aléatoire mais n'ayant pas d'arme à feu, c'est la seule dont je suis sûr. J'ai déjà plusieurs tentatives à mon actif et je continue régulièrement d'essayer d'y parvenir, sans toutefois donner d'indication précise ni de produit, ni de quantité, ni de lieu, pour éviter qu'une bonne âme anonyme ne cherche à jouer au héros. Seulement, parvenir à faire mourir un homme robuste de 80 kilos avec des médicaments n'est pas aussi facile que pour une personne de 40 kilos. La société dans laquelle nous vivons ne sait pas faire la différence entre le suicidaire « situationnel » qui est dans la logique « un problème = une solution » et l'adolescent gothique qui fait des happenings en pyjama toutes veines ouvertes devant chez lui pour attirer l'attention. Dans tous les cas, la seule solution proposée est la contrainte au nom du principe le plus hypocrite du monde : la non-assistance à personne en danger, notion au demeurant ridicule quand on tient compte de la faiblesse de la police quant à la résolution des crimes et des délits faisant réellement grief aux personnes. En tant qu'homme de gauche, j'ai envie de dire aux policiers : « Occupez-vous de la justice sociale dans ce pays et après, vous vous occuperez de moi ». Obligerait-on une personne souffrant d'un cancer et préférant refuser les soins et se laisser mourir à se soigner contre sa volonté ?

Une de mes profs d'histoire-géographie du Lycée Jacques Prévert de Boulogne disait qu'en vieillissant, on allait de plus en plus vers la droite. Moi, je vais de plus en plus vers la gauche.

Je suis de gauche mais de gauche non-européiste et antisioniste. Ce qui fait que les gens de gauche me prennent pour un mini-Soral et les gens de droite pour un mini-Besancenot. Ce mélange des genres m'a toujours fait sourire.

N'est-ce pas utopique que de vouloir encore construire un projet familial « normal » (avec maman et papa) en 2015 ? N'ayant aucune (mais vraiment aucune) affinité avec les petits fachos cathos de droite de La Manif pour tous, si ce n'est la volonté de défendre le cadre familial papa-maman (que je n'ai pas eu la chance d'avoir et c'est pour ça que je le défends), je constate que la réalité d'aujourd'hui n'est plus celle du XXème siècle. C'est pourquoi je me dis de plus en plus que cette réalité fait que je songe à y renoncer. Les délais moyens d'adoption en France sont de 7 ans (sans compter le passage devant différents « comités Théodule » destinés à évaluer votre normalité). J'observe comment cela se passe parmi mes amis et mes proches et je constate que si vous êtes un homme, 5 alternatives s'offrent à vous pour avoir un enfant :

  • Acheter Rencontrer une femme au bled ou lors d'un séjour sexuel humanitaire en Asie du Sud-Est, la faire venir, l'épouser et la tenir par les papiers.
  • Trouver une personne dans une merde noire et faire le Saint-Bernard en la sauvant de son quotidien et en subvenant à tous ses besoins pendant une période donnée (si la fille est dans un foyer d'accueil, droguée, prostituée et anorexique... carré d'as, qui dit mieux ?) et la tenir en la menaçant de la renvoyer à son quotidien.
  • Gagner 5000 euros par mois et la tenir par l'argent.
  • Mettre enceinte une cruche de 19 ans et la tenir en la menaçant de la renvoyer chez ses parents.
  • Etre gay et pratiquer la gestation pour autrui en louant le ventre d'une femme du tiers-monde. Pas besoin d'explication, Pierre Bergé est un bien meilleur professeur que moi. En tant qu'homme de gauche, vous imaginez ce que je peux penser du fait qu'une femme pauvre loue son ventre pour plusieurs mois à des hommes riches pour quelques milliers d'euros.
Passer mes week-ends dans les stades, qu'est-ce que j'ai aimé ça pendant des années... Mais qu'est-ce que ça m'a coûté cher sur le plan de la construction familiale...

Issu d'un milieu modeste, le plus loin où je suis allé géographiquement dans ma vie, c'est la station de ski de l'Alpe-d 'Huez. L'idée d'aller accompagner un média à la Coupe du monde de football de 2014 comme première grande compétition était mon premier grand objectif journalistique (j'avais déjà assisté à de nombreux matches de l'Equipe de France (une douzaine de matches du France-République Tchèque 2003 au France-Espagne de 2010), aux finales de Coupe de la Ligue 2006, 2008, 2009 et 2012, ainsi qu'à la Finale de Coupe de France 2012, sans compter de nombreux PSG-OM (mars 2006, septembre 2006 et septembre 2007). Cet objectif brésilien ne s'est pas réalisé. Je voulais être journaliste, pas regarder le travail des autres. La pire frustration, ce n'est pas tellement par rapport aux "vedettes" des médias, qui, quoiqu'on en dise, sont pour la plupart des personnes expérimentées et rôdées. C'est plus quand vous écoutez certaines radios nationales pendant les vacances et que vous entendez certains remplaçants et vous vous dites de manière lucide "mais je suis largement meilleur" ou "j'aurais abordé le sujet de manière bien meilleure", surtout si j'avais pu faire une école, mais que ces personnes sont probablement là parce qu'elles ont été "pistonnées" et pas parce qu'elles le méritent. Le plus dur à vivre, c'est de se dire « Je n'ai pas fait d'école de journalisme parce que j'ai dû renoncer à mes études pour subvenir à mes besoins et pas parce que je n'avais pas le niveau ».

Si vous pensez pouvoir améliorer ma vie sur le plan professionnel, n'hésitez pas à utiliser la fonction "Envoyer un courriel" de Wikipédia ou à me joindre par Twitter (@MickaelDenet).

Tant que je suis encore là, j'essaie d'être utile au monde qui m'entoure, y compris à Wikipédia. Mais jusqu'à quand ?


En attendant, j'ai quelques bouquins. C'est déjà ça.

A propos de Wikipédia

Je commence souvent mes journées comme ça...
...et les finis comme ça.

Important : Je prends du Stilnox le soir. C'est une belle me*de qui rend dépendant mais au moins, il a l'avantage de me faire faire des nuits à peu près complètes, ce qui est bien appréciable lorsque l'on a des tendances stakhanovistes comme moi. Par conséquent, il se peut qu'à partir d'une certaine heure, mes propos sur les pages de discussions voire mes contributions soient totalement incohérents. Par conséquent, amis administrateurs, si vous voyez des contributions invraisemblables de ma part à une heure avancée, n'ayez aucune crainte à me bloquer en écriture pour quelques heures, le temps que le médicament soit éliminé par mon organisme, je ne vous en voudrai pas.

Comme je dis souvent sur le ton de la plaisanterie, je ne fais que 50% de tout ce que je voudrais faire dans la vraie vie, je n'écoute que 25% des disques que je voudrais écouter, je ne lis que 10% des livres que je voudrais lire, je ne regarde que 5% des films que je voudrais regarder et je ne fais qu'1% des contributions que je voudrais faire sur Wikipédia. Alors imaginez ma frustration cumulée... Émoticône

Wikipédia fait partie de ce que j'aime le plus au monde : la participation populaire, le partage gratuit de la connaissance collective au service du bien commun. Je ne suis pas comme certains de mes anciens professeurs d'université (au premier rang desquels Françoise Pont-Bournez), qui estimaient que la vérité n'est que dans leurs livres (payants) ou dans leurs thèses (réservées à un petit nombre). Celui qui n'est spécialiste que sur un petit point précis de la culture générale, a sa place ici. AUCUN média ne peut en dire autant. Assistant aux matches de football en Île-de-France depuis 2003 pour le plaisir puis pour le site Internet de foot-national jusqu'en mai 2012, mon domaine de prédilection est bien sûr le football, mais également l'opéra, la politique (mon grand-père Albert était gaulliste de droite et militant au RPR pendant plusieurs années, résistant et mutilé de guerre durant la Seconde Guerre Mondiale, ma mère était malheureusement ouvertement FN, plus par ressenti que par conviction). Je m'estime proche de la gauche. j'ai fait partie (ayant 15 ans à l'époque) de la génération ayant été traumatisée par la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle française de 2002, j'ai voté non au référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe en 2005 et j'ai pris une carte au Parti Socialiste de Sèvres pour soutenir Frédéric Durdux lors des élections municipales françaises de 2014 à Sèvres. Je contribue également sur les transports en commun, ainsi que les entreprises et les commerces, étant devenu commerçant en librairie-presse par nécessité à la mort de mon grand-père.

Articles créés

Footballeurs Footballeuses Arbitres Clubs, stades ou saisons de club de football Personnalités non-footballeurs Bateaux Gastronomie (à venir)

Liste sans doute interminable des articles que j'aurais voulu écrire en tant qu'expert et historien du « foutcheball » (comme dirait Jacky Gallois)

Vous êtes librement invités à choisir les joueurs qui vous intéressent afin de créer leur page.

Cristoliens des années 2000

Cristoliens du renouveau

Red Star-men du renouveau

VGA-women, Juvisy-women et PSG-women (et notamment celles des années 1990 et 2000 quand ces femmes éminemment respectables se faisaient traiter de tous les noms au seul motif qu'elles voulaient pratiquer le sport qu'elles aimaient)

Footballeuses du monde entier

Franciliens de passage

Les « francophones »

Le bloc de l'Est

Les « reste(s) du Monde »

Journalistes pour lesquels j'ai beaucoup d'admiration

Hommes et femmes politiques pour lesquels j'ai beaucoup d'admiration

  • Roger Fajnzylberg (ancien maire communiste de Sèvres, ami proche de mon grand-père Albert)