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Manuel Escribano

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Manuel Escribano
Présentation
Nom de naissance Manuel Escribano Nogales
Apodo Manuel Escribano
Naissance (40 ans)
Genera, province de Séville
Nationalité Espagnol
Site internet http://www.manuelescribano.com/
Carrière
Alternative 19 juin 2003 à Aranjuez, province de Madrid), parrain, José Antonio Canales Rivera ; témoin, « El Fandi »

Manuel Escribano Nogales plus connu sous le nom de Manuel Escribano, né à Gerena (Espagne, province de Séville) le , est un matador espagnol.

Présentation et carrière

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Fils du vétérinaire taurin et empresa Francisco escribano, il est issu de l'école taurine de Séville où il est resté jusqu'à l'âge de quatorze ans[1].

Il fait ses débuts en novillada piquée au Venezuela, dans les arènes de La Victoria, le devant du bétail de la ganadería Tarapío, en compagnie du Vénézuélien Erick Cortés et du rejoneador Fabio Grisolia

Après une première présentation à Las Ventas qui se solde par un demi échec, il prend son alternative le 19 juin 2003 à Aranjuez, province de Madrid), avec pour parrain, José Antonio Canales Rivera et pour témoin, « El Fandi », devant des taureaux de la ganadería de Victoriano del Río [2].

Mais après quelques échecs notamment face aux taureaux de Conde de la Maza, sa carrière décline, les contrats se font plus rares, jusqu'au moment où il est relancé par des triomphes en Amérique latine notamment au Mexique [1].

Apoderé par Robert Pilés, il triomphe à Séville en coupant deux oreilles à un taureau Miura le . Il doit son triomphe à El Juli, hospitalisé, qu'il remplaçait ce jour-là. Il est allé lui rendre une visite d'amitié[3].

Le , toujours dans la Real Maestranza de Séville, il entre dans le panthéon de la tauromachie en obtenant la grâce du toro de Victorino Martin, Cobradiezmos. En effet, avant ce , un seul toro avait été indulté dans cette arène en deux siècles de corridas.

Le , à Utrera, Manuel Escribano gracia le toro de Miura, n°42, robe noire, pesant 570 kg, "Tahonero" , le premier à regagner Zahariche vivant[4].

Il entra dans l'histoire de la tauromachie en indultant ce toro de ce bétail légendaire, le premier en 177 ans d'élevage[5].

Notes et références

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Liens externes

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