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« Université Paris-Nanterre » : différence entre les versions

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Version du 20 mars 2024 à 18:45

Université Paris-Nanterre
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique
Président
Caroline Rolland-Diamond (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Devise
L'université des possiblesVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
34 000
Enseignants
2 000
Budget
167,5 millions d’euros ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Campus
Ville
Carte

L'université Paris-Nanterre (anciennement Paris-X[1],[2]) est une université française multidisciplinaire, spécialisée dans les sciences économiques, les sciences humaines et sociales, le droit, les lettres, la psychologie et les sciences politiques.

L'université est héritière de la faculté des lettres et sciences humaines fondée en 1964 et de la faculté de droit et des sciences économiques créée en 1966 afin de désengorger la Sorbonne. Elle est le théâtre d'événements qui ont marqué le monde universitaire à la fin des années 1960.

Son campus principal est situé à Nanterre en Île-de-France. L'université compte 2 000 enseignants-chercheurs, 700 agents administratifs et plus de 33 000 étudiants répartis dans 8 UFR et 5 instituts.

Histoire

Fondation et premières années

Prémices et chantiers

Le site de Nanterre est dédié dès 1958 à l'enseignement, car, cette année-là, une première vague d'étudiants parisiens s'installe dans les locaux vacants de l'Établissement central du matériel aéronautique (ECMA, ex-base aérienne 119-Nanterre), qui avait abrité une école de mécaniciens d'avions[3].

Les études de bâtiments pour la faculté de lettres débutent en . Les premières pierres sont posées le pour s'achever complètement en 1969. La faculté de droit ouvre en 1966, rattachée à celle du Panthéon[3].

Le la faculté de lettres et de sciences humaines est ouverte, comme annexe de la Sorbonne, qu'elle désengorge. Elle devient l'un des plus gros centres d'enseignement parisiens.

Un immense couloir relie cinq bâtiments de la « barres des sciences sociales » (A à E) et dessert les amphithéâtres[4]. Le C, au centre, avec sa cafétéria, est stratégique. Le bâtiment DD est ajouté, adossé à l’historique bâtiment D en 1992 et réalisé par Paul Chemetov[4]. Dans le prolongement du bâtiment A, la Maison Archéologie et Ethnologie René-Ginouvès (MAE) ouvre ses portes en 1996-1997[4].

À son origine, la gare de « La Folie » était une baraque en bois, du type « Far West », rapidement inadaptée aux flux croissant des étudiants[4] et causant l’enclavement du campus universitaire par rapport au reste de la ville[4]. En dessous du panneau sur lequel le nom de la station de RER « La Folie » était inscrit, il était ajouté « complexe universitaire ». Une rampe sortant de la gare est construite en 1964, l’année de l’inauguration du campus. En 1972, l’arrivée du RER[4], une année après l'achèvement de la préfecture, transforme la physionomie de la gare[4].

Le restaurant universitaire ouvre en 1967, situé à proximité de la bibliothèque universitaire[4]. Durant ses premières années il est symbole de l’ouverture sur l’extérieur, car les jeunes des cités et bidonvilles viennent s’y restaurer[4].

L'esprit de la création

À sa création en 1965, Nanterre « a soulevé de grands espoirs » et « devait être le lieu d'expérimentation d'un enseignement renouvelé, l'esquisse de l'université de demain », en profitant de l'apport de « célèbres professeurs » qui « ont volontairement quitté la Sorbonne pour participer à la Grande Aventure »[5]. Henri Lefebvre, professeur de sociologie de 1965 à 1968, influence les étudiants qui initient le mouvement de Mai 68, puis livre une analyse à chaud des événements[6].

Ces « grands espoirs » sont rapidement déçus. Pour être moderne, « il ne suffit pas d'utiliser du béton et du verre », dénoncera quatre ans après un étudiant, cité par L'Express. En 1964, Nanterre accueille 2 300 étudiants et en 1968 elle doit en absorber 12 000[5].

Un vaste espace disponible

Le est ouverte la résidence universitaire de Nanterre[4]. C'est la deuxième de la région en nombre de lits[4]. L’Association des résidents (ARCUN), fondée et présidée par Dominique Tabah, compte 800 inscrits pour 1 400 résidents dès 1967[4]. L'écrivain Robert Merle, professeur d'anglais au campus, en fait l'épicentre de son roman Derrière la vitre[7].

Avec 4 tours de 9 étages et 4 barres de cinq étages, cuisine collective au bout du couloir[4] de 20 ou 30 chambres, 3 douches, WC et un seul téléphone au milieu, la « Cité U » donne sur le bidonville du Pont de Rouen et sur l’école du Petit Nanterre, qui accueille les enfants des bidonvilles[4]. Le foyer F, la salle Mimosa dans la chaufferie, et celle du centre culturel au milieu des pelouses, accueillent les fêtes étudiantes réputées des années 1980[4], quand est fondée en 1984 une nouvelle Association des résidentes de Nanterre.

Le centre sportif est inauguré le [4].

Une grande bibliothèque universitaire est créée pour la nouvelle université. Haute de 57 mètres[4], elle est achevée en 1969[4]. Il s'agit du dernier édifice de l’architecte Edouard Albert, mort avant la fin du chantier[4].

Les contestations étudiantes des années 1960

Réputée pour être ancrée à gauche politiquement[8],[9], l'université est l'épicentre de contestations étudiantes parisiennes puis nationales, menant au mouvement social de Mai 68[10].

Développement après les évènements de

Agrandissement, création des UFR et des antennes

L'université Paris-X est créée en 1970[1], réunissant la faculté des lettres, des sciences économiques et du droit, avec comme premier président l'historien René Rémond, qui avait succédé l'année précédente au philosophe Paul Ricœur. Elle rassemble les UER issues des deux facultés et le rattachement de l'IUT de Ville-d'Avray à l'université.

En 1985 et 1989, les antennes décentralisées sont fondées. En 1984, la promulgation de la loi Savary, qui crée les UFR actuelles (renouveau et élargissement de la carte des diplômes) favorise en 1985 l'ouverture d'une antenne à Saint-Quentin-en-Yvelines, puis, en 1989, l'ouverture d'une autre antenne à Cergy-Pontoise. En 1991, l'université de Versailles-Saint-Quentin et l'université de Cergy-Pontoise deviennent des universités de plein exercice.

Persistance de mouvements étudiants

Dans les années 1980, des affrontements opposent régulièrement militants anarcho-communistes et d'extrême droite[réf. nécessaire].

En , l'université est occupée dans le cadre de la grève nationale contre le projet Devaquet.

Vue générale du campus de Nanterre en 2011.

Expansion et modernisation dans les années 1990-2000

Le théâtre Bernard-Marie Koltès de l'université (situé dans le bâtiment L) lors d'un concert de l'association MELO'DIX le .

Révoltes et manifestations

Dans les années 2000, l'université est le théâtre de protestations étudiantes.

En février et mars 2006, des manifestations ont lieu à l'université et dans Paris, contre le projet du Contrat première embauche (CPE). Une mobilisation de l'université de Nanterre se met en place par le biais d'assemblées générales, qui conduit aux blocages de quelques bâtiments et à l'occupation de certains locaux[11]. Au fil du temps le blocage des bâtiments réalisé par des étudiants grévistes, paralyse l'ensemble de la faculté, et des tensions naissent, obligeant les forces de l'ordre à intervenir, afin d'éviter de nouveaux affrontements entre les grévistes et non grévistes. De ce fait, celle-ci aura été fermée sur décision du président Olivier Audéoud pour une durée indéterminée. L'université est officiellement fermée du au . Le , la reprise des cours est rendu possible.

Depuis 2010

Changements administratifs

En 2008, le nom de l'université est modifié en « Université Paris Ouest Nanterre La Défense »[12]. En 2016, il devient « Université Paris-Nanterre »[13],[14].

Le conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Patrick Devedjian (UMP), avait supprimé en une subvention annuelle de 900 000 euros versée depuis quatre ans[15]. La subvention a été rétablie en dans le cadre d'une convention d’objectif en vue de la création d’un institut du numérique[16]. Depuis, cette subvention de 750 000 euros a été supprimée par le président du conseil général des Hauts-de-Seine, alors que dans le même temps le pôle universitaire Léonard-de-Vinci, dont la création a été très controversée a reçu une dotation du conseil général une subvention de 7 millions d'euros[17]. Ainsi l'arrêt de cette subvention a engendré la disparition de l'institut du numérique de l'université de Nanterre.

L'université Paris Ouest, dans le cadre du projet de Grand Paris, a initié un partenariat avec le pôle Léonard-de-Vinci[18].

Le , la ComUE Université Paris-Lumières et l'université Paris-Nanterre annoncent la création de l'École universitaire de recherche ArTeC (Arts, technologie et création), faisant suite à l'obtention d'un financement de 10 ans par le programme d’investissements d'avenir (PIA) du ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation pour la fondation d’une « École universitaire de recherche »[19],[20].

Agrandissements du campus et innovations

En 2016, la nouvelle Maison des Sciences humaines et sociales (Max Weber) est inaugurée. Elle comporte 1 amphithéâtre, plusieurs salles de réunions et 124 bureaux à destinations principale des enseignants-chercheurs[21].

En 2021, la bibliothèque universitaire inaugure un espace de travail axé sur le numérique : le Pixel[source secondaire souhaitée]. Ce chantier aura couté 3,6 millions d'euros.

Manifestations et rixes

L’université détient le record avec le Centre Pierre-Mendès-France des blocages en Île-de-France, parfois assortis de violences[9].

Au printemps 2018, une action contre la loi Vidal qui instaure une sélection à l'entrée de l'université, conduit à l'occupation d'un des bâtiments par une trentaine d'étudiants après que ceux-ci ont brisé des vitres pour s'y introduire. Sept interpellations ont lieu après l’intervention des CRS[22]. Deux anciens étudiants de l’établissement seront condamnés pour violences[23]

En 2019, lors des élections universitaires, l’université est le lieu d'affrontements entre les militants d’associations de gauche comme l’Unef et le NPA, et les souverainistes de la Cocarde étudiante[24].

Pendant l'année universitaire 2021-2022, un bâtiment est occupé pendant neuf mois par les « Sans-Facs de Nanterre », un groupe d'étudiants qui réclament une inscription en licence et master[25],[26]

En septembre 2023, cinq militants des « Jeunes avec Macron » sont agressés par une dizaine de militants du groupuscule d’ultragauche la Jeune Garde venus coller des affiches pour la manifestation « contre les violences policières »[27].

En novembre de la même année, en réaction à la guerre Israël-Hamas, se multiplient les tags pro-palestiniens ou antisémites sur le campus universitaire[28].

Historique des doyens et présidents

Doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de l'université de Paris à Nanterre
Mandat Nom Discipline
1965 - 1968 Pierre Grappin Langue et littérature allemandes
1968 - 1969 Jean Beaujeu Langue et littérature latines
1969 - 1970 Paul Ricœur Philosophie
1970 - 1971 René Rémond Histoire
Doyen de la faculté de droit et des sciences économiques de l'université de Paris à Nanterre
Mandat Nom Discipline
1968 - 1969 Philippe Malaurie Droit
1970 - 1970 Jean-Maurice Verdier Droit
Liste des présidents successifs de l'université Paris X Nanterre
Mandat Nom Discipline
1970 - 1971 Eugène Schaeffer Droit
1971 - 1976 René Rémond Histoire
1976 - 1981 Jean-Maurice Verdier Droit
1981 - 1983 Carol Heitz Histoire de l'art
1983 - 1988 Michel Imberty Psychologie
1988 - 1993 Paul Larivaille Langue et littérature italiennes
1994 - 1997 Michel Imberty Psychologie
1998 - 2003 André Legrand Droit
2003 - 2008 Olivier Audéoud Droit
2008 - 2012 Bernadette Madeuf Sciences économiques
2012 - 2020 Jean-François Balaudé Philosophie
depuis 2020 Philippe Gervais-Lambony (d) Géographie

Composantes

Bâtiments DD et C des UFR SSA et SPSE.

Les composantes : unités de formation et de recherche

Les composantes : instituts et écoles

Campus

Les trois campus de l'université Paris-Nanterre sont situés dans le département des Hauts-de-Seine, à proximité du site de la Défense.

Campus de Nanterre

Plan du campus de Nanterre.

Situé à proximité du quartier d'affaires de la Défense et du centre-ville de Nanterre, le campus de Nanterre, principal campus de l'université, s'étend sur près de trente hectares et regroupe autour de son « carré vert » central :

  • l'essentiel des locaux d'enseignement et de recherche de l'université ;
  • la bibliothèque universitaire (BU) et La contemporaine ;
  • la Maison des Sciences de l’homme Mondes (MSHM) ;
  • la Maison de l'étudiant ;
  • le restaurant universitaire (RU) ;
  • une résidence universitaire du CROUS de l'académie de Versailles d'une capacité d'accueil de 1 400 chambres ;
  • une piscine olympique ;
  • un centre sportif universitaire comprenant une salle omnisports, des salles spécialisées et de nombreux terrains extérieurs ;
  • une salle de cinéma (bâtiment B amphi B2) d'une capacité d'environ 1 000 places ;
  • le théâtre Bernard-Marie-Koltès ;
  • un espace d'exposition, l’espace Reverdy.

Campus de Ville-d'Avray

Il accueille dans les locaux de l'ancienne école technique aéronautique le secteur technologies industrielles de l'université. Le site regroupe ainsi un bâtiment d'enseignement et de recherche et les ateliers dans lesquels les étudiants des formations professionnalisées reçoivent des enseignements pratiques. On y trouve également un restaurant universitaire et une cafétéria.

Campus de Saint-Cloud

Le « Pôle Métiers du livre » de l'université Paris-Nanterre est dédié aux formations préparant aux métiers du livre et de la communication audiovisuelle. Ouvert à la rentrée 1999, ce bâtiment regroupe les locaux d'enseignement et de recherche[30] et inclut une cafétéria.

Enseignement et recherche

Centres de recherche actuels

Au cours du contrat quinquennal 2014-2018, l'université Paris-Nanterre compte 41 centres de recherche, dont 13 unités mixtes de recherche (UMR). Ces unités de recherche regroupent plus de 1 000 personnes, dont plus de 700 enseignants-chercheurs de l'université Paris-Nanterre, mais aussi plus de 150 enseignants-chercheurs d'autres universités, plus d'une centaine de chercheurs du CNRS et plusieurs dizaines de chercheurs provenant d'autres établissements[source secondaire souhaitée].

Scientométrie

L'université Paris-Nanterre n’est pas ou mal classée dans les principaux classements mondiaux des universités. Cette situation est liée pour l’essentiel à la méthodologie de ces classements internationaux. Les spécificités de l'université Paris Ouest la pénalisent en effet fortement ; il s'agit d'une université française, essentiellement centrée sur les sciences humaines et sociales, alors que ces classements favorisent très fortement les établissements généralistes ou spécialisés en sciences exactes dont les recherches sont publiées en anglais[Note 1].

Elle est ainsi entre la 701e et la 800e place du classement mondial des universités QS 2013[31]. Dans ce dernier, elle est le 4e établissement français dans le domaine des arts et humanités, derrière l'université Panthéon-Sorbonne, Paris Sorbonne et l'École normale supérieure de Paris. Le Times Higher Education World University Rankings considère Paris Nanterre comme « une des universités les plus prestigieuses du pays » et souligne la qualité de ses programmes de masters, ses partenariats avec les Grande écoles et sa liste d'anciens élèves[32].

Le classement de Shanghai par discipline place Nanterre entre la 51e et la 100e place mondiale en anthropologie[33] et 50e en archéologie.

Le master de psychologie de Paris-Nanterre est le premier de France en termes d'insertion professionnelle selon le classement 2018 du Parisien[34].

L'université Paris-Nanterre fait partie des universités les plus demandées en France sur Parcoursup[35].

Le classement Eduniversal (en) 2021 des meilleurs masters classe neuf masters dispensés par l'université Paris-Nanterre parmi les meilleures formations de France dans leur domaine respectif, notamment en droit, banque et finance[36].

Évolution démographique et budgets

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
33 661[37]31 569[38]27 676[39]29 820[40]30 426[41]30 257[42]29 643[43]29 345[44]
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
28 873[45]29 459[46]29 866[47]31 807[48]31 928[49]32 381[50]31 459[51]31 606[51]
2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022 -
31 001[51]30 370[51]31 714[51]32 293[51]32 346[51]32 616[51]31 975[51]-

Le budget 2012 s'élève à 155 millions d'euros (2013). Par rapport à 2012, la hausse des crédits est de 0,83 %[52].

Personnalités liées à l'université

Enseignants

Étudiants

Filmographie

Notes et références

Note

  1. Certaines critiques sont détaillées sur la page Palmarès universitaires.

Références

  1. a et b « L'université de Paris-X est érigée en établissement public à caractère scientifique et culturel à compter du 1er janvier 1971 », d'après le Décret n° 70-1290 du 23 décembre 1970 portant érection des universités de Paris-VI et Paris-X établissements publics à caractère scientifique et culturel - Légifrance. « Les statuts de l'université Paris-Nanterre (Paris-X) sont approuvés » par Arrêté du 24 décembre 1970 APPROBATION DES STATUTS DE L'UNIVERSITE DE PARIS-NANTERRE (PARIS X) - Légifrance.
  2. Le Code de l'éducation continue de la désigner par « Paris-X » dans la version de l'Article D711-1 dont les dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022 (à l'item n°55 de la liste des Établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel auxquels s'appliquent le statut d'université fixé par les articles L. 712-1 à L. 712-10).
  3. a et b Présentation de l'université de Nanterre [1]
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s "Faire et arpenter l’histoire de l’université de Nanterre" pour les Journées européennes du patrimoine samedi [2]
  5. a et b Jacqueline Giraud, « L'Express, 18 mars 1968: la révolte des étudiants », sur lexpress.fr, .
  6. Vincent Cespedes, Mai 68 : la philosophie est dans la rue !, Paris, Éditions Larousse, coll. « Philosopher », , 287 p. (ISBN 978-2-03-583683-0).
  7. publié en 1970 aux éditions Gallimard
  8. Maxime Gil, Université de Nanterre. Un syndicat de droite élu à la fac, tensions sur le campus, actu.fr, 29 octobre 2019
  9. a et b Judith Waintraub, Fac de Nanterre: le labo de l’extrême gauche, lefigaro.fr, 12 février 2021
  10. Jean-Pierre Duteuil, Les groupes politiques d'extrême-gauche à Nanterre article, Matériaux pour l'histoire de notre temps, Année 1988, 11-13, pp. 110-115
  11. Lien brisé Amélie Gautier, « CPE : à Nanterre, le blocage divise », My TF1 News, .
  12. Le Conseil d'administration l'adopte comme nom d'usage en 2007, voir « Université Paris Nanterre en quelques dates », sur www.parisnanterre.fr (consulté le ). Puis il l'adopte comme dénomination officielle dans les statuts modifiés en date du 24 novembre 2014 : « La présente Université (EPSCP) est dénommée UNIVERSITE PARIS OUEST NANTERRE LA DEFENSE ».
  13. Décision du conseil d'administration de l'université en date du , « Charte graphique et logotypes - Direction de la communication », sur communication.parisnanterre.fr, (consulté le ).
  14. « La présente université (EPSCP) est dénommée Université Paris Nanterre » dans les statuts de l'université Paris Nanterre, adoptés en 2019, p. 9.
  15. L'université de Nanterre perd une subvention du conseil général, Le Nouvel Observateur,
  16. Le conseil général va soutenir l’université Paris Ouest
  17. « La fac Pasqua apprend à ne plus rouler sur l'or », leparisien.fr,‎ 2014-12-30cet07:00:00+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  18. Le Parisien La « fac Pasqua » s'ouvre aux étudiants du public.
  19. Aline Benchemhoun, Université Paris Lumières (UPL), « Lancement de l’École Universitaire de Recherche (EUR) ArTeC », sur u-plum.fr, (consulté le )
  20. « Écoles universitaires de recherche », sur Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (consulté le )
  21. « Bâtiment Max Weber - Université Paris Ouest Nanterre », sur Ekopolis (consulté le )
  22. « Fac de Nanterre : sept interpellations après l’intervention des CRS », sur leparisien.fr, (consulté le )
  23. Evacuation de l’université de Nanterre : deux jeunes condamnés pour violences, lemonde.fr, 17 octobre 2018
  24. « À Nanterre, violente bagarre générale entre étudiants «antifas» et souverainistes », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
  25. Par Pauline Boutin Le 7 mars 2022 à 17h16, « Université de Nanterre: quatre mois après le début de l’occupation, les « sans fac » toujours mobilisés », sur leparisien.fr, (consulté le )
  26. Maud Guilbeault, Fin de l'occupation de la fac de Nanterre après neuf mois de mobilisation pour les "sans-fac", actu.fr, 25 juillet 2022
  27. Shaya Baldassari, Université de Nanterre : cinq militants macronistes agressés par un groupuscule d’ultragauche, lefigaro.fr, 27 septembre 2023
  28. Emma Ferrand, Jeanne Paturaud et Paul-Henri Wallet, «Mort aux Juifs» : à la fac de Nanterre, l'antisémitisme prospère, lefigaro.fr, 17 novembre 2023
  29. https://www.parisnanterre.fr/organisation/les-ufr-et-instituts
  30. « Pôle métiers du livre de l'université Paris-Nanterre », sur polemlivre.parisnanterre.fr, (consulté le ).
  31. (en) « Ranking QS 2013, Université Paris-Nanterre, 701+ », sur classement mondial des universités QS (consulté le ).
  32. (en) « Paris Nanterre University », sur Times Higher Education (The), (consulté le ).
  33. (en) « Université Paris-Nanterre », sur Top Universities, (consulté le ).
  34. « Masters : le palmarès 2018 de l'insertion professionnelle », sur letudiant.fr (consulté le ).
  35. « Le classement des 20 universités les plus demandées sur Parcoursup », sur Le Figaro Étudiant (consulté le ).
  36. « Université Paris Nanterre - Classement 2021 masters », sur meilleurs-masters.com (consulté le ).
  37. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  38. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  39. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  40. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  41. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  42. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  43. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  44. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  45. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur education.gouv.fr le 10 août 2010
  46. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  47. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  48. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur education.gouv.fr le 30 août 2012
  49. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2013, Imprimerie moderne de l’Est, p. 179, consulté sur education.gouv.fr le 27 septembre 2013
  50. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2014, Imprimerie moderne de l’Est, p. 179, consulté sur education.gouv.fr le 23 septembre 2014
  51. a b c d e f g h et i « Statistiques sur les effectifs d'étudiants inscrits par établissement public sous tutelle du ministère en charge de l'Enseignement supérieur (hors doubles inscriptions université-CPGE) - data.gouv.fr », sur www.data.gouv.fr (consulté le )
  52. [3]

Voir aussi

Bibliographie

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes