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Lunery

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Lunery
Lunery
Mairie de Lunery.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Bourges
Intercommunalité Communauté de communes Fercher - Pays florentais
Maire
Mandat
Sylvain Joly
2020-2026
Code postal 18400
Code commune 18133
Démographie
Population
municipale
1 558 hab. (2021 en évolution de +3,04 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 10″ nord, 2° 16′ 19″ est
Altitude Min. 121 m
Max. 173 m
Superficie 32,87 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bourges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chârost
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lunery
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Lunery
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Lunery

Lunery est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Lunery se trouve dans une région industrielle par la présence de la métallurgie mais également agricole.

La commune fait partie du canton de Chârost.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Champagne berrichonne.

Localisation

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Voies de communication et transports

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Axes ferroviaires

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La commune possède une gare SNCF sur la ligne de Bourges à Miécaze.

Axes routiers

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La commune est située au sud-ouest du département du Cher sur la RD 27

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 736 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bourges à 19 km à vol d'oiseau[3], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 742,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Lunery est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 111 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (31,7 %), prairies (5 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[11].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lunery est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999 et 2016[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lunery.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 824 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 671 sont en aléa moyen ou fort, soit 81 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Préhistoire

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Présence d'un site du pléistocène inférieur à Rosières[19].

Domaine d'un riche Gallo-Romain nommé Lunarius, Lunarii-acum est devenu un lieu de détente pour les Romains installés dans la riche capitale d'Avaricum (Bourges).

De nombreux vestiges datant de l'époque gallo-romaine ont été retrouvés en différents endroits sur la commune de Lunery. En 1872, à La Vergne,des tuiles romaines, des fûts de colonnes et une épée antique. En 1886, dans le bourg, près de l'église, une mosaïque de plus de 20 m2 provenant certainement d'une riche habitation ou de thermes. Elle est exposée au musée du Berry à Bourges. En 1891, sous le dallage de l'église, des fouilles mirent au jour une monnaie en billon à l'effigie d'un empereur romain de l'année 258. Le Château de Champroy dut être une villa romaine à la suite de la découverte d'un carrelage romain et de monnaies d'Auguste de Crispus et Maxence.

Ancien Régime

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Rosières, en 1102 s'appelait Rosarie, (dérivé du latin qui voulait dire lieu planté de rosiers) du nom du seigneur des lieux Normannus de Rosarie.

La communauté de Lunery est touchée par la crise démographique du début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 98 feux en 1709 à 83 en 1726[20]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[21].

XIXe siècle

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Rosières est un village né de l'industrie métallurgique au milieu du XIXe siècle, il est renommé pour ses appareils électroménagers.

Les usines de Rosières sont créées en 1836 : le comte de Boissy, propriétaire de l’antique moulin de Rosières, fit construire à sa place des forges comprenant 2 hauts-fourneaux, une fonderie avec 6 feux de forge et un laminoir. En 1844, il y ajoute un 3e haut-fourneau. De 1852 à 1856, Rosières est vendue successivement à MM. Gouin, Violette et Gallicher. En 1858, le marquis de Vogüe en fit l’acquisition, puis par suite des traités de libre-échange, il fut obligé de fermer l’usine. Rosières reprit son activité en 1869 lorsque Jules Roussel, maître de forges et homme politique de la Mayenne, en devint propriétaire. Il transforma l’établissement en fonderie. À la mort de Jules Roussel, une société anonyme est alors créée par ses héritiers et ses ingénieurs. En 1909, Henri Magdelénat développe les moyens de production, réorganise et agrandit la fonderie, le montage, l'entretien et le magasin d'expédition.

De 1869 à 1914, on observe dans la région de Rosières, la création ex nihilo d’une agglomération réservée aux travailleurs de l’entreprise[22].

À partir de la Première Guerre mondiale, les usines de Rosières rencontrèrent des difficultés à recruter de la main d’œuvre en France pour le travail de la fonderie en raison de la pénibilité de ces métiers. Les dirigeants de l’entreprise choisissent donc d’employer des ouvriers étrangers[23].

De 1922 à 1930, beaucoup de Polonais arrivent pour travailler à Rosières. Le recensement de 1931 montre qu’un tiers des habitants de Lunery est de nationalité étrangère[24],[25],[26].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1925 1939 Louis Guillet SFIO Instituteur, secrétaire général de la Fédération nationale des municipalités socialistes
Président de la délégation spéciale (1939-1941)
février 1939 octobre 1939 Georges Jacques PCF  
octobre 1944 juillet 1948 Georges Jacques PCF Conseiller général du canton de Chârost (1945-1949)
novembre 1948 novembre 1969 René Mariat PCF Député (1956-1958)
novembre 1969 mars 1983 Gérard Jamet PCF  
1983 1987 René Lacaud PCF  
mars 1989 février 1996 Yves Lacelle PCF  
mars 1996 mars 2001 Josette Lacelle PCF  
mars 2001 mars 2014 Claude Foutiau DVG  
2014 2020 Bruno Didelot[27] SE Retraité
mai 2020 En cours Sylvain Joly SE Assistant ingénieur à la station de radioastronomie de Nançay

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 1 558 habitants[Note 2], en évolution de +3,04 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6686636797527276748861 1811 029
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0449259701 0641 2661 3811 4031 5091 583
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5111 7241 8811 7072 4802 7792 4102 2372 506
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 3922 3292 4402 0211 6651 5361 4871 4771 467
2017 2021 - - - - - - -
1 5701 558-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église de Lunery, Saint-Privé (elle est placée sous la titulature de Privatus, évêque de Mende, martyrisé au IIIe siècle), XIe, XIIIe et XIXe siècles. L'église est bâtie sur une structure gallo-romaine. La tour carrée du clocher date du XIIIe siècle[32].
  • L'église de Rosières
  • Châteaux à Champroy, aux Rimberts et à Rosières.
  • Les ruines du moulin du Rosiau
  • La maison du Grand Bayet
  • Site préhistorique de la Terre-des-Sablons
  • Les pelouses calcicoles du Patouillet et sa flore protégée. Ce site est un espace protégé et géré par le conservatoire du patrimoine naturel de la région Centre. On y trouve 20 espèces d’orchidées et quelques hybrides. Un parcours de 1,5 km permet de découvrir ce milieu (livret-guide disponible au conservatoire).

Personnalités liées à la commune

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  • Jules Roussel (1805-1877), reprend l'usine de Rosières en 1869 et la développe, fut élu et industriel en Mayenne, mort sur la commune.
  • René Mariat (1911-1969), député du Cher et maire de la commune, y est né et mort.
  • Georges Valbon (1924-2009), homme politique y est né.
  • Henri Martin (1927-2015), né à Rosières, fils de Louis Martin, ancien maire adjoint de Lunery, il est au cœur de l'affaire Henri Martin[33].
  • Philippe Mahut (né le à Rosières (commune de Lunery), footballeur sélectionné 9 fois en équipe de France, a participé à la coupe du Monde en 1982[34]

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Lunery et Bourges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bourges » (commune de Bourges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bourges » (commune de Bourges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourges », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lunery », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Jackie Despriée, Gilles Courcimault, Pierre Voinchet, Jean‑Claude Jouanneau, Simon Puaud, Salah Abdessadok, Jean Dépont, Mathieu Duval, Matthieu Lebon, Thomas Ingicco, Marie-Hélène Moncel, Christophe Falguères et Jean‑Jacques Bahain, « Le site du pléistocène inférieur de Lunery-Rosières, la Terre-des-Sablons (France, région Centre, Cher) : unités sédimentaires, datations ESR, études géoarchéologiques, préhistoire. », sur OpenEdition.
  20. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 169
  21. Zeller, op. cit., p. 145 et 153
  22. L. Cartier de Saint-René, Saint-Florent-sur-Cher et ses environs, Res Universis, collection « Monographies des villes et villages de France » (1911-1912 réédition de 1991)
  23. « Travailleurs immigrés polonais à Rosières entre 1920 et 1939 », sur ens.fr via Wikiwix (consulté le ).
  24. « La recherche généalogique : comment s'y prendre pour retrouver ses ancêtres ? », sur La recherche généalogique (consulté le ).
  25. http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/13/00/78/PDF/polberry.pdf
  26. L'usine et le village: Rosières (1869-1914), by Michel Pigenet © 1982 Association Le Mouvement Social. editions l’Atelier
  27. Liste des maires du Cher et appartenance des communes aux cantons sur le site de la préfecture (consulté le 27 septembre 2014).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Le patrimoine des communes du Cher, collaboration rédactionnelle et photographie par canton, Floric éditions T1 et T2.
  33. Claude Willard, « Martin Henri, Ursin, Clément », sur Le Maitron, (consulté le ).
  34. « Foot Nostalgie - Entretien avec Philippe Mahut », sur footnostalgie.free.fr (consulté le ).