Bry-sur-Marne
Bry-sur-Marne | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-de-Marne | ||||
Arrondissement | Nogent-sur-Marne | ||||
Intercommunalité | Métropole du Grand Paris EPT Paris-Est Marne-et-Bois |
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Maire Mandat |
Charles Aslangul 2020-2026 |
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Code postal | 94360 | ||||
Code commune | 94015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bryards/Bryardes | ||||
Population municipale |
17 400 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 194 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 50′ 28″ nord, 2° 31′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 100 m |
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Superficie | 3,35 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villiers-sur-Marne | ||||
Législatives | 5e circonscription du Val-de-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://www.brysurmarne.fr/ | ||||
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Bry-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.
Desservie par une station du RER A (Bry-sur-Marne RER), Bry-sur-Marne fait partie du secteur 1 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Porte de Paris avec Noisy-le-Grand et Villiers-sur-Marne.
Elle devient connue en partie grâce aux Studios de Bry-sur-Marne et à l'Institut national de l'audiovisuel (INA).
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Bry-sur-Marne est située dans le grand Bassin parisien, entre les villes du Perreux-sur-Marne à l'ouest, de Noisy-le-Grand au nord, de Villiers-sur-Marne à l'est et de Champigny-sur-Marne au sud.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Neuilly-Plaisance, Noisy-le-Grand, Champigny-sur-Marne, Le Perreux-sur-Marne et Villiers-sur-Marne.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est limitée au nord et à l'ouest par la Marne, l'un des principaux affluents de la Seine.
Deux îles font partie du territoire de la commune :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,1 | 1,9 | 4 | 6,2 | 9,8 | 13,1 | 15,1 | 14,7 | 11,2 | 8,5 | 5 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,4 | 8,5 | 11,5 | 15,1 | 18,4 | 20,7 | 20,4 | 16,6 | 12,7 | 8,1 | 5,4 | 12,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,7 | 9 | 13,1 | 16,8 | 20,4 | 23,8 | 26,2 | 26,2 | 22 | 16,9 | 11,3 | 8,1 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−17 17.01.1985 |
−12,5 08.02.1991 |
−9,5 13.03.13 |
−4,3 06.04.21 |
−0,6 06.05.19 |
4 04.06.01 |
7,5 31.07.15 |
5 30.08.1986 |
1,5 30.09.18 |
−4,5 30.10.1997 |
−8,7 24.11.1998 |
−8,9 29.12.1996 |
−17 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,6 28.01.02 |
21,4 27.02.19 |
26,9 31.03.21 |
29,9 20.04.18 |
33,1 27.05.05 |
38,3 27.06.11 |
42,5 25.07.19 |
40,5 12.08.03 |
36,3 08.09.23 |
29,7 03.10.11 |
22,5 08.11.15 |
18 07.12.00 |
42,5 2019 |
Précipitations (mm) | 57,7 | 50,6 | 51,5 | 50,2 | 72,4 | 62,4 | 64,4 | 60,4 | 52,2 | 60,5 | 62,8 | 76,1 | 721,2 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bry-sur-Marne est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Logement
[modifier | modifier le code]Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 7 804, alors qu'il était de 7 318 en 2015 et de 6 884 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 5,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 35,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 61,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bry-sur-Marne en 2020 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,8 %) supérieure à celle du département (1,9 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,8 % en 2015), contre 44,8 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Bry-sur-Marne[I 2] | Val-de-Marne[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 91,3 | 92,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,8 | 1,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,9 | 5,8 | 8,2 |
HLM : en 2019, la commune était encore très loin des objectifs légaux de la loi SRU, avec seulement 18,03% de HLM (https://94.citoyens.com/2020/logement-social-en-val-de-marne-10-villes-sanctionnees,22-12-2020.html
Projets d'aménagements
[modifier | modifier le code]Ligne 15/RER E : Gare de Bry-Villiers-Champigny
[modifier | modifier le code]La future gare de Bry-Villiers-Champigny est une future station de RER/Métro qui ouvrira vers fin 2025 sur la future ligne 15 et assurera la correspondance vers 2027 voire 2030 sur le RER E[11],[12].
La gare sera implantée dans l'ouest de la commune de Villiers-sur-Marne, dans le sud de Bry-sur-Marne et de la R10 et dans le nord de Champigny-sur-Marne. Elle devrait passer à proximité du chemin des Bouteraines (Villiers-sur-Marne).
Le futur BHNS Altival (qui doit relier la gare de Sucy - Bonneuil à celle de Noisy-le-Grand - Mont d'Est sans pour autant passer par Paris) devrait desservir la gare de Bry-Villiers-Champigny dès son ouverture[13],[14].
La gare de Bry-Villiers-Champigny permettra de se rendre à Sucy - Bonneuil en 3 minutes et la future gare de Villejuif - Institut Gustave Roussy en 14 minutes seulement. La gare du RER E devrait être en extérieur avec un abri voyageur en hauteur et la ligne 15 devrait être une gare souterraine.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Autoroute A 4
- Départementale D120
- Pont de Bry
Il existe une piste cyclable qui longe les bords de la Marne[Quand ?].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Par le RER A à la gare de Bry-sur-Marne, sur la branche A4 de Marne-la-Vallée - Chessy
- Par le réseau de bus RATP
Dans le futur, la commune sera desservie par :
- Ligne 15 du métro de Paris, station de Villiers-Champigny-Bry.
Toponymie
[modifier | modifier le code]La ville est mentionnée sous le nom de Brie dans « une charte de Charles le Chauve datant de 861 » - première trace écrite attestant son existence[15].
Le nom de Bry, selon le site officiel de la ville, « vient du celtique Briw signifiant pont ou passage traversant un cours d'eau »[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et antiquité
[modifier | modifier le code]Le site de l'actuelle ville est habité depuis le Néolithique. Les plus anciens restes humains, découverts dans la cour de l'école primaire, remontent au Ve siècle av. J.-C.
Bry a également été le site d'une nécropole datant de la Gaule romaine et de l'époque mérovingienne[16].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le village primitif s’est formé au Moyen Âge autour d’un port et d’un bac que les seigneurs de Bry exploitaient à l’emplacement du pont actuel, et comprenait le château seigneurial, l'église édifiée en 1130, ainsi que quelques demeures bourgeoises et masures paysannes installées le long des actuelles Grande Rue, rue du Four et du bas de l’avenue du Général Leclerc[17].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Fernand Bournon indique qu'au « XVe siècle, les seigneurs s'appelaient Bernardin, nom passablement roturier. Au XVIIe siècle, la terre appartenait aux Miron, famille illustrée par François Miron, prévôt des marchands de Paris sous Henri IV[16] ».
Dans les années 1690, Nicolas de Frémont, marquis d'Auneuil, entreprend la construction du château de Bry[réf. nécessaire].
Sous l'Ancien Régime, la localité relève de la généralité et de l'Élection de Paris, paroisse du doyenné de Lagny[18].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Le premier pont de Bry est construit en 1831[17].
En 1842, l'église se voit dotée du diorama en trompe-l'œil de Louis Daguerre
En 1859, l’ancien domaine seigneurial de Bry, qui s’étendait alors sur les deux tiers de la commune, est loti par les héritiers de la défunte châtelaine de Bry, Geneviève de Rigny. Intervenant à la même époque que la construction que la construction du viaduc de Nogent-sur-Marne, amène d'importantes transformations de la commune, qui perd sa fonction agricole pour devenir résidentielle[17].
Jusqu'en 1860, Bry est desservi par un service d'omnibus des Messageries des environs de Paris, desservant Nogent-sur-Marne, Bry-sur-Marne et Noisy-le-Grand. Compte tenu de la mise en service de la gare de Nogent - Le Perreux par la Compagnie des chemins de fer de l'Est. Ce service, qui existait encore à la fin du XIXe siècle, est alors réduit à des navettes vers cette gare[19].
L'actuelle mairie est construite en 1866 et agrandie en 1901[20].
Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, au cours du Siège de Paris, la bataille de Champigny qui a lieu du 30 novembre au 2 décembre 1870 se déroule en partie sur le territoire de la commune. Elle en sort dévastée. Plusieurs monuments rappellent ces évènements tragiques.
En 1873 est construit le second pont de Bry, dont le péage est supprimé en 1884. Sa plaque de dédicace mentionnait : « RÉPUBLIQUE FRANÇAISE / LIBERTÉ-ÉGALITÉ-FRATERNITÉ / PONT DE BRY-SUR-MARNE / AFFRANCHI DU DROIT DE PÉAGE LE 27 AVRIL 1884
M. E. POUBELLE, PRÉFET DE LA SEINE,
M. GIROUD, MAIRE[19] ».
La ville est desservie par les tramways de la ligne 3 des chemins de fer nogentais dès le [19]. Après l'absorption des Nogentais par la STCRP, la ligne prend en 1921 le no 120 et dessert Porte de Vincennes – Bois de Vincennes – Nogent-sur-Marne – Le Perreux – Bry–sur–Marne – Noisy-le-Grand, jusqu'à sa suppression dans les années 1930[21],[22].
Jusqu'à la seconde moitié du XIXe siècle, « la population de Bry était groupée autour de la mairie et de l'église, à proximité du pont construit sur la Marne qui met la commune en relation avec Le Perreux, Nogent, etc. Il y avait cependant au nord-est, au lieu-dit la Garenne, un écart où se groupaient quelques maisons. Enfin, au sud-ouest, les bords de la Marne et les îles du Moulin et d'Amour forment un autre écart[23] ».
Les opérations d'urbanisation se poursuivent à la fin du XIXe siècle : lotissement de La Pépinière (1892), du parc du château (1896) de la Garenne (1899), principalement comme résidences secondaires de parisiens aisés qui profitent de la proximité de la capitale et des paysages des coteaux et les bords de Marne[17].
Le chemin de fer traverse Bry en 1928 avec la mise en service de la Grande ceinture complémentaire, mais la gare de voyageurs n'est construite qu'en 1932. Le service voyageur cesse en 1939 et la ligne n'est plus utilisée que pour le service marchandises[24].
En 1928 est mené l'aménagement du boulevard Pasteur[17].
-
Tramway devant le château...
-
... et au terminus, devant l'église.
-
La Gare SNCF de Bry, fermée aux voyageurs en 1939.
L'actuel Pont de Bry est ouvert en 1938[17].
La construction de l’hôpital Saint-Camille, commencée en 1936, est interrompue par la Seconde Guerre mondiale, puis reprise en 1946. Il est inauguré en 1952 et agrandi en 1963[25].
Jusqu'aux années 1950, l'agriculture est encore présente à Bry, notamment aux coteaux et sur le plateau avec de nombreux vergers. Les transformations urbaines se poursuivent avec la mise en chantier de la Cité de la télévision (1972), l’aménagement des Maisons Rouges et la construction des résidences Site et Parc (1959), Beau Site (1965) et Bry Pasteur (1966), puis l'aménagement de zones d'aménagement concerté (ZAC des Fontaines Giroux, des Coudrais, du Colombier, des Armoiries et des Graviers)[17]
Bry est connectée à l'autoroute A4 en 1970, et à la ligne A du RER d'Île-de-France en 1977[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[26], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le et à son arrondissement de Nogent-sur-Marne après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1801 à 1893 du canton de Charenton-le-Pont, année où elle intègre le canton de Nogent-sur-Marne de la Seine. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, la ville devient le chef-lieu du canton de Bry-sur-Marne[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Villiers-sur-Marne
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription du Val-de-Marne.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune n'était membre, jusqu'en 2015, d'aucune intercommunalité à fiscalité propre.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[28].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[29].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Élections présidentielles
[modifier | modifier le code]- Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 86,04 % pour Jacques Chirac (RPR), 13,96 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 83,50 % de participation.
- Élection présidentielle de 2007 : 61,35 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 38,65 % pour Ségolène Royal (PS), 85,44 % de participation. Bry-sur-Marne fait partie des 82 communes de plus de 3 500 habitants à adopter les machines à voter[30].
- Élection présidentielle de 2012 : 56,56 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,54 % pour François Hollande (PS) 83,55 % de participation[31].
- Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2017, les quatre premiers candidats sont : Emmanuel Macron (32,26 % des suffrages exprimés), François Fillon (29,23 %), Jean-Luc Mélenchon (14,63 %) et Marine Le Pen (10,85 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron recueille 6 377 voix (80,94 %) et Marine Le Pen 1 502 voix (19,06 %), avec 75,96 % de participation[32]. - Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2022, les quatre premiers candidats sont : Emmanuel Macron (38,24 % des suffrages exprimés), Jean-Luc Mélenchon (20,16 %), Marine Le Pen (12,14 %) et Éric Zemmour (9,65 %).
Au second tour, le candidat élu Emmanuel Macron recueille 5 886 voix (75,27 %) et Marine Le Pen 1 934 voix (24,73 %), avec 75,13 % de participation[33].
Référendums
[modifier | modifier le code]- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 73,44 % pour le Oui, 26,26 % pour le Non, 34,43 % de participation.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 62,15 % pour le Oui, 37,85 % pour le Non, 72,34 % de participation.
Élections législatives
[modifier | modifier le code]- Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 51,98 % pour Gilles Carrez (UMP), élu au premier tour, 20,63 % pour Evelyne Picard (PS), 70,31 % de participation.
- Élections législatives de 2007 : 56,03 % pour Gilles Carrez (UMP), élu au premier tour, 16,45 % pour Marie-Odile Dufour (PS), 63,31 % de participation.
Élections européennes
[modifier | modifier le code]- Résultats des deux meilleurs scores
- Élections européennes de 2004 : 22,11 % pour Harlem Désir (PS), 21,62 % pour Patrick Gaubert (UMP), 48,33 % de participation.
- Élections européennes de 2009 : 34,06 % pour Michel Barnier (UMP), 20,00 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 44,41 % de participation.
Élections régionales
[modifier | modifier le code]- Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 51,76 % pour Jean-François Copé (UMP), 39,97 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 68,02 % de participation.
- Élections régionales de 2010 : 53,63 % pour Valérie Pécresse (UMP), 46,37 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 49,77 % de participation.
Élections cantonales et départementales
[modifier | modifier le code]- Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : 52,83 % pour Dominique Roblin (RPR), élu au premier tour, 15,62 % pour Evelyne Picard (PS), 55,71 % de participation.
- élections cantonales de 2008 : 64,88 % pour Dominique Roblin (UMP), élu au premier tour, 18,76 % pour Maria-Isabelle Flores-Racmachers (PS), 53,01 % de participation.
Élections municipales
[modifier | modifier le code]- Élections municipales de 2001 : 70,88 % pour Jean-Pierre Spilbauer (DVD) élu au premier tour, 23,45 % pour Philippe Genest (PS), 59,97 % de participation.
- Élections municipales de 2008 : 73,04 % pour Jean-Pierre Spilbauer (DVD) élu au premier tour, 26,96 % pour Philippe Genest (PS), ?? % de participation.
- Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne[34], la liste DVD-UMP-UDI menée par le maire sortant Jean-Pierre Spilbauer obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 3 097 voix (48,55 %, 25 conseillers municipaux élus), devançant largement celles menées respectivement par[35] :
- Charles Aslangul (UMP-DVD, 2 024 voix (31,73 %, 5 conseillers municipaux élus) ;
- Johan Ankri[36] (PS-PCF-EELV, 1 257 voix 19,70 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 41,96 % cdes électeurs se sont abstenus.
- Au second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne[37], la liste DVD — soutenue par LR au 2d tour — menée par Charles Aslangul[38] obtient la majorité absolue des suffrages exprimes, avec 2 446 voix (51,72 %, 25 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant de 163 voix celle LREM-MoDem-UDI-Agir-MR-UDE menée par Serge Godard — soutenue par le maire sortant J-P Spilbauer qui ne se représentait pas[39] — qui a recueillie 2 283 voix (48,27 %, 8 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 55,36 % des électeurs se sont abstenus[40],[41],[42].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Depuis la Libération, sept maires se sont succédé à la tête de la commune.
Instances de démocratie participative
[modifier | modifier le code]La ville de Bry-sur-Marne s'est dotée d'un Conseil Municipal des Jeunes (comme d'un Conseil Municipal des Seniors) qui accueille les jeunes bryards et bryardes de 14 à 17 ans pour s'investir sur des projets, proposés par leurs soins et votés lors d'assemblées plénières, sur la ville et/ou en dehors, et leur apprendre à gérer un budget défini à l'année.
Le CMJ est aussi appelé à participer à des manifestations annuelles comme le dépôt de gerbes lors des commémorations. Tout ceci sur la base du volontariat et, ce, pendant un an. Le CMJ est composé de 5 sphères, votées lors d'un week-end d'imprégnation: Communication, Événementiel, Grands Projets, Éco-urbanisme et Sociale, dans lesquelles les jeunes s'inscrivent comme ils le souhaitent, ils peuvent faire partie de toutes les sphères comme d'une seule. Ils sont supervisés par un coordinateur qui les accompagne sur les différentes actions et réalise les démarches administratives liées aux projets[53]. Le CMJ de Bry-sur-Marne participe aussi à l'ANACEJ dans le but de discuter avec d'autres CMJ & CME (Conseil Municipal d'Enfants) sur des thématiques variées et d'actualités tels que l'écologie, ou bien la remise des prix pour les projets marquants de l'année[54].
Jumelages
[modifier | modifier le code]- L'île de Saint Martin depuis 2016 ;
- Moosburg-sur-Isar (Allemagne) depuis 1973 ;
- Sawbridgeworth (Angleterre) depuis 1973.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La ville de Bry-sur-Marne appartient au secteur de l'académie de Créteil ; ainsi les lycées « de secteur » sont les lycées Édouard-Branly et Louis-Armand à Nogent-sur-Marne, Pablo-Picasso à Fontenay-sous-Bois et Paul-Doumer au Perreux-sur-Marne.
Un lycée international polyglotte de 1 500 places construit sur les communes de Noisy-le-Grand et de Bry-sur-Marne a ouvert ses portes à la rentrée 2015.
La commune héberge le collège Henri-Cahn[Note 5] attenant à l'école élémentaire Henri-Cahn, et l'institut privé Saint-Thomas dans le château de Bry (primaire et collège), le groupe scolaire Paul-Barillet dans les « Hauts de Bry » (maternelle + élémentaire), le groupe scolaire Louis-Daguerre (maternelle + élémentaire), la maternelle Jules-Ferry et les écoles Etienne De Silhouette maternelle et Etienne De Silhouette élémentaire (anciennement « écoles de la Pépinière »).
Santé
[modifier | modifier le code]- L'hôpital de proximité Saint Camille, établissement à but non lucratif, dispose de 270 lits et places et couvre la plupart des spécialités médicales et chirurgicales. Il dispose d'un accueil d'urgence des patients ouvert 24 heures sur 24[59].
- L'hôpital privé de Marne La Vallée géré par la Ramsay Santé est également situé dans la commune.
Equipements sportifs
[modifier | modifier le code]La commune compte[60] :
- Un Centre équestre municipal
- Le Parc des sports des Maisons Rouges avec un terrain synthétique pour le football et le rugby
- Un boulodrome au Square De Lattre de Tassigny
- La salle Salle René Decroix pour le Taï-chi-chuan, Karaté, Judo, Gymnastique adulte (fitness, renforcement musculaire, step…)
- Le Tennis Club de Bry
- Le Gymnase Félix Faure avec 1 salle pour le Badminton, le Volley-ball, l'aero model club, le handball, le tennis de table, et le Sport scolaire
- Le Gymnase Clemenceau avec 2 salles et un terrain extérieur pour le basket-ball, l'escrime, le Tennis de table, La gymnastique sportive aux agrès, et le sport scolaire
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[61],[Note 6].
En 2021, la commune comptait 17 400 habitants[Note 7], en évolution de +4,86 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- L'école municipale de musique Hector-Berlioz classée conservatoire à rayonnement communal, participe à de nombreuses manifestations artistiques dans Bry-sur-Marne et les communes voisines.
- Le Bry Harmonie Orchestra (l'orchestre municipal) organise chaque année la « Céciliade » à l'occasion de la Sainte-Cécile, patronne des musiciens. Cette fête regroupe tous les ans de nombreuses associations musicales dans un même projet de concert.
- Le concert des « violons de Bry », sous la direction de Pascal Oddon (premier prix du conservatoire de Paris), regroupe les 100 membres de l'association pour un concert annuel.
- De grandes animations sont organisées chaque année pour la fête de la musique, sur la place Devinck ainsi que dans le square de Lattre-de-Tassigny.
- Chaque année de mi-novembre à mi-décembre se tient à l'hôtel de Malestroit le « Salon national des artistes animaliers ».
- Au premier trimestre de l'année, se tient le salon de Bry où sont présentés une majorité d'artistes bryards.
- Une initiative particulière concerne l'animation culturelle en créant des séquences nommées « Arts hors les murs », où les œuvres sont exposées par vagues de deux mois chez les artisans, les commerçants et tout lieu ouvert au public.
Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 832 €, ce qui plaçait Bry-sur-Marne au 1 093e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[64].
Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Le plus gros employeur est l'INA qui a son siège social dans les hauts de Bry-sur-Marne où plus de 1 000 personnes y sont employées.
Les studios de Bry hérités de la SFP, les plus modernes et plus grands studios de cinéma de France avec 8 plateaux de tournage et ateliers répartis sur 13 ha, sont repris par le groupe Transpalux en 2015[65],[66] puis acquis par AXA IM et Guillaume de Menthon en 2023[67].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Passerelle de Bry-sur-Marne
- Château de Bry
- Cimetière de Bry-sur-Marne
- Pont de Bry
- L'hôtel de Malestroit : Situé au 2 grande-rue Charles-de-Gaulle, en face de la mairie, l'hôtel de Malestroit était utilisé comme résidence par Jean de Malestroit (1375-1443), cardinal et chancelier du duc Jean V de Bretagne, à l'occasion de ses voyages à Paris. Le bâtiment abrite aujourd'hui un centre culturel accueillant un conservatoire de musique, des expositions, des concerts et des spectacles[68]. La façade de l'hôtel de Malestroit est classée au titre des Monuments historiques.
- Le château du Rancy, inscrit aux monuments historiques.
-
L'hôtel de Malestroit depuis la grande-rue Charles-de-Gaulle.
Le Musée Adrien Mentienne
[modifier | modifier le code]Le Diorama de Louis Daguerre
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Bry-sur-Marne conserve le seul exemplaire restant des dioramas peints par Louis Daguerre. La toile peinte par Louis Daguerre (co-inventeur de la photographie et inventeur du daguerréotype) représente un intérieur d'église gothique. Cette œuvre, véritable tableau animé, est surtout exceptionnelle par son système de transparences et par le traitement scientifique des couleurs qui filtrent la lumière. La toile, peinte sur ses deux faces, une en effet « jour » et l'autre en effet « nuit », se transforme au fur et à mesure de la journée en fonction des variations de la lumière.
En raison du vieillissement des matériaux et de restaurations inadaptées, le diorama était très fortement dégradé. Sa restauration a été confiée à une équipe de restaurateurs : Dominique Dollé (mandataire), Alain Roche, Ariel Bertrand, Bertrand Bedel de Buzareingues et Sophie Deyrolle, qui ont participé à la restauration de la Galerie des Glaces à Versailles. Jacques Moulin, architecte en chef des Monuments historiques, en a assuré la maîtrise d'œuvre[69]. Grâce à un procédé élaboré sur mesure, l'œuvre a pu retrouver une partie des effets illusionnistes originaux.
L'association bryarde Louis Daguerre, le magicien de l'image est chargée de la collecte des fonds. Elle démarche pour cela tous les partenaires potentiels, publics et privés. Jusqu'à sa dissolution demandée par le Maire Monsieur Spilbauer, son président était l'un des rares daguerréotypistes contemporains.
Francis Olschafskie, chercheur à l'université de Boston, a conçu gracieusement le site de l'association. Une Webcam permet au public de suivre en direct la restauration. Cet expert explique l'engouement américain pour Daguerre:
« Aux États-Unis, l'avènement des nouveaux moyens de photographier a relancé la recherche sur les photographies anciennes ; Le diorama est au cœur de quatre domaines : la photographie, le théâtre, le cinéma et la technologie. »
L'École nationale supérieure Louis-Lumière (Noisy-le-Grand), spécialisée dans le cinéma, va réaliser des documentaires sur la restauration.
La fondation Getty a versé 200 000 dollars (environ 138 000 euros) pour la restauration du diorama de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais. La fondation Getty finance dans le monde entier des projets pour la sauvegarde d'œuvres d'art ; elle regroupe d'éminents spécialistes dans le domaine de l'histoire de l'art. Recevoir un versement de cette prestigieuse institution signifie donc que la pièce concernée est de grande qualité et le dossier technique sans faille. Désormais, la restauration du diorama bénéficie donc du label "soutenue par la fondation Getty". Ce sésame devrait ouvrir la porte à d'autres financements.
Afin de les obtenir, la Ville compte bien continuer à appliquer la même recette. En 2007, le maire s'est ainsi rendu à New York, Boston, Rochester et Los Angeles pour plaider la cause du diorama.
La ville peut s'appuyer sur la notoriété de Daguerre aux États-Unis pour trouver de nouveaux mécènes. En effet, au pays des grands studios, le co-inventeur de la photographie avec Niepce, est également considéré comme étant à l'origine du cinéma. L'effet d'animation propre au diorama ne fait que renforcer ce crédit.
Bry-sur-Marne dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]-
Paul-Désiré Trouillebert : Maison d'Hortense Bégard (épouse du peintre Pierre Ucciani)
Collection Ucciani-Paris
Studios d'enregistrement de Bry-sur-Marne
[modifier | modifier le code]- La commune accueille de mai à juillet 2010 le « Cube », lieu de vie de l'émission de télé-réalité Dilemme diffusée sur W9 et présentée par Faustine Bollaert.
- La série TV Soda diffusée sur M6 puis W9 avec Kev Adams est tournée à Bry-sur-Marne.
- L'émission Les Z'amours diffusée sur France 2 fut enregistrée à Bry-sur-Marne dès ses débuts en 1995 jusqu'en 2015, date à laquelle le plateau de tournage déménage aux Studios de la Montjoie à La Plaine Saint-Denis.
- L'émission de divertissement Vidéo Gag diffusée sur TF1 de 1990 à 2008 et présentée par Bernard Montiel, Alexandre Debanne, Alexandre Delpérier, Olivia Adriaco et Sébastien Folin fut enregistrée à Bry-sur-Marne.
- La première saison du jeu télévisé d'Antenne 2 (devenue depuis France 2), Motus, présenté par Thierry Beccaro, fut enregistrée dans les studios de Bry-sur-Marne entre juillet 1990 et août 1991. Le plateau de tournage a ensuite déménagé au Village de la Communication, à Saint-Ouen.
- Les émissions de divertissement de France 2, Le Plus Grand Cabaret du monde et Les Années bonheur, présentées toutes les deux par Patrick Sébastien furent enregistrées à Bry-sur-Marne, jusqu'en 2015, date à laquelle les plateaux de tournages de ces dernières furent transférés aux Studios du Lendit à La Plaine Saint-Denis.
- Le jeu télévisé de TF1, Le Juste Prix fut enregistré aux studios de Bry de 1988 à 1998 jusqu'à ce que les enregistrements de l'émission déménagent à La Plaine Saint-Denis en 1998.
- Le premier jeu télévisé présenté par Vincent Lagaf', L'Or à l'appel, diffusé sur TF1 du 25 mars 1996 au 27 juin 1997, fut tourné en direct depuis les studios de Bry-sur-Marne.
- La dernière saison du jeu télévisé de Lagaf', Le Bigdil, également diffusé sur TF1, fut enregistrée dans les studios de Bry-sur-Marne, entre septembre 2003 et juillet 2004, date de son arrêt définitif après 1395 épisodes. L'émission fut auparavant tournée dans les Studios 107 de La Plaine Saint-Denis.
- Le jeu télévisé de TF1, Zone rouge, présenté par Jean-Pierre Foucault, fut enregistré dans les studios de Bry-sur-Marne entre janvier 2003 et avril 2005.
- Le jeu télévisé de France 2, Un mot peut en cacher un autre, présenté par Damien Thévenot, fut enregistré aux studios de Bry-sur-Marne entre 2015 et 2016.
Les Studios de Bry cessent ensuite les enregistrements d'émissions télévisées pour devenir des studios entièrement dédiés aux tournages de films et de séries de fiction.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François de Troy (1645-1730), peintre de cour, possédait une maison à Bry.
- Gaëtan Vestris (1729-1808), chorégraphe et danseur, a acheté l'hôtel de Malestroit à Bry en 1794[70]
- Étienne de Silhouette (1709-1767), homme politique français, qui acquiert le château de Bry en 1760 et le fait agrandir[71].
- Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838) fut châtelain de Bry-sur-Marne de 1803 à 1808[72].
- Baron Louis (1755-1837), ministre des finances sous Louis XVIII et Louis-Philippe, y est décédé.
- Louis Daguerre (1787-1851) était un artiste français considéré comme un des inventeurs de la photographie, connu pour l'invention du daguerréotype. Il est mort le 10 juillet 1851 à Bry-sur-Marne.
- Henry Cohen (1806-1880), numismate français, y est décédé.
- Paul-Désiré Trouillebert (1829-1900), peintre de l’école de Barbizon, séjourne fréquemment chez les Bégard (belle famille de Pierre Ucciani) à Bry-sur-Marne.
- Adrien Mentienne (1841-1927), historien et archéologue, maire de Bry-sur-Marne de 1868 à 1881, donna son nom au musée de la ville.
- Pierre Ucciani (1851-1939), peintre, expert et marchand d'art, séjourne jusqu'à son divorce (1892) chez son épouse Hortense Bégard[73],[74] à Bry-sur-Marne.
- Ferdinand Gueldry (1858-1945), peintre français ayant eu son atelier à Bry.
- Paul Pierre Ucciani (1880-1966), magistrat, fils de Pierre Ucciani et neveu de Simon Ucciani (conseiller honoraire à la cour d'appel de Paris), il demeure à Bry-sur-Marne avec sa mère Hortense Bégard[73],[74], il en est Juge de paix suppléant de 1914 à 1918.
- Marie-Renée Ucciani (1883-1963), peintre et sculpteur, passe son enfance chez sa mère Hortense Bégard[73],[74], à Bry-sur-Marne.
- Hermine David (1886-1970), artiste peintre et graveur
- Bernard Schoeller (1929-2020), architecte connu pour les piscines Tournesol, mort à Bry-sur-Marne en 2020.
- Michel Simon (1895-1975), comédien, mort à Bry-sur-Marne en 1975.
- Hervé Bazin (1911-1996), romancier, résida à Bry-sur-Marne de 1967 à 1973[72].
- Jean Valton (1921-1980) était un chansonnier et imitateur français né le 14 juillet 1921 à Bry-sur-Marne.
- Guy Delorme (1929-2005), acteur et cascadeur français, décédé en 2005 à Bry-sur-Marne.
- Marc Raquil (1977-), Athlète, ancien champion du monde du 4x400 mètres a habité a Bry sur Marne[75].
- Johann Zarca (1984-), romancier et titulaire du prix de Flore 2017. Il a grandi dans la commune et l'intrigue de son troisième roman, P'tit monstre, s'y déroule[76].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason |
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Détails | En bas à gauche : on retrouve un pont de bois antique, qui rappelle que l’histoire de la commune est liée à la traversée de la Marne. Le mot « Bry » est d’ailleurs un dérivé du mot gaulois « briva » qui veut dire « pont ». On suppose qu’un premier pont a été bâti à Bry durant l’Antiquité. Il faudra ensuite attendre 1830 pour avoir à nouveau un pont.
En haut à gauche : c’est une roue à aube qui évoque l’ancien moulin de Bry, présent sur la commune jusqu’en 1859, entre les îles d’amour et du moulin. Ce moulin d’origine médiévale servait à moudre le blé pour obtenir de la farine et donc nourrir les habitants de la commune. Le blason a été créé en 1905 par Ferdinand Corinthe Dandois, peintre verrier et héraldiste de Vincennes, et adoptées par délibération du Conseil municipal en 1905, présidé par M. Jules Fay-la-Croix, maire de l’époque |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Fernand Bournon (dir.), Bry-sur-Marne : notice historique et renseignements administratifs : publié sous les auspices du Conseil général, Montévrain, Impr. de l'école d'Alembert, coll. « État des communes à la fin du XIXe siècle », , 92 p. (lire en ligne), sur Gallica.
- Bry et Champigny dans les méandres de la Marne / Inventaire général du patrimoine culturel, [Région] Île-de-France ; textes, Isabelle Duhau ; avec la participation de Laurence de Finance ; photographies, Stéphane Asseline ; avec la participation de Christian Décamps et Laurent Kruszyck. - Lyon : Lieux dits, 2007. 128 p. - (Images du patrimoine, (ISSN 0299-1020) ; 247).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Bry-sur-Marne (94015) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Bry-sur-Marne » sur Géoportail.
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La maison des arts de la commune porte le nom de ce maire.
- le collège Henri-Cahn tient son nom d'un maire de la ville qui, en 1929, fit construire un groupe scolaire, au confort moderne pour l'époque[55]. Collège public, il accueille près de 700 élèves, répartis en 26 divisions[56].
Après des classes bilangues[57] - en allemand puis espagnol - une section internationale portugais s'y est ouverte à la rentrée 2018[58] - Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Bry-sur-Marne ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Bry-sur-Marne » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Bry-sur-Marne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Bry-sur-Marne - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Val-de-Marne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bry-sur-Marne et Neuilly-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Laure Parny, « Gare de Bry-Villiers-Champigny : vers un nouveau report de la connexion entre le RER E et la 15 sud : La livraison de la gare d’interconnexion, déjà prévue deux ans après la mise en service du futur métro, connaît un nouveau décalage, selon SNCF Réseau. La Société du Grand Paris pourrait reprendre une partie du projet pour limiter ce nouveau retard », Le Parisien, (lire en ligne , consulté le ) « Actuellement, la mise en service de la ligne 15 sud est prévue pour la fin 2025 mais l’ouverture de la gare d’interconnexion pour 2027 [...] Du côté de la Fédération nationale des usagers, on en vient cependant à s’interroger sur le bien-fondé de la création d’une gare aussi coûteuse. 350 millions d’euros minimum sont nécessaires pour construire la gare d’interconnexion, complexe techniquement ».
- Agnès Vives et Laure Parny, « Transports : le président du Val-de-Marne défend la gare « VCB », ex Bry-Villiers-Champigny : En marge de la dernière séance au département, Olivier Capitanio (LR) s’est positionné contre un éventuel abandon de la construction de la gare, indispensable au développement de l’est parisien. Côté usagers, des voix s’élèvent contre son coût et l’impact des travaux », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ).
- « Altival : de chez vous au métro et aux RER : Altival est un projet de nouvelle voie réservée aux bus qui facilitera leur circulation vers le métro et les RER du secteur. Il traversera les communes de Chennevières-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Villiers-sur-Marne, Bry-sur-Marne et Noisy-le-Grand (Seine-saint-Denis) », Accueil > Conseil départemental > Cadre de vie > Améliorer les déplacements, sur valdemarne.fr (consulté le ).
- Marie Delumeau, « Val-de-Marne : le projet Altival se concrétise : Lors de la dernière commission permanente, les élus départementaux ont voté le lancement d'un marché pour sélectionner le maître d'oeuvre du projet Altival. Cette opération de voie de bus en site propre passera par 4 communes du Val-de-Marne et Noisy-le-Grand. », Les Échos, (lire en ligne , consulté le ).
- "Historique", site officiel de la ville de Bry
- F. Bournon, op. cit. en Bibliograohie, p. 9.
- « Historique de la commune », Découvrir Bry > Histoire et patrimoine > Histoire >, sur brysurmarne.fr (consulté le ).
- F. Bournon, op. cit. en Bibliograohie, p. 7.
- F. Bournon, op. cit. en Bibliograohie, p. 21.
- F. Bournon, op. cit. en Bibliograohie, p. 22.
- Louis Berrier, En souvenir des Chemins de fer Nogentais, article publié dans la revue Chemins de fer régionaux et urbains no 199 (1987) édité par la FACS-UNECTO
- Jean Robert, Les tramways parisiens, ed. Jean Robert, 3e édition 1992.
- F. Bournon, op. cit. en Bibliograohie, p. 29.
- Bruno Carrière et Bernard Collardey, L'aventure de la grande-ceinture, Éditions La Vie du Rail, pages 161 et 174. (ISBN 2-902 808-40-2).
- Bry-sur-Marne, Histoire & Patrimoine, Vincent Roblin, Maury Imprimeur, (ISBN 978-2-7466-4656-8).
- Journal Officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décret no 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
- Décret no 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
- La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
- « Bry-sur-Marne », Résultats de l'élection présidentielle 2012, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Commune de Bry-sur-Marne », Résultats de l'élection présidentielle 2017, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Commune de Bry-sur-Marne », Résultats de l'élection présidentielle 2022, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Marion Kremp, « Municipales à Bry-sur-Marne : la succession de Jean-Pierre Spilbauer se jouera à droite : Tandis que le maire sortant Jean-Pierre Spilbauer (DVD) ne repart pas, son ex-adjoint Emmanuel Gilles de la Londe (LR) affrontera l’autre liste de droite de Charles Aslangul et celle de Serge Godard (LREM) », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- Résultats officiels pour la commune Bry-sur-Marne
- « Johan Ankri (PS-EELV) lance sa liste et sa campagne à Bry : Johan Ankri, 27 ans, chef de file PS à Bry-sur-Marne et président du groupe socialiste au Conseil municipal, lance sa campagne au nom de Ensemble à Bry. La liste de 33 personnes est bouclée (voir ci-dessous), qui comprend douze socialistes, le chef de file EELV François Dubreuil et des citoyens non encartés. », 94 citoyens.com, (lire en ligne , consulté le ).
- Marion Kremp, « Bry : Serge Godard (LREM) fusionne sa liste avec celle d’Emmanuel Gilles de la Londe (LR) : Après le retrait de l’ex-candidat LR Emmanuel Gilles de la Londe, à la suite de l’investiture accordée par les Républicains à Charles Aslangul, neuf membres de sa liste ont intégré la liste de Serge Godard (LREM) », Le Parisien , édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Remisé par sa famille politique, Emmanuel Gilles de la Londe a choisi de se retirer de la course. Ça n'est par contre pas le cas d'une partie de son équipe. Neuf membres de sa liste Agir pour Bry ont ainsi fusionné avec la liste menée par le candidat LREM Serge Godard soutenu par le maire sortant ».
- « Bry : Charles Aslangul (LR) se déclare candidat aux municipales : Le conseiller municipal d’opposition Charles Aslangul (LR) sera candidat aux municipales de 2020. », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- « A Bry-sur-Marne, le maire sortant J-P Spilbauer choisit Serge Godard : C’est un soutien de poids que vient d’engranger le candidat LREM de Bry-sur-Marne, Serge Godard, celui du maire sortant divers droite Jean-Pierre Spilbauer qui ne se représentait pas », 94 citoyens.com, (lire en ligne , consulté le ).
- Par C. Dubois Auteur Val-de-Marne, « Charles Aslangul nettement en tête à Bry-sur-Marne », sur 94 Citoyens, (consulté le ).
- Par Florent Bascoul Auteur Val-de-Marne, « Municipales à Bry-sur-Marne: lâché par LR, Emmanuel Gilles de la Londe se retire », sur 94 Citoyens, (consulté le ).
- « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Les maires de Bry-sur-Marne », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Marion Kremp, « Bry-sur-Marne a perdu son ancien maire Etienne Audfray : Maire de 1965 à 1989, Etienne Audfray s’est éteint la semaine dernière. Il laisse ses sculptures et le souvenir d’un maire de conviction », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- Étienne Audfray, « Présentation »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur audfray.com (consulté le ).
- « AUXERRE (Yonne) : démission socialiste. », Le Monde, (lire en ligne) « BRY-SUR-MARNE (Val-de-Marne) : primaire à droite. M. Jacques Lasne (RPR) présentera une liste où l'on retrouve la totalité des élus RPR du conseil municipal sortant contre celle conduite par le maire actuel, M. Etienne Audfray (UDF-CDS). Conseiller général de 1970 à 1982 (sa victoire sur un élu communiste avait fait basculer le département de gauche à droite), M. Lasne ne s'était pas représenté en 1982 pour raisons professionnelles, transmettant ainsi le témoin à M. Audfray. Aujourd'hui il justifie son retour par une dégradation de la situation locale (accélération des constructions, absence de communication et de concertation, installation de neuf cents parcmètres). M. Lasne qualifie sa candidature de " gestion municipale ", lui refusant l'étiquette de " politique ". Le RPR et le CNI lui ont accordé leurs investitures ».
- « Carnet : Jacques Lasne », Le Moniteur, (lire en ligne, consulté le ).
- B.H., « Déjà installés, ils se présentent pour la première fois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne).
- Marion Kremp, « Bry : Jean-Pierre Spilbauer renonce aux municipales 2020 : Le maire DVD de Bry Jean-Pierre Spilbauer a annoncé ce jeudi soir en conseil municipal sa décision de ne pas se représenter aux municipales de 2020 », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Après 30 ans dans la vie publique à Bry, d'abord comme adjoint à la vie scolaire puis premier adjoint aux finances de son prédécesseur Jacques Lasne, avant d'être élu maire en mars 2000, Jean-Pierre Spilbauer a donc décidé de se retirer ».
- « La guerre Fillon-Copé a fini de me convaincre », La Dépêche de Louviers, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Pierre Spilbauer ne mâche pas ses mots pour justifier sa démission de l'UMP ».
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- Agnès Vives et Laure Parny, « Pas assez de temps » : Jacques-Alain Bénisti démissionne du conseil départemental du Val-de-Marne : Le maire (LR) de Villiers-sur-Marne, qui était en charge de l’attractivité, invoque une surcharge de fonctions avec « les nouvelles missions confiées à la métropole ». Son suppléant, Charles Aslangul, le remplace », Le Parisien, (lire en ligne , consulté le ) « Ces derniers mois, Charles Aslangul est devenu la figure montante des LR dans le Val-de-Marne. Lui qui a adhéré à 16 ans a été nommé membre du bureau politique national en septembre. Dans le même temps, il a aussi fait son entrée aux commandes de sa famille politique dans le Val-de-Marne comme secrétaire départemental ».
- « Le Conseil Municipal des Jeunes - Ville de Bry-sur-Marne », sur brysurmarne.fr (consulté le ).
- « Association Nationale des Conseils d'Enfants et de Jeunes », sur ANACEJ (consulté le ).
- « Qui était Henri Cahn ? », sur cdivirtuel.blogspirit.com (consulté le ).
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- « Hortense Bégard, fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 11 novembre 1896 au 23 juin 1905.
- « Bégard H. (& Cie), fabricant bijoutier, 22 rue Michel-le-Comte, 75 Paris », 15 juin 1905 au 8 février 1911.
- Les 400 coups, Libération
- « P'tit monstre : les aventures ultra-violentes d'un céréales killer », Le Point, 16 février 2017
- Banque du Blason