[go: up one dir, main page]

Aller au contenu

Corbeny

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Corbeny
Corbeny
Hôtel de ville de Corbeny.
Blason de Corbeny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes du Chemin des Dames
Maire
Mandat
Dany Vandois
2020-2026
Code postal 02820
Code commune 02215
Démographie
Gentilé Corbéniens
Population
municipale
846 hab. (2021 en évolution de +15,26 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 46″ nord, 3° 49′ 28″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 134 m
Superficie 15,23 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villeneuve-sur-Aisne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Voir sur la carte topographique de l'Aisne
Corbeny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Corbeny
Liens
Site web http://www.corbeny.fr/

Corbeny[1] est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Corbéniens[2].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes

Corbeny est située dans la région Hauts-de-France, au centre du département de l'Aisne. La commune appartient au canton de Villeneuve-sur-Aisne et à la communauté de communes du Chemin des Dames.

La commune se trouve à 3,7 km au nord-est de l'ancien chef-lieu du canton, Craonne[3], à 18,5 km au sud-est de la ville préfecture, Laon[4], et à 126,5 km au nord-est de la capitale, Paris[5].

Relief et géologie

[modifier | modifier le code]

Son territoire, sablonneux et argileux, se prête à toutes les cultures. Il n'est arrosé par aucun cours d'eau. La rivière Aisne se situe à un peu moins de neuf kilomètres.

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Ailette, le ruisseau de Fayau[6] et le fossé 01 de la commune de Corbeny[7],[8],[Carte 1].

L'Ailette, d'une longueur de 59 km, prend sa source dans la commune de Sainte-Croix et se jette dans l'Oise (rive gauche) à Quierzy, après avoir traversé 36 communes[9].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Corbeny[Note 1].

Trois plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau des Aunes Griffons (0,3 ha), le plan d'eau des Chevreux, d'une superficie totale de 0,7 ha (0,1 ha sur la commune) et l'étang du Vivier (1,4 ha)[Carte 1],[10].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d'aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[11].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 714 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martigny-Courpierre à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Au , Corbeny est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[19]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,7 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (4,3 %)[22].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Entrée de Corbeny.

L'origine de Corbeny est très ancienne et on peut supposer qu'elle soit celtique, deux triens (tiers de sou) ont été identifiés dans un recueil du numismate Guillaume Combrouse et frappés Carbnacum ou Corbnacum (Corbeny), la terminaison -acum signifiant, domaine[23].

Au IXe siècle, Corbeny s'est appelé Corbanacum ou Corbanacum palatinium sous Charles II le Chauve[réf. nécessaire]. On trouve Corbonacum ou Corbonacum Villa sous la plume de Jean Mabillon[réf. nécessaire], Corbennacum sous celles de Hincmar de Reims et Flodoard[réf. nécessaire], Corbiniacus ou Corbiniacus Fiscus sous Charles le Simple en 908, et aussi Corbeniacum ou Corbeniacum-Sancti-Marculphi[réf. nécessaire].

À partir du XIIe siècle, on ne trouve plus que Corbigny, Corbeny chez les écrivains français ou encore Corbény (accent encore visible sur la mosaïque du bâtiment de la poste).

Corbeny est un bourg construit à l'intersection de la vieille chaussée gauloise allant de Fismes à Dizy-le-Gros avec la voie romaine allant de Reims à Saint-Quentin. Le tracé de la voie romaine correspond à l'actuelle RN 44[24].

Époque carolingienne

[modifier | modifier le code]

Sous les Carolingiens, Corbeny possédait une résidence royale. Pépin le Bref[25] et son fils Charlemagne y séjournèrent.

C'est à Corbeny qu'en 776, après la mort de Carloman, Charlemagne fut reconnu roi par les Francs d'Austrasie[26].

Charles III le Simple y résida en 900 lors des invasions normandes. Ce dernier accorda asile aux religieux de Nanteuil, près de Coutances en Normandie, qui apportèrent avec eux les reliques de saint Marcoul (ou Marculf). Il leur fit construire un prieuré en ce bourg[27],[28],[29].

Corbeny fut offert en avril 907 à Frédérune lors de son mariage[30] avec Charles III le Simple, et elle le donna à sa mort aux moines du prieuré de Saint-Marcoul de Corbeny qui dépendait de l'abbaye Saint-Remi de Reims.

Les reliques de saint Marcoul et le pouvoir thaumaturge des rois de France

[modifier | modifier le code]
Intérieur du prieuré avec Henri II pratiquant le toucher thaumaturgique, Livre d'heures de Henri II, BnF.

Dans ce prieuré[31], maintenant détruit, reposaient les reliques de saint Marcoul. En 1229, le roi de France, saint Louis, se rendit en pèlerinage à Corbeny pour se recueillir devant les reliques de saint Marcoul et recevoir les pouvoirs thaumaturges des reliques du saint[32]. Ses successeurs vinrent s'y recueillir au lendemain de leur sacre à Reims, avant de se livrer dans l'église ou dans la cour du palais au « toucher des écrouelles » de malades présentant des scrofules au cou. Après le toucher direct du malade, le roi prononçait, à partir du XVIe siècle, ces paroles : « le roi te touche, que Dieu te guérisse »[33].

À partir de Louis XIV, le roi ne se rendit plus en pèlerinage à Corbeny comme cela se pratiquait depuis Louis X, les reliques de saint Marcoul venaient à la basilique Saint-Remi et le toucher se fit dans le jardin[34].

Bas Moyen Âge

[modifier | modifier le code]
Plaque sur la mairie commémorant le passage de Jeanne d'Arc à Corbeny.

L'époque florissante de Corbeny eut lieu au XIVe siècle (avant les invasions anglaises). On dénombra à cette époque entre 600 et 700 feux (entre 2 000 et 2 500 habitants). Au milieu du siècle suivant, Louis XI exempta les habitants de Corbeny de tailles, aides, subsides[35].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]
Intérieur de l'oratoire Saint-Macoult, avec sa statue et les plaques commémorant l'abbaye disparue et les pèlerinages.

Lors de l'offensive du Chemin des Dames au cours de la Première Guerre mondiale, Corbeny fut complètement rasée et perdit son prieuré et son église du XIe siècle[36].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Découpage territorial

[modifier | modifier le code]

La commune de Corbeny est membre de la communauté de communes du Chemin des Dames, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Craonne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[19]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villeneuve-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[19], et de la première circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1859   Lefèvre    
1945 1959 Yvonne Curtil SFIO Négociante en vin
Conseillère générale du canton de Craonne (1945-1967)
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Pierrette Curtil PS Proviseur, suppléante du député Robert Aumont
Conseillère générale du canton de Craonne (1979-1998)
mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Sebirot PRG  
mars 2008 mai 2020 Philippe Deboudt DVG Retraité Fonction publique
Réélu pour le mandat 2014-2020[39]
mai 2020 En cours
(au 12 juillet 2020)
Dany Vandois    

Services publics

[modifier | modifier le code]
La poste de Corbeny.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 846 habitants[Note 3], en évolution de +15,26 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
681731739699925903926929980
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
971959950895822798800843804
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
787819808337509555527489518
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
540517495578591633693710750
2018 2021 - - - - - - -
834846-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]
L'école de Corbeny.

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
« L'autre chemin des dames », dans la salle polyvalente.
Hospice fondation A. Matra.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Quentin de Corbeny, de style roman et reconstruite après la guerre 1914-1918[44]. Elle conserve les reliques de saint Marcoul.
  • Oratoire Saint-Marcoul, garde le souvenir du prieuré Saint-Marcoul. On y a inséré un relief provenant du prieuré.
  • Monument aux morts.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Corbeny Blason
D'azur au chevron d'or[46].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Corbeny » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche communale », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. David Malescourt, « Aisne > Corbeny (02820) », sur le site habitants.fr d'une société commerciale (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Corbeny et Craonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Corbeny et Laon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Corbeny et Paris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com de Lionel Delvarre (consulté le ).
  6. Sandre, « le ruisseau de Fayau »
  7. Sandre, « le fossé 01 de la commune de Corbeny »
  8. « Fiche communale de Corbeny », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  9. Sandre, « l'Ailette »
  10. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  11. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Corbeny et Martigny-Courpierre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Martigny-Courpierre » (commune de Martigny-Courpierre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune ».
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. [1]
  24. Blaise Pichon, Carte archéologique de la Gaule, 02 L'Aisne, Académie des Inscriptions et Belles Lettres, Paris, 2002, p. 203
  25. Page 186 et 187 dans Dictionnaire historique, généalogique et géographique du département de l'Aisne (1857) de Maximilien Melleville, géologue, archéologue et historien
  26. Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, 1842, p. 13.
  27. Guillaume Marlot, Metropolis remensis historia, 1666, p. 531
  28. Jean-François M. Lequeux, chanoine de Paris, Antiquités religieuses du diocèse de Soissons et Laon(1859), pages 184 et suivantes
  29. http://www.histoireaisne.fr/memoires_numerises/chapitres/tome_11/Tome_011_page_093.pdf
  30. Page 473 dans Dots et douaires dans le haut Moyen Âge (2002) de François Bougard, Laurent Feller, Régine Le Jan
  31. Le prieuré de Corbeny page 608 dans Histoire de la ville, cité et université de Reims métropolitaine de la Gaule de Guillaume Marbt (1845).
  32. [PDF] Histoire du prieuré Saint-Marcoul de Corbeny, et la guérison des écrouelles par Mme Suzanne Martinet, ancienne bibliothécaire de Laon, p.  99-100
  33. « Histoire du pélerinage de Saint-Marcoul, à Corbeny, ou Don de guérir les écrouelles accordé aux rois de France (2e édition, revue, corrigée et… », sur Gallica, (consulté le ).
  34. Patrick Demouy, Le sacre du roi, Strasbourg, 2016, éd. La Nuée Bleue, p. 92-93.
  35. Page 177 dans Du sacre des rois de France, de son origine et de la Sainte-Ampoule de Félix Lacointa (1825)
  36. Nicolas Offenstadt éd., Le chemin des Dames de l'événement à la mémoire, Stock, 2004
  37. « communauté de communes du Chemin des Dames - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  39. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Le patrimoine », sur corbeny.fr (consulté le ).
  45. « Il y a 105 ans s'éteignait Guillaume Apollinaire », Courrier picard,‎ , p. 2
  46. « 02215 Corbeny (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).