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Transports en commun de Valenciennes

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Transvilles
Image illustrative de l’article Transports en commun de Valenciennes

Image illustrative de l’article Transports en commun de Valenciennes
Irisbus Agora L arrivant à la gare de Valenciennes.

Situation Drapeau de la France Valenciennes Métropole
Type Tramway, lignes d'autobus, navettes
Lignes 2 lignes de tram
40 lignes de bus
4 navettes centre-ville
20 lignes scolaires
Véhicules 30 rames de tramway
87 bus standards
32 bus articulés
10 navettes centre-ville
14 PMR
Fréquentation 14 335 373 personnes/an (2021)
Propriétaire SIMOUV
Exploitant Keolis Hainaut Valenciennois
Site Internet transvilles.com
Slogan « Bougez comme vous voulez ! »

Les Transports en commun de Valenciennes, opérés sous le nom Transvilles, desservent un territoire composé des communautés d'agglomération de Valenciennes Métropole et de la Porte du Hainaut. L'autorité organisatrice de la mobilité est le Syndicat intercommunal de mobilité et d'organisation urbaine du Valenciennois (SIMOUV) regroupant les deux intercommunalités précitées soit 630 km² et 81 communes[1]. Le réseau est constituée de deux lignes de tramway et d'un réseau d'autobus.

Le SIMOUV confie l'exploitation et la maintenance de son réseau à une entreprise privée, dans le cadre d'une délégation de service public. Depuis le , le délégataire est Keolis Hainaut Valenciennois (KHV), filiale de Keolis.

Le est créé par arrêté préfectoral le Syndicat intercommunal pour les transports urbains de la région de Valenciennes (SITURV), qui regroupe alors 28 communes de l'arrondissement de Valenciennes, en vue de développer et d'organiser les transports en commun sur le territoire des communes adhérentes, en remplacement des anciennes concessions communales dont disposaient les Chemins de fer économiques du Nord (CEN), exploitants historiques de l'ancien tramway de Valenciennes et du réseau d'autobus qui lui avait succédé[2].

Le , fin de l'exploitation du réseau par les CEN. La SEMURVAL, société d'économie mixte, détenue majoritairement par le Syndicat intercommunal, est créée.

En 2005, à l'approche de l'inauguration du tramway de Valenciennes, la Semurval devient Transvilles.

En 2006, l'exploitation de Transvilles est déléguée à Transdev.

En 2010, la nouvelle délégation de service public de Transvilles est confiée au groupe Veolia Transport, et la Semurval laisse place à Veolia Transport Valenciennes.

Le , le réseau est intégralement restructuré par le nouvel exploitant.

Entre 2010 et 2015, l'exploitant était Transports urbains du Valenciennois, anciennement Veolia Transport Valenciennes[3], filiale du groupe Transdev et anciennement Veolia Transdev, le changement de délégataire ayant eu lieu avant la fusion entre Veolia Transport et Transdev, qui a succédé à la SEMURVAL, filiale du groupe Transdev.

En 2014, Le SIMOUV prépare la fin du partenariat avec Transdev (issu de la fusion entre Transdev et Veolia Transport) que l'autorité organisatrice ne souhaite pas renouveler. RATP Dev est désigné pour remplacer Transdev et la société Transports urbains du Valenciennois, le partenariat doit débuter le pour une durée de 8 ans[4]. Le , Keolis succède à RATP Dev[5].

Depuis le , le tramway dessert à nouveau Valenciennes quarante ans après la suppression de l'ancien réseau. Une seconde ligne est mise en service le .

Le réseau d'autobus de Valenciennes est constitué de six lignes essentielles, six lignes principales, 18 lignes lignes complémentaires et dix lignes régionales en intégration tarifaire. Le service est complété par plusieurs navettes et journée et de la ligne de nuit Luciole.

Le réseau Transvilles dispose de trois dépôts :

Irisbus Agora L rentrant au dépôt de Saint-Saulve.

Bâti en 1976 c'est aujourd’hui le plus ancien dépôt.

Il abrite aujourd'hui :

  • le siège social de l'exploitant
  • un remisage bus
  • une station-service bus
  • un atelier bus
  • une station de compression pour le gaz naturel
Gépébus Oréos 22 près du dépôt de Saint-Waast.

Le plus récent construit, il fut bâti lors de la construction du Tramway.

Il abrite aujourd'hui :

  • un bâtiment administratif
  • le poste de commandes centralisées (PCC), d'où est régulé à distance l'ensemble du réseau bus et tramway
  • un remisage bus
  • une station-service bus
  • un atelier bus
  • un remisage tram
  • un atelier tramway

Il abrite aujourd'hui :

  • un remisage bus
  • une station-service bus
  • un atelier bus

Notes et références

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  1. « Vous & nous - nous connaître », sur transvilles.com (consulté le ).
  2. Un siècle de transports publics dans le Valenciennois, op. cit. en bibliographie
  3. « transvilles.com/presentation/?… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. « Dès le 1er janvier, RATP Dev va gérer le réseau de transport en commun du Valenciennois », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).
  5. « Valenciennois : pour les transports en commun, Keolis a remplacé la RATP le 1er janvier, mais ça change quoi ? », sur lavoixdunord.fr, (consulté le ).

Bibliographie

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  • Gérard Urbain, Un siècle de transports publics dans le Valenciennois, Semurval, , 116 p. (ISBN 2-904513-00-0)

Articles connexes

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Lien externe

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