[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Le Hinglé

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Hinglé
Le Hinglé
La mairie.
Blason de Le Hinglé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Communauté d'agglomération Dinan Agglomération
Maire
Mandat
Gérard Berhault
2020-2026
Code postal 22100
Code commune 22082
Démographie
Gentilé Hinglézien, Hinglézienne
Population
municipale
907 hab. (2021 en évolution de +0,78 % par rapport à 2015)
Densité 269 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 37″ nord, 2° 04′ 37″ ouest
Altitude Min. 33 m
Max. 112 m
Superficie 3,37 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Dinan
(banlieue)
Aire d'attraction Dinan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lanvallay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Hinglé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Hinglé
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Le Hinglé
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Le Hinglé
Liens
Site web http://www.lehingle.fr/

Le Hinglé [lə ɛ̃gle] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
Communes limitrophes du Hinglé
Bobital Trévron
Hinglé Trévron
Brusvily Trévron

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est  », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Le Hinglé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dinan, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dinan, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,7 %), terres arables (33 %), zones urbanisées (14,1 %), forêts (12,3 %), eaux continentales[Note 2] (2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes La Higneys au XIVe siècle[14], La Higneyo à la fin du XIVe siècle, Le Hingue en 1450, 1472, et en 1513, Le Hingle, Le Hingue en 1477[15], Hingleyo en 1516[14], Le Hingle en 1583, Hingue en 1584[15].
On trouve la forme Le Henglé en 1779[14] et Lehinglé en 1790[15].
Le nom actuel Le Hinglé apparaît dès 1801[16],[15].

Son nom viendrait des mots bretons hen (vieux) et klez (talus)[15].

La paroisse du Hinglé, enclavée dans l'évêché de Saint-Malo faisait partie du doyenné de Bobital relevant de l'évêché de Dol et était sous le vocable de saint Barthélemy.

Le XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 16 soldats morts pour la Patrie[17] :

La Résistance autour de Dinan

[modifier | modifier le code]

Ouvrier carrier domicilié au lieu-dit « La Ville-aux-Cailles » au Hinglé, Jean-Baptiste Brault a participé, dans la nuit du 11 au 12 avril 1944 à Dinan, avec d'autres camarades FTP du secteur, à la libération de deux membres importants de la Résistance en Ille-et-Vilaine[18]. Se sachant activement recherché, il prit néanmoins le parti de ne pas s'enfuir. Sur dénonciation d'un voisin, Jean-Baptiste Brault fut arrêté le 8 mai 1944 et incarcéré à la prison de Rennes. Jugé et condamné à la peine de mort le 30 mai, il fut fusillé le lendemain 31 mai, avec 9 autres de ses camarades, au camp de la Maltière à Saint-Jacques-de-la-Lande. Il avait 26 ans.

Résistant dinannais de la première heure lui aussi, militant communiste engagé, meunier au village de Maltournée, Jean-Baptiste Garnier a participé également dans la même nuit du 11 au 12 avril 1944 à Dinan à la libération des chefs de la Résistance en Ille-et-Vilaine[19]. Le 12 mai 1944, sur dénonciation d'un proche, il est arrêté au Hinglé par un gendarme qui le livre aux autorités allemandes. Jugé et condamné à la peine de mort le 30 mai 1944, il est fusillé le lendemain 31 mai, avec 9 autres de ses camarades, au camp de la Maltière à Saint-Jacques-de-la-Lande, à l'âge de 41 ans. Son épouse, Marianne Garnier, militante communiste depuis 1939 et comparse de son époux dans les activités de Résistance, était secrétaire de mairie au Hinglé où elle est décédée en 2003 à l'âge de 93 ans[20].

L'industrie granitière

[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle et au XXe siècle, le développement de la commune a été lié à celui de l'exploitation du granit de son sous-sol ce qui a justifié que la commune s'appela temporairement Le Hinglé-les-Granits. Faisant partie du massif granitique de Dinan, « le granite du Hinglé, à biotite, présente un grain moyen, faiblement porphyroïde, de teinte gris-blanchâtre avec une légère nuance bleutée. Localement, l’homogénéité qui prévaut dans la masse s’estompe avec le développement de cumulats feldspathiques très clairs et de sombres concentrations allongées de biotite[21] ».

Entre 1846 et 1848, la carrière de la Pyrie ou Pillerie a compté parmi la dizaine de carrières qui ont approvisionné la construction du viaduc de Dinan, bien que la distance de 8 km était tenue pour une distance effective de 10 km en raison du caractère malaisé du chemin. L'ingénieur considérait qu'une voiture chargée d'un m3 de pierres ne pouvait faire qu'un voyage par jour, mais la qualité de la pierre le justifiait pleinement[22].

L'exploitation se développe à partir de 1860 et les besoins de la construction de la ligne de chemin de fer (gares, ponts, etc.). Seules les deux carrières de la Pyrie existent, employant trente personnes, 45 en 1875. La pierre est chargée à Dinan sur des péniches et emmenée au port de Saint-Malo[23].

L'ouverture de la ligne Dinan-La Brohinière en 1896 facilite le développement de l'activité. En 1910, il y a environ 350 ouvriers, une centaine d'Italiens piémontais complétant la main d'œuvre locale[23]. La carrière est alors possédée par une société anonyme dont le siège est à Versailles et qui s'engagea dès le début du XXe siècle dans un processus d'industrialisation : le site d'extraction fut fortement agrandi, un pont roulant (pour déplacer les blocs) installé, ainsi que des ateliers de polissage.

« Avant 1914, la Pyrie fournit des granits polis pour le funéraire (c'est le tiers de la production du moment), des pierres de taille pour la construction d'immeubles et les travaux publics ainsi que des pavés » [23].

Au XXe siècle, l'activité de la carrière de la Pyrie et du bassin granitique va fluctuer en fonction des guerres mondiales et des mouvements sociaux. Ceux-ci sont particulièrement importants, la main d'œuvre étrangère amenant avec elle des idées et des motifs de revendication : en 1920, la Pyrie subit plusieurs semaines de grève, idem en 1936 et 1938 où elle emploie 115 personnes[23].

Le granit du Hinglé fut dans le courant du XXe siècle vendu un peu partout en France et même en Angleterre, par exemple pour la construction du phare de Penzance[24].

Mais les besoins et la qualité de la pierre sont là ; quatre entreprises concurrentes de la Pyrie naissent : la carrière Blanchard qui fermera en 1959 ; la carrière Stanislas Rolland ; l'entreprise Rioche. Déjà, conséquence de la crise de 1920, trente des meilleurs ouvriers de la carrière de la Pyrie s'était associés comme une antenne de la coopérative ouvrière de Louvigné-du-Désert, ouvrant une carrière à Notre-Dame Bobital[23].

La Seconde Guerre mondiale, après avoir fait chuter l'activité, va occasionner un nouveau départ pour les besoins de la reconstruction de la France. Le granit local est mis à profit par l'armée allemande pour l'édification du Mur de l'Atlantique. L'émigration est à nouveau sollicitée dans les années soixante, cette fois avec des Espagnols, des Portugais et des Turcs[23].

Un réel déclin se produit à partir de 1978 sous l'effet de la concurrence. La Coopérative doit fermer en 1977 ; les emplois se réduisent de moitié en quelques années. Finalement au début du XXIe siècle, si les gains de productivité ont permis un maintien du volume de la production, l'impact sur l'emploi est loin de ce qu'il a été puisqu'une vingtaine de personnes se partagent entre l'entreprise Rioche et celle de la Pyrie [23].

Outre le viaduc de Dinan, le granit du Hinglé a été mis en œuvre pour des ouvrages communs : immeubles, canal d'Ille-et-Rance, canal du Nord, plusieurs ports, arsenal de Rennes, casernes de Dinan et Caen, etc., mais aussi des créations plus notables :

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
D'argent aux trois têtes de maure de sable tortillées d'or.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1925   M. Gallais Rad.soc.  
1930 1942 Ernest Briand[Note 3] SFIO Cheminot puis artisan tourneur
Les données manquantes sont à compléter.
1944 mai 1953 Ernest Briand PCF Cheminot puis artisan tourneur, résistant
mai 1953 mars 1965 Maurice Bougault    
mars 1965 mars 1989 Oreste Beghetti[Note 4] PCF app. Contremaitre, ancien coureur cycliste
Croix de guerre 39-45 avec étoile de bronze
mars 1989 décembre 1992
(décès)
René Bonenfant[Note 5]    
février 1993[25] En cours
(au 23 mai 2020)
Gérard Berhault[26]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Cadre bancaire retraité, ancien 1er adjoint (1989 → 1992)

Démographie

[modifier | modifier le code]
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
134151182158193210207230214
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
262265272265268290269260263
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
273280311361306326385475383
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
465562620656732680837846832
2015 2020 2021 - - - - - -
900907907------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Barthélémy du Hinglé.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Ernest Briand, né le 14 mars 1887 à Trévron, décédé le 9 septembre 1967 au Hinglé. [1]
  4. Oreste Domenico Beghetti, né le 26 juillet 1916 au Hinglé, décédé le 11 novembre 2004 au Hinglé. [2]
  5. René Casimir Bonenfant, né le 24 octobre 1926 à Corseul, décédé le 14 décembre 1992 au Hinglé.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Le Hinglé et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Dinan », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dinan », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  15. a b c d et e infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Le Hinglé ».
  16. Dans un arrêté de réduction des justices de paix
  17. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  18. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011.
  19. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011..
  20. Prigent Alain et Tilly Serge, "Les fusillés et décapités après jugement d'un tribunal militaire allemand (Côtes-du-Nord, 1940-1944)", Les cahiers de la Résistance populaire, mai 2011..
  21. Louis Chauris, « Brest : vieilles pierres et pierres neuves dans une cité reconstruite », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. XC=,‎ , p. 21 (lire en ligne).
  22. Louis Chauris, Les carrières exploitées pour la construction du viaduc de Dinan (1846-1852), in Le Pays de Dinan, 2002, p. 219-241
  23. a b c d e f g et h Louis Gontran, Armel Laffiché, Le XXe siècle au Hinglé : l'épopée du granit, in Le Pays de Dinan, 2000, p. 111-119
  24. Serj Le Maléfan, "Granites de Bretagne", Coop Breizh, 2013, (ISBN 978-2-84346-588-8).
  25. « Succédant à René Bonenfant : Gérard Berhault nouveau maire du Hinglé », Ouest-France (archives du journal),‎ (lire en ligne Accès payant).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Archives Service Historique de la Défense de Vincennes, cote GR 16P 360965, et GR 8Ye 103857.
  30. « ville etape le hinglé »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. le-petitbleu.fr, « "Oreste Beghetti et Louis le Meur, les pères du cyclisme hinglezien", Pays de Dinan, page 10. », Hebdomadaire Le Petit Bleu, no edition n°3616 du 18/06/2015,‎ .

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :