linge de table
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]Locution nominale
[modifier le wikicode]Au singulier uniquement |
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linge de table \lɛ̃ʒ də tabl\ |
linge de table \lɛ̃ʒ də tabl\ masculin singulier
- Ensemble des pièces de linge utilisées pour les repas : nappes, serviettes, sets et chemins de table, voire torchons, qui, avec les tabliers, relèvent plutôt du linge de cuisine.
On appelle particulièrement Linge de table, la toile uniquement destinée à faire des nappes & des serviettes pour le service de la table à manger, & du buffet de table.
— (Jacques Savary des Bruslons, Dictionnaire universel de commerce, d'histoire naturelle et des arts et métiers, tome 3, Paris, 1761)Des pièces confectionnées seront également à vendre : du linge de table, comme des nappes et des torchons, mais aussi, nouveauté de l’année, des chèches.
— (Laval : des bonnes affaires aux Tissus d’Avesnières, lecourrierdelamayenne.fr, 11 avril 2018)Destiné au rangement de la vaisselle, des couverts et du linge de table, le buffet prend généralement place dans la cuisine.
— (Sephora Benazouz, Zoom sur les buffets de cuisine, marieclaire.fr, 18 avril 2018)Le nec plus ultra : un linge de table unique, dessiné spécialement pour l’établissement. Récemment, la star de la cuisine américaine, Guy Fieri, lui a commandé 4 000 serviettes dont le motif représente son tatouage.
— (Noémie Rousseau, Dans les Vosges, les usines ont perdu le fil, Libération, 16 avril 2018)
Hyperonymes
[modifier le wikicode]Traductions
[modifier le wikicode]- Allemand : Tischwäsche (de) féminin
- Anglais : table linen (en)
- Croate : stolno platno (hr)
- Espagnol : mantelería (es) féminin
- Italien : biancheria da tavola (it) féminin
- Kotava : estugrita (*)
- Néerlandais : tafellinnen (nl)
- Solrésol : doladosi (*), d'oladosi (*)
Références
[modifier le wikicode]- ↑ « Augmenté par la Réappréciation de 1594, de 18 s. 3 d. pour le pied commun, de 13 s. 6 d. pour le Linge de table non ouvré fin, & de 23 sols pour le Linge de table ouvré » — (Joseph Dufresne de Francheville, Histoire du tarif de mil six cens soixante-quatre, contenant l’origine de ce tarif, De Bure l’aîné, Paris, 1746)