Olivares de Duero
Olivares de Duero | ||||
Héraldique |
Drapeau |
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Retable majeur de l'église San Pelayo. | ||||
Administration | ||||
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Pays | Espagne | |||
Communauté autonome | Castille-et-León | |||
Province | Province de Valladolid | |||
Comarque | Páramos del Esgueva | |||
District judic. | Valladolid | |||
Maire Mandat |
Raquel Sánchez Villorejo (PSOE) 2015 |
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Code postal | 47359 | |||
Démographie | ||||
Population | 321 hab. () | |||
Densité | 11 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 41° 38′ 15″ nord, 4° 21′ 54″ ouest | |||
Altitude | 744 m |
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Superficie | 2 930 ha = 29,30 km2 | |||
Distance de Valladolid | 38 km | |||
Localisation | ||||
Localisation dans la province de Valladolid | ||||
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Géolocalisation sur la carte : Castille-et-León
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Liens | ||||
Site web | www.olivaresdeduero. ayuntamientosdevalladolid.es |
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Olivares de Duero (appelée Olivares jusqu'en 1857[1]) est une commune de la province de Valladolid dans la communauté autonome de Castille-et-León en Espagne.
Administration
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]- Beaupouyet (France) depuis 2016[2].
Économie
[modifier | modifier le code]Olivares se trouve dans la région de l'AOC Ribera del Duero.
Sites et patrimoine
[modifier | modifier le code]- Église San Pelayo (es).
- Chapelle Nuestra Señora de la Virgen de la Estrella.
- Pont de Olivares-Quintanilla.
Le retable de l'église San Pelayo, a été peint vers 1532 par le peintre de la Renaissance Juan Soreda, et d'abord attribué à Topaz[3]. San Pelayo est un jeune courdouan martyrisé par Abd al-Rahman III, et canonisé par l’Église catholique, comme exemple de vertu de la chasteté juvénile. Les premières panneaux racontent la légende du saint. On y perçoit l'intérêt de Soreda pour la figure humaine et les nus masculins, comme on le voit dans la scène de sa torture (110 x 85 cm)[4]. Les aspects les plus dramatiques sont évités[5]. Composé de 51 tableaux, on peut apprécier dans ce retable la participation des différents compagnons de l'atelier à qui Soreda a demandé de suivre les gravures de Lucas van Leyden, Dürer ou Marcantonio Raimondi. On y voit aussi la reproduction des fresques de Michel-Ange à la Chapelle Sixtine, utilisée dans les représentations des prophètes et sibylles de la prédelle.
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Vue générale.
Fondation Joaquín Díaz. -
Porte principale.
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Détail du retable
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (es) Varaciones de los municipios de España desde 1842, Ministerio de administraciones públicas, , 364 p. (lire en ligne) [PDF]
- Bruno Boucharel, « Un jumelage avec l'Espagne », Sud Ouest édition Périgueux, 20 septembre 2016, p. 20b.
- Ramos Gómez, F. Javier, «Juan Soreda y las tablas del antiguo retablo de Luzón (Guadalajara)», Archivo Español de Arte, LXXV, 299 (2002), págs. 293-334.
- Raphaël Pic, « Exposition, Fièvre flamande dans l’Espagne très catholique », Muséart, no 53, , p.92
- Las edades del hombre. El contrapunto y su morada, catálogo de la exposición, Salamanca, 1993, (ISBN 84-88265-03-4)