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Championnat de Russie de football de deuxième division

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Pervaïa Liga
Первая лига (ru)
Description de l'image 1st League Logo 2022.png.
Généralités
Sport FootballVoir et modifier les données sur Wikidata
Création 1992
Autre(s) nom(s) Pervaïa Liga (1992-1997)
Pervy Divizion (1998-2010)
FNL (2011-2022)
Organisateur(s) Ligue nationale de football (ru)
Éditions 31 éditions (2022-2023)
Périodicité Annuelle
Nations Drapeau de la Russie Russie
Participants 17 à 22 équipes selon les éditions
Statut des participants Professionnel
Site web officiel www.1fnl.ru
Hiérarchie
Hiérarchie 2e niveau
Niveau supérieur Premier-Liga (D1)
Niveau inférieur Pervenstvo FNL-2 (D3)

Palmarès
Tenant du titre FK Khimki
Plus titré(s) Dix équipes (2)

La Première ligue (russe : Первая лига, Pervaïa Liga) est une compétition russe de football fondée en 1992 après la dissolution de l'Union soviétique. Elle constitue la seconde division du football professionnel russe et succède ainsi à la deuxième division soviétique.

Sur la base de l'ancien championnat soviétique, la compétition est à l'origine appelée Première ligue jusqu'en 1998, date à laquelle elle adopte le nom Première division (russe : Первый дивизион). Organisé depuis ses débuts par la Ligue de football professionnel, le championnat passe entre les mains de la Ligue nationale de football (ru) à partir de la saison 2011-2012, qui donne son nom à la compétition jusqu'au retour à l'appellation originelle durant l'été 2022.

Le nombre d'équipes prenant part au championnat varie régulièrement au cours de son histoire, notamment par-rapport à ses deux premières éditions qui ont pris la forme de compétitions par groupes de plus de 50 équipes. Depuis la saison 1994, le championnat ne comprend plus qu'une poule unique dont le nombre de participants est généralement compris entre 17 et 22 selon les éditions.

Depuis la saison 2022-2023, dix-huit équipes participent à la compétition. À l'issue de la saison, les deux premiers du classement sont promus en première division, tandis que le troisième et le quatrième doivent disputer un barrage contre le treizième et le quatorzième du premier échelon. Dans le même temps, les quatre derniers au classement sont relégués en troisième division.

L'actuel tenant du titre est le FK Khimki, qui remporte le championnat de deuxième division à l'issue de la saison 2023-2024. Pas moins de dix équipes ont remportée la compétition à deux reprises.

Après la dissolution de l'URSS, tous les clubs russes des anciennes première et deuxième divisions soviétiques sont regroupés au sein de la nouvelle Ligue supérieure russe, tandis que les clubs des troisième et quatrième divisions sont regroupés au sein de la nouvelle deuxième division russe. Un total de cinquante-deux équipes prennent part à la première édition de la compétition, et sont divisés en trois groupes (Centre, Est et Ouest). Le Kamaz Naberejnye Tchelny, le Luch Vladivostok et le Jemtchoujina Sotchi sont les vainqueurs respectifs de chaque groupe et les premiers promus en première division. Le format par groupe est abandonné en 1994 pour un format à groupe unique, à vingt-deux équipes dans un premier temps. Le premier champion de la compétition unifiée est le Tchernomorets Novorossiisk, avec comme dauphin le Rostselmach Rostov.

Le nombre de participants passe à vingt équipes en 2000 puis à dix-huit en 2001 avant de repasser à vingt-deux en 2003. Il reprend finalement un format à vingt équipes, encore en vigueur actuellement, à partir de la saison 2009, bien que plusieurs variations sont à signaler entre 2012 et 2015 en raison des multiples troubles économiques touchant les clubs russes et provoquant de nombreux abandons. Pour remédier à ce phénomène, la FNL modifie son règlement en 2016 afin de permettre aux équipes reléguées sportivement d'être repêchées, ce qui n'était pas le cas avant[réf. nécessaire].

La FNL accueille pour la première fois de son histoire des clubs-école à partir de la saison 2015-2016, avec les promotions du Spartak-2 Moscou et du Zénith-2 Saint-Pétersbourg[1]. Ils sont rejoints par le FK Krasnodar-2 lors de la saison 2018-2019[2],[3].

La compétition est organisée dans un premier temps par la Ligue de football professionnel (PFL) de sa fondation jusqu'à la saison 2010. La situation change en avec la rupture du contrat liant la PFL à la fédération russe en raison d'un contentieux juridique[4],[5]. Elle se voit alors retirer l'organisation de plusieurs compétitions, dont la deuxième division qui passe sous le contrôle de la nouvellement formée Ligue nationale de football (ru) (FNL), qui renomme le championnat à son nom[6]. Malgré le règlement des soucis juridiques de la PFL en [7], la FNL est maintenue comme organisatrice du deuxième échelon. En juin 2022, celle-ci redonne à la compétition son nom originel, Pervaïa Liga[8].

Règles de classement

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Les vingt équipes s'affrontent chacune à deux reprises, à domicile et à l'extérieur, pour un total de trente-huit rencontres. La victoire rapporte trois points (deux entre 1992 et 1994) tandis qu'un match nul en donne un seul et une défaite aucun. La grandeur du territoire russe et le nombre généralement élevé d'équipes issues de la Russie européenne amène régulièrement à des aménagements de calendrier pour les équipes situées dans la partie asiatique du territoire, qui sont amenées à se déplacer moins régulièrement.

Si deux équipes possèdent le même nombre de points, elles sont départagées au nombre de victoires acquises au cours de la saison, puis par rapport aux confrontations directes : points, différence de buts, et enfin buts inscrits à l'extérieur. Les critères s'appliquant sont ensuite la différence de buts générale, le nombre de buts marqués et le nombre de buts marqués à l'extérieur. Si l'égalité persiste, une rencontre d'appui entre les équipes concernées est organisée.

Le championnat suit un calendrier de type estival jusqu'en 2010, se déroulant généralement entre mars et novembre d'une même année afin d'éviter d'évoluer durant le rugueux hiver russe, en adéquation avec la plupart des autres championnats d'Europe du Nord connaissant les mêmes contraintes climatiques.

Ce format est altéré en 2011, qui voit une transition vers un calendrier « automne-printemps » plus proche des championnats d'Europe occidental, la fédération russe justifiant ce changement par la volonté de « mener le football russe à un meilleur niveau en synchronisant notre calendrier avec le calendrier européen »[9]. La saison 2011-2012 sert ainsi de saison de transition, avec un championnat étalé sur quatorze mois au lieu de neuf, démarrant en pour se conclure en , qui voit chaque équipe disputer entre quarante-huit et cinquante-deux matchs au total sur deux phases. Le championnat retrouve son format habituel à partir de la saison suivante, qui applique désormais le calendrier actuellement utilisé démarrant en juillet pour se conclure au mois de mai de l'année suivante et comprenant une trêve hivernale de trois mois entre décembre et mars.

Promotions et relégations

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Durant les deux premières saisons de la deuxième division, du fait de son format par groupe, seuls les premiers des trois groupes peuvent aspirer à la promotion, directement lors de la première édition puis à la suite de barrages lors de la saison 1993. Après la réorganisation en un groupe unique, ce sont les deux premiers du classement final qui sont promus à l'issue de la saison. Ce format est appliqué dans un premier temps en 1994 puis entre 1998 et 2010. Les saisons 1995 et 1996 voient trois équipes monter directement, puis une seule en 1997. Les saisons 2009 et 2010 voient également trois équipes monter, mais cette fois pour des raisons administratives en remplacement d'équipes de première division qui se sont retirées, l'Alania Vladikavaz remplaçant le FK Moscou dans le premier cas, et le FK Krasnodar le Saturn Ramenskoïe dans le deuxième. À partir de la saison 2011-2012, les organisateurs décident de mettre en place des barrages de promotion, auxquels se qualifient le troisième et le quatrième du championnat qui affrontent alors respectivement le quatorzième et le treizième de la première division, donnant la possibilité d'avoir jusqu'à quatre clubs promus en une saison, comme c'est le cas en 2014.

En ce qui concerne les relégations, la première édition de la compétition voit deux équipes descendre directement au troisième échelon dans le groupe Est contre trois pour les groupes Centre et Ouest, du fait du nombre différent d'équipes participantes (seize pour le groupe Est, dix-huit pour les autres). La saison suivante, avec le passage à un format en une poule unique, voit plus de la moitié des équipes être reléguées en troisième, voire dans la nouvelle quatrième division. Par la suite, le nombre de relégués passe à cinq en 1994 puis trois l'année suivante avant de revenir à cinq à partir de 1996, nombre de relégués habituellement prévu dans le règlement du championnat, qui tend à se calquer sur le nombre de groupes de la troisième division dont les vainqueurs sont directement promus en deuxième division et remplacent les relégués. Les saisons 2001, 2002 et 2008 font exception avec respectivement trois, deux et sept clubs relégués sportivement en fin de saison, à chaque fois en raison de l'augmentation ou de la diminution du nombre d'équipes participantes. L'édition 1998 est par ailleurs la seule à faire figurer un barrage de relégation, le Neftekhimik Nijnekamsk, dix-septième du classement, constituant alors le sixième relégué de la saison après sa défaite contre le Torpedo-ZIL Moscou.

Selon les saisons, le nombre de relégués n'est cependant pas toujours égal aux relégués sportifs, de nombreux clubs de tous les échelons étant régulièrement forcés de quitter la compétition pour des raisons administratives, généralement par retrait de leur licence pour des raisons financières. Ce phénomène, qui apparaît dès les débuts du championnat, se manifeste particulièrement à partir des années 2000, où il n'est pas rare de voir une ou plusieurs équipes quitter la compétition pour des raisons non-sportives. Cela est notamment le cas lors des saisons 2011-2012 et 2013-2014, où pas moins de quatre équipes quittent le championnat de ce fait. La saison 2017-2018 est également notable à ce niveau, où le nombre de relégués administratifs et de non-promus est tel que l'intégralité des clubs relégués sportivement sont repêchés à l'issue de la saison[10],[11].

Clubs engagés pour la saison 2023-2024

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Légende des couleurs
Club Présent
depuis
Classement
2022-2023
Entraîneur Stade Capacité
théorique
FK Khimki 2023 15 (D1) Andreï Talalaïev Arena Khimki 18 636
Torpedo Moscou 2023 16 (D1) Oleg Kononov Stade Loujniki 76 880
Alania Vladikavkaz 2020 3 Ievgueni Kalechine Akhmad Arena (Grozny) 30 597
Ienisseï Krasnoïarsk 2019 4 Andreï Tikhonov Stade central 15 000
Rodina Moscou 2022 5 Franc Artiga Sapsan Arena 10 000
Neftekhimik Nijnekamsk 2019 6 Kirill Novikov Stade Neftekhimik 3 100
Chinnik Iaroslavl 2022 7 Dmitri Cheryshev Stade Chinnik (en) 22 990
Dinamo Makhatchkala 2022 8 Khassanbi Bidjiev (en) Anji Arena (en) (Kaspiisk) 24 173
Akron Togliatti 2020 9 Zaur Tedeïev Stade Kristall (Jigouliovsk) 3 010
SKA-Khabarovsk 2018 10 Roman Charonov Stade Lénine 14 800
Kamaz Naberejnye Tchelny 2021 11 Ildar Akhmetzianov Stade Kamaz (en) 6 248
Volgar Astrakhan 2020 12 Sergueï Pavlov Stade central 18 000
Arsenal Toula 2022 13 Aleksandr Storojouk Stade Arsenal (en) 14 935
Kouban Krasnodar 2021 14 Vadim Ievseïev Stade Kouban 31 654
Tchernomorets Novorossiisk 2023 1 (D3, groupe 1) Vadim Garanine Stade central 12 500
FK Leningradets 2023 1 (D3, groupe 2) Sergueï Kiriakov Stade Petrovski 20 985
Sokol Saratov 2023 1 (D3, groupe 3) Alekseï Baga (en) Stade Lokomotiv 11 359
FK Tioumen 2023 1 (D3, groupe 4) Igor Menchtchikov Stade Geolog 13 057
Saison Clubs Champion(s) Autre(s) promu(s) Meilleur(s) buteur(s)
1992 52 Luch Vladivostok (Est)
Kamaz Naberejnye Tchelny (Centre)
Jemtchoujina Sotchi (Ouest)
Centre : Oleg Teriokhine (Sokol Saratov, 27 buts)
Est : Viatcheslav Kartachov (Irtych Omsk, 19 buts)
Ouest : Gocha Gogrichiani (Jemtchoujina Sotchi, 26 buts)
1993 58 Dinamo-Gazovik Tioumen (Est)
Lada Togliatti (Centre)
Tchernomorets Novorossiisk (Ouest)[n 1]
Centre : Vladimir Filimonov (Zvezda Perm, 37 buts)
Est : Viatcheslav Kamoltsev (Dinamo-Gazovik Tioumen, 22 buts)
Ouest : Sergueï Bourdine (Tchernomorets Novorossiisk, 25 buts)
1994 22 Tchernomorets Novorossiisk (2) Rostselmach Rostov Dmitri Siline (Baltika Kaliningrad, 35 buts)
1995 22 Baltika Kaliningrad Lada Togliatti
Zénith Saint-Pétersbourg
Sergueï Boulatov (Baltika Kaliningrad, 29 buts)
1996 22 Dinamo-Gazovik Tioumen (2) Chinnik Iaroslavl
Fakel Voronej
Varlam Kilasonia (Lokomotiv Saint-Pétersbourg, 22 buts)
1997 22 Ouralan Elista Alekseï Tchernov (Lada-Grad Dimitrovgrad, 29 buts)
1998 22 Saturn Ramenskoïe Lokomotiv Nijni Novgorod Andradina (Arsenal Toula, 27 buts)
1999 22 Anji Makhatchkala Fakel Voronej Konstantin Paramonov (Amkar Perm, 23 buts)
2000 20 Sokol Saratov Torpedo-ZIL Moscou Andreï Fedkov (Sokol Saratov, 26 buts)
2001 18 Chinnik Iaroslavl Ouralan Elista Vitali Kakounine (Neftekhimik Nijnekamsk, 20 buts)
2002 18 Rubin Kazan Tchernomorets Novorossiisk Davit Chaladze (Rubin Kazan, 20 buts)
Viatcheslav Kamoltsev (Tchernomorets Novorossiisk, 20 buts)
2003 22 Amkar Perm Kouban Krasnodar Aleksandr Panov (Dinamo Saint-Pétersbourg, 23 buts)
2004 22 Terek Grozny Tom Tomsk Andreï Fedkov (Terek Grozny, 38 buts)
2005 22 Luch-Energia Vladivostok (2) Spartak Naltchik Ievgueni Alkhimov (Lokomotiv Tchita, 24 buts)
2006 22 FK Khimki Kouban Krasnodar Ievgueni Alkhimov (Oural Iekaterinbourg, 25 buts)
2007 22 Chinnik Iaroslavl (2) Terek Grozny Dmitri Akimov (Sibir Novossibirsk, 34 buts)
2008 22 FK Rostov Kouban Krasnodar Denis Popov (Tchernomorets Novorossiisk/Torpedo Moscou, 24 buts)
2009 20 Anji Makhatchkala (2) Sibir Novossibirsk
Alania Vladikavkaz[n 2]
Alekseï Medvedev (Sibir Novossibirsk, 18 buts)
2010 20 Kouban Krasnodar Volga Nijni Novgorod
FK Krasnodar[n 3]
Otar Martsvaladze (Volga Nijni Novgorod, 21 buts)
2011-2012 20 Mordovia Saransk Alania Vladikavkaz Rouslan Moukhametchine (Mordovia Saransk, 31 buts)
2012-2013 17 Oural Iekaterinbourg Tom Tomsk Spartak Gogniev (Oural Iekaterinbourg, 17 buts)
2013-2014 19 Mordovia Saransk (2) Arsenal Toula
Torpedo Moscou
FK Oufa
Aleksandr Koutine (Arsenal Toula, 19 buts)
2014-2015 18 Krylia Sovetov Samara Anji Makhatchkala Yannick Boli (Anji Makhatchkala, 15 buts)
2015-2016 20 Gazovik Orenbourg Arsenal Toula
Tom Tomsk
Artiom Delkine (Gazovik Orenbourg, 16)
Maksim Jitnev (Sibir Novossibirsk, 16 buts)
Khasan Mamtov (FK Tioumen, 16 buts)
2016-2017 20 Dynamo Moscou FK Tosno
SKA-Khabarovsk
Kirill Pantchenko (Dynamo Moscou, 24 buts)
2017-2018 20 FK Orenbourg (2) Krylia Sovetov Samara
Ienisseï Krasnoïarsk
Artiom Koulichev (Dinamo Saint-Pétersbourg, 17 buts)
2018-2019 20 FK Tambov FK Sotchi Maksim Barsov (FK Sotchi, 19 buts)
2019-2020[n 4] 20 Rotor Volgograd FK Khimki Aleksandr Roudenko (Spartak-2 Moscou/Torpedo Moscou, 14 buts)
Ivan Sergueïev (Torpedo Moscou, 14 buts)
2020-2021 22 Krylia Sovetov Samara (2) FK Nijni Novgorod Ivan Sergueïev (Torpedo Moscou/Krylia Sovetov Samara, 40 buts)
2021-2022 20 Torpedo Moscou Fakel Voronej
FK Orenbourg
Maksim Maksimov (Fakel Voronej, 22 buts)
2022-2023 18 Rubin Kazan Baltika Kaliningrad Gedeon Guzina (Baltika Kaliningrad, 14 buts)
Ivan Timochenko (Rodina Moscou, 14 buts)
2023-2024 18 FK Khimki Dinamo Makhatchkala Jonathan Okoronkwo (Arsenal Toula, 17 buts)
  1. Malgré sa victoire dans le groupe Ouest en 1993, le Tchernomorets Novorossiisk n'est pas promu à l'issue de la saison après sa défaite en barrages de promotion.
  2. L'Alania Vladikavkaz est promu administrativement durant l'intersaison afin de remplacer le FK Moscou.
  3. Le FK Krasnodar est promu administrativement durant l'intersaison afin de remplacer le Saturn Ramenskoïe.
  4. L'édition 2019-2020 de la compétition est arrêtée de manière anticipée au mois de mars 2020 en raison de la pandémie de Covid-19 en Russie. Le classement au moment de l'abandon est par la suite considéré comme définitif[12].

Bilan par club

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Club Champion Vice-champion Édition(s) remportée(s)
Tchernomorets Novorossiisk 2 1 1993 (Ouest), 1994
Chinnik Iaroslavl 2 1 2001, 2007
Anji Makhatchkala 2 1 1999, 2009
FK Orenbourg 2 1 2015-2016, 2017-2018
Krylia Sovetov Samara 2 1 2014-2015, 2020-2021
FK Tioumen 2 - 1993 (Est), 1996
Luch Vladivostok 2 - 1992 (Est), 2005
Mordovia Saransk 2 - 2011-2012, 2013-2014
Rubin Kazan 2 - 2002, 2022-2023
FK Khimki 2 - 2006, 2023-2024
Kouban Krasnodar 1 3 2010
Ouralan Elista 1 2 1997
Lada Togliatti 1 1 1993 (Centre)
Akhmat Grozny 1 1 2004
FK Rostov 1 1 2008
Kamaz Naberejnye Tchelny 1 - 1992 (Centre)
Jemtchoujina Sotchi 1 - 1992 (Ouest)
Baltika Kaliningrad 1 - 1995
Saturn Ramenskoïe 1 - 1998
Sokol Saratov 1 - 2000
Amkar Perm 1 - 2003
Oural Iekaterinbourg 1 - 2012-2013
Dynamo Moscou 1 - 2016-2017
FK Tambov 1 - 2018-2019
Rotor Volgograd 1 - 2019-2020
Torpedo Moscou 1 - 2021-2022

La deuxième division connaît sa plus forte affluence durant la saison 2001, avec en moyenne 8 910 spectateurs par match. De manière générale, l'attendance est très faible durant les premières années de la compétition avant d'atteindre son pic entre la fin des années 1990 et le début des années 2000[13],[14], puis de descendre progressivement pour atteindre sa pire moyenne à la fin de la saison 2021-2022, durant laquelle une moyenne de 976 spectateurs ont assisté aux rencontres du championnat[15].

L'affluence la plus élevée enregistrée dans la division est le match de la trente-septième journée de l'édition 2017-2018 opposant l'Olimpiets Nijni Novgorod et le Luch-Energia Vladivostok, auquel assistent 42 100 spectateurs dans le stade de Nijni Novgorod le [16],[17].

Le graphique suivant représente le nombre moyen de spectateurs par match par saison.

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Références

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  1. (ru) « Карпин к нам поедет. Четыре интриги сезона ФНЛ », sur championat.com,‎ (consulté le )
  2. (ru) « "Краснодар-2" заменит "Анжи" в ФНЛ в сезоне-2018/19 », sur tass.ru,‎ (consulté le )
  3. (ru) « «Краснодар-2» заменит «Анжи» в Первенстве ФНЛ-2018/19 », sur 1fnl.ru,‎ (consulté le )
  4. (ru) « МЕСТО ПФЛ МОЖЕТ ЗАНЯТЬ НФЛ », sur sport-express.ru,‎ (consulté le )
  5. (ru) « Исполком РФС постановил расторгнуть договор с ПФЛ », sur ska-khabarovsk.ru,‎ (consulté le )
  6. (ru) « ПФЛ — ФНЛ: новое название или новая жизнь? », sur sport-express.ru,‎ (consulté le )
  7. (ru) « «Новая газета»: у Минюста не было никаких претензий к ПФЛ, вопреки заявлениям Фурсенко », sur sports.ru,‎ (consulté le )
  8. (ru) « РФС одобрил решение президиума ФНЛ о возвращении турниру исторического названия », Tass,‎ (consulté le )
  9. « Nouveau calendrier pour le championnat russe », sur UEFA.com, (consulté le )
  10. « Coupe du Monde 2018 – Russie : Le financement des clubs russes, un système obsolète », sur footballski.fr, (consulté le )
  11. (ru) « ФНЛ – лига, из которой невозможно вылететь », sur sportbox.ru,‎ (consulté le )
  12. (ru) « Исполком РФС утвердил итоги Олимп-Первенства ФНЛ-2019/20. «Ротор» и «Химки» выходят в Тинькофф-РПЛ », sur 1fnl.ru,‎ (consulté le )
  13. (ru) « Посещаемость ФНЛ все хуже и хуже. Что делать? », sur sport-express.ru,‎ (consulté le )
  14. (ru) « Посещаемость ФНЛ в сезоне-2019/20. Все матчи, команды и стадионы », sur sports.ru,‎ (consulté le )
  15. (ru) « ФНЛ. 2021-22 », Sportbox.ru (consulté le )
  16. (ru) « Матч «Олимпиец» - «Луч-Энергия» и 37-й тур - новые рекорды лиги! », sur 1fnl.ru,‎ (consulté le )
  17. (ru) « Матч «Ротор» – «Луч» вошел в пятерку самых посещаемых в истории первого дивизиона », sur sportbox.ru,‎ (consulté le )

Lien externe

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